Brumath | |
Hôtel de ville de Brumath. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Bas-Rhin |
Arrondissement | Haguenau-Wissembourg |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Haguenau |
Maire Mandat |
Étienne Wolf 2020-2026 |
Code postal | 67170 |
Code commune | 67067 |
Démographie | |
Gentilé | Brumathois [1] |
Population municipale |
10 061 hab. (2020 ) |
Densité | 341 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 43′ 58″ nord, 7° 42′ 33″ est |
Altitude | Min. 136 m Max. 189 m |
Superficie | 29,54 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Brumath (ville-centre) |
Aire d'attraction | Strasbourg (partie française) (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Brumath (bureau centralisateur) |
Législatives | Neuvième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.brumath.fr |
Brumath (qui se prononce [bʁymat] ) est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
La ville de Brumath est située au nord de l’Alsace dans le département du Bas-Rhin, à 17 km au nord de Strasbourg et à 13 km au sud-ouest de Haguenau. Cette commune compte selon l’INSEE, plus de 10 000 habitants.
Depuis 1970, elle est jumelée avec la ville de Dingolfing en Allemagne. Brumath fait partie de la communauté d'agglomération de Haguenau.
Géographie
Brumath se trouve sur la route nationale 63 à 17 km au nord de Strasbourg et à 13 km au sud-ouest de Haguenau. Elle est également desservie par l'autoroute A4 qui la contourne par l'ouest.
La Zorn traverse la ville et le canal de la Marne au Rhin la longe par le sud-ouest.
Elle est le chef-lieu du canton de Brumath dans l'arrondissement de Haguenau-Wissembourg.
Son territoire est également traversé par sept ruisseaux, tel que le Schlohengraben, traversant le sud de la ville vers l'est ou encore le Rottgraben situé au sud du précédent et s'écoulant dans la même direction. Il y a aussi le Seltenbach qui contourne la ville au nord-ouest. D'autres ruisseaux se trouvent également à proximité tel que l'Hellergraben, le Muhlbach, le Schlossgraben ou encore le Rissbach. La plupart de ces ruisseaux sont des affluents de la Zorn.
Urbanisme
Typologie
Brumath est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Brumath, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[5] et 11 321 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[6],[7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8],[9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (53,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (31,8 %), forêts (31,6 %), prairies (12,6 %), zones urbanisées (10,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,2 %), cultures permanentes (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (3 %), eaux continentales[Note 3] (0,9 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Brumath est traversée par la ligne Paris - Strasbourg. Sur son ban communal, elle dispose de deux gares : la gare de Brumath et la gare de Stephansfeld toutes deux desservies par les trains TER Grand Est la reliant à Strasbourg en moins de 15 minutes[11].
La ville est également desservie par les bus Ritmo de la ville de Haguenau. Trois lignes ont pour point de départ la gare de Brumath et la relient à Haguenau ainsi que Mommenheim[12]. La commune est traversée à l'ouest par l'autouroute A4 la reliant à Paris et Strasbourg. La voie rapide A340/D1340 débute à Brumath et la relie à Haguenau. Parmi les routes départementales, on peut noter la D263G traversant la commune et qui permet de rejoindre Vendenheim et Kriegsheim, deux communes voisines. Le réseau cyclable comprend environ 15 km de piste aménagée pour des liaisons à l’intérieur et à l’extérieur de la ville. Elle est notamment traversée au sud par la véloroute du canal de la Marne au Rhin partant de Strasbourg et allant jusqu’à Sarrebourg en Moselle en passant par Saverne[13].
Enfin, la ville est traversée par le canal de la Marne au Rhin à l'ouest de la ville. Elle dispose ainsi d'un petit port de plaisance pouvant également occasionnellement servir pour le transport de vrac (graviers, sable, etc.)[14],[15].
Qualité de l’environnement
Brumath est labellisée « Commune nature 2 libellules »[16],[17] pour sa démarche Zéro Pesticides[18]. Elle dispose également du label « Ville Fleurie 3 fleurs »[19].
Les services communaux n’utilisent plus de produits phytosanitaires depuis 2016, celui-ci ayant été remplacé par du désherbage thermique ou des méthodes de gestion différenciées[20],[21].
Toponymie
Brumath, prononcé [bʁymat], apparait au IIe siècle sur la carte du géographe Ptolémée sous le nom de Brokomagos puis au IIIe siècle dans l'itinéraire d'Antonin sous Brocomagus de broco (blaireau) + magos (plaine ou marché agricole). Durant les IIe et IVe siècles, on trouve aussi la forme latine de Brocomagos. Plus tard en l'an 770, le nom de la ville est Brocmagad et en l'an 889 Bruochmagad. Les toponymes plus tardifs sont en 973 Pruomat, en 979 Bruomade et enfin en 1165 Brumat. Ces derniers se sont transformés pour donner le nom actuel de Brumath. Elle est citée sur la table de Peutinger sous le nom de Breucomagus[22].
Histoire
Le site de Brumath est habité sans interruption depuis plus de cinq mille ans. Le sous-sol a livré des céramiques ornées de décors dont le ruban forme le thème principal. Un palais y est attesté en 770[23].
Après la défaite d'Arioviste, battu par Jules César en 58 av. J.-C., les Triboques sont autorisés par les Romains à s'établir sur la rive gauche du Rhin, où ils forment la Civitas Tibocorum (cité des Triboques) dont la capitale est Brocomagus. Pendant près de quatre siècles, la ville se développe dans le cadre de la paix romaine, puis décline avec l'affaiblissement de l'Empire[24].
Au XIIIe siècle, Brumath devient la capitale du landgraviat de Basse-Alsace puis est élevée au rang de ville au XIVe siècle et donc entourés de murailles, dont il ne reste rien aujourd'hui. La ville possédait également au moins deux tours-portes ainsi qu'un fossé. Les villes de Haguenau et Strasbourg incendient Brumath en 1389 et font abattre les murs d'enceinte sans doute définitivement. Cependant deux tours-portes et une partie du fossé sont toujours présents en 1702 ainsi qu'un pan de mur visible jusqu'au XIXe siècle.
Partagée entre les familles de Lichtenberg et les Linange, la seigneurie fut l'objet de guerres incessantes entre ces deux maisons[25].
La ville a compté en ses murs jusqu'à trois châteaux dont le plus ancien est mentionné en 1319 en tant que « hus » et étant une possession du chevalier Simon Fürst. Entre 1332 et 1361 deux autres châteaux sont construits par les Lichtenberg et destinés à servir de résidence pour la famille. L'un est détruit en 1389 par les villes de Strasbourg et Haguenau puis à nouveau en 1450 par les Lichtenberg. Le troisième château est également détruit en 1389 et mentionné comme ruine en 1517. Il est reconstruit en style Régence par le comte Jean Reinhard entre 1723 et 1728[26]. Il fut racheté en 1804 par la communauté protestant et transformé en église, ce qu'il est encore aujourd'hui. De nos jours, le château abrite également le musée archéologique de Brumath[27].
Politique et administration
Élections municipales et communautaires
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Jumelage
La charte de jumelage a été signée en 1970 entre la ville de Brumath et la ville de Dingolfing située en Basse-Bavière en Allemagne, à 100 km au nord-est de Munich.
Économie
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[31] - [Note 4].
En 2020, la commune comptait 10 061 habitants[Note 5], en diminution de 1,14 % par rapport à 2014 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
La ville de Brumath présente un total de sept établissements scolaires, gérées par la communauté d'agglomération de Haguenau. Ces écoles sont réparties sur le territoire selon une sectorisation :
- deux écoles maternelles publiques : Arc-en-Ciel, Les Cigognes ;
- trois écoles élémentaires publiques : Les Remparts, Pierre-Pflimlin, Robert-Schuman ;
- une école privée maternelle et élémentaire hors contrat : école parentale Davidia ;
- un collège public : collège de Brumath.
Certaines, comme les écoles maternelles Les Cigognes et Arc-en-Ciel ainsi que les écoles élémentaires Pierre-Pflimlin et Rober- Schuman proposent un enseignement bilingue paritaire en allemand et en français.
Culture
Brumath dispose de lieux culturels, notamment la médiathèque Les Triboques qui fait partie du Réseau Lecture Publique de l’Agglomération regroupant les bibliothèques de Donnenheim, Mommenheim et la médiathèque de Brumath. Il existe aussi une école de musique et des associations culturelles.
Inauguré en 1999, le cinéma Pathé Brumath est situé à l'ouest de la ville et comporte quatorze salles dont une proposant la 4DX[34],[35].
Sports
Brumath est labellisée depuis 2019 « Ville Sportive »[36] et « Terre de Jeux 2024 » depuis 2021[37],[38]. Ce dernier label permet à la ville de candidater pour devenir Centre de Préparation aux Jeux et accueillir des délégations étrangères au sein de ses infrastructures.
Rénové et inauguré en 2020, le complexe sportif Rémy-Huckel[39] propose des infrastructures ; il comprend trois terrains de football ainsi qu'une piste d'athlétisme à huit couloirs en revêtement synthétique[40]. Ce site accueille également une aire multi-glisse avec skatepark et pumptrack ainsi qu’un city stade. Le complexe est doté d’un parcours de cross fitness de plus de 2 km avec des agrès sportifs.
Le Fun Parc Brumath est un plan d’eau ouvert en période estivale et destiné aux loisirs aquatiques et nature.
Santé
La ville de Brumath dispose d'une résidence pour personnes âgées. Se trouve également à Brumath, l’hôpital La Grafenbourg qui est un établissement public de santé ayant une activité principalement axée sur l’accueil et le soin en gérontologie. Enfin, situé à Brumath, L'EPSAN est un centre hospitalier spécialisé dans la prise en charge des adultes, adolescents et enfants atteints de troubles psychiatriques.
Événement
La Foire aux oignons est une fête populaire organisée chaque année dans la commune. Elle comprend une fête foraine, un marché du terroir et un marché aux puces. Cet événement a lieu sur deux jours, toujours le dernier dimanche de septembre[41],[42],[43].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine civil
Une statue contemporaine en bronze de Marcus Ulpius Tertius dans la cour du château év^qoe l’histoire antique de la commune.
Patrimoine religieux et funéraire
L’église catholique saint Nazaire et saint Celse est de style néo-classique et date du XIXe siècle, tandis que l’église Notre-Dame de Stephansfeld faisant partie de l’ancien hôpital remonte pour ses parties les plus anciennes au XIe siècle. L'ancien château, érigé de 1720 à 1726 pour le comte Jean Reinhardt III de Hanau-Lichtenberg, a été transformé en église luthérienne en 1803 et dispose d'une orgue Stiehr de 1810 classé monument historique[44]. Une église évangélique est également présente depuis 1889 ainsi qu'une chapelle protestante à Stephansfeld. Enfin, Brumath est siège de rabbinat dès le XIXe siècle et une synagogue est construite en 1801 puis remplacée par la synagogue actuelle en 1846. Endommagée et profanée pendant la Seconde Guerre mondiale, elle est transformée en dépôt de vivres avant d’être rendue au culte en 1957[45].
Le patrimoine funéraire ancien est représenté par les nécropoles protohistoriques et gallo-romaine de Brumath situées dans la forêt à proximité de la commune et inscrit aux monuments historiques.
Patrimoine environnemental
- Le jardin de l'Escalier.
- Forêt communale de 458,31 ha[46] au cœur de laquelle se trouve le sentier d’ici et d’ailleurs.
- Arboretum.
- Abfluss Brumath.
- Jardin du Tilleul.
- Parc de Stephansfeld.
- Plan d'eau de la Hardt.
Patrimoine culturel
Le musée archéologique consacré au passé gallo-romain de Brumath est géré par la Société d’histoire et d’archéologie de Brumath et environs (SHABE).
Personnalités liées à la commune
- Jean-Jacques Coulmann (1796-1870), député du Bas-Rhin de 1831 à 1834, né dans la commune ;
- Edmond-Léonce Hiffelsheim (1827-1865), médecin, connu pour ses recherches sur l'électrothérapie, né dans la commune ;
- Jacques Kablé (1830-1887), député au Reichstag de 1878 à 1887, né dans la commune ;
- Geoffroy Velten (1831-1915), brasseur et sénateur de 1885 à 1912, né dans la commune ;
- Rudolf Goethe (1843-1911), directeur de l'École d'arboriculture de Brumath-Grafenbourg de 1874 à 1879 ;.
- Joseph Hermann (1855-1929), rabbin de Reims né à Brumath.
- Gustave Stoskopf (1868-1944), artiste éclectique et animateur du mouvement culturel régionaliste, né à Brumath ;
- Henri Strohl (1874-1959), théologien protestant né dans la commune ;
- Le général Charles Mast, un descendant des Mast de Brumath, alliés à de nombreuses familles de la ville.
- J. K. Rowling, auteure britannique, descendante de résidents[47] ;
- Louis Théodore Kleinmann (1907-1979), colonel, commandant militaire de la ville Mayence en 1945.
- René Kleinmann (1923-2009), adolescent résistant français, membre de l'organisation clandestine La Main noire pendant la Seconde Guerre mondiale.
- Georges Kiefer, chef des Forces française de l'intérieur (FFI) du Bas-Rhin pendant la Seconde Guerre mondiale.
- Marcel Weinum (1924-1942), adolescent résistant fondateur de l'organisation clandestine La Main noire pendant la Seconde Guerre mondiale.
- Bernard Stalter (1957 - 2020), entrepreneur et homme politique français.
- Bernard Schreiner (1937 - 2020), homme politique français.
Héraldique
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Les armes de Brumath se blasonnent ainsi : |
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* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sinople sur gueules).
À l'origine au XIIe siècle, les blasons des chevaliers qui résidaient à Brumath portaient une étoile.
On retrouve cette étoile sur les armoiries de la commune en 1670 où le blasonnement indiqué dans l'Armorial d'Alsace est le suivant : « porte d'azur à une dextrochère d'argent, tenant une bannière d'or chargée d'une étoile d'azur ».
En 1876, la bannière seigneuriale du blason est transformée en bannière ecclésiastique. Cette tendance se retrouve dans des extraits de registre de l'époque mais son origine est inconnue.
En 1890, la bannière est remplacée par la branche de chêne qui est le symbole d'une ville propriétaire d'une grande forêt[50].
Notes et références
Notes
- ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- ↑ Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- ↑ https://www.habitants.fr/bas-rhin-67
- ↑ « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- ↑ « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Unité urbaine 2020 de Brumath », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- ↑ « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- ↑ Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- ↑ « Fiche horaire A03 - Strasbourg - Saverne - Sarrebourg », sur https://cdn.ter.sncf.com, (consulté le ).
- ↑ « Fiches horaires », sur Ritmo - Transports de la Communauté d'Agglomération de Haguenau, (consulté le )
- ↑ « Véloroute du canal de la Marne au Rhin », sur www.alsaceavelo.fr (consulté le )
- ↑ Ville Data, « Halte Port Brumath , Halte Port », sur ville-data.com (consulté le )
- ↑ « Halte - Port (Port de plaisance), Brumath (67170) - Bas-Rhin », sur www.webvilles.net (consulté le )
- ↑ Agence de l’eau Rhin-Meuse, « Dossier de presse »
- ↑ « Démarche « Eau et Biodiversité » : La distinction Commune Nature », sur GrandEst (consulté le )
- ↑ « Entretien des espaces communaux Démarche "Zéro pesticide" - Diagnostic 2012 »
- ↑ « Escapade fleurie en Alsace ! - Club des Ambassadeurs d’Alsace », sur www.ambassadeurs.alsace (consulté le )
- ↑ Maxi Flash, « Brumath - Les mauvaises herbes, on en prend de la graine », sur Maxi Flash - Journal d'infos locales du Nord-Alsace, (consulté le )
- ↑ « La démarche Zéro pesticides », sur Ville de Brumath (consulté le )
- ↑ « toponymie : Alsace », sur crehangec.free.fr (consulté le )
- ↑ Nicolas Mengus, Châteaux forts au Moyen Âge, Rennes, Éditions Ouest-France, , 283 p. (ISBN 978-2-7373-8461-5), p. 213.
- ↑ « Histoire de Brumath », sur Wiki Guy de Rambaud (consulté le ).
- ↑ Description de Brumath et de son canton en 1865.
- ↑ « Histoire de Brumath - Le site de généalogie d'Alexis », sur www.genealexis.fr (consulté le ).
- ↑ Nicolas Mengus, Châteaux forts et fortifications médiévales d'Alsace dictionnaire d'histoire et d'architecture, La Nuée Bleue, cop. 2013 (ISBN 978-2-7165-0828-5 et 2-7165-0828-3, OCLC 863479791, lire en ligne).
- ↑ Charles Muller et François Ritter, page 49.
- ↑ [PDF] Liste des maires au 1er avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
- ↑ « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- ↑ AlloCine, « Pathé Brumath », sur AlloCiné (consulté le ).
- ↑ « Pathé Brumath | Horaires, séances, tarifs, informations, films | JDS », sur jds.fr (consulté le ).
- ↑ « Label commune ou ville Sportive Grand Est », sur sportgrandest.eu (consulté le )
- ↑ (en) « Terre de Jeux Paris 2024 », sur Terre de Jeux 2024 (consulté le )
- ↑ « Haguenau, Brumath et Bernolsheim obtiennent le label “Terre de Jeux 2024” », sur Alsa'Sports, (consulté le )
- ↑ « Omnisports. [Diaporama] L’inauguration du complexe sportif à Brumath », sur dna.fr (consulté le )
- ↑ « UNITASBRUMATH.ATHLE.COM | Nouveau stade: la piste est posée », sur unitasbrumath.athle.com (consulté le )
- ↑ « Foire aux oignons », sur brumath.fr (consulté le ).
- ↑ « Foire aux oignons (Zewelmessti) à Brumath 2019 : date, programme », sur jds.fr (consulté le ).
- ↑ « Foire aux oignons (Zewelmessti) Brumath 2021 : date, programme », sur jds.fr (consulté le )
- ↑ Notice no PM67001000, base Palissy, ministère français de la Cultureorgue de tribune
- ↑ Notice no IA00119162, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Office national des forêts », sur Office national des forêts (consulté le )
- ↑ Vincent Ballester, « J.K. Rowling, l'auteure d'Harry Potter, a des ancêtres alsaciens à Brumath: on vous raconte l'histoire », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
- ↑ « L'histoire des communes de la communauté de communes de Brumath », sur cdc-brumath.fr (consulté le ).
- ↑ Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur labanquedublason2.com (consulté le ).
- ↑ Charles Muller et François Ritter, Brumath, regard sur un passé récent, Carré Blanc, coll. « Mémoire de Vies », , 224 p., chap. 1 (« Regard… sur l'Histoire »), p. 11-13.
Voir aussi
Bibliographie
Ouvrages cités dans le texte
- Charles Muller et François Ritter (préf. Charles-Gustave Stoskopf), Brumath : Regard sur un passé récent, Strasbourg, Carré Blanc, coll. « Mémoire de Vies », , 1re éd. (1re éd. 2001), 224 p., 21,3 × 30,1 cm, couverture couleur, relié [détail des éditions] (ISBN 2-84488-029-0, ISSN 1292-1645)
- Pascal Flotté, Jean-Baptiste Gervreau, Clotilde Allonsius, Cécile Bébien, Mathias Higelin, Olivier Putelat et Sophie Vauthier, « Un quartier antique de Brocomagus/Brumath (7-9 rue du Général Rampont), Bas-Rhin », Revue archéologique de l'Est, vol. 65, no 188, , p. 27-59 (ISSN 1760-7264, lire en ligne)
Autres ouvrages
- Claude Muller, « Radio Strasbourg P.T.T… le centre émetteur de Brumath », in Bulletin - Société d'histoire et d'archéologie de Brumath et des environs, 2012, no 40, p. 26-33
- Antoine Fischer (dir.), Victor Beyer, François Brockmann, Louis-Marie Coyaud, Philippe Dollinger, Victor Albin Gebus, Willy Guggenbühl, Jean-Jacques Hatt, Roger Henninger et al. (préf. Victor Fischer, ill. Jean Nicolas), Brumath : Destin d'une ville, Strasbourg, Saisons d'Alsace, coll. « Connaissance de l'Alsace », , 1re éd. (1re éd. 1958), 267 p., 18,1 × 23,3 cm, couverture couleur, relié [détail des éditions] (OCLC 7520963).
Articles connexes
- Gare de Brumath
- Gare de Stephansfeld
- Liste des communes du Bas-Rhin
Liens externes
- Site de la ville de Brumath
- Brumath sur le site de l'Institut géographique national.
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement de la commune