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Jean-Léon Gérôme
Jean-Léon Gérôme par Nadar.
Biographie
Naissance
Décès
(à 79 ans)
9e arrondissement de Paris
Sépulture
Nationalité
Formation
Activités
Fratrie
Claude-Armand Gérôme (d)
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Académie des beaux-arts
Académie royale suédoise des Beaux-Arts
Académie américaine des arts et des sciences
Royal Academy
Ligue de la patrie française
Société des peintres orientalistes français
Mouvements
Académisme, orientalisme, néo-grec, mouvement néo-pompéien (d)
Maîtres
Paul Delaroche, Charles Gleyre
Genres artistiques
Peinture d'histoire, peinture religieuse
Influencé par
Charles Gleyre
Distinctions
Œuvres principales
Pollice verso, Bonaparte devant le Sphinx, Vente d'esclaves à Rome, Suites d'un bal masqué, Consummatum est
signature de Jean-Léon Gérôme
Signature
Vue de la sépulture.

Jean-Léon Gérôme, né à Vesoul le et mort à Paris le , est un peintre et sculpteur français.

Membre de l'Académie des beaux-arts, il composa des scènes orientalistes, mythologiques, historiques et religieuses. À partir de 1878, il réalise des sculptures, la plupart polychromes, représentant des scènes de genre, des personnages ou des allégories.

Promu grand officier de la Légion d'honneur, Gérôme est distingué lors des différentes expositions universelles auxquelles il participe et fait figure de peintre officiel à la fin du XIXe siècle. Il devient professeur à l’École des beaux-arts durant près de quarante années, et forme plus de 2 000 élèves.

Considéré comme l'un des artistes français les plus célèbres de son temps, Jean-Léon Gérôme est l'un des principaux représentants de la peinture académique du Second Empire. Il a été un éminent professeur aux Beaux-Arts de Paris, formant de nombreuses générations d'élèves. Après avoir connu un succès et une notoriété considérables de son vivant, son hostilité violente vis-à-vis des avant-gardes, et principalement des impressionnistes, le fait tomber dans l'oubli après sa mort. Son œuvre est redécouverte à la fin du XXe siècle et connaît une postérité en devenant, entre autres, une source d'inspiration pour le cinéma[1].

Biographie

Jeunesse

La maison natale de Jean-Léon Gérôme, rue d'Alsace-Lorraine dans le quartier historique de Vesoul.
Gérôme commença ses études au collège de Vesoul, qui, en hommage, porte son nom depuis 1907.

Jean-Léon Gérôme est né le au no 9 de la rue du Centre (actuelle rue d'Alsace-Lorraine) à Vesoul, préfecture du département de la Haute-Saône[2]. Son père, Pierre Gérôme, est orfèvre et sa mère, Mélanie Vuillemot, est la fille d’un négociant. Ses parents sont tous deux âgés de 23 ans à sa naissance. Il étudie au collège de Vesoul, établissement scolaire qui prend son nom en 1907 (collège Gérôme), où il montre des talents naturels pour le dessin.

Il obtient le baccalauréat en 1840, puis va poursuivre ses études à Paris en 1841. Par la suite, il devient l’élève du peintre Paul Delaroche qu’il accompagne en Italie quelques années plus tard et suit des cours aux Beaux-Arts. En 1842, il expose à Vesoul ses premiers tableaux : Esquisse de bataille, Chiens savants, Moines au lutrin[3],[4].

Carrière de peintre

À son retour d'Italie, Gérôme se fait connaître au Salon de 1847 par son Jeunes Grecs faisant battre des coqs (1846, musée d'Orsay, Paris), toile qui déjà illustre son souci du détail authentique et pour laquelle il reçoit la médaille d'or. Il devient alors chef de file d'un nouveau courant, le mouvement néo-grec, qui compte également parmi ses membres les peintres Jean-Louis Hamon et Henri-Pierre Picou[5]. Puis il change de genre et expose La Vierge, L'Enfant Jésus et saint Jean, et comme pendants, Anacréon, Bacchus et l'Amour. Gérôme obtient en 1848 une deuxième médaille. Cette même année, il peint La République dans le cadre du concours organisé pour trouver la figure peinte de la nouvelle république[6]. Il réalise ensuite : Bacchus et l'Amour ivres, Intérieur grec et Souvenir d'Italie (1851), Vue de Paestum (1852), Idylle (1853).

Gérôme effectue des excursions dans l'Empire ottoman, sur les bords du Danube en 1854 et en Égypte en 1857, tout en remplissant ses carnets de nombreux dessins. En 1855, il envoie à l'Exposition universelle Pifferaro, Gardeur de troupeaux, Concert russe et une grande toile représentant Le Siècle d'Auguste et la naissance de Jésus-Christ, acquise par le ministère d'État. Sa réputation augmente considérablement au Salon de 1857, où il expose sept tableaux d'un genre plus populaire, entre autres Suites d'un bal masqué[7].

En 1859, il envoie au Salon une Mort de César et deux petites compositions, pleines de détails érudits, l'une retraçant un détail de gladiateurs et intitulée Ave Cæsar, l'autre représentant Le Roi Candaule. En 1861, il fait paraître Phryné devant l'aréopage, Socrate venant chercher Alcibiade chez Aspasie, Les Deux Augures.

Marie Goupil (1841-1912), son épouse.

Au même Salon, il envoie une scène orientale, Le Hache-paille égyptien, et Rembrandt faisant mordre une planche à l'eau-forte. Ses meilleures œuvres lui ont été inspirées par le courant orientaliste, sur la base de sujets égyptiens ou ottomans : Le Prisonnier et le Boucher turc (1861), La Prière, La Porte de la mosquée El-Hasanein au Caire (1866), Le Charmeur de serpent (1879), Le Marché d'esclaves, Le Marché ambulant au Caire et Promenade du harem[8].

En 1864, il devient professeur de peinture à l'École des beaux-arts de Paris. Il y enseigne avec Alexandre Cabanel et Isidore Pils. Le dessin constitue la base de son enseignement[9].

Il est élu à l'Académie des beaux-arts le 2 décembre 1865.

Il peint souvent des scènes historiques telles que Louis XIV et Molière (1863), La Réception des ambassadeurs du Siam à Fontainebleau (1865), L'Exécution du maréchal Ney (1868), L'Éminence grise (1873), Réception du Grand Condé à Versailles (1878), scènes qui privilégient la théâtralisation de l'anecdote et le goût du détail par rapport aux tableaux d'histoire traditionnels[5]. Dès 1862, ses toiles connaissent une large diffusion, notamment due au fait qu'il collabore avec Adolphe Goupil, un éditeur et marchand d'art renommé[5]. Il épouse d'ailleurs sa fille, Marie Goupil, le [10]. Ensemble, ils ont quatre filles : Jeanne (1863-1914), épouse du marchand d'art Étienne Boussod, Suzanne-Mélanie (1867-1941), épouse du peintre Aimé Morot, Blanche-Valentine (1878-1918), Juliette-Madeleine (1875-1907), épouse de l'éditeur Pierre Masson, et un fils, Jean-Armand Gérôme (1864-1891)[11].

En 1888 il est membre du jury, dans la section « Dessins », de la troisième Exposition internationale de blanc et noir, en compagnie de Louis Français, Henri Pille, et Auguste Allongé[12]

Carrière de sculpteur

Jean-Léon Gérôme dans son atelier vers 1885-1890.
Monument au duc d'Aumale (1899), Chantilly.

Gérôme arrive tardivement à la sculpture. Il commence sa carrière officielle de sculpteur à l'Exposition universelle de 1878 avec son groupe Les Gladiateurs, inspiré du groupe central de son tableau Pollice verso (1872), premier exemple des allers-retours permanents entre son œuvre peint et sculpté[5]. Suivent ses groupes Anacréon, Bacchus et l'Amour, et ses statues d’Omphale (1887) et de Bellone (1892) (cette sculpture polychrome en ivoire, métal et pierres précieuses, est exposée à l'Académie Royale de Londres et attira beaucoup l'attention), Tanagra. La polychromie est une caractéristique technique de ses sculptures. Gérôme parvient à ses fins soit en variant les matériaux comme dans son Bellone, soit en peignant directement la pierre à l'aide d'une cire teintée (Sarah Bernhardt, 1894-1901). Il entreprend aussi une série de sculptures de conquérants, travaillées dans l'or, l'argent et les gemmes : Bonaparte entrant au Caire (1897), Tamerlan (1898) et Frédéric le Grand (1899). C'est également à Gérôme que l'on doit le Monument au duc d'Aumale (1899) qui se trouve devant les grandes écuries à Chantilly. Il est l'auteur de L'Aigle blessé, monument érigé à Waterloo, à l'emplacement du dernier carré, deux ans après sa mort.

Gérôme s'est souvent représenté dans ses propres tableaux en train de sculpter (Le Travail du marbre, 1895, Autoportrait peignant la Joueuse de boule, 1901-1902). Il existe également un certain nombre de photographies où il se met en scène devant ses propres œuvres[13].

Décès

Tombe de Jean-Léon Gérôme, Paris, cimetière de Montmartre (division 18).

Gérôme meurt le dans son atelier et domicile, au 65 boulevard de Clichy dans le 9e arrondissement de Paris[14] et est inhumé au cimetière de Montmartre (18e division)[15].

Il est le beau-père du peintre Aimé Morot (1850-1913).

Succès

Gérôme connaît un large succès de son vivant, si bien qu'il a son buste dans la cour de l'Institut de France. Pourtant, à la fin de sa vie, sa farouche hostilité envers les impressionnistes, qu'il considérait comme « le déshonneur de l'art français[16] », contribue au déclin de sa popularité, notamment en France, connaissant en cela le sort réservé par les tenants du modernisme aux artistes représentatifs de l'académisme.

De nombreux musées conservent ses œuvres aux États-Unis, car des collectionneurs américains l'achetèrent de son vivant. Son influence a été déterminante dans l'esthétique des peplums du cinéma italien du début du XXe siècle et des superproductions hollywoodiennes des XXe et XXIe siècle[17].

Expositions monographiques

Un universitaire américain, Gerald Ackermann, a établi le catalogue de ses œuvres et organisé la première exposition à lui être consacrée, en 1981, à Vesoul, sa ville natale[18]. En conséquence, un grand nombre de ses œuvres sont visibles au musée Georges-Garret de Vesoul, et la municipalité donna son nom à un de ses collèges.

En 2000, Hélène Lafont-Couturier a organisé une exposition ayant pour thème Jean-Léon Gérôme et son marchand de tableaux, Adolphe Goupil, à Bordeaux, New York et Pittsburgh.

Une importante rétrospective lui a été consacrée à Paris au musée d'Orsay en 2010[19].

Une exposition lui a été consacrée au musée Anne-de-Beaujeu de Moulins en 2012, autour du tableau La Vérité sortant du puits, armée de son martinet, pour châtier l'humanité, qui est conservé dans ce musée[20].

Œuvres en collection publique

Parmi les oeuvres les plus connues de Gérôme, nous retrouvons notamment Bonaparte devant le Sphinx, Cave canem, prisonnier de guerre à Rome, La Prière à la mosquée, Marchand de tapis au Caire...

  • Jeunes Grecs faisant se battre des coqs (1846), Paris, musée d'Orsay.
    Jeunes Grecs faisant se battre des coqs (1846), Paris, musée d'Orsay.
  • Bonaparte devant le Sphinx (1867-1868), San Simeon, Hearst Castle.
    Bonaparte devant le Sphinx (1867-1868), San Simeon, Hearst Castle.
  • Portrait de femme, (1846), Montauban, musée Ingres-Bourdelle.
    Portrait de femme, (1846), Montauban, musée Ingres-Bourdelle.
  • Cave canem, prisonnier de guerre à Rome (1881), Vesoul, musée Georges-Garret.
    Cave canem, prisonnier de guerre à Rome (1881), Vesoul, musée Georges-Garret.
  • Suites d'un bal masqué (1857), Chantilly, musée Condé.
    Suites d'un bal masqué (1857), Chantilly, musée Condé.

Hommages

Plaque commémorative sur sa maison natale à Vesoul.

Une plaque commémorative a été apposée en son hommage sur la maison natale de Jean-Léon Gérôme à Vesoul.

Citations

  • « Je crois que je mérite d’être un peu tranquille, j’ai eu quarante-cinq visites et sur quarante-cinq, il y en a eu quarante-deux qui ont parlé du tableau de Gérôme ! » (Marcel Proust, À l'ombre des jeunes filles en fleurs, 1919, p. 78)
  • « Gérôme peint pour être reproduit[21]. » (Émile Zola)

Élèves

Élève de Paul Delaroche, Claude-Basile Cariage et de Charles Gleyre, Gérôme a eu à son tour de nombreux élèves, parmi lesquels :

  • William Ablett (1897-1900)
  • Joseph Apoux
  • Albert Aublet
  • Joseph Bail
  • Léon Bakst
  • Louis Barillet
  • Charles Bargue
  • Myron G. Barlow
  • Armand Beauvais
  • Georges Ferdinand Bigot
  • Alexandre Bloch
  • Frank Myers Boggs
  • Frederick Arthur Bridgman (1847-1928), en 1867
  • Dennis Miller Bunker
  • Raoul Carré
  • Mary Cassatt
  • Eugène-Jean Chapleau, inscrit en 1902[22]
  • Marie Léon Martial Chevreuil[23]
  • Gustave Corlin
  • Léon Coutil
  • Kenyon Cox
  • Kenneth R. Cranford
  • Charles Crès
  • Pascal Dagnan-Bouveret
  • Maxime Dastugue
  • Paul-Louis Delance
  • Hermann Delpech (1864-1945)
  • Félix Desgranges
  • Eugène François Deshayes
  • Gabriel Desrivières (né en 1857)
  • Alexis Douillard (1835-1905)[24]
  • Gustave Dussart
  • Paul-Maurice Duthoit
  • Thomas Eakins
  • Wyatt Eaton
  • Albert Edelfelt (1874-1877)
  • Albert-Jules Édouard
  • Hans Emmenegger
  • Henry d'Estienne
  • Maxime Faivre
  • Joseph Faverot
  • Julius Feld
  • Jules Flour
  • Julie Delance-Feurgard
  • Jules-Arsène Garnier
  • Saint-Elme Gautier
  • Albert Dakin Gihon (1876-1950)
  • Louis-Auguste Girardot
  • Roger Godchaux (1878-1958)
  • Jean-Richard Goubie
  • Georges Griveau
  • Ferdinand Gueldry
  • Osman Hamdi Bey
  • Thomas Alexander Harrison
  • Henri Jamet (1858-1940)
  • Alexej von Jawlensky (de 1864 à 1865)
  • Charles-Louis Kratké (1848-1921), graveur
  • David Junès[25](1874-1938)
  • Lucien Lantier
  • François-Raoul Larche (1860-1912), 2e prix de Rome en 1886.
  • Gustave Lorain
  • Alfred Marie Le Petit[26]
  • Adolphe Alexandre Lesrel
  • Julius LeBlanc Stewart
  • Jean-Jules-Antoine Lecomte du Nouy
  • William de Leftwich Dodge (en)
  • Donald Shaw Mac Laughlan, en 1898.
  • Paul-Eugène Mesplès, durant les années 1870.
  • Albin Meyssat
  • Lucien Mignon
  • Charles Moreau-Vauthier
  • Henry Moret, inscrit en 1876
  • Henri-Paul Motte
  • Siddons Mowbray
  • Émile Nickels
  • Lawton Parker
  • Fernand Pelez de Cordova
  • Georges Picard
  • William Picknell
  • Auguste-Émile Pinchart
  • Théophile Poilpot
  • Gamba de Preydour
  • Paul Quinsac
  • Jean-François Raffaëlli
  • Alexandre Rapin
  • Henri Rapin (1839-1889)
  • Maurice Réalier-Dumas
  • Odilon Redon
  • Horace Richebé
  • François-Maurice Roganeau
  • Jean Roque
  • José Roy
  • Georges Sauvage
  • Armand Sigwalt
  • Gaston Simoes de Fonseca
  • Paul Steck (1866-1924)
  • Louis-Adolphe Tessier
  • Abbott Thayer
  • Eugène Trigoulet
  • Théagène Evariste Vardon
  • Vassili Verechtchaguine
  • Douglas Volk (en)
  • Édouard Vuillard, en 1887
  • Julian Alden Weir
  • Robert Wettstein
  • Prosper Henri Wirth
  • Yamamoto Hōsui
  • Eugène Zak

Au cinéma et à la télévision

  • En 1902, Pathé a sorti un film du même nom qu'un des tableaux de Jean-Léon Gérôme (Un duel après le bal), qui se présente comme une reconstitution des actions qui se déroulent avant et après la scène du tableau[1].
  • Il est fait référence à l'artiste dans la série télévisée Arrow (saison 7, épisode 5) ainsi qu'à son oeuvre Dante (Il a vu l'Enfer), 1864.

Notes et références

  1. 1 2 Valentine Robert, « La part picturale du tableau-style », Indiana University Press, , p. 17 (lire en ligne).
  2. « Acte de naissance de Jean-Léon Gérôme », sur https://archives.haute-saone.fr/ (consulté le ).
  3. « Apprentissage - Biographie de Jean-Léon Gérôme », sur http://universdesarts.fr/ (consulté le ).
  4. « Biographie de Jean-Léon Gérôme », sur http://www.cannes-la-bocca.fr/ (consulté le ).
  5. 1 2 3 4 Jean-Léon Gérôme (1824-1904), L'histoire en spectacle, musée d'Orsay, [dépliant de l'exposition du 19 octobre 2010 au 23 janvier 2011].
  6. « La République | Paris Musées », sur www.parismuseescollections.paris.fr (consulté le )
  7. « Base Salons », sur salons.musee-orsay.fr (consulté le )
  8. « L'usage de la photographie, avec l'aide du sculpteur Auguste Bartholdi, lors du premier voyage en Égypte en 1865, puis de son beau-frère Albert Goupil en 1868, vient donner un sens particulier de l'exactitude, derrière lequel il masque subterfuges et anachronismes, en prenant bien des libertés avec les contexte chronologique et géographique. » (Dépliant de l'exposition Jean-Léon Gérôme (1824-1904), L'histoire en spectacle, musée d'Orsay, du 19 octobre 2010 au 23 janvier 2011.)
  9. M. Vottero, « L'atelier Gérôme à l'École des Beaux-Arts », Dossier de l'art, Hors série no 6, 2010, p. 60-61.
  10. Archives de Paris en ligne, Paris 9e, acte de mariage V4E 992, vue 224/31, acte 41.
  11. gw.geneanet.org.
  12. Catalogue de l'exposition de 1890 avec liste des membres du jury, texte en ligne.
  13. L. Caillaud, « Les audaces d'une nouvelle carrière », Dossier de l'art, Hors série, no 6, 2010, p. 40-47.
  14. Archives de Paris 9e, acte de décès no 32, année 1904 (vue 5/31).
  15. Registre journalier d'inhumation de Paris Montmartre de 1904, en date du 13 janvier (vue 28/30).
  16. Dossier de l'art, no 6, p. 59.
  17. Schlesser T, inspiré par la photographie, inspirateur du cinéma, Dossier de l'art, Hors série no 6, 2010, p. 62-69.
  18. Dictionnaire culturel de l'orientalisme, Christine Peltre, Éditions Hazan, 2008, (ISBN 9782754101929).
  19. Exposition Jean-Léon Gérôme au Musée d'Orsay - Paris, (octobre 2010 - janvier 2011).
  20. Site du musée Anne-de-Beaujeu.
  21. Dossier de l'art no 6, p. 7.
  22. Liste des membres de l'association La Fresque en 1933. Archives de Paris VR 594.
  23. Cimetière du Montparnasse 11e division.
  24. Philippe Bonnet, Peintures monumentales de Bretagne, PUR, 2021, p. 333.
  25. Bénézit de 1939 sur Gallica
  26. Précis analytique des travaux de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen pendant l’année 1908-1909, 1910, page LIX.

Annexes

Bibliographie

  • Gerald Ackerman, La Vie et l’œuvre de Jean-Léon Gérôme, ACR Édition, collection « Les orientalistes », 2000 (ISBN 978-2-86770-137-5).
  • Gerald Ackerman, Jean-Léon Gérôme - Monographie révisée - Catalogue raisonné mis à jour, ACR Éditions, 1986, 1992, 2000 (ISBN 978-2-86770-137-5), (OCLC 883592725), 420 p.
  • Gilles Cugnier, Gerald Ackerman, Jean-Léon Gérôme, 1824-1904 : peintre, sculpteur et graveur, ses œuvres conservées dans les collections françaises publiques et privées, catalogue exposition, Musée Georges-Garret, Vesoul, 1981.
  • Laurence des Cars, Dominique de Font-Réaulx, Edouard Papet, Jean-Léon Gérôme (1824-1904), l'histoire en spectacle, Éditions Musée d'Orsay et Skira-Flammarion , 2010, (ISBN 978-2-08124-186-2).
  • Olivier Deshayes, Jean-Léon Gérôme. Désir d'Orient (1824-1904), Paris, L'Harmattan, 2018, 292 p. (ISBN 978-2-34315-283-7).
  • Lynne Thornton, Les Orientalistes - peintres voyageurs, ACR Éditions, Poche couleur, 1993, 1994, (ISBN 978-2-86770-060-6).
  • Lynne Thornton, La Femme dans la peinture orientaliste, ACR Éditions, Poche couleur, 1993,1994, (ISBN 978-2-86770-061-3).
  • Christine Peltre, Dictionnaire culturel de l'orientalisme, Éditions Hazan, 2008, (ISBN 978-2-75410-192-9).
  • M. Zimmermann, « Gérome (Jean-Léon) » dans Dictionnaire de biographie française, vol. 15, Paris, [détail des éditions] , col. 1351–1352
  • « Gérôme, peintre de 1001 histoires », Le Petit Léonard, no 153, Éditions Faton, (ISSN 1280-9063).
  • « Jean-Léon Gérôme, l'histoire en spectacle », Dossier de l'art no 6, éditions Faton, 2010.
  • (en) A Dictionary of Modern and Contemporary Art, deuxième édition (ISBN 978-0-19923-966-5).
  • Nouveau Larousse illustré, 1898-1907, notice dans le domaine public.

Liens externes

Bases de données et dictionnaires