Surnom |
Nanard |
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Naissance | Saint-Julien-de-Civry |
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1 championnat Champion de France sur route 1973 2 grands tours Tour de France 1975 et 1977 10 étapes de grands tours Tour de France (9 étapes) Tour d'Espagne (1 étape) 4 courses par étapes Tour de Romandie 1972 Tour de Catalogne 1974 Critérium du Dauphiné libéré 1975 et 1976 |
Bernard Thévenet (surnommé « Nanard »), né le à Saint-Julien-de-Civry (au lieu-dit Le Guidon) en Saône-et-Loire, est un coureur cycliste français des années 1970. Il a notamment remporté le Tour de France à deux reprises : en 1975 devant Eddy Merckx et en 1977 devant Hennie Kuiper.
Il fut amateur à l'AC Boulogne-Billancourt. Professionnel de 1970 à 1981, il a fait toute sa carrière au sein de l'équipe professionnelle Peugeot, sauf ses deux dernières saisons (en 1980 dans l'équipe espagnole Teka et en 1981 dans l'équipe Puch-Wolber). Il devient ensuite directeur sportif, sélectionneur de l'équipe de France de cyclisme sur route, puis consultant pour le groupe France Télévisions, enfin organisateur de courses cyclistes dans l'Isère.
Excellent grimpeur, il reste dans l'histoire du cyclisme comme le « tombeur » d'Eddy Merckx lors de la 15e étape du Tour de France 1975[1] arrivée à Pra-Loup qui vit pour la première fois fléchir le « Cannibale » après l'agression (un coup de poing dans le foie) que reçut ce dernier d'un spectateur lors de l'étape menant au Puy de Dôme. Il remporte une seconde fois le Tour de France en 1977 pour 48 secondes seulement devant Hennie Kuiper. Parmi ses plus grands succès, on peut citer le Critérium du Dauphiné libéré en 1975 et 1976, le titre national en 1973 après une longue échappée en solitaire ou le Tour de Romandie en 1972.
Biographie
Origines
Bernard Thévenet est né dans une famille d'agriculteurs en Saône-et-Loire dans la région Bourgogne[2]. Il grandit à Saint-Julien-de-Civry, au lieu-dit le Guidon[3]. C'est là qu'en 1961 il voit passer pour la première fois le Tour de France, lors de l'étape Nevers-Lyon. Thévenet est alors un enfant de chœur de l'église. Il raconte que « Le prêtre avait avancé l'heure de la messe pour que nous puissions regarder les coureurs passer ».
Dès l'âge de six ans, il se rend à l'école avec le vélo de sa sœur. Il obtient son propre vélo un an plus tard et roule environ dix kilomètres par jour autour de son village. Son premier vélo d'adulte, qui n'est pas encore un vélo de compétition, il l'obtient à 14 ans pour avoir réussi ses examens scolaires. Ses parents ayant besoin de lui à la ferme, il ne pouvait vivre pleinement sa passion pour le cyclisme, ce qui n'empêchait pas ses parents de connaître les ambitions de leur fils. Thévenet participe à sa première course et ses parents ne l'apprennent que grâce au journal local. Une dispute oblige le président du club à intervenir. Il propose aux parents de venir voir leur fils lors d'une course. Ils acceptent et Bernard remporte l'épreuve.
Il devient par la suite Champion de Bourgogne en 1965 et 1966. En 1967, Mickey Weigant, le manager du club de l'ACBB de Boulogne-Billancourt, se rend à sa maison pour l'enrôler. En 1968, il court pour l'équipe amateur de Jean de Gribaldy, Cafés Ravis-Wolhauser-de Gribaldy. Il remporte le championnat de France juniors en 1968, quatre ans avant Bernard Hinault. L'année suivante, il part faire son service militaire, ayant servi au 19e RG, à Besançon.
Carrière sportive
Les débuts
Il devient professionnel avec l'équipe Peugeot-BP-Michelin en 1970, à 22 ans. Il dispute son premier Tour de France dès sa première année, en étant prévenu à la dernière minute. « Je n'étais même pas en réserve en 1970, mais, parce que deux coureurs[4] dans l'équipe étaient tombés malades chez Peugeot, le directeur sportif m'a choisi, deux jours avant le départ. » Gaston Plaud, le directeur sportif, fait appel à un voisin dans le village parce que ni Thévenet, ni beaucoup d'autres familles ne possèdent le téléphone à cette époque. Thévenet qui était parti s'entraîner avec son ami Michel Rameau, reçoit la nouvelle par sa mère, dans la maison de Rameau. Il demande l'avis de Victor Ferrari, un ami qui a participé au Tour de France 1929. Thévenet raconte : « Il m'a alors dit c'est une chance unique, vas-y, même si peut-être, il pensait que j'allais tenir une semaine, et j'y suis allé[5]. »
Thévenet se souvient : « Je me souviens parfaitement de mon arrivée à Limoges (lieu de départ de la première étape). J'étais inquiet et effrayé en même temps, mais plein de fierté. On m'a donné une valise neuve, sept maillots, six paires de shorts, des pulls, des chemises... Tout le monde avait un vélo flambant neuf, mais pas moi, parce que je n'étais pas sur la liste des partants de l'équipe ». Il joue un rôle d'équipier pour Roger Pingeon, mais celui-ci abandonne après une semaine. Il joue alors sa carte personnelle et remporte l'étape du 14 juillet qui se termine à la station de ski de La Mongie. Cette victoire lui donne la confiance nécessaire pour faire carrière dans le cyclisme[5]. L'année suivante, plus régulier, il réédite sa performance en remportant la dixième étape, mais en prenant cette fois la quatrième place du classement général.
Il arrive lors du Tour 1972 avec l'expérience d'une première grande victoire sur une course à étapes : le Tour de Romandie. Durant ce Tour, il chute dans la descente du col d'Aubisque et souffre temporairement d'amnésie. Alors qu'il est étendu sur la route en se demandant ce qu'il fait sur son vélo, il recommence petit à petit à retrouver la mémoire. En reconnaissant la voiture de son équipe, il s'écria : « Je suis sur le Tour de France ! »[6]. Il refuse d'abandonner la course, termine l'étape, passe la nuit en observation et le lendemain reprend le départ[5]. Quatre jours plus tard, il remporte l'étape sur le Mont Ventoux : « On a attaqué les deux premiers kilomètres à 50 à l'heure, car Ocaña et Merckx faisaient la course mais on était à bloc derrière, grand plateau. Tous ceux qui rétrogradaient explosaient automatiquement. Ensuite, j'ai laissé partir et puis ça s'est calmé un peu devant. Quand j'ai vu que je remontais les voitures, j'ai un peu temporisé pour porter mon attaque décisive à 1 500 mètres, personne n'a pu s'accrocher, il y avait Poulidor, Martinez, Ocana, Merckx. Dans le dernier kilomètre, j'étais vraiment heureux[5]. »
En 1973, il prend part au Tour d'Espagne. Merckx s'impose et Thévenet, vainqueur d'une étape et troisième du général, termine pour la première fois sur le podium d'un grand tour. Il remporte en juin, une étape du Critérium du Dauphiné libéré qu'il termine à la seconde place et le championnat de France au terme d'une longue échappée en solitaire. Son objectif principal reste le Tour de France. Il espère profiter de l'absence de Merckx, quadruple tenant du titre, qui s'est concentré cette année-là sur le doublé Tour d'Espagne-Tour d'Italie. Malgré ses deux victoires d'étapes, c'est l'Espagnol Luis Ocaña qui s'impose avec plus de 15 minutes d'avance sur le Français, finalement deuxième de l'épreuve. En 1974, malade, il abandonne la Grande Boucle lors de la 11e étape, mais remporte quelques victoires de prestige durant la saison : le Tour de Catalogne et le Critérium international notamment.
1975-1977 : l'apogée
En 1975, il est battu par Eddy Merckx sur Liège-Bastogne-Liège qu'il termine deuxième. Les deux rivaux se retrouvent sur le Critérium du Dauphiné libéré que Thévenet remporte. Cette victoire le libère quelque peu : « J'avais gagné le Dauphiné que Merckx avait couru mais il avait été malade auparavant. Je l'avais relégué assez loin, et à partir de ce moment, j'avais gommé cette peur de lui. Je me sentais plus libre de l'attaquer, j'avais gommé cette espèce de respect de la hiérarchie »[5]. Puis arrive le Tour de France 1975.
Merckx, quintuple vainqueur du Tour, prend le maillot jaune lors de la sixième étape. Il remporte en prime deux étapes et semble en position de gagner un sixième Tour de France. Alors vint la 14e étape avec une arrivée au sommet du Puy de Dôme. Comme de coutume, c'est De Schoemacker, l'équipier montagnard de Merckx qui fait le tempo, mais pas assez rapidement pour empêcher le démarrage de Thévenet, rejoint par le Belge Lucien Van Impe. Au milieu d'une foule hostile, Merckx, grimaçant, s'accroche vaillamment et limite les dégâts. Dans sa roue, près du point de rupture, vient le Néerlandais Joop Zoetemelk. Van Impe s'envole vers la victoire, Thévenet se rapproche un peu plus au général. Merckx est accueilli par des sifflets. Dans la dernière ligne droite, il est même frappé d'un coup de poing au foie donné par un spectateur qui sera identifié, poursuivi et condamné[7]. Après un jour de repos, on attaque les Alpes. Cette 15e étape longue de 217,5 kilomètres est disputée le 14 juillet entre Nice et Pra Loup. Merckx, se sentant fort, attaque Thévenet sur son terrain, parvient à le distancer, mais est victime d'une terrible défaillance dans la montée sur Pra-Loup[8], défaillance qu'il attribuera plus tard à des cachets de Glifanan administrés par le médecin pour diminuer la douleur consécutive au coup de poing reçu au Puy de Dôme[9]. Quoi qu'il en soit, Bernard Thévenet remporte l'étape et s'empare de la toison d'or. Le lendemain, survolté, il attaque au pied de l'Izoard, passe seul au sommet et triomphe à Serre Chevalier devant Merckx.
Thévenet remporte finalement ce Tour qui, pour la première fois, se termine sur les Champs-Élysées et récompense le vainqueur de la Coupe omnisports (toujours remise depuis)[10], avec 2 min 45 s d'avance face au Belge. Grâce à cette victoire, il reste dans l'histoire du cyclisme comme le « tombeur » d'Eddy Merckx.
L'année suivante, il connaît le fond du gouffre, souffrant d'un mal d'origine virale. Il remporte tout de même le Critérium du Dauphiné libéré pour la deuxième année consécutive et termine deuxième du Tour de Lombardie derrière Roger De Vlaeminck. On évoque son déclin, mais il ressuscite en 1977[11].
Thévenet doit attendre la 15e étape pour déposséder le maillot jaune de l'Allemand Dietrich Thurau, leader depuis le prologue. Le Français s'installe au commandement à l'issue du contre-la-montre d'Avoriaz. Il remporte définitivement son deuxième Tour lors du contre-la-montre de Dijon de la 20e étape. Merckx, malade, termine son dernier Tour de France sixième. Hennie Kuiper termine deuxième à 48 secondes.
La fin de carrière
Lors de l'hiver 1977, il est hospitalisé pour une maladie du foie qu'il attribue à une utilisation à long terme de stéroïdes. Plusieurs mois plus tard, il participe au Tour 1978, où il assiste de loin à la victoire d'un jeune homme de 23 ans : Bernard Hinault. En effet, il abandonne lors de la deuxième étape de montagne, lors de la montée du Tourmalet. Il quitte l'équipe cycliste Peugeot en 1979 et signe pour l'équipe espagnole Teka, avec qui, il gagne la Polynormande et les Six jours de Grenoble (avec l'Australien Danny Clark).
Il revient dans une équipe française lors de sa dernière année professionnelle (en 1981) et il remporte ses dernières victoires. Il dispute son dernier Tour et prend une honorable 37e place.
Dopage
En 1978, Bernard Thévenet a admis dans France Vélo s'être dopé à la cortisone pendant trois ans durant lesquels il remporte le tour de France 1975 et 1977[12],[13]. Il est d'ailleurs testé positif à ce corticostéroïde au Paris-Nice 1977 et doit être hospitalisé pour des problèmes au foie et aux glandes surrénales que cette molécule a ravagés[14]. Il révèle à la même occasion que la pratique du dopage est commune parmi les leaders du peloton, ce qui lui vaut d'être sévèrement critiqué par la presse, d'être ostracisé par ses pairs, et lâché par son sponsor Peugeot[15].
La cortisone ne figurait pas, à l'époque, dans la liste des produits interdits, l'Union cycliste internationale ne l'ajoutant à sa liste des produits prohibés qu'en 1978, la méthode de détection de cette molécule n'étant homologuée qu'en 1999[16].
Directeur sportif et reconversion professionnelle
Thévenet devient directeur sportif de l'équipe La Redoute, emmenée par Stephen Roche en 1984, puis de celle de RMO en 1986 et 1987.
De 1993 à 1996, il est sélectionneur de l'équipe de France de cyclisme sur route. À ce titre, il n'est pas étranger au succès de Luc Leblanc lors des championnats du monde 1994, qui ont lieu en Sicile (Italie).
Consultant régulier sur France Télévisions entre 1993 et 2007, il est commentateur du Tour de France de 1994 à 2004.
Chef de piste des Six Jours de Grenoble, il prend en charge en 2010, pour le compte d'ASO, l'organisation du Critérium du Dauphiné[17].
Il a ouvert une société de vêtements de cyclisme qui porte son nom.
À titre personnel, il est membre du comité d'honneur de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité[18] et cosigne en 2009 un texte réclamant la dépénalisation de l'euthanasie[19].
Palmarès sur route
Palmarès amateur
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Palmarès professionnel
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Résultats dans les grands tours
Tour de France
11 participations
- 1970 : 35e, vainqueur de la 18e étape
- 1971 : 4e, vainqueur de la 10e étape
- 1972 : 9e, vainqueur des 11e et 17e étapes
- 1973 : 2e, vainqueur des 7e et 20e étapes
- 1974 : abandon (11e étape)
- 1975 : Vainqueur du classement général, vainqueur des 15e et 16e étapes, maillot jaune pendant 8 jours
- 1976 : abandon (19e étape)
- 1977 : Vainqueur du classement général, vainqueur de la 20e étape, maillot jaune pendant 8 jours
- 1978 : abandon (11e étape)
- 1980 : 17e
- 1981 : 37e
Tour d'Italie
1 participation
- 1979 : 31e
Tour d'Espagne
4 participations
- 1971 : 44e
- 1973 : 3e, vainqueur de la 11e étape
- 1974 : abandon (14e étape), maillot jaune pendant deux jours
- 1980 : 14e
Palmarès sur piste
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Distinctions
- Chevalier de la Légion d'honneur (décret du )[20]
- Il est sacré Champion des champions français par le quotidien sportif L'Équipe en 1975.
- Il remporte également le Prestige Pernod (en 1973, 1975) et la Promotion Pernod (moins de 25 ans) en 1971.
- Il remporte le 7 d'or du meilleur programme sportif avec Patrick Chêne en 1998 pour les directs du Tour de France.
- Bernard Thévenet devient citoyen d'honneur de la ville de Soultzmatt le 22 août 2010 à l'occasion du Regio Tour qu'il parraine.
- La commune de Saint Julien de Civry a donné le nom Bernard Thévenet à la place du village.
- Gloire du sport promotion 2009.
- Bernard Thévenet a reçu la médaille de la ville de Saint-Ismier en Isère où il réside depuis de nombreuses années. Il a été conseiller municipal de cette ville.
Notes et références
Notes
- ↑ Avec Daniel Proust, Gérard Briend et Robert Bouloux
Références
- ↑ La Grande Boucle
- ↑ L'Équipe du 12 juillet 2003
- ↑ Jean Cormier, « Le Guidon et son accueil en or », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- ↑ Ferdinand Bracke et Gerben Karstens.
- 1 2 3 4 5 Les "Hommes du Tour de France" : Bernard Thévenet.
- ↑ Vélo, France, non-daté.
- ↑ Site eurosport.fr, article "Tour de France 1975 : 40 anas avant Froome, la France contre Merckx.
- ↑ Tour 1975 sur le site officiel.
- ↑ Miroir du Cyclisme no 206
- ↑ https://www.ouest-france.fr/tour-de-france/tour-de-france-mais-c-est-quoi-ce-drole-de-trophee-5151577
- ↑ « Bernard Thévenet - La Véridique Histoire » : de Jean-Paul Ollivier.
- ↑ Jean-Pierre de Mondenard, Dictionnaire du dopage, Issy-les-Moulineaux, Masson, , 1237 p. (ISBN 2-294-00714-X)
- ↑ Ceux qui ont osé parler, Libération
- ↑ Jean-François Mignot, Histoire du Tour de France, La Découverte, , p. 92
- ↑ (en) Bill McGann, Carol McGann, The Story of the Tour de France, Dog Ear Publishing, , p. 110
- ↑ Daniel Friebe, Eddy Merckx, une vie, Lannoo Meulenhoff, , p. 122
- ↑
- ↑ Liste des membres du Comité de parrainage Site de l'ADMD
- ↑ Un médecin plaide pour la liberté de choisir sa mort dans un livre Le Nouvel Observateur, 18 février 2009
- ↑ Décret du 13 juillet 2001 portant promotion et nomination
Bibliographie
- Roger Bastide, 4 du Tour : Guimard, Thévenet, Danguillaume, Hézard, Solar, , 286 p.
- François Terbeen, Thévenet, Calmann Lévy, , 126 p. (ISBN 978-2-7021-0084-4)
- François Terbeen et Bernard Thévenet, Mon escalade, Calmann Lévy, , 198 p. (ISBN 978-2-7021-0064-6)
- Jean-Paul Ollivier, Bernard Thévenet : La Véridique Histoire, Grenoble, Glénat, , 165 p. (ISBN 2-7234-2363-8)
- Noël Truyers (trad. Étienne Terroir), Bernard Thévenet, De Eecloonaar, , 48 p. (ISBN 90-74128-49-1)
- Jean-Paul Brouchon et Bernard Thévenet, Thévenet par Bernard Thévenet, , 178 p.
- Bernard Thévenet et Pascal Sergent, Carnets de route, Mareuil éditions, 2017, 270 p. (ISBN 978-2-37254-061-2)
- Bernard Thévenet, Thévenet - Le mythe illustré, Mareuil éditions, , 141 p. (ISBN 978-2372542449)
Filmographie
- « Bernard Thévenet, le tombeur du cannibale », sur France 3 (consulté le ), documentaire réalisé par Laurent Cadoux.
Voir aussi
Lien interne
- Liste des commentateurs du Tour de France cycliste en France
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives au sport :
- Mémoire du cyclisme
- (en) CycleBase
- (mul) First cycling
- (de) Munzinger
- (en + nl) ProCyclingStats
- (en) Site du Cyclisme
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- (en) MusicBrainz
- Ressource relative à l'audiovisuel :
- (en) IMDb
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Bernard Thévenet raconte ses débuts auprès de Jean de Gribaldy