L'impuissance sexuelle de l'homme (en latin scientifique : impotentia sexualis virilis[1]) peut être de deux sortes[2],[3],[4] :
- l'impotentia coeundi, c'est-à-dire l'impuissance de l'homme à réaliser le coït (impuissance qui peut être due à une dysfonction érectile mais pas nécessairement)
- et l'impotentia generandi ou impotentia concipiendi, c'est-à-dire l'impuissance de l'homme à générer ou à concevoir, autrement dit la stérilité ou l'infertilité[5] (par exemple, absence de sperme[6]).
Cette distinction avait été déjà opérée par le médecin italien Paolo Zacchias au XVIIe siècle[7].
Références
- ↑ (hr) Dušan M. Jevtić, Sudska psihopatologija, , p. 232
- ↑ Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, , p. 584
- ↑ René Dupont, De l'impuissance chez l'homme au point de vue médico-légal, p. 83
- ↑ Bernard David, L'impuissance est-elle un empêchement de droit naturel ou positif,
- ↑ Anatomie et physiopathologie en soins infirmiers, (lire en ligne), p. 598
- ↑ Gabriel Tourdes, Edmond Metzquer, Traité de médecine légale théorique et pratique, p. 181
- ↑ (en) Joseph Bajada, Sexual Impotence: The Contribution of Paolo Zacchia, 1584-1659, (lire en ligne)