Barr | |
Place de l'Hôtel-de-Ville. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Bas-Rhin |
Arrondissement | Sélestat-Erstein |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Barr (siège) |
Maire Mandat |
Nathalie Ernst 2020-2026 |
Code postal | 67140 |
Code commune | 67021 |
Démographie | |
Gentilé | Barrois [1] |
Population municipale |
7 174 hab. (2020 ) |
Densité | 348 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 24′ 32″ nord, 7° 27′ 02″ est |
Altitude | Min. 176 m Max. 971 m |
Superficie | 20,61 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Barr (ville-centre) |
Aire d'attraction | Strasbourg (partie française) (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Obernai |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Barr est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Ses habitants sont appelés les Barrois.
Géographie
La localité s’appuie sur les contreforts du massif des Vosges au pied du mont Sainte-Odile et à 8 km au sud d'Obernai. Elle est traversée par la Kirneck, affluent de l’Andlau et sous-affluent de l’Ill.
Barr est capitale viticole d’Alsace avec sa plus ancienne foire aux vins d’Alsace (plus de 100 ans) et son historique « Fête des vendanges » qui se déroule traditionnellement le premier week-end d’octobre. Barr se situe sur la Route des Vins d'Alsace.
Urbanisme
Typologie
Barr est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Barr, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[5] et 9 453 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[6],[7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8],[9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (78 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (77,4 %), zones urbanisées (11,5 %), cultures permanentes (7,4 %), terres arables (1,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Transports et voies de communication
Barr possède une gare TER Grand Est, située à huit minutes à pied du centre-ville. La cadence est de un train toutes les demi-heures.
La ville est desservie par les sorties 12 et 13 de l'autoroute A35.
La véloroute du vignoble d'Alsace (EuroVelo 5) transite par le centre de la ville.
La commune est une étape de la partie vosgienne du sentier de grande randonnée GR 5 et du sentier européen E2.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Barru dès l'an 788[11].
Bàrr en alémanique.
Histoire
Même si la première trace écrite, mentionnant le village de Barr sous le nom de Barru, date de l’année 788, les historiens pensent que ce site a été occupé bien avant, comme le prouvent les nombreux vestiges préhistoriques de l’âge du fer et de l’âge du bronze découverts dans le secteur.
À l'origine propriété impériale, la ville fut cédée par les Habsbourg à Nicolas Ziegler en 1522, puis transformée en franc-alleu trois ans plus tard. Par la suite ses fils la vendirent à la ville de Strasbourg, dont elle dut épouser la cause dans la guerre qui opposa Strasbourg protestant aux Lorrains catholiques. En 1592, ceux-ci brûlèrent le château, la maison commune et soixante-dix habitations, et torturèrent plusieurs habitants.
Pendant la guerre de Trente Ans elle eut à souffrir des Impériaux, des Suédois et des Français, mais moins que les villages environnants. Dans le conflit qui opposa Louis XIV à Strasbourg la ville fut occupée par les Français ; le meurtre d'un officier par un habitant amena en représailles l'incendie de la ville..
La reconstruction fut rapide et par la suite Barr ne connut plus de catastrophe de ce genre, même s'il dut supporter le passage de troupes qu'il lui fallut entretenir.
Au XVIIIe siècle, un procès qui devait durer près d'un siècle opposa les localités de la seigneurie de Barr à la ville de Strasbourg, leur suzerain, qui revendiquait la totalité des forêts de sa vassale. En 1763, une première décision en attribua le tiers à Strasbourg ; il y eut appel et ce ne fut qu'en 1836, sous la Monarchie de Juillet, que le verdict fut définitivement confirmé. Il y a encore une quarantaine d'années, de vieux Barrois appelaient la partie possédée par Strasbourg d'r g'stohlne Wàld, la forêt volée. Mais on est toujours le voleur de quelqu’un : au XVIIIe siècle également, Strasbourg fit construire, en toute légalité, un petit canal qui détournait vers la Kirneck une partie des eaux qui auraient dû arriver à Andlau, et il y a une cinquantaine d’années, de vieux Andloviens parlaient encore du g'stohlnes Wasser, de l’eau volée. Aujourd’hui, cette affaire elle aussi paraît oubliée de part et d’autre ; il semble même que l’actuelle municipalité barroise ne connaisse plus l’existence du canal (encore entretenu dans les années 1980) et, la nature reprenant ses droits, les eaux retourneront peut-être bientôt à Andlau.
De violents combats y opposèrent en 1944 des Allemands nazis et des soldats américains. Ouvrages consultés : Annuaire de la Société d'histoire et d'archéologie de Dambach-la-Ville, Barr et Obernai, 1993 (p. 99 et suiv.), 2004, (p. 81 et suiv.).
Le à 19 h 20, au lieu-dit la Bloss, sur la commune de Barr, un Airbus A320 assurant le vol 148 Air Inter s'écrase sur une crête proche du mont Sainte-Odile faisant 87 morts et laissant 9 survivants.
Héraldique
Blasonnement :
D'argent à la herse de sable[12].
Commentaires : la herse du blason de Barr symbolise le rôle ancestral de cette cité comme ultime barrière sur le chemin vers le mont Sainte-Odile, jadis lieu sacré occupé par des druides. |
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].
En 2020, la commune comptait 7 174 habitants[Note 3], en diminution de 0,25 % par rapport à 2014 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
- Église protestante Saint-Martin[21],[22],[23] et cimetières de protestants[24] et de catholiques[25].
- Caserne, église Saint-Martin, école[26] et son orgue. Buffet réalisé par Stiehr Mockers et instrument conçu par Kriess[27],[28].
- L'ancienne synagogue a dû être détruite en 1982 à la suite de l'effondrement d'un pilier d'angle, mais les vitraux de la synagogue ont été réemployés au profit de l'oratoire de la Meinau[29] et certaines pierres, dont les tables de la Loi, sont présentées dans le parc de la Fondation Elisa à Strasbourg[30],[31].
Église protestante Saint-Martin. Intérieur de l'église protestante. Orgue Stiehr (1852) de l'église protestante. Église catholique Saint-Martin. Intérieur de l'église catholique. Orgue Kriess et Stiehr-Mockers (1826, 1932) de l'église catholique. Emplacement de l'ancienne synagogue.
- Hôtel de ville[32],[33],[34].
- Relais de poste dit poste aux chevaux[35].
- Le musée de la Folie-Marco[36].
Hôtel de ville (1641). Ancien relais de poste (1769),
13, rue du Docteur-Sultzer.Musée Folie-Marco (1763). Fontaine de la place de l'Hôtel-de-Ville (1876).
Économie
Le commerce à Barr se développe depuis quelques années, de nombreux commerces s'ouvrent. Une nouvelle association de commerçants et artisans, POINTBARR, a été créée en mai 2012 et compte 47 adhérents au .
Personnalités liées à la commune
- Émile Bieckert (Don Emilio), qui introduisit la fabrication de la bière en Argentine.
- Richard Hartmann, natif de Barr, constructeur de locomotives, qui fonda à Chemnitz une grande fabrique de locomotives.
- Édouard Schuré, écrivain ésotérique.
- Jean Hermann, médecin et naturaliste dont le cabinet d'histoire naturelle a donné naissance au Musée zoologique de l'ULP et de la ville de Strasbourg.
- Jean-Frédéric Hermann (1743-1820), son frère, député du Bas-Rhin et maire de Strasbourg.
- Charles Dietz-Monnin (1826-1896), homme politique né à Barr.
- Martin Feuerstein, artiste-peintre, né le 6 janvier 1856 à Barr et décédé le 13 février 1931 à Munich.
- Henri Rieffel, chirurgien et professeur d'anatomie à l’hôpital Saint-Louis de Paris, né en 1862 à Barr, décédé à Villerville (Calvados) en 1939.
- Edmond Rinckenbach, artiste-peintre, né le 1er mars 1862 à Barr et décédé le 13 août 1902 à Metz.
- Paul Schmitthenner, architecte allemand et professeur d’Université.
- Charles Alexis Vandenberg (1858-1942), général de division commandant le 10e corps d'armée, était à Barr en 1918, très apprécié de la population.
- Joseph Bloch, grand rabbin (1875-1970)[37].
- Isaac Eisik Roller, grand rabbin (1832-1900)[38].
- Ceslav Sieradzki, (1925-1941) adolescent résistant abattu à 16 ans au camp de sureté de Vorbruck-Schirmeck.
- Pisla Helmstetter (1926-2013), mémoire de la communauté tzigane d’Alsace.
- Jean Joho, grand cuisinier français expatrié aux États-Unis[39].
- Willard Bowsky (1907-1944) animateur américain aux Fleischer Studios, a travaillé sur des dessins animés Betty Boop, Popeye et Superman, est mort près de Barr en tant que soldat.
- Jean-Jacques Werner (compositeur), 1935-2017, compositeur et chef d'orchestre, a passé les dernières années de sa vie à Barr, où il est décédé le 22 octobre 2017.
- Alphonse Grün, avocat français décédé à Barr en 1866.
- Catherine Poulain (1960-), écrivaine française.
Culture
- La musique municipale Union de Barr existe depuis 1863.
- Le film de Tony Gatlif, Je suis né d'une cigogne (1999), avec Romain Duris et Rona Hartner, comporte des prises de vue tournées dans le paysage barrois[40].
Environnement
La commune abrite une partie de la « forêt du Landsberg », propriété d'un groupement forestier familial, gérée par 6 gestionnaires depuis 1800. La forêt s'étend sur 158 hectares (dont près de 25 ha improductifs), répartis sur 3 communes (Heiligenstein, Barr et Obernai). Elle fait l'objet d'une gestion dite « proche de la nature » (selon les principes sylvicoles recommandés par Prosilva), sans coupes rases. Elle a été certifiée FSC en décembre 2000 et PEFC en décembre 2002[41].
Jumelages
Barr est jumelée avec les villes de Perros-Guirec (Côtes-d'Armor) et de Trèves. La ville a également été jumelée avec le 12e groupement approvisionnement du 6e régiment du matériel (situé à Gresswiller) à compter du 18 juin 2015 sous le commandement du capitaine Gabriel REALIS, et a pris fin lors de la dissolution du groupement.
Voir aussi
Bibliographie
- « Alternative et Simultaneum dans le bailliage de Barr : un nouvel équilibre entre luthériens et catholiques, 1681-1789 », in Annuaire de la Société d'histoire et d'archéologie de Dambach-la-Ville, Barr, Obernai, 2013, no 47, p. 115-130
- Méryem Grifty, Barr, pour une histoire du temps qui passe, ou L'histoire du développement urbain de la cité barroise, M. Grifty, Strasbourg, 1998, 100 p.
- (de) Friedrich Hecker, Die Stadt Barr von der französischen Revolution bis auf unsere Tage, Strassburger Druckerei, 1911, 354 p.
- Anémone Koffel, « La viticulture et les viticulteurs à Barr 1815-1939 », in Chantiers historiques en Alsace, 1998, no 1, p. 153-160
- Jean-Marie Le Minor, « Chirurgiens, barbiers, et baigneurs à Barr du XVIe au XVIIIe siècle », in Annuaire de la Société d'histoire et d'archéologie de Dambach-la-Ville, Barr, Obernai, 2004, no 38, p. 109-136
- Claude Muller, « Du vécu à l'histoire : la chronique barroise de Jacques Frey (1820-1898) », in Annuaire de la Société d'histoire et d'archéologie de Dambach-la-Ville, Barr, Obernai, 2011, no 45, p. 8-12
- Renée Schneider, « Les écoles à Barr au XXe siècle », in Annuaire de la Société d'histoire et d'archéologie de Dambach-la-Ville, Barr, Obernai, 2007, no 41, p. 81-122
- Renée Schneider, « L'industrie au XIXe siècle : la famille Moïse de Barr », in Annuaire de la Société d'histoire et d'archéologie de Dambach-la-Ville, Barr, Obernai, 2010, no 44, p. 27-58
- Renée Schneider, « De l'Alsace à l'Amérique : la famille Bartholmé de Barr », in Annuaire de la Société d'histoire et d'archéologie de Dambach-la-Ville, Barr, Obernai, 2010, no 44, p. 113-132
- Régine Schultz et Philippe Schultz, Il était une fois... es war einmal... Barr : une page d'histoire alsacienne entre 1870 et 1918, Ed. d'Alsace, Colmar, 1993, 96 p.
- Emmanuel de Solère Stintzy, « Barr : de l'authentique, pas du kitsch ! », in En Alsace, 2005, no 39, p. 54-68
Articles connexes
- le kirchberg-de-barr, un grand cru d'Alsace
- Communes du Bas-Rhin
- Maison au 4, place de l'Hôtel-de-Ville à Barr
- Hôtel de ville de Barr
- Hôtel Marco
- Église protestante de Barr
- Guerre des paysans en Alsace et en Lorraine (1525)
Liens externes
- Site de la mairie
- Site de l'office de tourisme du pays de Barr
- Site de la Route des Vins d'Alsace - Barr, cité viticole
- Barr sur le site de l'Institut géographique national
- Barr sur le site de l'Insee
- Barr : Inventaire topographique (établi en 1978 par Dominique Huck et Brigitte Parent, 98 p.)
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace.
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire national du patrimoine naturel : Barr.
Notes et références
Notes
- ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- ↑ « Bas-Rhin », sur habitants.fr (consulté le ).
- ↑ « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- ↑ « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Unité urbaine 2020 de Barr », sur insee.fr (consulté le ).
- ↑ « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- ↑ Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- ↑ Dans une donation à l'abbaye de Fulba.
- ↑ Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur labanquedublason2.com (consulté le ).
- ↑ La fiche biographique de Paul Degermann, barr.fr, site officiel de la ville de Barr.
- ↑ Le stade Louis-Klipfel : biographie du maire éponyme
- ↑ [PDF] Liste des maires au 1 avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
- ↑ « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- ↑ Barr, paroisse luthérienne
- ↑ « Tour de l'église avec les monuments funéraires qu'elle renferme », notice no PA00084598, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Eglise paroissiale Saint-Martin, temple de luthériens, de 1850 », notice no IA00115060, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Cimetière de protestants, de 1813 », notice no IA00115058, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Cimetière de Catholiques », notice no IA00115057, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Caserne, église Saint-Martin, école », notice no IA00115075, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Notice no IM67005608, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue caserne, église paroissiale Saint-Martin, école
- ↑ Inventaire de l'orgue de Stiehr-Mockers, 1852
- ↑ Le réemploi des vitraux de la synagogue
- ↑ L'Hospice Eliza à Strasbourg
- ↑ La synagogue de la Meinau, destinée aux Juifs des quartiers sud de la ville a, elle, repris les vitraux de la synagogue de Barr
- ↑ « Hôtel de ville de 1640 », notice no PA00084600, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Château dit Kleppernburg, Wepfermannsburg, Hôtel de ville Château, façades et toitures inscrites sur l'inventaire supplémentaire des MH », notice no IA00115076, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Hôtel de ville, restaurant dit A la Patrie, Burgersture », notice no IA00115063, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Relais de poste, dit poste aux chevaux de 1769 », notice no IA00115120, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Hôtel Folie Marco de 1763 », notice no IA00115077, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Grand Rabbin Edmond Schwob, « Le Grand Rabbin Joseph Bloch », Extrait de Tribune juive. Il est l'auteur d'un Calendrier hebdomadaire très répandu dans les familles juives et continué aujourd'hui par le rabbin Edmond Schwob. Il a exercé à Barr au temps où il y avait encore une synagogue.
- ↑ La guerre franco-allemande et les deux sièges de Paris (1870-71) décrits en langue hébraique, par E. Roller (Amsterdam, 1878).
- ↑ Jean Joho, un chef gastronome businessman
- ↑ « L'anarchisme loufoque de la révolte selon Gatlif », sur Le Monde, (consulté le ). La mairie, les monts du Kirchberg et le croisement de la Rue Brune et la Rue de l'École représentent les lieux reconnaissables à l'écran. Critique du journal Le Monde sur le film de Tony Gatlif, Je suis né d'une cigogne
- ↑ Présentation de la forêt de Landsberg , Prosilva, consulté 2012-07-01