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Francis Picabia
Francis Picabia vers 1910-1915[1].
Naissance

Paris
Décès
(à 74 ans)
Paris
Sépulture
Nom de naissance
Francis-Marie Martinez de Picabia
Pseudonyme
Udnie
Nationalité
Activité
Formation
Représenté par
Artists Rights Society
Lieux de travail
Mouvement
Influencé par
Conjoint
Gabrièle Buffet-Picabia (de à )
Enfants
Gabrielle Martinez-Picabia
Vicente Picabia (d)
Parentèle
Anne Berest
Distinction
Site web
Œuvres principales
  • Corrida, 1926-1927
  • Le Matador dans l'arène, 1941-1943

Francis Picabia, né Francis-Marie Martinez de Picabia le à Paris (2e arrondissement)[2] et mort le dans la même ville, est un peintre, dessinateur et écrivain français, proche du mouvement dada, puis surréaliste.

Biographie

Famille, jeunesse et formation

Francis Picabia est le petit-fils de Juan Martinez Picabia, né à Cuba, puis émigré à New York et Madrid et, côté maternel, d'Alphonse Davanne (1824-1912), chimiste et photographe, et président de la Société française de photographie. Son oncle, Maurice Davanne, est conservateur à la bibliothèque Sainte-Geneviève à Paris.

Sa mère, Marie Davanne, meurt en 1886. Il fait ses études chez les marianistes au collège Stanislas, puis au lycée Monge, à Paris.

En 1894, voulant éprouver la vocation tôt manifestée de son fils, « Pancho » Picabia envoie, au Salon des artistes français, la toile de Francis intitulée Vue des Martigues. Le tableau ayant été non seulement accepté, mais primé, Picabia entre, après une scolarité compliquée, à l'École des arts décoratifs l'année suivante, où il sera l'élève de Wallet, Humbert et Cormon[3] ; mais il fréquente plus volontiers l'École du Louvre et l'académie Humbert, où il travaille aux côtés de Georges Braque et de Marie Laurencin.

Peintre impressionniste

L'année 1897 marque un tournant dans sa carrière : la découverte d'Alfred Sisley lui révèle l'impressionnisme, pour lequel son enthousiasme se renforce avec la rencontre de la famille Pissarro, en 1898. Il commence à exposer régulièrement au Salon des artistes français.

C'est pour lui le début d'une période extrêmement féconde, qui durera dix ans ; les centaines de toiles qu'il peint alors, où l'influence impressionniste reste toujours plus ou moins sensible, sont propres à séduire le public : sa première exposition personnelle de 1905, à la galerie Haussmann à Paris, est un triomphe. Les tableaux exposés, étrangers aux nouvelles recherches plastiques, relèvent de l'imitation du « pur luminisme impressionniste » (Bords du Loing, 1905, Philadelphie, Museum of Art). Cependant, Picabia remet peu à peu en cause les valeurs plastiques qui lui valent son succès grandissant et, en 1908, sa rencontre avec Gabriële Buffet qui l'encourage à poursuivre de récentes recherches , détermine la rupture avec l'impressionnisme comme avec ses marchands, rupture permise aussi par sa fortune personnelle.

De 1903 à 1908, influencé par les peintres de Barbizon, il côtoie Alfred Sisley, Camille Pissarro et Marius Borgeaud.

Picabia dans sa Maison rose, au Tremblay-sur-Mauldre.

À sa majorité, il prend possession de l'héritage maternel qui lui assure de confortables revenus. Sa première exposition personnelle (61 tableaux) est organisée en 1905 à Paris à la galerie Haussmann, chez Danthon, la suivante à Berlin à la Kaspar Kunstsalon. Il montrera ensuite ses œuvres à nouveau chez Danthon en 1907, puis à Londres, Munich, Barcelone.

De 1905 à 1908, Picabia séjourne deux fois à Martigues et réalise de nombreux paysages de style impressionniste de la ville et de ses canaux.

En 1909, il épouse Gabriële Buffet, musicienne liée ensuite au mouvement Dada. Ensemble, ils ont une fille, Laure Marie Catalina, née en 1910 ; un garçon, Pancho Gabriel François, en 1911. Ils auront encore une fille, Gabrielle Cécile, dite « Jeannine », qui deviendra une résistante importante de la Seconde Guerre mondiale, en 1913, et un garçon, Vincente, né en 1919. À cette époque, Picabia peint de manière très colorée à la manière des Fauves et fait ses premières incursions dans le domaine de l'abstraction.

Son aquarelle Caoutchouc de 1909 (Musée national d'Art moderne, Paris), qui avait été antidatée de 1907, fut considérée plusieurs années plus tard, en 1930, comme une des œuvres pionnières et fondatrices de l'art abstrait[4] et pourrait représenter des balles de caoutchouc, comme dans La Petite fille au ballon de 1908 de František Kupka.

En 1911, il rejoint le groupe de Puteaux qui se réunissait dans le studio du peintre Jacques Villon, frère de Marcel Duchamp, qu'il a rencontré en 1910. Il devient aussi orphiste et crée en 1912, à Puteaux, le Salon de la Section d'Or, avant de connaître un premier succès international à l'exposition de l'Armory Show de New York, en 1913.

Marqué par la Broyeuse de chocolat et le concept de ready-made de Marcel Duchamp, il confectionne, dès 1913, une série d'œuvres où il reprend l'esthétique du dessin industriel, recopiant ou simplifiant des images qu'il trouvait dans le magazine scientifique La Science et la Vie.

Dada

De 1913 à 1915, Picabia se rend plusieurs fois à New York et prend une part active dans les mouvements d'avant-garde, introduisant l'art moderne sur le continent américain. En 1916, après une série de compositions « mécanistes », où il traite les objets manufacturés avec une distante ironie, il lance à Barcelone la revue 391 et se rallie au dadaïsme. Il rencontre Tristan Tzara et le groupe dada de Zurich, en 1918 après avoir côtoyé à New York Marcel Duchamp, Man Ray, Arthur Cravan et Henri-Pierre Roché. Il se fait alors le saboteur de dada avec André Breton, à Paris. Polémiste, iconoclaste, sacrilège, Picabia s'agite autour de dada en électron libre, en étant en principe « anti-tout », voire anti-Picabia. En 1921, las des querelles et des provocations, il rompt avec ses anciens complices. « J'ai inventé le dadaïsme ainsi qu'un homme met le feu autour de lui, au cours d'un incendie qui gagne, afin de ne pas être brûlé », écrit Francis Picabia en 1947. Il n'en demeurera pas moins fidèle au côté iconoclaste des dadaïstes dans ses écrits et avec ses tableaux résolument provocateurs, tel son L’Œil cacodylate simplement couvert des signatures de ses amis, se moquant du fait que la signature de l'artiste est ce qui confère de la valeur à une œuvre.

Mobilisé pour la guerre en 1914, Picabia réussit à obtenir une mission pour Cuba. Il descend à New York où il retrouve ses amis. Inspiré par sa passion de la mécanique automobile, Picabia crée une série de peintures et de collages à sujets mécaniques. Il détourne la figuration proprement dite des moteurs et des engrenages pour s'en servir à des fins humoristiques, symboles des penchants humains, de l'amour et de la pulsion sexuelle.

En 1917, il rencontre Germaine Everling avec laquelle il part, en 1918, pour Lausanne. Quand elle rentre à Paris, Picabia est assailli à coups de feu par Costica Gregori qui lui reproche d'avoir eu des relations avec son épouse, Charlotte, artiste peintre sous le nom de « Charles ». Picabia revient alors vivre à Paris, voyageant souvent vers New York, la Normandie, la Côte d'Azur, et joue souvent dans les casinos avec des fortunes diverses. Un fils, Lorenzo, naît de sa liaison avec Germaine Everling. La Suissesse Olga Mohler est embauchée pour s'occuper de Lorenzo, qui a cinq ans en 1923. Il expose des œuvres inspirées des recherches optiques de Marcel Duchamp. Il hérite de la fortune de son oncle décédé.

En 1917, il fonde à Barcelone la revue 391 (en hommage à la revue 291 (en) d'Alfred Stieglitz éponyme de la galerie de New York)[5], à laquelle participent Duchamp et Man Ray.

Malgré son apostrophe ancienne à l’encontre du couturier, « Merde pour les collections parfumées de M. Doucet », Francis Picabia est l'un des artistes favoris de Jacques Doucet qui lui achète à plusieurs reprises des toiles et des dessins pour orner ses demeures, conseillé par André Breton. Picabia entretient des relations suivies avec Jacques Doucet, au-delà de la période de collaboration de Breton à la Bibliothèque littéraire. Il cède à Doucet pour ses collections littéraires divers manuscrits, des articles de la revue Comoedia, dont celui de Picabia se sépare de Dada ainsi que les maquettes de la revue 391. Quelques années après la mort du collectionneur, Picabia remet à la bibliothèque, pour compléter ces éléments, les 13 volumes de ses Albums, qui constituent un récapitulatif au jour le jour des péripéties du mouvement Dada, composé de documents originaux, de dessins, de coupures de presse, mais également la correspondance reçue par Francis Picabia et sa compagne Germaine Everling au cours des années 1920. La Bibliothèque conserve également une grande partie des livres publiés par Picabia.

En 1975 et en 1978, Olga Picabia compléta cet ensemble par le don de lettres adressées à l'artiste[6].

Outre l'automobile et les jeux de hasard, il se passionne pour le cinéma et la photographie. Dans ses écrits sur le cinéma, il pressent le rôle prépondérant du cinéma américain. En 1924, il écrit le scénario du court-métrage Entr'acte, réalisé par René Clair, et destiné à être projeté à l'entracte de son ballet instantanéiste qu'il met en scène et dont il réalise les décors, Relâche (chorégraphie de Jean Börlin et musique d'Erik Satie, celui-ci y figurant d'ailleurs au tout début). Il travaille ensuite pour les Ballets suédois, de Rolf de Maré, pour lesquels il réalise de nombreux décors. Le 31 décembre de la même année, il propose une soirée unique, Ciné-Sketch, où trois scènes se déroulent en étant éclairées brièvement et en alternance.

Il s'installe à Mougins en 1925 dans le Château de Mai. Il y mène durant quelques années une vie mondaine remarquée. Il continue de peindre, notamment sa série des transparences. Il prend ses distances avec Dada. Il commence une liaison avec Olga Mohler qui entraîne la séparation avec Germaine Everling en 1933, année où Picabia est fait chevalier de la Légion d'honneur.

En 1935, il entame un cycle de peintures figuratives. Il vend son Château de Mai. Il partage ensuite son temps entre Paris et le Midi.

La guerre et après

En 1940, conviés sans doute par leur ami Robert Dumas haut personnage des casinos, qui sera préfet du Lot de la Résistance, dit « le préfet des bois » , qu'ils ont connu à Monte-Carlo, Francis Picabia et Olga Mohler se réfugient chez les Dumas, à Calamane, dans le Lot. Ils s'y marient le 14 juin. Mme Dumas est leur témoin. Ils reviendront plus tard à Golfe Juan. Ils s'installent ensuite à Tourrettes-sur-Loup, puis à Felletin, dans la Creuse. Il continue de peindre des tableaux réalistes, souvent repris de photographies. Son indifférence provocante autant envers la Résistance que la collaboration lui vaut des ennuis à la fin de la guerre.

Après 1945, il regagne Paris, renoue avec l'abstraction et publie des écrits poétiques.

Son goût immodéré pour les fêtes et les voitures (il en collectionnera plus de 150), le ruine malgré la fortune familiale dont il avait hérité et qui l'avait longtemps mis à l'abri[7]. Il multiplie les petites toiles de nombreux genres, parfois même inspirées de magazines pornographiques. En butte à des ennuis de santé, ses derniers tableaux relèvent du minimalisme : des points de couleurs semés sur des fonds épais et monochromes, titrés Je n'ai plus envie de peindre, quel prix ?, Peinture sans but ou Silence…

Au printemps 1949, Michel Tapié à la galerie René Drouin, à Paris, organise sa première rétrospective.

Sépulture au cimetière de Montmartre.

À la fin de l'année 1951, Picabia souffre d'une athérosclérose paralysante qui l'empêche de peindre et meurt deux ans plus tard. Il est inhumé dans la chapelle Davanne, au cimetière de Montmartre (31e division).

Olga Picabia est décédée en 2002 à 97 ans.

Œuvres


Peintures

(Huile sur toile sauf mention contraire.)

  • Plages et rochers à Douarnenez, 1901[8]
  • Les Martigues, 1902, fusain sur papier[9]
  • Bord du Loing. Effet d'automne, 1904[10]
  • La Rivière. Bord de la Douceline à Munot près de La Charité-sur-Loire, 1906[11]
  • Caoutchouc, 1909
  • L'Arbre rouge, 1912[12]
  • La Procession, Séville, 1912[13]
  • Udnie, 1913[14]
  • Edtaonisl, 1913[15]
  • New York, 1913, mine graphite, gouache et aquarelle sur papier[16]
  • La Ville de New York aperçue à travers mon corps, 1913, gouache, aquarelle, crayon et encre[17]
  • Prostitution universelle, 1916[18]
  • Parade amoureuse, 1917, huile sur carton[19]
  • Danse de Saint-Guy (Tabac Rat), 1919[20]
  • Le Double Monde, 1919
  • L'Enfant Carburateur, 1919, huile, émail, feuille d'or, crayon sur contreplaqué[21]
  • L'Œil cacodylate, 1921[22]
  • Chapeau de paille ?, 1921[20]
  • La Nuit espagnole, 1922[23]
  • Optophone II, 1923[24]
  • Dresseur d'animaux, 1923, Ripolin sur toile[25]
  • Cure-dents, 1925, huile et collage sur toile[26]
  • Corrida, 1926-1927, gouache[27]
  • Idylle, 1927, huile sur carton[28]
  • L'Autoportrait de dos avec femme enlacée et masque, 1927-1930[29]
  • La Mariée, 1929, technique mixte sur toile[30]
  • Le Masque et le Miroir, 1930-1945, huile sur contre- plaqué[31]
  • Figure et fleurs, 1935-1945[32]
  • Maternité, 1936[33]
  • Printemps, 1938[34]
  • Le Matador dans l'arène, 1941-1943, huile sur carton[35]
  • Sans titre (masque), 1946-1947, huile sur carton[36]
  • Chose à moi-même, 1946, huile sur carton[37]
  • Cherchez d'abord votre Orphée, 1948, huile sur toile[38]
  • L'Insensé, 1948[39]
  • Veuve, 1948, huile sur bois[40]
  • Déclaration d'amour, 1949, huile sur panneau[41]
  • Symbole, 1950, huile sur contreplaqué[42]

Estampes

  • Le Loing, avant 1947, pointe sèche[43]

Publications

Première édition de Jésus-Christ Rastaquouère, 1920, illustrations de Georges Ribemont-Dessaignes.
  • Cinquante-deux miroirs, octobre 1917, Barcelone
  • Poèmes et dessins de la Fille née sans mère, avril 1918, Lausanne, Imprimeries réunies ; rééd. Allia, 1992
  • L'Îlot de Beau-Séjour dans le Canton de Nudité, juin 1918, Lausanne
  • L'Athlète des Pompes funèbres, décembre 1918, Bégnins
  • Râteliers platoniques, décembre 1918, Lausanne
  • Poésie ron-ron, février 1919, Lausanne
  • Pensées sans langage, avril 1919, Paris
  • Unique Eunuque février 1920, Paris, éditions Au Sans Pareil, coll. « Dada », rééd. Allia, 1992[44]
  • Jésus-Christ Rastaquouère, 1920, Paris, éditions Au Sans Pareil, coll. « Dada », rééd. Allia, 1992[45]
  • Caravansérail, 1924, Paris, éditions Luc-Henri Mercié ; rééd. Belfond, 1975[46]
  • Choix de poèmes par Henri Parisot, 1947, Paris, éditions Guy Lévis Mano
  • Lettres à Christine, 1945-1951, édition établie par Marc Dachy & Jean Sireuil, Paris, éditions Champ libre, 1988 (ISBN 978-2851841841)
  • Écrits, édition établie par Olivier Revault d'Allonnes & Dominique Bouissou, Paris, Belfond, 1975 et 1978 (ISBN 9782714411204)
  • Écrits critiques, édition établie par Carole Boulbès, préface de Bernard Noël, Paris, Mémoire du Livre, coll. « Essais », 2005 (ISBN 978-2913867512)
  • Correspondance avec Tristan Tzara et André Breton 1919-1924, éditée établie par Henri Béhar, Paris, Gallimard, 2017

Expositions

  • « Francis Picabia », galeries nationales du Grand Palais, Paris, du 23 janvier au 29 mars 1976
  • « Francis Picabia : les nus et la méthode », musée de Grenoble du 17 octobre 1998 au 3 janvier 1999
  • « Francis Picabia: A Retrospective », Kunsthaus de Zurich, du 3 juin au 25 septembre 2016
  • « Francis Picabia: Our Heads Are Round so Our Thoughts Can Change Direction », Museum of Modern Art de New York, du 21 novembre 2016 au 19 mars 2017
  • « Picabia pique à Ingres », musée Ingres-Bourdelle, Montauban, 8 juillet au 30 octobre 2022[47]

Notes et références

  1. « Francis Picabia », notice de la Library of Congress.
  2. Archives numérisées de l'état civil de Paris, acte de naissance no 2/116/1879, avec mention marginale du décès (consulté le 10 septembre 2012).
  3. « Biographie de Francis Picabia par Beverley Calte », sur picabia (consulté le ).
  4. Francis Picabia, Caoutchouc, 1909 et sa note d'analyse, MNAM, Paris, sur collection.centrepompidou.fr.
  5. Pierre Cabanne et Pierre Restany, L'Avant garde au XXe siècle, Paris, André Balland, , 473 p., p.188.
  6. Abes, « Calames », sur calames.abes.fr (consulté le ).
  7. Galeries Nationales du Grand Palais, « Francis Picabia », Catalogue de l'exposition, 23 janvier au 29 mars 1976.
  8. Collection particulière.
  9. Alès (Gard), musée Pierre-André-Benoit.
  10. Agen, musée des Beaux-Arts.
  11. Nevers, musée de la Faïence et des Beaux-Arts. Œuvre volée le puis restituée par Sotheby's France le « Une toile volée de Picabia restituée par Sotheby's au musée de Nevers », sur lepoint.fr.
  12. 92,5 × 73,4 cm. Paris, musée national d'Art moderne.
  13. 121,9 × 121,9 cm. Washington, National Gallery of Art.
  14. 290 × 300 cm. Paris, musée national d'Art moderne. Reproduction dans Giovanni Lista, Dada libertin et libertaire, éditions L'Insolite, Paris, 2005, p. 28 (ISBN 978-2916054018).
  15. Art Institute of Chicago.
  16. 55,8 × 75,8 cm.
  17. 55 × 74,5 cm. Reproduction dans Lista, op. cit., p. 29.
  18. New Haven, Yale University Art Gallery.
  19. 97 × 74 cm. Paris, collection particulière.
  20. 1 2 Paris, musée national d'art moderne.
  21. New York, musée Solomon R. Guggenheim.
  22. Paris, musée national d'art moderne. Reproduction dans Serge Lemoine, Dada, éditions Hazan, Paris, 1991-2005, p. 69.
  23. Cologne, musée Ludwig.
  24. 116 × 88,5 cm. Paris, musée national d'Art moderne. Reproduction dans Beaux Arts Magazine, no 103, juillet-août 1992, p. 49.
  25. 250 × 200 cm. Paris, musée national d'art moderne ; sur centrepompidou.fr.
  26. 129 × 110 cm. Reproduction dans Beaux Arts Magazine, no 126, septembre 1994, p. 112.
  27. 104,8 × 75,2 cm. Collection privée.
  28. 105,7 × 75,7 cm.Musée de Grenoble.
  29. Antibes (Alpes-Maritimes), musée Picasso.
  30. 121,5 × 96,5 cm.
  31. 85,2 × 69,9 cm. Paris, musée national d'art moderne.
  32. 100 × 73 cm. Paris, musée national d'art moderne.
  33. 162,4 × 130,3 cm. Paris, musée national d'art moderne.
  34. galerie Rose Fried.
  35. 105 × 76 cm. Genève, musée du Petit Palais.
  36. 64,5 × 52,5 cm. Paris, musée national d'art moderne.
  37. 92 × 72,5 cm. Collection particulière. Cité dans Laurence Bertrand Dorléac, Après la guerre, éditions Gallimard, coll. « Art et artistes », Paris, p. 58 (BNF 42141329).
  38. 169 × 70 cm. Alès, musée Pierre-André Benoit.
  39. 151 × 10 cm. Cologne, musée Ludwig. Reproduction dans Beaux-Arts magazine, no 69, juin 1989, p. 86.
  40. 153,2 × 116 cm. Paris, musée national d'art moderne.
  41. 96 × 69 cm. Alès, musée Pierre-André Benoit.
  42. 100 × 85 cm. Alès, musée Pierre-André Benoit.
  43. 24,8 × 19,4 cm ; sur photo.rmn.fr.
  44. 1992, Paris, éditions Allia, coll. « Avant Gardes » (ISBN 978-2904235467).
  45. 1996, Paris, Allia, coll. « Petite Collection » (ISBN 978-2911188237).
  46. 1975, Paris, éditions Belfond.
  47. Modèle {{Lien web}} : paramètre « titre » manquant.https://museeingresbourdelle.com/picabia-pique-a-ingres, sur museeingresbourdelle.com (consulté le )

Voir aussi

Bibliographie

  • Cathy Bernheim, Picabia, éditions du Félin, coll. « Vifs », 1995, 256 p. (ISBN 978-2866451882)
  • Daniel Birnbaum, Maria Lluïsa Borràs, Carole Boulbès, et al., Francis Picabia, singulier idéal, Paris, Paris-Musées, , 461 p. (ISBN 2-87900-706-2)
  • (en) William A Camfield, Francis Picabia, (lire en ligne)
  • Antoine Coron, Carole Hyza, Marie-Odile Hubert, Francis Picabia, pionnier de l'art moderne, Alès, Musée Pierre-André-Benoit, , 109 p. (ISBN 2-907791-50-8)
  • Germaine Everling, L'Anneau de Saturne, Paris, Fayard, 1970
  • Serge Fauchereau, Picabia, Paris, éditions Cercle d'Art, 2002, 64 p. (ISBN 9782702206836)
  • George Isarlo, Picabia peintre, Paris, José Corti, coll. « Orbes », no 1, 1929
  • Alain Jouffroy, Picabia, Paris, éditions Assouline, coll. « Mémoire de l'art », 2003, 80 p. (ISBN 978-2843233944)
  • Marc Le Bot, Francis Picabia et la crise des valeurs figuratives, Paris, Klincksieck, 1968

Filmographie

  • Prenez garde à la peinture et à Francis Picabia, documentaire de Rémy Ricordeau (90 min), Paris, 2018, édition DVD en coffret avec un livret illustré de 90 pages. Production Sevendoc / Aube et Oona Ellouët, coll. « Phares »

Liens externes