Morhange Rode | |
Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Moselle |
Arrondissement | Forbach-Boulay-Moselle |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Saint-Avold Synergie |
Maire Mandat |
Christian Stinco 2020-2026 |
Code postal | 57340 |
Code commune | 57483 |
Démographie | |
Gentilé | Morhangeois |
Population municipale |
3 390 hab. (2020 ) |
Densité | 220 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 55′ 31″ nord, 6° 38′ 45″ est |
Altitude | Min. 221 m Max. 305 m |
Superficie | 15,38 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Morhange (ville-centre) |
Aire d'attraction | Morhange (commune-centre) |
Élections | |
Départementales | Canton de Sarralbe |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | morhange.fr |
Morhange [mɔʁɑ̃ʒ] est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est. Ses habitants sont appelés les Morhangeois et sont au nombre de 3 484 en 2015.
Historiquement et culturellement située en Lorraine, Morhange est le chef-lieu d'un comté et d'un archiprêtré à l'Époque moderne. Cette petite ville a ensuite été le siège d'un district, d'un canton et d'une communauté de communes.
Géographie
Localisation
La commune se situe au cœur du département de la Moselle, département frontalier du Luxembourg et de l’Allemagne, à 39,4 km de Metz[1], à 43,1 km de Nancy[2], à 36,5 km de Sarrebourg[3], à 36,7 km de Sarreguemines[4] et à 34,7 km de Forbach[5].
Accès
Communes limitrophes
Géologie et relief
La ville s’est développée essentiellement en longueur, le long d’un axe principal qui s’étire au pied d’un vaste plateau de terres agricoles et de bois. Les pentes de ce plateau, avec souvent une forte déclivité, sont exposées plein sud et ont longtemps été couvertes de cultures et surtout de vergers ; elles ont été en partie urbanisées, essentiellement sous forme de maisons individuelles édifiées sur des terrains escarpés autour des quelques voies routières qui grimpent sur les hauteurs.
Au nord sur le plateau se trouvent la gare SNCF, la zone industrielle et les équipements de loisirs de l’étang de la Mutche et du site de la Claire-Forêt, ainsi que d’anciens terrains de manœuvres militaires.
Au sud s’étend une vaste plaine parsemée de petits villages, jusqu’aux hauteurs boisées en direction de Dieuze et du Parc naturel régional de Lorraine.
Voies de communication et transports
Reliée facilement par la route aux principales villes du département et de la région, la commune est également desservie par une gare ferroviaire, sur la ligne Metz – Strasbourg, située à l'extérieur de la ville et accessible par un service de navette communale.
Morhange bénéficie aussi de la proximité de la gare TGV à Louvigny et de celle de l’aéroport régional.
Hydrographie
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Petite Seille, le ruisseau la Rotte, le ruisseau de Rode, le ruisseau des Chanvres et le ruisseau le Betz[Carte 1].
(texte à fusionner) La rivière la Rotte, 23,4 km[6] qui est un affluent droit de la Nied donc un sous-affluent du Rhin par la Sarre et la Moselle, prend sa source au nord du territoire morhangeois. Le ruisseau le Betz, 4,9 km, affluent de la Rotte, traverse l'étang de la Mutche. |
La Petite Seille, d'une longueur totale de 25,5 km, prend sa source dans la commune de Racrange et se jette dans la Seille à Salonnes, après avoir traversé 15 communes[7].
Le ruisseau la Rotte, d'une longueur totale de 23,4 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Nied à Vatimont, après avoir traversé 13 communes[8].
La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Petite Seille et du ruisseau la Rotte, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Morhange est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Morhange, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[12] et 4 050 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[13],[14].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Morhange, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (61,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,9 %), zones urbanisées (17,8 %), prairies (17 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,6 %), forêts (4,9 %), eaux continentales[Note 3] (3,1 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
- D'un nom de personne germanique Moricho[18] suivi du suffixe -ing/-ingen francisé en -ange.
- Morichinga (816 et 902)[19], Morhangia (1245), Morchenges et Morehenges (1252), Mœrchinga/Moerchinga (1280), Morhanges (1329), Morchingen (1403), Meurichingen (1410), Mörchlingen (1460), Morangia (1508 environ)[20] Morhanges alias Morchingen (1594), Morchingen (XVIIe siècle), Merchingen (1645), Merchinge (XVIIe siècle), Morehange à la haute tour (1756), Morhange à la haute tour (1779)[21].
- Annexions de 1871-1918 et 1940-1944 : Mörchingen.
- En allemand : Moerchingen[21]. En francique lorrain : Märchinge.
Histoire
L'endroit comprend un site antique sur la hauteur puis un camp romain. Au Moyen Âge, Morhange appartient à une seigneurie puissante de la maison de Salm puis dépendant du duché de Lorraine.
Ancien chef-lieu d'une seigneurie du bailliage d'Allemagne, érigée plus tard en comté. La coutume de Lorraine y était suivie. Morhange était également le chef-lieu d'un archiprêtré de l'archidiaconé de Marsal, qui comprenait 42 paroisses.
Le château fort et la ville, dévastés et incendiés aux XIVe siècle-XVe siècle, furent reconstruits au pied de la colline. La bourgade a été occupée par le duc de Lorraine. Ce fut le lieu d'une bataille en 1641.
La ville devient française en 1680. Elle est rendue à la Lorraine en 1747, puis confisquée par la France en 1792.
Elle fut chef-lieu de district, de 1790 à 1795.
Le canton de Morhange, supprimé en 1802, comprenait les communes de[21] : Baronville, Brulange, Destry, Einchwiller, Harprich, Landroff, Morhange, Racrange, Rode, Suisse-Basse, Suisse-Haute et Vallerange.
Elle absorbe la commune de Rode (Rhode), le .
Comme les autres communes de l'actuel département de la Moselle, Morhange est annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1918. Morhange (Mörchingen en allemand) s'anime alors avec les troupes allemandes qui stationnent dans le bourg (construction de vastes casernes). Les collines alentour furent truffées de petits ouvrages militaires fortifiés, qui constituèrent la fameuse Muraille de Morhange.
Seigneurs de Morhange
Le terre de Morhange est longtemps possession de la maison de Salm[22]. À la mort de Jacques de Salm en 1474, elle passe, avec la seigneurie de Puttelange et la moitié du comté de Salm-en-Vosges, dans la famille des Rhingraves[23].
En 1742 ou 1743, Eléonore-Henriette de Poitiers, veuve de Maximilien Bleickard achète le comté de Morhange qui passe ainsi dans la famille de Helmstadt[24]. Leur fils, Maximilien-Auguste Bleickard, comte d'Helmstatt (1728-1802), épouse en 1747 Henriette-Louise de Montmorency-Laval, cousine de Louis-Joseph de Montmorency-Laval, évêque de Metz de 1760 à 1801. Il est élu député de la noblesse du bailliage de Sarreguemines aux états généraux.
Première Guerre mondiale
Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les hommes de Morhange sont contraints, comme tous les habitants de l’Empire allemand, de s'engager sous les armes. Dès le début de la guerre, la ville, adossée à des collines fortifiées par des ouvrages militaires légers, acquiert le surnom de « muraille de Morhange ». La bataille de Morhange a lieu les et . C'est un épisode de la bataille des Frontières. Les troupes françaises sont confrontées à un échec retentissant et sont décimées par l’artillerie allemande. Les armées françaises sont contraintes au repli. Au cours de la guerre, beaucoup de jeunes Morhangeois tombent sous l’uniforme allemand, sur le Front de l’Est, mais aussi à l’Ouest, en particulier en France et dans les Flandres. Sujets loyaux du Kaiser, les Mosellans accueillent cependant avec joie la fin des hostilités et la paix, enfin retrouvée. Morhange redevient française après la signature de l’armistice de 1918. Les casernes sont alors occupées par une importante garnison, comptant jusqu'à trois régiments et un commandant de place ayant le grade de général.
Seconde Guerre mondiale
La Seconde Guerre mondiale et le drame plus tragique de la seconde annexion par le Troisième Reich marquent longtemps les esprits. Une partie de la population est alors expulsée. De plus, les bombardements américains n'épargnent pas les civils. La commune est libérée le , six mois jour pour jour après le débarquement de Normandie[25], après de durs combats.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Administration municipale
Intercommunalité
Siège de la communauté de communes du Centre mosellan de 1997 à 2016, la commune fait partie de l'Agglo Saint-Avold Centre mosellan depuis 2017, renommée par la suite Saint-Avold Synergie.
Population et société
Démographie
Les habitants de Morhange s'appellent des Morhangeois(e)(s)[26].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].
En 2020, la commune comptait 3 390 habitants[Note 4], en diminution de 2,75 % par rapport à 2014 (Moselle : +0,38 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Manifestations culturelles et festivités
L’union des commerçants, à l’initiative de l’artiste Paul Schnebelen, expose avec l’aide de bénévoles, tous les ans pour les fêtes de Noël, un village d’automates de plus en plus grand (étapes de la construction d’un cheval de bois, « la pâtisserie », sapin de noël mécanique, etc.) ainsi qu’un village médiéval. Un défilé d’« objets roulants non identifiés » est organisé pour la Saint-Nicolas (en 2008 saint Nicolas arrive en soucoupe volante).
L'UCAME l'Union des Commerçants et Artisans - Morhange et Environs s'occupe de la majorité des manifestations de la ville (fête de la musique, happy retro day, la brocante).
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Édifices civils
- Traces d’une canalisation romaine.
- Traces de trois châteaux détruits aux XVIIIe siècle et XIXe siècle :
- vieux château, ou « château d’en haut », construit au XIIIe siècle pour Henri IV, comte de Salm. Détruit, on en utilisa les pierres pour la construction de l’église en 1749 ;
- château bas, ou « château d’en bas », château édifié fin XVIe siècle par les Rhingraves de Salm, tombé progressivement en ruine. Il ne fut plus remis en état ;
- château neuf, construit en 1768-1769 en face du château des Rhingraves. Aménagé en hôpital à la Révolution.
- Maison dite du Bailli, 10 rue Saint-Pierre, inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [31].
- Moulin de Rode.
- Plan d’eau de la Mutche (activités nautiques).
- Croix de franchise, dont l'origine remonte à 1345.
- Casernes.
- Ancien tribunal.
- Ancien hôpital Sainte-Barbara.
- Cimetière israélite, rue des Jardins créé en 1850.
- Cimetière militaire allemand du Hellenwald.
- Maison dite du Bailli.
- Ancien tribunal.
- Plaque de l'ancienne synagogue.
- Cimetière israélite.
- Cimetière militaire allemand du Hellenwald.
Édifices religieux
- Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, reconstruite au XVe siècle, entièrement restaurée en 1889 : longue nef de 7 travées, à gauche du chœur ; Vierge à l’Enfant XIVe siècle, statue de sainte Barbe XVe siècle, retable XVe siècle aux armes des maisons de Salm et de Joinville-Bonney, cloche hosanna de 1501, chaire offerte par le duc de Bade. L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul est classée au titre des monuments historiques par arrêté du [32].
- Chapelle de Rode.
- Église luthérienne, rue de Montmorency construite entre 1893 et 1895, désaffectée en 2003.
- Salle du Royaume, avenue du Parc Clémenceau.
- Ancienne synagogue détruite, rue de l'église. Une plaque commémorative marque la rue où était située l'ancienne synagogue, construite en 1864 et détruite au cours de la Seconde Guerre mondiale.
- Église luthérienne.
- Chapelle de Rode.
- Ancienne synagogue.
Personnalités liées à la commune
- Christophe de Brem (1670-1747), garde-scel du tabellionnage de Morhange de 1691 à 1716, procureur d'office, « receveur et intéressé dans les fermes des domaines de Morhange » (1721), conseiller-secrétaire des commandements et finances de Son Altesse Royale au bailliage d'Allemagne (1730), né et mort à Morhange. Il est anobli par le duc Léopold Ie 19 octobre 1725 (« d'azur à trois annelets d'or posés 2 et 1, au chef d'argent chargé de deux étoiles d'azur »)[33].
- Annemarie von Gabain (1901-1993), turcologue allemande, née à Morhange.
- Hans-Joachim Kahler (1908-2000), général allemand de la Seconde Guerre mondiale, né à Morhange.
- Kurt Fett (1910-1980), officier supérieur allemand, membre de la Communauté européenne de défense (1951-1955), né à Morhange.
- Hamid Aït Amara (1935-2009), universitaire algérien, juriste, économiste, sociologue, né à Morhange.
- Hélène Zannier (1972-), députée de la 7ème circonscription de la Moselle, directrice générale des services de la ville de Morhange.
Héraldique
Blason | D'azur au monde croiseté d'or, cintré et cerclé de sable. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Michel Hérold, Françoise Gatouillat, Les vitraux de Lorraine et d'Alsace, Corpus vitrearum, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, Paris, CNRS Editions Inventaire général, , 330 p. (ISBN 2-271-05154-1)Recensement des vitraux anciens de la France, Volume V, Morhange, page 111
Articles connexes
- Liste des communes de la Moselle
- Liste des anciennes communes de la Moselle
- Bataille de Lorraine
- Parc naturel régional de Lorraine
- Synagogue de Morhange (Moselle)
- Liste des 139 sites funéraires et mémoriaux de la Première Guerre mondiale inscrits sur la liste du Patrimoine mondial de l'Unesco
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- ↑ « Réseau hydrographique de Morhange » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- ↑ « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- ↑ Distance orthodromique de Morhange à Metz sur le site Lion1906 de Lionel Delavrre, consulté le 20 octobre 2013
- ↑ Distance orthodromique de Morhange à Nancy sur le site Lion1906 de Lionel Delavrre, consulté le 20 octobre 2013
- ↑ Distance orthodromique de Morhange à Sarrebourg sur le site Lion1906 de Lionel Delavrre, consulté le 20 octobre 2013
- ↑ Distance orthodromique de Morhange à Sarreguemines sur le site Lion1906 de Lionel Delavrre, consulté le 20 octobre 2013
- ↑ Distance orthodromique de Morhange à Forbach sur le site Lion1906 de Lionel Delavrre, consulté le 20 octobre 2013
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau la Rotte (A9710300) » (consulté le ).
- ↑ Sandre, « la Petite Seille »
- ↑ Sandre, « le ruisseau la Rotte »
- ↑ « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- ↑ « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Unité urbaine 2020 de Morhange », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- ↑ « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- ↑ Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Morhange », sur insee.fr (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- ↑ Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes
- ↑ Burkhard Dietz, Helmut Gabel, Ulrich Tiedau - Griff nach dem Westen: die „Westforschung“ (2003)
- ↑ Visible sur la Carte "Ducatus Lotharingie" http://bmn-renaissance.nancy.fr/viewer/show/1907#page/n0/mode/1up
- 1 2 3 Bouteiller, Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868.
- ↑ Léon Maujean, « Histoire des seigneurs et de la ville de Morhange. Première partie: la Maison de Salm », Annuaire de la Société d’Histoire et d’archéologie de la Lorraine, 1924, p. 1-147. Numérisé sur gallica.
- ↑ Léon Maujean, « Histoire des seigneurs et de la ville de Morhange. Deuxième partie : les Rhingraves, 1475-1724 », Annuaire de la Société d’Histoire et d’archéologie de la Lorraine,1926, p. 417-477. Numérisé sur gallica. Léon Maujean, « Histoire de Morhange... » [2e partie (suite)], A.S.H.A.L., 1929, p. 151-257.
- ↑ Léon Maujean, « Histoire de Morhange, III La famille d’Helmstadt », Annuaire de la Société d’Histoire et d’archéologie de la Lorraine, 39, 1930, p. 395-398 (fin de 1742 à la Révolution).
- ↑ 1944-1945, Les années Liberté, Le Républicain Lorrain, Metz, 1994 (p. 15)
- ↑ « Moselle> Morhange (57340) », sur www.habitants.fr (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- ↑ « Maison dite du Bailli », notice no PA00125539, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul », notice no PA00106924, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Organe des Sociétés savantes de la Moselle, « Une alliance des Choumert : les de Brem », Les Cahiers lorrains, , p. 12 (lire en ligne)