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Frédéric Bazille
Portrait de Frédéric Bazille par Étienne Carjat (1865).
Naissance

Montpellier, France
Décès
(à 28 ans)
Beaune-la-Rolande (France)
Sépulture
Cimetière protestant de Montpellier
Période d'activité
Nom de naissance
Jean Frédéric Bazille
Nationalité
Activité
Maître
Charles Gleyre
Lieux de travail
Mouvement
Influencé par
Père
Gaston Bazille
Fratrie
Marc Bazille (d)
Œuvres principales
La Robe rose (1864)
Atelier de la rue Furstenberg (1865)
Réunion de famille (1867)
Scène d'été (1869)
signature de Frédéric Bazille
Signature
Vue de la sépulture.

Jean Frédéric Bazille, né le à Montpellier (Hérault) et mort au combat le à Beaune-la-Rolande (Loiret), est un peintre impressionniste français.

Biographie

Frédéric Bazille, Portrait d'Alfred Sisley (1867-1868), ancienne Collection Wildenstein, détruit durant la Seconde Guerre mondiale[1].

Frédéric Bazille est né dans une famille de notables protestants de Montpellier (Hérault) au no 11 Grande Rue (devenue Grande Rue Jean Moulin). Son père, Gaston Bazille, est agronome et sénateur, sa mère Camille Vialars est héritière du domaine agricole de Saint-Sauveur à Lattes. Frédéric Bazille commence des études de médecine pour faire plaisir à ses parents. Mais dès 1859, il suit des cours de dessin au musée Fabre dans l'atelier des sculpteurs montpelliérains, Baussan père et fils[2] et de peinture en copiant les maîtres anciens comme Véronèse[3].

En 1862, il part s'installer à Paris où il s'inscrit à l'atelier du peintre Charles Gleyre sous les conseils de son cousin peintre Eugène Castelnau. Il commence par se perfectionner en dessin. Dans cet atelier, il rencontre Claude Monet, puis Auguste Renoir. Très vite, un groupe se forme qui intègre Edgar Degas, Alfred Sisley, Édouard Manet, Berthe Morisot, Paul Cézanne, Camille Pissarro, Émile Zola, Paul Verlaine[4]

Il loue son premier atelier en 1864, puis il partage divers ateliers avec Renoir et Monet dès 1865. Il se sent prêt à participer au Salon de 1866 et soumet deux toiles à l'épreuve du jury : un sujet moderne, Jeune fille au piano et une nature morte classique, Poissons. Seule la seconde est acceptée comme le prévoyait d'ailleurs Bazille[5],[4].

En 1865, il emménage avec Monet, rue de Furstemberg[6] (Atelier de la rue Furstenberg).

L'atelier de Bazille. Au centre se trouve le peintre, face à lui Manet observe la toile, Edmond Maître est au piano. Peinture collaborative avec Édouard Manet, (1870), huile sur toile (98 × 128 cm), Paris, musée d'Orsay.

Courbet leur rend visite, admire Le Déjeuner sur l'herbe de Monet et Jeune Fille au piano[7] de Bazille. En juillet 1866, il s'installe rue Visconti, où il accueille Renoir, puis Monet. Renoir et lui louent aux Batignolles un grand atelier[8], que Bazille et Manet immortaliseront sur une toile[9], L'Atelier de Bazille.

À Paris, la peinture n'est pas le seul centre d'intérêt de Bazille, qui se passionne pour l'écriture, le théâtre, la musique, l'opéra. Il se lie d'une grande amitié avec Edmond Maître et fréquente en sa compagnie les concerts[4]. Henri Fantin-Latour le représente debout de profil, à droite du tableau Un atelier aux Batignolles (1870).

Il tente aussi de pratiquer l'eau-forte chez le galeriste-éditeur Alfred Cadart : on connaît une seule épreuve, La Vue de village[10].

En 1867 il représente son atelier de la rue Visconti à Paris. Il partageait à l'époque son atelier avec Auguste Renoir et Sisley, et Renoir le représente en train de peindre Le Héron (Musée Fabre de Montpellier)[11]

Il passe généralement ses étés dans la propriété familiale du domaine de Méric, à Montpellier face au village de Castelnau-le-Lez, domaine qui sert de décor à quelques-unes de ses toiles, comme La Robe rose (1864), Réunion de famille (1867) ou Vue de village (1868).

Le , il s'engage au 3e régiment de zouaves, contre la volonté de ses proches, dans le conflit franco-prussien. Sergent fourrier puis sergent-major, il meurt à 28 ans, le , touché au bras et au ventre à la bataille de Beaune-la-Rolande[4]. Bazille est tombé en accomplissant un acte d'héroïsme, essayant de protéger des femmes et des enfants.

La mort de Bazille est un déchirement pour Maître. Dans une lettre à sa famille, Maître écrit : « De tous les jeunes gens que j'ai connus, Bazille était le plus doué, le plus aimable[12]. »

Inhumation

Tombe de Frédéric Bazille à Montpellier.
Portrait présumé de Frédéric Bazille par Émile Defonds[13], Album de portraits cartes de visite ayant appartenu à Édouard Manet, Paris, BNF[14].

Il est inhumé au cimetière protestant de Montpellier dans une tombe réalisée par le sculpteur Auguste Baussan[15],[16].

Postérité

Pierre-Auguste Renoir, Frédéric Bazille peignant à son chevalet (1867) ; on y reconnaît Nature morte au héron de 1867, Montpellier, musée Fabre.

En 1900, le critique et historien Roger Marx découvre Bazille et inclut deux tableaux dans sa grande exposition d'art français[17], organisée pour l'Exposition universelle de Paris.

La destinée de la soixantaine de tableaux qui forment l'œuvre de Bazille est dans l'oubli d'abord, puis une timide résurrection due à l'historien d'art Henri Focillon en 1926[18]. Il faudra attendre les années 1950-1960 pour qu'un vrai regard soit porté sur sa peinture, l'extrayant du cercle très local des initiés montpelliérains. C'est l'époque où ses tableaux s'évadent du cénacle familial et rejoignent les cimaises des musées américains. Le musée Fabre de Montpellier complète, dès qu'il le peut, son fonds déjà conséquent et monte en 1992 une exposition, puis à l'été 2016, cette rétrospective avec le musée d'Orsay et la National Gallery of Art de Washington[19].

Paul Perrin, co-commissaire de l'exposition[20], souligne que son œuvre est à tout jamais « de jeunesse ». La sienne et celle de l'impressionnisme.

Paysage au bord du Lez (1870), huile sur toile (138,4 × 201,9 cm), Minneapolis Institute of Art.


Œuvres

  • Couvercles de bouillon, juin 1864, huile sur toile, 27 × 35 cm, Montpellier, musée Fabre[21],[22] ;
  • Deux harengs, 1864, huile sur toile, 41 × 27,5 cm, Montpellier, musée Fabre[21],[22] ;
  • La Robe rose, 1864, huile sur toile, 147 × 110 cm, Paris, musée d'Orsay[23] ;
  • L'Ambulance improvisée (Monet est blessé à l'hôtel du Lion d'Or à Chailly-en-Bière), 1865, huile sur toile, 48 × 65 cm, Paris, musée d'Orsay[24] ;
  • L’Atelier de la rue Furstenberg, 1865-1866, huile sur toile, 80 × 65 cm, Montpellier, musée Fabre[25] ;
  • Autoportrait, vers 1865-1866, huile sur toile, 108,9 × 71,1 cm, Art Institute of Chicago (Chicago)[26] ;
  • Le Petit Jardinier, vers 1866-1867, huile sur toile, 168,9 × 128 cm, musée des Beaux-Arts de Houston[27] ;
  • Portrait de Paul Verlaine à l'âge de vingt-trois ans, 1867, huile sur toile, 57,2 × 45,1 cm, Suisse, collection privée en 2015[28] ;
  • Nature morte au héron, 1867, huile sur toile, 97,5 × 78 cm, Montpellier, musée Fabre[29] ;
  • Les Remparts d'Aigues-Mortes, 1867, huile sur toile, 46 × 75,5 cm, Montpellier, musée Fabre[30],[31] ;
  • Réunion de famille, 1867, huile sur toile, 152 × 230 cm, Paris, musée d'Orsay[32] ;
  • Porte de la Reine à Aigues-Mortes, 1867, huile sur toile, 80,6 × 99,7 cm, New York, Metropolitan Museum of Art[31],[33] ;
  • Autoportrait, vers 1867-1868, huile sur toile, 54 × 46 cm, Minneapolis Institute of Art[34] ;
  • Le Pêcheur à l'épervier, 1868, huile sur toile, 134 × 83 cm, Musée d'Art contemporain de Rolandseck, Remagen[35]
  • Vue de village[36], 1868, huile sur toile, 137,5 × 85,5 cm, Montpellier, Musée Fabre[37]
  • Fleurs, 1868, huile sur toile, 130 × 95 cm, musée de Grenoble[38] ;
  • Scène d'été, 1869, 158 × 158 cm, Cambridge, Université Harvard[39] ;
  • Femme en costume mauresque, 1869, huile sur toile, Pasadena, Norton Simon Museum[40] ;
  • La Toilette, 1870, 153 × 148,5 cm, Montpellier, musée Fabre[41],[42]
  • L'Atelier de Bazille, 1870, en collaboration avec Édouard Manet, 98 × 128,5 cm, Paris, musée d'Orsay[43] ;
  • Paysage au bord du Lez, 1870, 137,8 × 202,5 cm, Minneapolis Institute of Art[44] ;
  • Jeune femme aux pivoines[45], 1870, huile sur toile, 60,3 × 75,2 cm, Montpellier, musée Fabre[46].
  • Homme portant un béret, Collection privée, Vente 2003[47]

Expositions

  • 1992-1993 : Drapeau de la France Drapeau des États-Unis « Frédéric Bazille et ses amis impressionnistes », musée Fabre (Montpellier) et Brooklyn Museum, Brooklyn (New York), de à  ;
  • 1999 : Drapeau des États-Unis « Monet & Bazille: A Collaboration », High Museum of Art (Atlanta), du au [48] ;
  • 2003-2004 : Drapeau de la France « Bazille », musée Marmottan (Paris), d' à  ;
  • 2016 : Drapeau de la France « Frédéric Bazille, la jeunesse de l’impressionnisme », musée Fabre (Montpellier), du au [49] ;
  • 2017 : Drapeau de la France « Frédéric Bazille (1841-1870). La jeunesse de l'impressionnisme », musée d'Orsay (Paris), du au [50] ;
  • 2017 : Drapeau des États-Unis « Frédéric Bazille and the Birth of Impressionism », National Gallery of Art (Washington D.C.), du au [51]. Quarante-cinq des cinquante-deux peintures connues de l'artiste sont réunies pour cette exposition[52].


Mémoire urbaine

  • Le square Frédéric-Bazille (Paris) lui rend hommage.
  • Une impasse porte son nom dans le quartier de Château-Malo à Saint-Malo.
  • Le collège de Beaune-la-Rolande porte son nom.

Galerie

  • Œuvres de Frédéric Bazille
  • La Robe rose (1864), huile sur toile (147 × 110 cm), Paris, musée d'Orsay.
    La Robe rose (1864), huile sur toile (147 × 110 cm), Paris, musée d'Orsay.
  • L'Ambulance improvisée (1865) (Monet blessé à l’Hôtel du Lion d'Or à Chailly-en-Bière), huile sur toile (48 × 65 cm), Paris, musée d'Orsay.
    L'Ambulance improvisée (1865) (Monet blessé à l’Hôtel du Lion d'Or à Chailly-en-Bière), huile sur toile (48 × 65 cm), Paris, musée d'Orsay.
  • Autoportrait (1865-1866), huile sur toile (109 × 72 cm), Chicago, Institut d'art de Chicago.
    Autoportrait (1865-1866), huile sur toile (109 × 72 cm), Chicago, Institut d'art de Chicago.
  • Le Petit Jardinier (vers (1866-1867), huile sur toile (168,9 × 128 cm), musée des beaux-arts de Houston.
    Le Petit Jardinier (vers (1866-1867), huile sur toile (168,9 × 128 cm), musée des beaux-arts de Houston.
  • Réunion de famille (1867), huile sur toile (152 × 230 cm), Paris, musée d'Orsay.
    Réunion de famille (1867), huile sur toile (152 × 230 cm), Paris, musée d'Orsay.
  • Nature morte au héron (1867), huile sur toile (97,5 × 78 cm), Montpellier, musée Fabre.
    Nature morte au héron (1867), huile sur toile (97,5 × 78 cm), Montpellier, musée Fabre.
  • Les Remparts d'Aigues-Mortes (1867), huile sur toile (60 × 100 cm), Washington, National Gallery of Art.
    Les Remparts d'Aigues-Mortes (1867), huile sur toile (60 × 100 cm), Washington, National Gallery of Art.
  • Portrait d'Auguste Renoir (1867), huile sur toile (62 × 51 cm), Montpellier, musée Fabre.
    Portrait d'Auguste Renoir (1867), huile sur toile (62 × 51 cm), Montpellier, musée Fabre.
  • Vue de village (1868), huile sur toile (130 × 89 cm), Montpellier, musée Fabre.
    Vue de village (1868), huile sur toile (130 × 89 cm), Montpellier, musée Fabre.
  • Fleurs, Frédéric Bazille, 1868, musée de Grenoble
    Fleurs, Frédéric Bazille, 1868, musée de Grenoble
  • Le Pêcheur à l'épervier (1868), huile sur toile (134 × 83 cm), Zurich, Fondation Rau pour le Tiers-Monde.
    Le Pêcheur à l'épervier (1868), huile sur toile (134 × 83 cm), Zurich, Fondation Rau pour le Tiers-Monde.
  • Portrait d'Alphonse Tissié (1868-1869), huile sur toile, Montpellier, musée Fabre.
    Portrait d'Alphonse Tissié (1868-1869), huile sur toile, Montpellier, musée Fabre.
  • Scène d'été. Les Baigneurs (1869), huile sur toile (160 × 160,7 cm), Cambridge, Fogg Art Museum.
    Scène d'été. Les Baigneurs (1869), huile sur toile (160 × 160,7 cm), Cambridge, Fogg Art Museum.
  • Portrait d'Edmond Maître (1869), huile sur toile (84 × 65 cm), Washington, National Gallery of Art.
    Portrait d'Edmond Maître[53] (1869), huile sur toile (84 × 65 cm), Washington, National Gallery of Art.
  • Femme en costume mauresque (1869), Pasadena, Norton Simon Museum.
    Femme en costume mauresque (1869), Pasadena, Norton Simon Museum.
  • La Toilette (1869-1870), huile sur toile (153 × 148,5 cm), Montpellier, musée Fabre.
    La Toilette (1869-1870), huile sur toile (153 × 148,5 cm), Montpellier, musée Fabre.
  • Jeune femme aux pivoines (1870), huile sur toile (60,3 × 75,2 cm), Montpellier, musée Fabre.
    Jeune femme aux pivoines (1870), huile sur toile (60,3 × 75,2 cm), Montpellier, musée Fabre.
  • En collaboration avec Édouard Manet, L'atelier de Bazille (1870), huile sur toile (98 × 128 cm), Paris, musée d'Orsay.
    En collaboration avec Édouard Manet, L'atelier de Bazille (1870), huile sur toile (98 × 128 cm), Paris, musée d'Orsay.
  • Jeune femme aux pivoines (ancien titre : Négresse aux pivoines) (1870), huile sur toile, Washington, National Gallery of Art.
    Jeune femme aux pivoines (ancien titre : Négresse aux pivoines) (1870), huile sur toile, Washington, National Gallery of Art.

Notes et références

  1. (en) Barbara E. White, Impressionists Side by Side: Their Relationships, Rivalries, and Artistic Exchanges, Knopf Doubleday Publishing Group, 1996, p. 270 : « Portrait Bazille, Portrait of Sisley, 1867-68. Oil on canvas, 11 x 12V1" (28 × 32 cm). Formerly Wildenstein Galleries, Paris; destroyed during World War II. »
  2. Encyclopædia Universalis, « FRÉDÉRIC BAZILLE », sur Encyclopædia Universalis (consulté le ).
  3. Frédéric Bazille, la jeunesse de l’impressionnisme, publié le 1er septembre 2016 sur le site En revenant de l'expo (consulté le 12 octobre 2016).
  4. 1 2 3 4 Collectif : direction Michel Hilaire et Paul Perrin, Frédéric Bazille, la jeunesse de l'impressionnisme, Paris, Flammarion, , 303 p. (ISBN 978-2-08-138821-5), pages 19 à 42.
  5. « L'Impressionnisme - Biographie de Frédéric BAZILLE », sur www.impressionniste.net (consulté le ).
  6. Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Éditions de Minuit, p. 559.
  7. La Tribune de l'art, Jeune Fille au piano, 1865-1866, . « Perdu », il est retrouvé sous une œuvre plus tardive par radiographie
  8. Bazille occupa l'atelier au no 9, rue La Condamine, du 1er janvier 1868 au 15 avril 1870.
  9. L'atelier de Bazille, musée d'Orsay .
  10. Janine Bailly-Herzberg, Dictionnaire de l'estampe en France, 1830-1950, préface de Michel Melot, Paris, Arts et métiers graphiques/Flammarion, 1985, p. 22 (ISBN 9782080120137).
  11. Marina Feretti Bocquillon, La Peinture au Musée d’Orsay, Editions de la Martinière, , 765 p. (ISBN 2-7324-3086-2), p. 218
  12. Sophie Monneret, L'Impressionnisme et son époque : Noms propres A à T, vol. 2, t. I, Paris, Robert Laffont, , 997 p. (ISBN 2-221-05412-1).
  13. Photographe. - Installé à Paris du milieu des années 1850 jusqu'en 1880.. {BnF-Data.
  14. Album de portraits cartes de visite ayant appartenu à Édouard Manet : militaire non identifié (Bazille ?), publié le 2 avril 2012 sur le site Gallica.bnf.fr (consulté le 17 mai 2018)
  15. « BAZILLE Frédéric », sur Cimetières de Montpellier (consulté le )
  16. Le sculpteur Auguste Baussan (1829-1907), L'inventaire, patrimoine culturel Languedoc Roussillon , consulté le 20 janvier 2017.
  17. Catherine Meneux, « MARX, Roger », notice de l'Institut national d'histoire de l'art (INHA).
  18. Institut national d'histoire de l'art, archive Marcel Aubert.
  19. Valérie Bougault, « Frédéric Bazille, récit d'une vie », Connaissance des arts, p. 78.
  20. Musée d'Orsay, Paris, « Frédéric Bazille. La jeunesse de l'impressionnisme », jusqu'au 5 mars 2017.
  21. 1 2 Deux nouvelles œuvres de Frédéric Bazille (mai 2009), publié sur le site du musée Fabre (consulté le ).
  22. 1 2 « La plus belle collection de Bazille », Harmonie, Imp. Chirripo, Montpellier Agglomération, no 263, , p. 11/48 (présentation en ligne, lire en ligne [PDF], consulté le ).
  23. « Notice d’œuvre (no 61) : La robe rose, vue de Castelnau-le-Lez », sur musée d'Orsay (consulté le ).
  24. « Notice d’œuvre (no 62) : L'ambulance improvisée », sur musée d'Orsay (consulté le ).
  25. « Salle Bazille (Numéro d'inventaire 85.5.3) : L'atelier de la rue Furstenberg », sur musée Fabre (consulté le ).
  26. (en) « Self-Portrait (Reference Number 1962.336) », sur The Art Institute of Chicago (consulté le ).
  27. (en) « The Little Gardener (Reference Number 76.236) », sur Musée des Beaux-Arts de Houston (consulté le )
  28. (en) Lot no 209 : Signé F. Bazille, daté de 1867 et dédicacé à mon cher ami le poète Paul Verlaine, publié le sur le site Sotheby's (consulté le ).
  29. « Salle Bazille (Numéro d'inventaire 85.5.3) : Nature morte au héron », sur musée Fabre (consulté le ).
  30. « Salle Bazille (Numéro d'inventaire 56.13.1) : Les remparts d'Aigues-Mortes », sur musée Fabre (consulté le ).
  31. 1 2 Les remparts d'Aigues-Mortes vus par Frédéric Bazille s'exposent à Montpellier, publié le par Sandrine Navas, sur le site de France 3 Occitanie (consulté le ).
  32. Réunion de famille (1867), publié le sur le site du musée d'Orsay (consulté le ).
  33. (en) « Porte de la Reine at Aigues-Mortes (Reference Number 1988.221) », sur The Met, (consulté le ).
  34. « Self-Portrait (Reference Number 62.39) », sur Minneapolis Institute of Art (consulté le ).
  35. (en) « Pêcheur à l'épervier », sur Arp Museum (consulté le )
  36. La jeune fille et l'enfant du métayer italien de la ferme, propriété de la famille Bazille.
  37. « Vue de Village », sur Musée Fabre (consulté le )
  38. La comète Bazille, publié le par Éric Bietry Rivierre, sur le site Le Figaro (consulté le ).
  39. (en) Harvard, « From the Harvard Art Museums’ collections Summer Scene (Bathers) », sur www.harvardartmuseums.org (consulté le )
  40. « Woman in a Moorish Costume » Norton Simon Museum », sur www.nortonsimon.org (consulté le )
  41. « La Toilette », sur Musée Fabre (consulté le )
  42. Manuela France, « Grâce à Bazille, le nu prend corps », Ça m'intéresse, no 461, , p. 76-77
  43. L'atelier de Bazille, publié le sur le site du musée d'Orsay (consulté le )
  44. « Landscape by the Lez River, Jean-Frédéric Bazille ^ Minneapolis Institute of Art », sur collections.artsmia.org (consulté le )
  45. Exposition : Jusqu’en juillet, à Paris, le musée d’Orsay rend sa juste place au «Modèle noir», publié le sur le site de La Voix du Nord (consulté le ).
  46. « 39 / La modernité de 1850 à 1914 / Parcours moderne / GRANDS PARCOURS / PARCOURS / COLLECTIONS / Musée Fabre », sur museefabre.montpellier3m.fr (consulté le )
  47. Artemis C. G. Boerner, « Publicité », Connaissance des arts n° 610, , p. 153
  48. (en) Dianne W. Pitman, Kermit Swiler Champa et David A. Brenneman (éditeur scientifique), Monet & Bazille : a collaboration (catalogue d'exposition), New York, High Museum of Art / M. H. Abrams, , 107 p., 32 cm (ISBN 0-8109-6384-1 et 9780810963849, OCLC 39936843, BNF 37182174, présentation en ligne)
  49. Frédéric Bazille, la jeunesse de l'impressionnisme, publié sur le site du musée Fabre (consulté le ).
  50. « Frédéric Bazille (1841-1870). La jeunesse de l'impressionnisme », sur musée d’Orsay (version du 24 novembre 2016 sur Internet Archive) (consulté le ).
  51. (en) Frédéric Bazille and the Birth of Impressionism, publié sur le site du National Gallery of Art (consulté le ).
  52. (en) Frederic Bazille and the Birth of Impressionism, , 334 p. (ISBN 978-2-08-020285-7)
  53. Ami de Bazille, très proche par la musique.

Voir aussi

Bibliographie

Frédéric Bazille (1867), Album Manet, Paris, BNF.
  • Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, t. 1 : A-C, Paris, Gründ, , XI-1056 p., in-8 (OCLC 311001663, BNF 44313173, présentation en ligne, lire en ligne), p. 441.
  • Frédéric Bazille et ses amis impressionnistes, catalogue de l'exposition au musée Fabre (Montpellier) et au Museum of Art de Brooklyn (États-Unis), juillet 1992-janvier 1993, Paris, Réunion des Musées nationaux et Brooklyn, Art Museum, 1992.
  • Didier Vatuone et Guy Barral, Correspondance de Frédéric Bazille, Nouvelles Presses du Languedoc, (ISBN 978-2-85998-105-1).
  • François-Bernard Michel, Frédéric Bazille : Réflexions sur la peinture, la médecine, le paysage et le portrait, les origines de l'impressionnisme…, Grasset, (ISBN 978-2-246-44941-6).
  • Valérie Bajou, Frédéric Bazille, 1841-1870, Édisud, (ISBN 978-2-85744-681-1).
  • Pascal Bonafoux, Bazille, les plaisirs et les jours, Herscher, coll. « Le musée miniature », (ISBN 978-2-7335-0240-2).
  • Michel Schulman, Frédéric Bazille, 1841-1870, Editions de l'Amateur, coll. « Éditions des Catalogues Raisonnés », (ISBN 978-2-85917-197-1).
  • (en) Dianne W. Pitman, Bazille: Purity, Pose, and Painting in the 1860s (Bazille: pureté, pose et peinture dans les années 1860), Pennsylvania State University Press, , 300 p. (ISBN 978-0271017006)
  • (en) Barbara Ehrlich White, Impressionists Side by Side: Their Friendships, Rivalries, and Artistic Exchanges : Impressionnistes côte à côte. Leurs amitiés, rivalités et échanges artistiques, Alfred A. Knopf, (ISBN 978-0679443179).
  • François Daulte, Frédéric Bazille et les débuts de l'impressionnisme. Catalogue raisonné de l'œuvre peint, coll. « Catalogues raisonnés », (ISBN 978-2-85047-182-7).
  • Marianne Delafond et Caroline Genet-Bondeville, Frédéric Bazille (Catalogue de l'exposition au musée Marmottan Monet), La Bibliothèque des Arts, , 93 p. (ISBN 2-88453-111-4).
  • Lucile Encrevé, « Gaston Bazile », in Patrick Cabanel et André Encrevé (dir.), Dictionnaire biographique des protestants français de 1787 à nos jours, tome 1 : A-C, Les Éditions de Paris Max Chaleil, Paris, 2015, p. 210-211 (ISBN 978-2846211901).
  • Collectif, Michel Hilaire, sous la direction de Paul Perrin, catalogue de l'exposition « Frédéric Bazille. La jeunesse de l’impressionnisme », Paris, 2016, musée d'Orsay / Flammarion (ISBN 978-208-138-82-15).
  • (en) Valérie M. C. Bajou, Grove Art Online, Oxford University Press, (ISBN 978-1-884446-05-4, lire en ligne)

Articles connexes

Liens externes