Naissance | |
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Décès |
(à 92 ans) Hourzouf (Gouvernement de Tauride, Empire russe) |
Sépulture |
Cimetière Tikhvine |
Nom dans la langue maternelle |
Michel-Victor-Marius-Alphonse Petipa |
Pseudonyme |
Мариус Иванович Петипа |
Nationalités | |
Formation |
Conservatoire royal de Bruxelles |
Activités |
Danseur, librettiste, danseur de ballet, chorégraphe, maître de ballet, enseignant |
Père |
Jean-Antoine Petipa |
Fratrie |
Lucien Petipa |
Conjoints |
Maria Petipa (de à ) Lioubov Leonidovna Savitskaya (d) (de à ) |
Enfants |
A travaillé pour |
Théâtre Bolchoï Kamenny |
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Genre artistique |
Ballet classique (en) |
Distinctions | Liste détaillée Ordre de Sainte-Anne de deuxième classe Ordre des Palmes académiques Ordre de Saint-Stanislas, 3e classe Ordre de Saint-Vladimir de 4e classe Ordre de la Couronne de Roumanie |
Archives conservées par |
Fondation SAPA, Archives suisses des arts de la scène |
La Belle au bois dormant, Casse-noisette, Le Lac des cygnes, Don Quichotte, La Bayadère |
Michel-Victor-Marius-Alphonse Petipa (en russe : Мариус Иванович Петипа, Marius Ivanovitch Petipa), né le à Marseille et mort le à Gourzouf en Crimée, est un danseur, maître de ballet et chorégraphe français qui vécut en Russie de l'âge de 29 ans jusqu'à sa mort[1],[2].
Biographie
Fils du danseur et maître de ballet Jean-Antoine Petipa (1787-1855) et de la comédienne Victorine Morel-Grasseau (1794-1860) originaire de Saint-Domingue, il est le frère cadet du danseur Lucien Petipa[3].
Débuts
Marius fait ses premiers pas à Bruxelles, sur la scène de La Monnaie à l'âge de cinq ans, dans le ballet de Pierre Gardel La Dansomanie[4]. Quittant Bruxelles en , il danse à Bordeaux, puis chorégraphie ses premières œuvres à Nantes, sous la direction du maitre de ballet Étienne-Hughes Laurençon, de à [5].
Carrière
Après une tournée triomphale en Amérique du Nord[3], Petipa revient à Bordeaux, puis il travaille au teatro del Circo (es) de Madrid de à [6]. Engagé l'année suivante comme premier danseur au Ballet impérial russe, il y devient maître de ballet en titre en , travaillant aux théâtres du Ballet impérial (théâtre Bolchoï Kamenny de Saint-Pétersbourg, théâtre Mariinsky, théâtre de l'Ermitage, etc.) jusqu'à sa retraite en [7]. Il enseigne également à l'école de danse, qu'il dirige de 1855 à 1887.
Bon danseur, il est cependant meilleur chorégraphe et signe une soixantaine de ballets, dont plusieurs font date dans l'histoire de la danse[8]. À côté de nombreuses reprises d'œuvres du répertoire (La Fille mal gardée, La Sylphide, Paquita, Coppélia ou Giselle), il crée des ballets qui vont entrer dans le répertoire classique des grandes institutions : La Belle au bois dormant (1890)[9], Casse-noisette (1892) ou Le Lac des cygnes (1895) avec Tchaïkovski, Le Corsaire (1858) et Faust (1867) avec Cesare Pugni, et surtout Don Quichotte (1869) et La Bayadère (1877) avec Léon Minkus[10].
Développant l'art de l'intrigue romantique, il conçoit des ballets en trois ou quatre actes, qui occupent une soirée entière et ne sont plus seulement des divertissements entre deux pièces de théâtre [11]. Il alterne la pantomime et le grand ballet autour d'une distribution nombreuse, où le corps de ballet et les figurants mettent en valeur des solistes brillants. Il fixe le déroulement des « pas de deux » (adage, variations masculine et féminine, coda) et, s'il porte davantage d'attention à la prima ballerina, il oblige les deux partenaires à un travail conjoint très précis et empreint de virtuosité[9],[6] .
S'inspirant tantôt des anciens ballets d'action, tantôt de scènes à caractère traditionnel (italien, espagnol, polonais, russe, etc.), il aura su donner au ballet romantique toute son ampleur et sa vigueur, à tel point que son œuvre constitue encore aujourd'hui la base du répertoire des grandes compagnies classiques et que de nombreuses variations extraites de ses ballets sont toujours au programme des grands concours de danse[12].
On doit à Rudolf Noureev, après son passage à l'Ouest, en 1961, de faire découvrir au public occidental ces grands ballets jusqu'alors dansés en Russie : La Bayadère, Raymonda, Don Quichotte[13]…
Vie privée
En 1854, il épouse la danseuse Maria Sourovchtchikova (1836-1882) dont il se sépare en 1869 et dont il aura une fille, également danseuse, Marie Petipa (1857-1930).
Remarié en 1882 (après la mort de sa première femme) avec la ballerine Lioubov Leonidovna Savitskaïa, il en aura six enfants : Nadejda, dite Nadia (1874-1945), Evguenia (1877-1892), Viktor (1878-1933), Lioubov (1880-1917), Mari (1884-1922) et Vera (1885-1961). Les quatre filles seront danseuses et les deux fils acteurs.
L'aîné des fils de Marius Petipa (né avant son premier mariage d'une liaison avec la couturière Marie Thérèse Bourdin), Marius Marioussovitch Petipa (1850-1919), fut un célèbre acteur dramatique, et son fils, Nikolaï Radine, a aussi été un acteur célèbre.
Œuvres
Nantes
- : Le Droit du seigneur
- 1838 : La Petite Bohémienne
- 1838 : La Noce à Nantes
Bordeaux
- : La Jolie Bordelaise
- : L'Intrigue amoureuse
- : La Vendange
- : Le Langage des fleurs
Madrid
- : Carmen et son toréro
- 1845 : La Perle de Séville
- 1845 : L'Aventure d'une fille de Madrid
- 1845 : Départ pour la course des taureaux
- : La Fleur de Grenade
- 1846 : Forfasella ó la hija del infierno
- : Alba-Flor la pesarosa
Saint-Pétersbourg
- : Catarina ou la Fille du bandit (d'après Perrot), Théâtre Bolchoï Kamenny
- 1847 : Paquita (d'après Mazilier), Théâtre Bolchoï Kamenny
- : Satanella (d'après Le Diable amoureux de Mazilier), Théâtre Bolchoï Kamenny
- : Lida ou la Laitière suisse, Théâtre Bolchoï Kamenny
- : L'Étoile de Grenade, Théâtre Michel (Saint-Pétersbourg)
- : La Rose, la Violette et le Papillon, théâtre de Tsarskoïe Selo
- : Un mariage sous la Régence, Théâtre Bolchoï Kamenny
- 1858 : Le Corsaire (d'après Mazilier et Perrot)
- : Le Marché de Paris, Théâtre Bolchoï Kamenny
- 1859 : La Somnambule (d'après Aumer)
- 1859 : Le Carnaval de Venise, Théâtre Bolchoï Kamenny
- : Le Dahlia bleu, Théâtre Bolchoï Kamenny
- : Terpsichore
- : La Fille du Pharaon, Théâtre Bolchoï Kamenny
- : La Beauté du Liban, Théâtre Bolchoï Kamenny
- : La Danseuse en voyage, Théâtre Bolchoï Kamenny
- : Titania, Palais Michel
- 1866 : Florida, Théâtre Bolchoï Kamenny
- : Faust, Théâtre Bolchoï Kamenny
- : L'Amour bienfaiteur
- 1868 : L'Esclave, Tsarskoïe Selo
- 1868 : Le Roi Candaule, Théâtre Bolchoï Kamenny
- : Don Quichotte, théâtre Bolchoï de Moscou
- : Trilby, Théâtre Bolchoï de Moscou
- : Les Deux Étoiles, Théâtre Bolchoï Kamenny
- : La Camargo, Théâtre Bolchoï Kamenny
- : Le Papillon, Théâtre Bolchoï Kamenny
- 1874 : La Naïade et le Pêcheur (d'après Perrot), Théâtre Bolchoï Kamenny
- : Les Brigands, Théâtre Bolchoï Kamenny
- : Les Aventures de Pélée, Théâtre Bolchoï Kamenny
- 1876 : Le Songe d'une nuit d'été, Théâtre Bolchoï Kamenny
- : La Bayadère, Théâtre Bolchoï Kamenny
- : Roxana, la beauté du Monténégro, Théâtre Bolchoï Kamenny
- 1878 : Ariane
- : La Fille des neiges, Théâtre Bolchoï Kamenny
- 1879 : Frisac ou la Double Noce, Théâtre Bolchoï Kamenny
- 1879 : Mlada; le Théâtre Bolchoï Kamenny
- : La Fille du Danube, Théâtre Bolchoï Kamenny
- : Paquita (nouvelle version)
- 1881 : Zoraïa ou la Mauresque en Espagne, Théâtre Bolchoï Kamenny
- 1881 : Markitantka (d'après Saint-Léon), Théâtre Mariinsky
- : Pâquerette (d'après Saint-Léon)
- : La Nuit et le Jour, pour le couronnement d'Alexandre III
- 1883 : Pygmalion, ou La Statue de Chypre, Théâtre Bolchoï Kamenny
- : Coppélia (d'après Saint-Léon)
- 1884 : Giselle (d'après Coralli et Perrot)
- : La Femme capricieuse (d'après Le Diable à quatre de Mazilier)
- 1885 : La Précaution inutile (d'après La Fille mal gardée de Dauberval)
- : L'Ordre du roi
- 1886 : L'Offrande à l'amour
- 1886 : Les Pilules magiques, Théâtre Mariinsky
- 1886 : La Esmeralda (d'après Perrot)
- : Fiammetta (d'après Saint-Léon)
- 1887 : La Tulipe de Haarlem, Théâtre Mariinsky
- : La Vestale, Théâtre Mariinsky
- : Le Talisman, Théâtre Mariinsky
- 1889 : Les Caprices du papillon, Théâtre Mariinsky
- : La Belle au bois dormant, Théâtre Mariinsky
- 1890 : Nénuphar
- : Kalkabrino
- 1891 : Un conte de fées
- : La Sylphide (d'après Coralli et Perrot)
- 1892 : Casse-noisette
- : Cendrillon
- : Le Réveil de Flore, théâtre du palais de Peterhof
- : Le Lac des cygnes
- : La Halte de cavalerie
- 1896 : La Perle
- 1896 : Barbe-Bleue
- : Les Noces de Thétis et Pélée (nouvelle version des Aventures de Pélée), île Olga du parc du palais de Peterhof, en l'honneur de la visite de Guillaume II
- : Raymonda
- : Le Corsaire (nouvelle version)
- : Les Saisons
- 1900 : Les Épreuves de Damis ou les Ruses d'amour, Théâtre de l'Ermitage
- 1900 : Les Millions d'Arlequin[14], Théâtre de l'Ermitage
- : Le Cœur de la marquise
- : Le Miroir magique
Dans la fiction
- La Ballerine de Saint-Pétersbourg d'Henri Troyat (2000) conte le destin d'une ballerine russe fictive qui, dès l'âge de neuf ans, est conduite par son père à l'École impériale de danse devant le légendaire Marius Petipa et va s'épanouir sous la férule de ce « magicien ».
- Dans le téléfilm en cinq épisodes d'Emil Loteanu Anna Pavlova sorti en 1983, le personnage de Marius Petipa est incarné par Piotr Goussev.
Galerie
- Marius Petipa dans Jocko ou le Singe du Brésil, Bruxelles, 1827.
- Marius Petipa vers 12-15 ans, v. 1835.
- Marius Petipa au théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg, v. 1860.
- Caricature de Marius Petipa par Nicolas et Serge Legat.
- Carlotta Grisi dans Paquita, 1846.
- Carlotta Grisi, Lucien Petipa, Georges Ellie dans Paquita chorégraphié par M. Petipa, 1846.
- Marius Petipa, 1870-72.
- Varava Nikitina et Enrico Cecchetti dans La Belle au bois dormant, 1890.
- Mathilde Kschessinska et Vera Trefilova dans le ballet Le Réveil de Flore, 1894.
- Barbe-Bleue chorégraphié par Marius Petipa, 1896.
- Serge Legat et Pierina Legnani dans Barbe-Bleue, chorégraphié par Marius Petipa, 1896.
- Mathilde Kschessinska dans La Fille du pharaon, v. 1898-1900.
- Scène au Théâtre Mariinsky de La Bayadère, musique de Minkus, chorégraphie de M. Petipa, 1901.
- Julia Sedova dans La Fille du pharaon chorégraphié par Marius Petipa, 1905.
- Vaslav Nijinsky dans Le Talisman, 1909.
- Les Caprices du papillon par Marius Petipa, Saint-Pétersbourg, 1911.
- Timbres de Russie lors du 175e anniversaire de la naissance de Marius Petipa, 1993.
- Pièce de 2 roubles d'argent de la Banque de Russie pour le 200e anniversaire de sa naissance, 2018.
Hommage
Depuis 2012, un cratère de la planète Mercure est nommé Petipa en son honneur[15].
Notes et références
- ↑ Philippe Noisette, « Мarius Petipa, le franco-russe », sur Les Échos, (consulté le ).
- ↑ « Marius Petipa », sur larousse.fr (consulté le ).
- 1 2 Jean-Philippe Van Aelbrouck, Dictionnaire des danseurs : chorégraphes et maîtres de danse à Bruxelles de 1600 à 1830, Mardaga, coll. « Musique, musicologie », , 285 p. (ISBN 978-2-87009-576-8, lire en ligne), p. 198.
- ↑ Jean-Philippe Van Aelbrouck, « Marius Petipa, une enfance bruxelloise », Slavica Occitania, no 43, , p. 69-81 (ISSN 1245-2491).
- ↑ Pascale Melani (éd.), Mémoires du maître de ballet des Théâtres impériaux Marius Ivanovitch Petipa, Pessac, Maison des sciences de l'homme d'Aquitaine, , 185 p. (ISBN 978-2-85892-478-3), p. 171-176.
- 1 2 (en) Nadine Meisner, Marius Petipa : The Emperor's Ballet Master, New York, Oxford University Press, , 512 p. (ISBN 978-0-19-065929-5 et 0-19-065929-7, lire en ligne), p. 48.
- ↑ (en) Marion Kant, The Cambridge Companion to Ballet, Cambridge University Press, coll. « Cambridge Companions to Music », , 353 p. (ISBN 978-0-521-53986-9, lire en ligne), xxxii.
- ↑ Ghislaine Milliet, « 2018, année du bicentenaire du chorégraphe marseillais Marius Petipa », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
- 1 2 Encyclopaedia Universalis, La Belle au bois dormant (chorégraphie Marius Petipa - 1890), coll. « Les Fiches Spectacle d'Universalis », , 25 p. (ISBN 978-2-341-00508-1, lire en ligne), p. 4.
- ↑ Jean-Philippe Van Aelbrouck, « Marius Petipa », sur francearchives.fr (consulté le ).
- ↑ Henry Prunières, La Revue musicale, Éditions Richard-Masse, (lire en ligne), chap. 219-21, p. 124.
- ↑ Gérard Pernon, Dictionnaire de la musique, Paris, Jean-Paul Gisserot, , 320 p. (ISBN 978-2-87747-918-9, lire en ligne), p. 18.
- ↑ Hélène Ciolkovitch, Don Quichotte au XXe siècle : réceptions d'une figure mythique dans la littérature et les arts, Clermont-Ferrand, Presses Universitaires Blaise Pascal, , 598 p. (ISBN 978-2-84516-206-8, ISSN 1242-7888, lire en ligne), p. 98.
- ↑ (en) Matthew Naughtin, Ballet Music : A Handbook, Rowman & Littlefield, coll. « Music Finders », , 470 p. (ISBN 978-0-8108-8660-5, lire en ligne), p. 247.
- ↑ « Planetary Names: Crater, craters: Petipa on Mercury », sur planetarynames.wr.usgs.gov (consulté le )
Bibliographie
- Jean-Philippe Van Aelbrouck, Dictionnaire des danseurs à Bruxelles de 1600 à 1830, Liège, Mardaga, , 285 p. (ISBN 978-2-87009-576-8, OCLC 924580067, lire en ligne), p. 196-8.
- Pascale Melani (éd.), Journal du maître de ballet des Théâtres Impériaux Marius Ivanovitch Petipa, Pessac, Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine, 2018 (ISBN 9782858924707).
- Pascale Melani (éd.), Mémoires du maître de ballet des Théâtres Impériaux Marius Ivanovitch Petipa, Pessac, Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine, 2019 (ISBN 978-2-85892-478-3).
- Pascale Melani (éd.), À la recherche de Marius Petipa. Un itinéraire franco-russe. Gros plan sur "La Bayadère", Pessac, Maison des Sciences de l'Homme d'Aquitaine, 2019 (ISBN 9782858925964).
- Marius Petipa, Traduits du russe et complétés par Galia Ackerman et Pierre Lorrain, Arles, Actes Sud, , 185 p., 22 cm (ISBN 978-2-86869-582-6, OCLC 718571623, lire en ligne).
- Pascale Melani (éd.), De la France à la Russie, Marius Petipa : contexte, trajectoire, héritage, Toulouse, Slavica Occitania, n° 43, 2016 (ISBN 9791093090023).
- (en) Lilian Moore (éd.), Russian Ballet Master : The Memoirs of Marius Petipa, traduction du russe par Helen Whittaker, Londres, A. & C. Black, 1958.
- (de) Eberhard Rebling (éd.), Marius Petipa. Meister des klassischen Balletts. Selbstzeugnisse, Dokumente, Erinnerungen, traductions du russe et du français d’Urte Härtwig et Brigitte Kupsch, traductions de l’anglais de Peter Zacher, Berlin, Henschelverlag, 1975 (ISBN 978-3-79590-229-2), (OCLC 16702914), 430 p., 25 cm.
- (en) Lynn Garafola (éd.), « The Diaries of Marius Petipa », Studies in Dance History, vol. III, n° 1, 1992, (ISSN 1043-7592).
- (ru) Anna Nehendzi (dir.), « Marius Petipa. Materialy. Vospominanija. Stat’i », Marius Petipa. Documents. Souvenirs. Articles, Leningrad, Iskusstvo, (lire en ligne, consulté le ) .
- (ru) Ol’ga Fedorčenko, Ju. A. Smirnov, A. V. Fomkin (éd.), Baletmejster Marius Petipa. Stat’ji, issledovanija, razmyšlenija [Le maître de ballet Marius Petipa. Articles, études, réflexions], Vladimir, « Foliant », 2006 (ISBN 978-5-88990-057-3), (OCLC 1032657205), 268 p., 25 cm.
- (ru) Sergej Konaev (éd.), Marius Petipa. « Memuary » i dokumenty [Marius Petipa. « Mémoires » et documents], Moscou, gctm im. Baxrušina, izd. Navona, 2018 (ISBN 978-5-6040478-3-5).
- (es) Laura Hormigón (éd.), Marius Petipa, Memorias, traduction du russe de Bibicharifa Khakimzianova y Jorge Saura, révisée par Montserrat Alfaro et Cristóbal Lopez, Marius Petipa en España 1844-1847. Memorias y otros materiales, Madrid, Danzarte, 2010 (ISBN 978-84-935950-0-5).
- (it) Valentina Bonelli (éd.), Marius Petipa, Memorie, Rome, Gremese, 2010 (ISBN 978-88-8440-522-7).
- (en) Nadine Meisner, Marius Petipa, the Emperor's Ballet Master, Oxford University Press, 2019 (ISBN 978-0-19-065929-5).
Article connexe
- Ballet impérial
Liens externes
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