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Boos
Boos (Seine-Maritime)
Le manoir de l'abbaye de Saint-Amand.
Blason de Boos
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Bruno Grisel
2020-2026
Code postal 76520
Code commune 76116
Démographie
Gentilé Boésien
Population
municipale
3 990 hab. (2020 en augmentation de 16,73 % par rapport à 2014)
Densité 284 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 19″ nord, 1° 12′ 14″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 161 m
Superficie 14,03 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Mesnil-Esnard
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Boos
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Boos
Liens
Site web mairie-boos.com

    Boos [bos] est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

    L'aéroport Rouen Vallée de Seine est situé à la limite du territoire de la commune.

    Géographie

    Boos est une ville péri-urbaine. Elle se trouve au nord-ouest de la France.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Communes limitrophes

    Rose des vents Franqueville-Saint-Pierre Franqueville-Saint-Pierre Montmain, Fresne-le-Plan Rose des vents
    Saint-Aubin-Celloville N La Neuville-Chant-d'Oisel
    O Boos E
    S
    Ymare Quévreville-la-Poterie La Neuville-Chant-d'Oisel

    Voies de communication et transports

    Boos se trouve le long de la route départementale 6014.

    La commune est desservie par la ligne de bus 13 qui permet de rejoindre le centre-ville de Rouen en une demi-heure.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 818 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1968 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après. La température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[8] à 10,5 °C pour 1981-2010[9], puis à 11 °C pour 1991-2020[10].

    Statistiques 1981-2010 et records ROUEN-BOOS (76) - alt : 151 m 49° 22′ 54″ N, 1° 10′ 54″ E
    Records établis sur la période du 01-03-1968 au 04-01-2022
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,1 1,1 3,2 4,7 8,1 10,7 12,8 12,8 10,4 7,8 4,1 1,7 6,6
    Température moyenne (°C) 3,7 4,2 7 9,2 12,7 15,5 17,8 17,8 14,9 11,4 7 4,2 10,5
    Température maximale moyenne (°C) 6,4 7,3 10,8 13,7 17,3 20,3 22,8 22,8 19,5 15 9,9 6,6 14,4
    Record de froid (°C)
    date du record
    −17,1
    17.01.1985
    −13,4
    07.02.1991
    −10,4
    07.03.1971
    −4,8
    10.04.1977
    −2,2
    03.05.1981
    1,1
    01.06.1975
    5,9
    11.07.1990
    5
    28.08.1974
    2,1
    23.09.1979
    −3,2
    30.10.1997
    −8,3
    24.11.1998
    −11,3
    29.12.1996
    −17,1
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    14,7
    01.01.22
    19,7
    27.02.19
    24,4
    31.03.21
    27,4
    20.04.18
    30
    13.05.1998
    42,1
    18.06.22
    41,3
    25.07.19
    38,4
    09.08.20
    33
    13.09.16
    28
    01.10.11
    20,3
    07.11.15
    15,6
    07.12.00
    42,1
    2022
    Ensoleillement (h) 58,6 74,5 117,4 158 182,8 202,2 199,2 191,8 156,1 107,8 60 49,2 1 557,5
    Précipitations (mm) 76,3 60,4 67,1 59,2 74,3 63,7 68,9 65,1 65,5 83,5 76,8 90,9 851,7
    Source : « Fiche 76116001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Boos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[14] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,5 %), forêts (20,1 %), zones urbanisées (14,4 %), prairies (8,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,4 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Bodes en 1030 - 1040, puis Bothas vers 1049[20].

    Il s'agit d'un appellatif toponymique issu du norrois both « baraque, maison, village »[20] (comprendre bóð, variante du vieux norrois búð cf. anglais booth). Le -s final est la marque du nominatif pluriel en vieil anglais, d'où l'homonymie avec Booth (en) (Grande-Bretagne, Yorkshire). Il est confondu avec l'accusatif pluriel du latin dans les textes. Au singulier, both a donné -beuf (cf. Belbeuf, Elbeuf, etc.)[20].

    Homonymie avec Boos, hameau à Bonnetot (Boes fin XIIe siècle). Homographie avec Boos (Landes, Bost XIe – XIIe siècle, cartulaire de Dax).

    Histoire

    L'origine de Boos remonte à l'époque de Rollon. Jusqu'à la Révolution française, c'est une paroisse de l'abbaye Saint-Amand de Rouen, simple village avec plein fief de haubert et cure appartenant. La présence d'un château fort est attestée dans la forêt de Boos.
    Le colombier est érigé vers 1520. L'abbesse Guillemette d'Assy commande la décoration de ce colombier à Masseot Abaquesne.
    En 1592, Henri IV, levant le siège de Rouen, recula jusqu'à Boos et y tint ses troupes rangées pendant trente heures dans la crainte d'une attaque de la Ligue.
    Elle devient à la Révolution chef-lieu de canton, au détriment de Mesnil-Esnard, Bonsecours et Amfreville-la-Mi-Voie, bien plus peuplées à l'époque.
    Elle fusionna en 1824 avec l'ancienne paroisse de Franquevillette (Franchevilletta vers 1034).
    En septembre 1914, un commando allemand chargé de faire sauter le pont d'Oissel, traversa le village, à bord de véhicules à moteur.
    Depuis 1937, un terrain d'aviation existe sur la commune, il est utilisé par les militaires pendant la Seconde Guerre mondiale.
    En 1968, l'aéroport est ouvert à la circulation aérienne publique.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1868 1872 André Voinchet Avoué
    1895 1901 Jules Chemin Éleveur
    1907 1942 Émile Foliot SE Notaire
    1942 1955 Georges Dumort SE Retraité
    1955 1968 Alfred Hellot SE Menuisier
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995 mars 2008 Yves Grisel DVD[21] Agriculteur
    mars 2008 avril 2014 Michel Bovin SE Retraité
    avril 2014 mai 2020[22] Françoise Tiercelin SE Retraitée
    mai 2020[23] En cours
    (au 19 janvier 2021)
    Bruno Grisel DVD[24] Technico-commercial, ancien adjoint

    Démographie

    Boos comprend au XIIIe siècle 100 ménages (environ 500 habitants), pour tomber à 70 ménages en 1707[25].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

    En 2020, la commune comptait 3 990 habitants[Note 6], en augmentation de 16,73 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1861 1876 1881 1886
    626662672625927795730687674
    1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936
    608655610559546537534507515
    1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004
    6246336747671 0121 2362 4872 8702 998
    2006 2009 2014 2019 2020 - - - -
    3 0653 1683 4183 9233 990----
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Aéroport Rouen Vallée de Seine.
    • Manoir de l'abbaye Saint-Amand[30] avec colombier XVIe siècle [31] à décor de faïence polychrome dû à Masseot Abaquesne. La propriété a appartenu à Lefort, président de la Société libre d'émulation de la Seine-Maritime[32].
    • Église Saint-Sauveur, des XIIIe siècle, XVIe siècle et XVIIe siècle. Elle abrite les stalles de la Renaissance, provenant de l'église Notre-Dame de Franquevillette, détruite en 1825[33].
    • La mairie.
      La mairie.
    • L'église Saint-Sauveur.
      L'église Saint-Sauveur.
    • Le colombier.
      Le colombier.
    • Détail sur les faïences polychromes.
      Détail sur les faïences polychromes.
    • Le manoir des abbesses de Saint-Amand, façade est, montrant la partie médiévale au nord et la partie XVIIIe siècle au sud.
      Le manoir des abbesses de Saint-Amand, façade est, montrant la partie médiévale au nord et la partie XVIIIe siècle au sud.
    • Le colombier dans le paysage, vue vers l'est
      Le colombier dans le paysage, vue vers l'est

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre Dardel (1885-1969), notaire.
    • Étienne Achavanne (1892-1940), résistant.

    Héraldique

    Armes de Boos

    Les armes de Boos se blasonnent ainsi :

    De gueules à une tête de crosse d'argent, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. 1 2 Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    7. « Fiche du Poste 76116001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    8. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    20. 1 2 3 François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et des anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 48
      Ouvrage publié avec le soutien du CNRS
      .
    21. Isabelle Villy, « L’engagement de 37 ans de Françoise Tiercelin, maire de Boos, près de Rouen, salué par ses pairs : Françoise Tiercelin, maire de Boos (Seine-Maritime) et élue depuis 37 ans a reçu la médaille d'honneur régionale, départementale et communale, échelon or, par Pascal Martin », 76 actu, (lire en ligne, consulté le ) « C’était des années enrichissantes… Je pars, mais je ne vous dis pas adieu, seulement au revoir », a confié Françoise Tiercelin, élue depuis 1983 et maire depuis 2014 ».
    22. « Municipales 2020. Bruno Grisel, nouveau maire de Boos, officiellement installé avec ses adjoints : Bruno Grisel a été élu maire de Boos. Il était soutenu par la maire sortante Françoise Tiercelin qui ne se représentait pas. Ses adjoints ont également été désignés. », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Au soir du 15 mars 2020, c’est la liste « Avec nous Boos une ville toujours dynamique », conduite par Bruno Grisel et soutenue par Françoise Tiercelin, maire sortante qui ne se représentait pas, qui a emporté l’élection municipale. Avec 56,26 % des suffrages (808 voix), la liste emporte 21 sièges contre six pour la liste « Dessinons ensemble l’avenir de Boos 2020 » (628 voix), menée par François Caillaud ».
    23. Extrait de la fiche de M. Bruno GRISEL, sur lesbiographies.com
    24. Joseph Prudent Bunel et Albert Tougard, Géographie du département de la Seine-Inférieure, Arrondissement de Rouen, Éditions Bertout, Luneray, 1994, réimpression de l'édition de 1879. 493 pages.
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. Frédéric Épaud, De la charpente romane à la charpente gothique en Normandie, CRAHM, 2007 (ISBN 978-2-902685-39-4) p. 547-552
    30. Léon de Vesly, La Normandie Monumentale et Pittoresque, Seine-inférieure, Le Havre, Lemale et Cie, imprimeurs, éditeurs, (lire en ligne), p. 173-175.
    31. « Société française d'archéologie », Journal de Rouen, .
    32. Elle a servi de grange avant sa démolition.