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Couin
Couin
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC des Campagnes de l'Artois
Maire
Mandat
Vincent Lacroix
2020-2026
Code postal 62760
Code commune 62242
Démographie
Gentilé Couinois
Population
municipale
88 hab. (2020 en diminution de 16,98 % par rapport à 2014)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 07′ 57″ nord, 2° 31′ 44″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 159 m
Superficie 5,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Avesnes-le-Comte
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Couin
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Couin

    Couin est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

    Ses habitants sont appelés les Couinois.

    La commune fait partie de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois qui regroupe 96 communes et compte 33 179 habitants en 2019.

    Géographie

    Localisation

    Couin est un petit village à une quinzaine de kilomètres à l'est de Doullens, en amont de l'Authie. À la frontière avec le département de la Somme, le territoire communal chevauche le cours de l'Authie.

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes, dont trois situées dans le département de la Somme :

    Communes limitrophes de Couin
    Pas-en-Artois Hénu Souastre
    Saint-Léger-lès-Authie
    (Somme)
    Couin Coigneux
    (Somme)
    Bus-lès-Artois
    (Somme)

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    La commune est traversée par l'Authie, cours d'eau naturel de 108,18 km, qui prend sa source dans la commune de Coigneux, située dans le département de la Somme, et qui se jette dans la Manche entre les communes de Berck et de Fort-Mahon-Plage[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2].

    Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[2].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 10 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 847 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,1 j

    Paysages

    La commune s'inscrit dans l'est du « paysage du val d’Authie » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3],[3].

    Ce paysage, qui concerne 83 communes, se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.

    Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.

    L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé de 70% en culture[4].

    Urbanisme

    Typologie

    Couin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[5],[6],[7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8],[9].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66 %), prairies (23 %), forêts (11 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Voies de communication

    La commune est desservie par les routes départementales D 2, D 25 et D 152[11].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Cuin en 1149 ; Coaing en 1200 ; Coign en 1200 ; Coig en 1203 ; Cuins en 1258 ; Coiing en 1264 ; Coing au XIIIe siècle ; Couwin en 1545[12], , Couin depuis 1793 et 1801[13].

    Comme pour Coigneux, deux hypothèses sont fournies pour l'origine du nom du village :

    - Given, mot celtique signifiant blanc, allusion aux côtes marneuses et leurs crêtes blanches ;

    - Cavinum, cavum, en référence à la vallée profonde creusée par l'Authie[14].

    Histoire

    Une partie de cette terre était tenue de l'abbaye de Corbie (Recueils du P. Ignace, t.IV, f° 14) et l'autre dépendait de la châtellenie de Pas depuis l'année 841. Adam, seigneur de Couin, d'après une Charte de 1203, était en même temps Prévôt de Pas.

    Plus tard, la seigneurie appartint à la famille de Beaufort,et enfin à celle de Landas de Louvignies, dont un des ancêtres eut la garde des fils du roi Jean à la bataille de Poitiers ().

    On tient par tradition dans ce village qu'autrefois la commune était bâtie le long de la rivière qui borde le cimetière actuel là où se trouvait l'ancienne église : les guerres du XVIe siècle détruisirent toutes ces constructions, y compris le château, et l'on rebâtit la nouvelle paroisse sur le haut de la colline.

    À la place de l'église primitive, on éleva une chapelle dédiée à saint Pierre qui est devenue le but d'un pèlerinage fréquenté ; la statue du saint est en pierre artistement sculptée et porte la date de 1661.

    La nouvelle église de Couin a été construite à la fin du XVIe siècle, sous la domination espagnole, elle est sous le vocable de Saint-Pierre-aux-Liens (Dictionnaire Historique et Archéologique du Pas-de-Calais, 1874, tome II, pages 173 & 174)

    Au cours de la Première Guerre mondiale, des soldats néo-zélandais occupent le château[15].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

    Commune et intercommunalités

    La commune est membre de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois.

    Circonscriptions administratives

    La commune est rattachée au canton d'Avesnes-le-Comte.

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

    Élections municipales et communautaires

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1983 2020 Francis Savoye Réélu pour le mandat 2014-2020[16] - [17] - [18] -
    27 mai 2020 En cours
    (au 7 février 2022)
    Vincent Lacroix Contremaître
    Élu pour le mandat 2020-2026[19] - [20] - [21]

    Équipements et services publics

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[22].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants sont appelés les Couinois[23].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

    En 2020, la commune comptait 88 habitants[Note 5], en diminution de 16,98 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    341315326334343346368368371
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    382365359318333289257265248
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    239246212201181170152158130
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1219091797190119126103
    2015 2020 - - - - - - -
    10988-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,5 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 48 hommes pour 56 femmes, soit un taux de 53,85 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,5 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    2,1
    4,9
    75-89 ans
    8,5
    9,8
    60-74 ans
    14,9
    34,1
    45-59 ans
    29,8
    24,4
    30-44 ans
    14,9
    9,8
    15-29 ans
    14,9
    17,1
    0-14 ans
    14,9
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,6
    5,5
    75-89 ans
    8,9
    16,4
    60-74 ans
    17,8
    20,3
    45-59 ans
    19,3
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,1
    15-29 ans
    16,2
    20,2
    0-14 ans
    18,1

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église et le château constituent les éléments essentiels du patrimoine bâti local.

    Monument historique

    le château de Couin fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du [29],[30]. Le château a été construit en 1748 par Philippe de Landas, comte de Louvignies. Il est passé par alliance aux Sainte-Aldegonde-Noircarmes puis aux Louvencourt. Le propriétaire actuel a entrepris de le restaurer depuis quelques années. Les habitants du château assistaient à la messe dans une tribune donnant sur le chœur de l'église.

    • Le château de Couin.
      Le château de Couin.
    • La façade du château.
      La façade du château.

    Patrimoine religieux

    • L'église Saint-Pierre.
    • La statue de la Vierge.
    • La chapelle Saint-Pierre.
    • L'église Saint-Pierre.
      L'église Saint-Pierre.
    • L'église Saint-Pierre de Couin, tribune des châtelains.
      L'église Saint-Pierre de Couin, tribune des châtelains.
    • La statue de la Vierge.
      La statue de la Vierge.
    • La chapelle Saint-Pierre au milieu du cimetière.
      La chapelle Saint-Pierre au milieu du cimetière.
    • La chapelle Saint-Pierre.
      La chapelle Saint-Pierre.

    Autres monuments

    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Le monument aux animaux victimes de guerre.
      Le monument aux animaux victimes de guerre.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason de Couin Blason
    Parti émanché de quatre pièces et une demie de gueules et d'argent[32].
    Détails
    Adopté par la municipalité le .

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le type 3 dégradé affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la Saône). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Authie (E5500570) » (consulté le )
    2. 1 2 Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    4. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    11. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    12. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
    13. 1 2 Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur de Coigneux, M. Godard, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens
    15. Site du château.
    16. Nicolas André, « Le bilan des maires - Couin - Francis Savoye: « Nous avons dû réaliser la mise en sécurité de notre église » : Un presbytère et une église du XVIIIe siècle en pierre blanche, un château, un monument dédié aux animaux victimes de la Grande Guerre, c’est ce qui fait la renommée du village rural de près d’une centaine d’habitants. Francis Savoye, maire depuis 1983, conseiller municipal depuis 1977, gère la commune située un plateau au-dessus de Pas-en-Artois avec un bon sens de terrien. Il faut ça quand on a un budget qui se limite à près de 60 000 €. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    17. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    18. Nicolas André, « Couin (projet du maire) : « Nous préparons le dossier pour la nouvelle mairie » : La mairie est dans son jus d’après-guerre: au premier étage d’une maison de briques, un casier à tampons sur une table qui plairait à un brocanteur, des chaises en bois patinées par les années… La rénovation est une nécessité. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    19. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    21. https://www.lavoixdunord.fr/762681/article/2020-06-08/vincent-lacroix-est-le-nouveau-maire-de-couin
    22. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
    23. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Couin (62242) », (consulté le ).
    28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    29. « Château de Couin », notice no PA00108259, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « Base de données du ministère de la culture ».
    31. 1 2 « Caumont (62140) », sur monumentsmorts.univ-lille.fr, Les monuments aux morts - France - Belgique - Autres pays (consulté le ).
    32. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).