AccueilFrChercher
Juillet
Description de cette image, également commentée ci-après
Juillet, extrait des Très Riches Heures du duc de Berry (vers 1410-1416), musée Condé, Chantilly, ms.65, f.7.
Éphémérides
1er 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30 31

Juillet est le septième mois des calendriers grégorien et julien.

Dans le Ruralium commodorum opus de Pierre de Crescent, premier traité d’agriculture écrit depuis l’Antiquité, le mois de juillet est symbolisé par la moisson à la faucille.

Étymologie

L'étymologie du nom « Juillet » est due à Jules César, qui est né le 13 du mois Quinctilis, appelé plus tard Iulius en son honneur.

Fêtes

Congés

L’adjectif juillettiste (ou parfois juilletiste) désigne quelqu’un prenant des vacances en juillet, par opposition aux aoûtiens, prenant leurs congés en août. Les congés scolaires annuels les plus longs ont lieu traditionnellement en été à partir de juillet car c’était la saison des récoltes et des fourrages, qui demandaient autrefois un apport important de main-d’œuvre agricole (notamment les enfants d'âge scolaire).

Dictons du mois et interprétations

Ces dictons traditionnels[2], parfois discutables, ne traduisent une réalité que pour les pays tempérés de l'hémisphère nord.

  • « Juillet doit rôtir ce que Septembre mûrira »
  • « Chaud juillet sur frais juin, peu de foin mais bon vin ! »
  • « Plus juillet n'est point beau, plus l'an vaut »

Notes et références

  1. Jules César est né officieusement le 13 juillet, à la même date que les ludi Apollinares (jeux Apollinaires, institués à Rome (en l'honneur d'Apollon), donc pour ne pas les chevaucher, sa naissance fut officiellement déclarée le 12 juillet (voir de Dion Cassius, Histoire Romaine 47, 18, 6, (ISBN 1-141-22061-X); voir aussi : Religion und Kultus der Römer de Georg Wissowa, (ISBN 3-406-03406-3); Caesar de Matthias Gelzer, (ISBN 3-515-03907-4); et Divus Julius de Stefan Weinstock, (ISBN 0-19-814287-0))
  2. Anne-Christine Beauviala, Météo et dictons régionaux, Éditeur : Christine Bonneton, 2010.

Voir aussi

Liens externes