L'Est républicain | |
Pays | France |
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Langue | Français |
Périodicité | Quotidien |
Format | Tabloïd |
Genre | Presse quotidienne régionale |
Prix au numéro | 1,30 € (semaine) 2 € (dimanche) |
Diffusion | 105 132[1] ex. (2020/2021) |
Fondateur | Léon Goulette |
Date de fondation | |
Ville d’édition | Nancy |
Propriétaire | Groupe EBRA (BFCM) |
Directeur de publication | Christophe Mahieu |
Rédacteur en chef | Sébastien Georges |
ISSN | 0240-4958 |
Site web | www.estrepublicain.fr |
Supplément | |
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L'Est républicain est un quotidien régional français fondé le par Léon Goulette à Nancy.
Il est principalement diffusé en Lorraine et en Franche-Comté à travers dix éditions locales. En 2018, il est acheté par 114 212 personnes par jour en moyenne, ce qui le positionne à la douzième place de la presse régionale quotidienne française[2].
L'Est Républicain est le titre phare du Groupe EBRA qui détient aussi les Dernières Nouvelles d'Alsace, Le Journal de la Haute-Marne et Vosges Matin[3].
EBRA est une filiale de la banque Crédit Mutuel.
Histoire
1889-1914 : Fondation et développement
L'Est républicain est fondé à Nancy par Léon Goulette le , jour de l'inauguration de l'Exposition universelle de Paris pour laquelle a été construite la Tour Eiffel. Le premier numéro est tiré à 1 200 exemplaires sur quatre pages. Le journal est alors le sixième quotidien de la presse nancéienne, aux côtés notamment du Journal de la Meurthe et des Vosges (1799), de L'Espérance (1838) et de L'Impartial. Vendu 5 centimes, le journal se positionne sur une ligne anti-boulangiste et pro-républicaine. Il est porté par de nombreuses personnalités de sensibilité républicaine, comme Jules Méline, Jules Ferry, Émile Gallé, Auguste Daum, Alfred Mézières, ainsi que par des personnalités politiques de Nancy et de Lorraine. Son siège se situe rue de Saint-Dizier dans le centre-ville de Nancy[4],[5],[6].
Le , René Mercier prend la tête du journal en remplacement de Léon Goulette qui paye sa position antidreyfusarde. En véritable patron de presse, il ouvre une agence à Paris pour recueillir à la source les informations politiques et les publicités. Le journal dégage alors assez de bénéfices pour s'autofinancer. Les locaux étant devenus trop exigus, René Mercier achète un terrain à la Compagnie de l'Est, à l'angle du faubourg Saint-Jean. En , la rédaction s'installe dans un hôtel conçu par l'architecte français Pierre Le Bourgeois dans le style de l'École de Nancy. En parallèle, le directeur achète une nouvelle rotative d'une vitesse de 20 000 exemplaires par heure, permettant d'accroître le nombre de pages et d'éditions sans augmenter le prix[7],[8].
En 1911, le tirage est de 21 000 exemplaires répartis en trois éditions. Le journal se modernise : nouvelle présentation, introduction des photographies, nouvelles rubriques sur la mode, l'industrie ou l'agriculture, embauche de jeunes journalistes et de nombreux correspondants. L'Est républicain passe à six éditions en s'étendant aux départements voisins : les Vosges et la Meuse. Le journal se positionne alors plutôt à gauche, tout en dénonçant les pacifistes et les antimilitaristes, et soutient l'action du lorrain Raymond Poincaré, président de la République française[7]. Son tirage s'élève à 40 000 exemplaires avant 1914 contre 10 000 exemplaires pour son rival de droite, L'Éclair de l'Est, fondé en 1905[9].
1914-1945 : Le journal pendant les deux guerres mondiales
En 1914, à la suite de la déclaration de la Première Guerre mondiale, le journal perd une bonne partie de son personnel. Situé en zone de combat, il est victime de la censure militaire française. Mais il continue à paraître, parfois sur une simple feuille recto-verso. Le journal contribue à maintenir le moral des Nancéiens, notamment pendant la bataille du Grand-Couronné de , et lorsqu'il est envisagé d'évacuer la ville en 1918. Dans la nuit du 26 au , l'imprimerie est bombardée, mais le journal paraît quand même sur une seule page[10].
En 1920, le tirage est de 60 000 exemplaires. En 1927, le journal est tiré à 100 000 exemplaires et étend sa diffusion à la Haute-Saône et au Territoire de Belfort. En 1933, L'Est républicain possède des bureaux à Bar-le-Duc, Verdun, Metz, Thionville, Épinal, Saint-Dié et Belfort[5].
Avant la Seconde Guerre mondiale, L'Est républicain tient une ligne anti-nazie. Les restrictions de papier et les coupures d'électricité rendent la parution du journal difficile. Le , le journal paraît pour la dernière fois. Le , alors que les Allemands entrent dans Paris, le journal se saborde, tout comme son concurrent de droite, L'Eclair de l'Est, le lendemain. Le , les Allemands entrent dans Nancy, et le , les autorités réquisitionnent les locaux de L'Est républicain[5],[11].
La région étant désormais dépourvue d'informations écrites, des rédacteurs de L'Est républicain et de L'Éclair de l'Est créent le bulletin d'information Nancy Presse qui paraîtra jusqu'au . Le , le journal collaborationniste L'Écho de Nancy publie son premier numéro[11]. Totalement contrôlé par les Allemands, il défend le nazisme, Adolf Hitler et prône l'antisémitisme. Le dernier numéro imprimé sur les installations de L'Est républicain sort le , mais il continue d'être imprimé en Allemagne jusqu'en [12].
À la Libération, L'Est républicain est réquisitionné par la Résistance, qui lui reproche d'avoir collaboré avec l'ennemi. Les résistants impriment la République de l'Est Libéré. Finalement, le , L'Est républicain est de retour avec Jacques Zenner comme rédacteur[12] et plusieurs agences, à Metz, Nancy, Besançon, Pontarlier, etc.
1945-1997 : Reprise du développement
En 1951, le tirage atteint 200 000 exemplaires. Le journal s'est étendu à la Haute-Marne et à la Franche-Comté. De plus, une nouvelle édition a été créée pour le Doubs avec l'ouverture d'un bureau à Besançon[5].
En 1968, le journal passe un accord de collaboration avec Le Journal de la Haute-Marne. Les services de vente, de rédaction et de production pour la réalisation sont mis en commun, tandis que les résultats sont partagés à 50/50[13].
En 1977, une enquête du Centre d'étude des supports de publicité (CESP) place le groupe L'Est républicain au quatrième rang de la presse quotidienne française avec 1 356 000 lecteurs. En , le journal se fait construire de nouveaux locaux à Houdemont, dans la banlieue de Nancy. En 1985, tous les services, sauf la rédaction locale de Nancy, s'installent dans les nouveaux locaux[5].
À partir de 1982, toutes les éditions de L'Est républicain sont tirées en offset[5].
Le journal est présidé de 1974 à 1983 par Charles Boileau, principal actionnaire (33 % du capital), ancien médecin, gendre du sénateur-maire Raymond Pinchard (mort en 1961) à qui il a succédé à la tête de la Grande chaudronnerie de l'Est. Les dernières années de sa présidence sont marquées par des conflits entre actionnaires, des démêlés judiciaires et juridiques, une rupture avec l'un de ses beaux-frères, Bernard Pinchard, qui s'allie à Gérard Lignac[14],[15],[16],[17],[18],[19]. En 1983, Gérard Lignac, déjà administrateur du journal depuis 1966, devient le président du journal[20]. Gérard Lignac préside le quotidien jusqu'en 2011.
En 1989, le journal fête son centenaire en ouvrant ses portes à 15 000 lecteurs[5].
Le , le journal lance une édition quotidienne en braille, la première en Europe et la deuxième au monde[5].
En , L'Est républicain est partenaire avec M6 pour la production du flash local 6 Minutes Nancy, rebaptisé plus tard Le Six' Nancy.
1997-2010 : Constitution du groupe Est républicain
À l'initiative de Gérard Lignac, L'Est républicain devient en actionnaire majoritaire des Dernières Nouvelles d'Alsace, basées à Strasbourg, en rachetant pour 250 millions de francs les parts de la Banque Vernes. Lignac prend la présidence de ce quotidien alsacien. En parallèle, le groupe vend les journaux L'Est-Éclair et Libération Champagne au groupe France-Antilles, qui détient également 27 % de L'Est républicain[21].
En , L'Est républicain prend le contrôle de son concurrent vosgien La Liberté de l'Est[22], renforçant ainsi son influence dans l'Est de la France[5]. Le , Christophe de Beco, neveu du PDG Gérard Lignac, est nommé directeur général de L'Est républicain[23].
En , Le Journal de la Haute-Marne devient une société par actions simplifiée[13] détenue à 50 % par L'Est républicain.
En , le groupe Est républicain ou France Est Médias présidé par Gérard Lignac rachète pour un montant de 270 millions d'euros le pôle Rhône-Alpes de la Socpresse (Le Progrès, Le Dauphiné libéré, Le Bien public, Le Journal de Saône-et-Loire) avec l'appui financier de la Banque fédérative du Crédit mutuel (BFCM). Le nouvel ensemble formé est le groupe EBRA, détenu à 51 % par le groupe Est républicain et à 49 % par le Crédit mutuel[24],[25].
Le , L'Est républicain révèle une note classée confidentiel-défense de la DGSE indiquant que les services secrets saoudiens sont convaincus qu'Oussama ben Laden est mort le d'une crise de fièvre typhoïde. L'information n'est pas confirmée par la France et les États-Unis[26].
En , le Crédit mutuel acquiert la société France Est, qui détient 18 % du capital du groupe Est républicain, qui lui-même détient 51 % du groupe EBRA. Le Crédit mutuel devient ainsi actionnaire majoritaire du groupe EBRA. Mais le groupe Hersant Média, actionnaire minoritaire du groupe Est républicain, demande l'annulation de cette prise de contrôle qui réduit sa part de 27 % à 17 %, le dépossédant de sa minorité de blocage. Le tribunal de commerce de Nancy lui donne raison le et la cour d'appel de Nancy confirme le jugement le [27].
Le , La Liberté de l'Est et l'édition vosgienne de L'Est républicain sont remplacées par Vosges Matin[28].
Le , L'Est républicain publie une nouvelle formule avec un nouveau logo, un nouveau format (grand format passé de 8 à 7 colonnes), une nouvelle maquette, et un nouveau projet éditorial. Le journal s'articule autour de trois piliers : proximité, décryptage de l'actualité et investigation ; et se déroule en cinq séquences : Ville et locale, Région, Sports, France-Monde, L'Est et vous (vie pratique). Le coût de cette nouvelle formule est de 2 millions d'euros sans compter les futurs investissements pour augmenter le nombre de pages en couleur[29],[30].
Depuis 2010 : Rachat par le Crédit mutuel
En , la Banque fédérative du Crédit mutuel (BFCM) rachète les 29 % que détient le groupe Hersant Média dans le groupe Est républicain[31]. Déjà possesseur d'une part du capital, il détient ainsi 48 % du groupe Est républicain. Le mois suivant, il rachète les actions du P-DG Gérard Lignac (43 % du capital) et prend ainsi le contrôle du groupe qui se voit intégré dans le groupe EBRA[32],[33]. Le , l'Autorité de la concurrence autorise la prise de contrôle du groupe Est républicain par le Crédit mutuel « sous réserve d'engagements » sur « la diversité des contenus, le maintien des rédactions en chef dédiées et la garantie de la diffusion des titres de PQR rachetés dans les zones » où ceux-ci sont en concurrence[34]. En , Pierre Wicker devient ainsi le directeur général commun de L'Est républicain, du Républicain lorrain et de Vosges Matin[35].
Le , le quotidien franc-comtois Le Pays, propriété de L'Alsace, est cédé à L'Est républicain. Il s'agit de mettre fin à une concurrence « stérile et improductive » entre les deux titres, propriétés du groupe EBRA. Les 40 salariés du Pays rejoignent les 73 journalistes de L'Est républicain en Franche-Comté, et une édition L'Est républicain-Le Pays est créée[36],[37].
Le , une nouvelle formule au format tabloïd voit le jour. Le journal de 64 pages est divisé en deux cahiers : un général et un local. Cette nouvelle formule a demandé 9 mois de réflexion et coûté 500 000 € d'investissement pour adapter les rotatives. Le journal emploie alors 650 salariés et réalise un chiffre d'affaires de près de 81 millions d'euros[38]. Une nouvelle version du site web est prévu pour [39].
Identité visuelle
- Logo dans les années 1960.
- Logo dans les années 1980.
- Logo de 1993 au .
- Logo du au .
- Logo depuis le .
Un nouveau logo a été mis en place le [40]
Organisation
Dirigeants
- Directeurs généraux / Directeurs de la publication
- Gérard Colin : -
- Pierre Wicker : - (commun à L'Est républicain, au Républicain lorrain et à Vosges Matin)[35]
- Christophe Mahieu : depuis (commun à L'Est républicain, au Républicain lorrain et à Vosges Matin)[41]
- Rédacteurs en chef
Siège
Le premier siège de L'Est républicain est situé rue Saint-Dizier, dans le centre-ville de Nancy[4].
En , le siège est transféré dans un bâtiment [46],[47],[48],[49] situé à l'angle de l'avenue Foch et du boulevard Joffre, face aux Magasins réunis, non loin de la gare. Il est conçu par l'architecte français Pierre Le Bourgeois dans le style de l'École de Nancy, proche de l'Art nouveau[7],[8]. Un souterrain permettait de relier ce bâtiment à celui où se trouvaient les rotatives et les linotypes et qui était situé à quelques dizaines de mètres, à l'angle de la place Thiers et de la rue Mazagran.
Depuis 1985, le siège est situé rue Théophraste-Renaudot à Houdemont, dans la banlieue de Nancy. Sa construction avait débuté en [5],[50].
Finances
Comme la plupart des titres de presse français, le journal L'Est républicain touche de fortes subventions de l'État. Ainsi, il a perçu 1,83 million d'euros en 2004 pour l'installation de tours d'impression quadrichromiques, 1,15 million d'euros en 2005 pour la modernisation de la salle d'expédition et 1,02 million d'euros en 2009 pour la modernisation et la refonte du contenu-maquette-format[51].
Publications
Éditions locales
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Suppléments
Chaque dimanche, le journal est accompagné de trois suppléments[52] :
- Version Femina, magazine féminin ;
- TV Magazine, magazine de presse de télévision ;
- Le Mag (anciennement Est Magazine), magazine de découverte et d'actualité culturelle régional.
D'autres suppléments peuvent être ajoutés au journal du dimanche, comme des programmes culturels locaux, des cahiers de jeux, des magazines de vie pratique ou des magazines autos.
Nouveaux médias
L'Est républicain possède un site web sur lequel les articles sont accessibles aux abonnés. Il est possible de télécharger en PDF les différentes éditions locales[52].
Le journal possède également des applications mobiles et tablettes pour Android, iOs et Windows Phone[53].
Diffusion
En 2015, le journal est vendu à 125 319 exemplaires en France, en baisse de plus de 4 000 exemplaires en un an[54]. Il est le 12e quotidien régional le plus vendu de France[55].
2005[29] | 2006[29] | 2007[29] | 2008[29] | 2009[29] | 2010 | 2011[54] | 2012[54] | 2013[54] | 2014[54] | 2015[54] | 2016[54] | 2017[54] | 2018[54] | 2019[54] | 2020[54] | 2021[54] | |
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Nombre d'exemplaires | 194 000 | 190 000 | 186 000 | 185 000 | 161 000 | 149 172 | 140 564 | 130 606 | 129 373 | 125 319 | 122 174 | 117 550 | 114 212 | 110 996 | 107 587 | 105 132 |
Controverses et affaires judiciaires
Controverses
Le , un correspondant de l'Est républicain couvre un carnaval à Maîche. Alors qu'une ancienne élue arborait un « blackface », sa photo est diffusée avec la légende suivante : « On s’y croirait. Il ne manque que le bruit et l’odeur comme dirait Chirac ». Ces propos, dénoncés sur les réseaux sociaux, font l'objet d'un retrait discret, avant que la rédaction ne reconnaisse les faits et présente ses excuses[56].
Avis du CDJM
À la suite d'un article publié le portant sur une ferme pédagogique à Grand-Charmont, un conseiller municipal d'opposition saisi le Conseil de déontologie journalistique et de médiation[57] ; il est reproché à la rédactrice un manque d'exactitude et de véracité mais aussi de traiter d'un sujet relatif à une association dont elle s'avère être secrétaire[57]. Alors que l'Est Républicain décide de ne pas se justifier auprès de l'instance, celle-ci rend une décision le [57] : elle pointe « un article non-signé », « une prise de position manifeste », interroge « l’effectivité du contrôle rédactionnel » et « souligne l’intérêt qu’aurait eu la correspondante locale à se déporter de ce sujet[57]. » La saisine est ainsi déclarée partiellement fondée, excluant les premiers griefs mais considérant que la correspondante s’est effectivement placée en situation de conflit d’intérêt[57].
Condamnations
- Le , L'Est républicain est condamné pour diffamation auprès du TGI de Belfort[58] ;
- Le , le quotidien est condamné pour diffamation auprès du TGI de Nancy[59] ;
- Le , un journaliste de L'Est républicain est condamné pour diffamation auprès du TGI de Nancy[60] ;
- Le , L'Est républicain est condamné pour atteinte à la vie privée par la cour d'appel de Nancy[61].
Notes et références
- ↑ « L'Est Républicain - ACPM », sur acpm.fr (consulté le ).
- ↑ « Presse Quotidienne Régionale », sur acpm.fr (consulté le ).
- ↑ « Filiales Crédit Mutuel Alliance Fédérale », sur Site de Crédit Mutuel Alliance Fédérale
- 1 2 « La naissance du journal », sur kiosque.limedia.fr (consulté le ).
- 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 [PDF]« L'Histoire de l'Est », sur lombard-media.lu (consulté le ).
- ↑ « 1889-2009 : 120 ans au quotidien », sur le site de L'Est républicain, (consulté le ).
- 1 2 3 « Le développement », sur kiosque.limedia.fr (consulté le ).
- 1 2 Patrick Dieudonné, « Pierre Lebourgeois, de l'Art nouveau à l'Art déco », dans Bernard Haumont (dir.), Architecture moderne en province, Éditions Parenthèses, coll. « Les Cahiers de la recherche architecturale » (no 24/25), , 120 p. (ISBN 9782863648247, lire en ligne), p. 24-29.
- ↑ Colette Hirtz, L'Est républicain 1889-1914, Naissance et développement d'un grand quotidien régional, Grenoble, Presses universitaires de Grenoble, 1973, p. 168
- ↑ « Les années de guerre », sur kiosque.limedia.fr (consulté le ).
- 1 2 « La fin de L'Est républicain », sur kiosque.limedia.fr (consulté le ).
- 1 2 « Un journal de propagande », sur kiosque.limedia.fr (consulté le ).
- 1 2 « Présentation », sur le site du Journal de la Haute-Marne (consulté le ).
- ↑ Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain, « Le Pays lorrain : revue régionale bimensuelle illustrée », sur Gallica, (consulté le ).
- ↑ Collectif, Le quotidien dévoilé, op. cit.
- ↑ « M. Boileau devient le principal actionnaire de " l'Est républicain " », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « M. Charles Boileau prendra la direction de " L'Est Républicain " », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Le Monde, , « Le Républicain lorrain rachète 21 % du capital de l'Est républicain ».
- ↑ « Une lettre de M. Charles Boileau », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Delphine Le Goff, « À L'Est républicain, la fin de l'ère Lignac », sur le site de Stratégies, (consulté le ).
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- ↑ « Terrorisme : incertitudes sur la mort de Ben Laden », sur le site du Nouvel Observateur, (consulté le ).
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- ↑ nouveau logo le 26 octobre 2022
- ↑ « Christophe Mahieu nouveau directeur général », sur le site de L'Est républicain, (consulté le ).
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- ↑ Isabelle Hanne, « Chiffre. L'Est républicain », sur le site de Libération, (consulté le ).
- ↑ ancien siège de l'Est républicain, sur le site art.nouveau.world.
- ↑ ancien siège de l'Est républicain, sur le site nancy.fr.
- ↑ ancien siège de l'Est républicain, sur le site EstRepublicain.fr.
- ↑ ancien siège de l'Est républicain, sur le site stanislasurbietorbi.com.
- ↑ « Informations légales », sur le site de L'Est républicain (consulté le ).
- ↑ owni_fr, « L'heure des fuites sur les subventions à la presse ? », sur Rue89, (consulté le ).
- 1 2 « Abonnements », sur le site de L'Est républicain (consulté le ).
- ↑ « Nos applications mobiles et tablettes », sur le site de L'Est républicain (consulté le ).
- 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 « L'Est républicain », ACPM (consulté le ).
- ↑ « Classement de la presse quotidienne régionale », sur le site de l'ACPM (consulté le ).
- ↑ Maurice Midena, « "L'Est républicain" empêtré dans une affaire de "blackface" », sur Arrêt sur images, (consulté le ).
- 1 2 3 4 5 Conseil de déontologie journalistique et de médiation, avis sur la saisine n° 20-098 du 8 décembre 2020 (consulté le ).
- ↑ Le Monde, édition du , « À Belfort le directeur de "l'Est Républicain" et un responsable du RPR condamnés pour diffamation envers un candidat socialiste » (consulté le ).
- ↑ La Dépêche, édition du , « Affaire Alègre: l'Est Républicain condamné » (consulté le ).
- ↑ L'Expansion, édition du , « Un journaliste de L'Est Républicain condamné pour diffamation envers Nadine Morano » (consulté le ).
- ↑ Cour d'appel de Nancy, 2ème chambre, 20 juin 2019, n° 18/01545 sur Doctrine.fr (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
- Colette Hirtz, « L'Est Républicain » de 1889 à 1914, Grenoble, Presses universitaires de Grenoble, 1973, 176 p.
- Étienne Criqui, Louis-Philippe Laprévote, François Roth (dir.), Le quotidien dévoilé. L'Est républicain, 1889-1989, éditions de l'Est, 1990
Articles connexes
> les médias
- Annales de l'Est
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- Le Républicain lorrain
> Monuments historiques à Nancy
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Liens externes
- Texte des articles des années 1999, 2002 et 2003 sur le site du CNRTL.
- Léon Goulette, le premier Directeur de l’Est Républicain Communication de François Roth à l'Académie Stanislas.
- L’histoire du journal L’Est Républicain en 30 dates, l'Est Républicain fête ses 30 ans.