Fleurbaix | |||||
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Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Béthune | ||||
Intercommunalité | CC Flandre Lys | ||||
Maire Mandat |
Aimé Delabre 2020-2026 |
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Code postal | 62840 | ||||
Code commune | 62338 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Fleurbaisiens | ||||
Population municipale |
2 779 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 216 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 39′ 11″ nord, 2° 50′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 16 m Max. 20 m |
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Superficie | 12,86 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Béthune (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Beuvry | ||||
Législatives | 9e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.fleurbaix.fr/ | ||||
Fleurbaix est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Fleurbaisiens.
Elle est située en Flandre française.
Elle fait partie de la communauté de communes Flandre Lys qui regroupe 8 communes (quatre dans le Nord et quatre dans le Pas-de-Calais) et compte 39 469 habitants en 2019.
Géographie
Localisation
Le bourg est situé à 20 kilomètres environ à l'ouest de Lille, à proximité de la frontière belge.
Semi-enclavée dans le département du Nord, la commune est entourée de cinq communes du département du Nord (Erquinghem-Lys, Bois-Grenier, Le Maisnil, Fromelles et Aubers) et deux du Pas-de-Calais (Sailly-sur-la-Lys et Laventie).
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est drainée par la rivière la Becque du Biez, d'une longueur de 6,64 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans La Lys au niveau de la commune d'Erquinghem-Lys[1]. D'autres cours d'eau drainent la commune comme la rivière des layes[2], le luttum candeille[3], le Courant Dardon Aval[4], le courant de walmonchy[5] et le courant du mariage[6].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[7].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
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Milieux naturels et biodiversité
Espèces recensées sur la commune
Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 346 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont 61 protégées et 26 menacées[8].
Urbanisme
Typologie
Fleurbaix est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[12] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,3 %), zones urbanisées (8,7 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Voies de communication
La commune est desservie par les routes départementales D 22 B, D 171 et D 174 et est située à 6 km, à l'ouest, de la sortie no 8 de l'autoroute A 25, aussi appelée autoroute des Anglais, reliant Calais à Troyes[18].
Transport ferroviaire
La commune se trouve à 6 km, au sud-ouest, de la gare d'Armentières, située sur la ligne de Lille aux Fontinettes, desservie par des trains TER Hauts-de-France[19].
Toponymie
Attestations anciennes
Le nom de la localité est attesté sous les formes Florbais en 1024 ; Florebais et Florbaes en 1098 ; Florbaiz en 1136 ; Flobays en 1170 ; Fleurbaix au XIIe siècle ; Florbay en 1362 ; Florebaie au XIVe siècle ; Floribasium en 1426 ; Fleurebais en 1430 ; Flobois en 1600 ; Fleurbay en 1612[20] ; Fleurbaix depuis 1793 et 1801[21].
Étymologie
Le nom provient du germanique flora (sol plat) et *baki- « ruisseau »[23] ou du vieux néerlandais fluorbeki, de fluor (sol, plat pays) et beki, équivalent du flamand beke / beek (ruisseau).
Histoire
Fleurbaix a fait partie d'une région appartenant à l'origine aux 17 provinces des Pays-Bas espagnols, dite pays de l'Alleu, regroupant quatre communes : La Ventie (Laventie), Sailly (Sailly-sur-la-Lys) et La Gorgue, outre Fleurbaix.
C'est une région huguenote d'où partirent des habitants pour s'installer aux Amériques, en Afrique du Sud, en Allemagne, en Hollande, en Angleterre. Le pays de Lalloeu était rattaché au comté de Flandre et au pays d'Artois[24],[25].
Elle a été touchée par de nombreuses guerres et invasions.
Fleurbaix a un lieu-dit ou hameau dit La Boutillerie qui est, avant la Révolution française, le siège d'une seigneurie. Le dernier titulaire est Jacques Joseph Fidèle Lippens, écuyer, seigneur de la Boutillerie en 1786. Il est le fils de Jacques Joseph, bourgeois de Lille, garde du corps du roi, et de Marie Catherine Delforge. Il naît à Haubourdin en 1760, devient bourgeois de Lille le , puis officier de la milice de la ville. Pendant la Révolution française, il se réfugie à Bas-Warneton du (11 messidor de l'an VI) au (24 brumaire de l'an VII), puis gagne Paris. Ileépousé Hyacinthe Julie Joseph Brasme, fille de Jean Pierre Joseph et de Catherine Joseph Rose, née à Haisnes en 1770[26].
Première Guerre mondiale : la commune est — comme celle de Laventie et beaucoup d'autres dans cette région — particulièrement marquée par les violents combats du front-Ouest. Le village est longtemps resté aux mains des Britanniques avant de tomber aux mains des soldats allemands (qui le en ont repoussé le 12e Suffolks) avant d'être libéré en .
Les séquelles de quatre ans de guerre ont nécessité, après l'Armistice, un long travail de déminage puis de reconstruction.
Le déminage se fait sous l'autorité des Anglais à partir de 1919 alors que les habitants commencent à rentrer dans le village dévasté, et qu'une pandémie de grippe espagnole fait de nombreux morts dans le monde (plus de morts que quatre ans de guerre). La commune est classée en zone rouge, ce qui signifie que l'agriculture y est interdite avant récupération des obus et des cadavres éparpillés aux alentours. La restauration des sols agricoles dans les années 1920 est l'occasion d'un premier recul des herbages et des zones humides au profit d'une simplification des paysages.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[21].
Commune et intercommunalités
La commune est membre de la communauté de communes Flandre Lys.
Circonscriptions administratives
La commune est rattachée au canton de Beuvry. Avant le redécoupage cantonal de 2014, elle était, depuis 1801, rattachée au canton de Laventie[21].
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la neuvième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
Liste des maires
Jumelages
Équipements et services publics
Enseignement
La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.
Elle administre l'école primaire « Franche Terre »[37].
Sur le territoire de la commune se trouve également un établissement privé : l'école primaire Sacré-Cœur gérée par l'organisme de gestion de l'enseignement catholique (OGEC)[37]
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal judiciaire de Béthune, du conseil de prud'hommes de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Béthune et du tribunal pour enfants de Béthune[38].
Population et société
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Fleurbaisiens[39].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[41].
En 2020, la commune comptait 2 779 habitants[Note 5], en augmentation de 6,07 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 343 hommes pour 1 376 femmes, soit un taux de 50,61 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Sports et loisirs
Sur la commune se trouve le stade Maurice-Huchette, une salle des sports (depuis 1991), un club et un terrain de bicross, trois courts de tennis publics et club de football l'US Fleurbaix.
La commune accueille, en mars, depuis les années 1980, l'épreuve de course à pied « Fleurbaix j'y cours », avec 3 000 participants pour le dix kilomètres, et, depuis la 37e édition de 2023, une course de trail, une marche nordique et un parcours pour les enfants[45].
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Notre-Dame-du-Joyel, construite en 1929. Elle est l'œuvre de l'architecte Louis Marie Cordonnier. Elle héberge douze éléments patrimoniaux, répertoriés dans la base Palissy, classés ou inscrits au titre d'objet des monuments historiques, dont un est classé[46].
- La chartreuse Notre-Dame-des-Sept-Douleurs de la Boutillerie, fondée par Jean Le Vasseur, mort le à Fleurbaix[47],[48].
- L'église Notre-Dame-du-Joyel.
- Les vitraux.
- La chartreuse de la Boutillerie.
- Le monument aux morts[49].
- lieux de mémoire de la Première Guerre mondiale :
- le cimetière militaire de la rue David (rue David Military Cemetery) qui abrite environ 900 corps (Britanniques et Australiens essentiellement). Il est situé rue David, au lieu-dit le Petit Pont. Ce cimetière a été créé par le 2e Royal Scots Fusiliers en décembre 1914 et fermé en décembre 1917. On y a ensuite ramené les restes de soldats venant de petits cimetières des environs, par exemple tués dans les batailles d'Aubers ou de Fromelles, dont ceux du 1st Middlesex d'octobre 1914, et ceux des 5e Australian et 61e (South Midland) divisions de juillet 1916) ;
- le cimetière de la rue du Bois. Rue du Bois (Military Cemetery) qui abrite 832 corps, créé en novembre 1914 et fermé en décembre 1916 pour être rouvert en janvier et octobre 1918. On y a ramené après la guerre les restes d'autres cimetières militaires des environs ;
- le cimetière de la rue Pétillon (Rue Pétillon Military Cemetery), créé en décembre 1914 et fermé en septembre 1918, qui abrite 1 486 corps, à environ trois kilomètres au sud de la commune, au sud de la route Petillon - La Boutillerie[50] ;
- Le Trou Aid Post Cemetery, qui abrite 351 corps, rue Pétillon, au lieu-dit le Trou. Il a été créé en octobre 1914 et utilisé jusqu'en juillet 1915. On y a compté 123 tombes à la fin de la guerre, mais on y a ensuite ramené les restes de soldats retrouvés aux alentours. Les dépouilles d'environ 350 personnes y reposent aujourd'hui, essentiellement des dépouilles de soldats tués lors des batailles du Maisnil (21 octobre 1914), du pont d'Aubers (9 mai 1915), de Loos (25 septembre 1915) et durant l'attaque de Fromelles (19-20 juillet 1916). En 2017, le cimetière est inscrit au titre des monuments historiques[51].
- Le Christ.
- Le cimetière militaire de la rue David.
- Le cimetière de la rue du Bois.
- Le cimetière de la rue Pétillon.
- Le Trou Aid Post Cemetery.
Personnalités liées à la commune
Héraldique
Blason | Écartelé : au 1er d'or à la croix ancrée de gueules, au 2e d'argent au cerisier de sinople sur un tertre du même et fruité de gueules, au 3e d'argent fretté de sable, au 4e d'azur à la bougie allumée d'argent enfilée dans une couronne du même joyel[52].
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Détails | Adopté par la municipalité. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Fleurbaix » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- ↑ Le type 3 dégradé affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la Saône). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
- ↑ L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - Becque du Biez (E3660720) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - rivière des layes (E3660870) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - luttum candeille (E3660770) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - Courant Dardon Aval (E3660520) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - courant de walmonchy (E3662720) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - courant du mariage (E3660860) » (consulté le )
- 1 2 Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- ↑ « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- ↑ « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur insee.fr (consulté le ).
- ↑ « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- ↑ « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- ↑ « Distance entre la commune et la gare de Saint-Omer », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- ↑ « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
- 1 2 3 4 Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- ↑ Ernest Nègre - générale de la France - Volume 2 - Page 728..
- ↑ Voir le livre du Chanoine Depoter: Le Pays de Lalloeu histoire mœurs et institutions les éditions des Beffrois 1910
- ↑ Christian Defebvre, L'histoire du pays de Lalloeu en 10 leçons par Christian Defebvre Agrégé d'histoire-géographie
- ↑ Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12, 1906-1909, p.371 (lire en ligne).
- ↑ « L'ancien maire Louis Courdent est décédé », La Voix du Nord, (lire en ligne)
- ↑ « Fleurbaix patrimoine rend hommage aux anciens maires, en particulier Louis Courdent », La Voix du Nord, (lire en ligne)
- ↑ A. S. (CLP), « Fleurbaix: Michel Dupont passe le flambeau à Joseph Catteau : Joseph Catteau a reçu l’écharpe de maire des mains de Michel Dupont, ce samedi. Mais pas seulement ! Ce dernier symboliquement lui a remis les clés de la mairie. Une installation empreinte d’amitié et d’un zeste d’émotion de la part du nouveau maire mais également des anciens adjoints qui ont désormais un nouveau chef de file. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Anne-Charlotte Pannier, « Fleurbaix: cadre de vie et sécurité, les priorités de Joseph Catteau : Comme nous l’avions fait avec les bilans des maires avant les élections, nous lançons une nouvelle série consacrée aux projets des maires. Joseph Catteau, seul candidat, a été élu sans surprise maire de Fleurbaix. À quoi ressemblera la commune dans six ans ? Il revient sur ses priorités. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Anne-Charlotte Pannier, « Aimé Delabre se lance dans les municipales avec l’appui du maire sortant de Fleurbaix : Ça y est, c’est officiel, l’actuel conseiller délégué chargé de l’environnement, Aimé Delabre, se présentera aux élections municipales du mois de mars. Et le Fleurbaisien pourra compter sur le soutien de l’actuel maire puisque Joseph Catteau fera partie de sa liste », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Anne-Charlotte Pannier, « Joseph Catteau, toujours maire de Fleurbaix : « Je ne me pose pas de question » : Alors qu’Aimé Delabre aurait dû succéder à Joseph Catteau il y a plus d’une semaine, le maire de Fleurbaix est toujours à la tête du village. Comment vit-il cette situation ? », La Voix du Nord, .
- ↑ « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- ↑ « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- ↑ « https://pastel.diplomatie.gouv.fr/cncdext/dyn/public/atlas/rechercheAtlasFrance.html?criteres.collectiviteId=27743 »
- ↑ « https://www.fleurbaix.fr/connaitre-votre-mairie/notre-village/jumelage »
- 1 2 « Établissements scolaires de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
- ↑ « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- ↑ Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fleurbaix (62338) », (consulté le ).
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- ↑ Thomas Communal (photogr. Hélène Decaestecker), « Une édition de tous les records pour Fleurbaix j’y cours et j’y marche », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Éléments patrimoniaux de la commune inscrits ou classés au titre d'objet des monuments historiques. », sur le site du ministère de la Culture (consulté le ).
- ↑ Michel Cuvelier, Mémoires sur la vie de M. Jean Levasseur, mayeur de la ville de Lille au XVIIe siècle, et sur la fondation de la chartreuse de La Boutillerie, Lille, , In-8°, 180 p. (lire en ligne).
- ↑ Boutillerie à Fleurbaix: -coordonnées :50° 37′ 50″ N, 2° 51′ 16″ E .
- ↑ « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- ↑ page sur les cimetières militaires du Commonwealth en France
- ↑ « Protection de nouveaux monuments historiques dans le cadre de la thématique Grande Guerre », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).