Fondation |
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Type | |
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Nom officiel |
École supérieure de télégraphie, École nationale supérieure des télécommunications (ENST) |
Régime linguistique | |
Directeur |
Nicolas Glady (2 décembre 2019)[1] |
Devise |
Innover et entreprendre dans un monde numérique |
Membre de |
Institut Polytechnique de Paris, Institut Mines-Télécom, CGE, CDEFI, G16+ |
Site web |
Pays | |
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Campus |
Campus de l’Institut polytechnique de Paris (Paris-Saclay) |
Ville |
Télécom Paris, anciennement Télécom ParisTech, École nationale supérieure des télécommunications et École supérieure de télégraphie, est l'une des 204 écoles d'ingénieurs françaises accréditées au à délivrer un diplôme d'ingénieur[4].
L'école a été fondée en 1878. Dite grande école généraliste, aujourd'hui Télécom Paris est spécialisée dans les sciences et technologies de l'information et des télécommunications.
Elle est aujourd'hui rattachée à l'Institut Mines-Télécom et fait partie de la Conférence des grandes écoles (CGE), et de l'Institut polytechnique de Paris. Elle est située à Palaiseau, sur le campus de l'Institut polytechnique de Paris.
L'école fut l'un des acteurs de l'université Paris-Saclay et est désormais une école de l'Institut polytechnique de Paris. Le déménagement de ses bâtiments sur le plateau de Saclay a été réalisé en octobre 2019, de même que celui de la direction générale de l'Institut Mines-Télécom.
Histoire
Dans la seconde moitié du XIXe siècle, avec l'essor de la télégraphie électrique, se fait sentir le besoin de former des spécialistes de cette nouvelle technologie. En 1845, Alphonse Foy, directeur des lignes télégraphiques, propose la création d'une nouvelle école d'application pour les polytechniciens, spécialisée dans la télégraphie. Sa proposition est à l'époque rejetée.
La politique volontariste d'aménagement du territoire menée sous le Second Empire permet de couvrir intégralement la France en télégraphes. C'est ainsi qu'en 1876, au tout début de la Troisième République, à la suite d'une loi de 1873, les administrations des Postes et des Télégraphes fusionnent ; c'est la création des P&T. Dans le même élan, sous la présidence de Mac Mahon, le gouvernement de Jules Dufaure s'enrichit le d'un nouveau service des Postes et Télégraphes. Adolphe Cochery en devient le premier directeur. Deux mois après son investiture, A. Cochery publie le une circulaire ordonnant la création de l'École supérieure de télégraphie (EST), dont le premier directeur est Ernest-Édouard Blavier[5]. L'école s'installe alors dans le 7e arrondissement, rue de Grenelle, à Paris. L'ouverture a lieu le .
En 1888, elle change de nom, pour devenir l'école professionnelle supérieure des Postes & Télégraphes (EPSPT), et sa formation intègre une différence entre les élèves destinés à l'administration supérieure (section administrative) et les autres (section technique).
En 1912, un nouveau changement de nom en fait l'École Supérieure des Postes & Télégraphes (ESPT), et en 1934, elle intègre les locaux qu'elle occupe jusqu'en 2019 rue Barrault, dans le 13e arrondissement, à la place de la manufacture de gants Neyret, sur le flanc ouest de la Butte-aux-Cailles.
En 1938, elle prend le nom d'École nationale supérieure des postes et télécommunications (ENSPTT), et la même année, le président de la République Albert Lebrun décerne à l'école la Légion d'honneur.
Pendant la guerre, en 1942, l'ENSPTT est scindée en deux écoles : l'ENSPTT qui forme les cadres administratifs, et qui a fermé ses portes le , et l'ENST (École nationale supérieure des Télécommunications), qui est le sujet de cet article.
En 1971, l'ENST passe sous la tutelle directe de la Direction générale des télécommunications, et le développement des télécommunications pendant cette période conduit l'État à créer deux écoles sœurs, l'École nationale supérieure des télécommunications de Bretagne (ENST Bretagne), en 1977, à Brest, et l'Institut national des télécommunications (INT), en 1979, à Évry.
En 1987, création du Complexe 13'53 en tant que foyer des élèves.
En 1991, l'école est un des membres fondateurs de ParisTech, établissement public réunissant 12 grandes écoles parisiennes ; on y trouve notamment, l'École polytechnique, École des hautes études commerciales de Paris (HEC) (depuis 2008), Arts et Métiers ParisTech, École nationale supérieure des mines de Paris (Mines ParisTech), l'École nationale des ponts et chaussées (École des Ponts ParisTech), l'École nationale supérieure de techniques avancées (ENSTA ParisTech), l'École nationale de la statistique et de l'administration économique (ENSAE ParisTech) et l'École supérieure de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris (ESPCI ParisTech).
En 1992, l'ENST fonde avec l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) l'Institut Eurécom, à Sophia Antipolis.
En 1996, l'ENST propose la formation FORDIM (FORmation à DIstance Multi-supports). Cette formation permet à des ingénieurs de se spécialiser.
En 1997, la libéralisation du marché des télécommunications contraint l'État à retirer l'ENST du giron direct de France Télécom et crée le Groupe des écoles des télécommunications (GET) afin de rassembler les écoles ENST (renommée entretemps Télécom Paris), ENST Bretagne, INT (Télécom INT, INT Management). Le GET est un établissement public administratif qui dépend du Conseil général des technologies de l'information (CGTI) au ministère délégué à l'industrie.
Depuis le , le GET s'appelle Institut Télécom, Télécom Paris s'appelle Télécom ParisTech[6] et l'École Nationale Supérieure des Télécommunications de Bretagne s'appelle Télécom Bretagne. Courant 2008, l'INT devient Télécom et management SudParis (Télécom INT devient Télécom SudParis, INT Management Télécom École de Management).
À partir du , l'Institut Télécom s'appelle l'Institut Mines-Télécom.
Depuis le , Télécom ParisTech s'appelle à nouveau Télécom Paris[7] et intègre, comme membre fondateur, l'Institut polytechnique de Paris. A cette occasion, elle s'installe en octobre de cette même année[8] à Palaiseau, sur le campus Paris-Saclay, dans un nouveau bâtiment conçu par Yvonne Farrell et Shelley McNamara[9], de l'agence irlandaise Grafton Architects. Télécom Paris quitte la fondation ParisTech développement au [10].
Les anciens locaux de l'école, dans le 13ème arrondissement de Paris, sont réhabilités par la Régie Immobilière de la Ville de Paris pour accueillir une antenne de l'INRIA ainsi que des logements[11].
Départements d'enseignement et recherche
Télécom Paris est organisée en quatre départements d’enseignement et recherche :
- communications et électronique ;
- informatique et réseaux ;
- image, données, signal ;
- sciences économiques et sociales.
Enseignement
Cycle ingénieur
Tronc commun de 1re année[12]
La première année à Télécom Paris est commune à tous les élèves issus d'une classe préparatoire (à l'exception de la prépa Technologie et Sciences Industrielles) et d'une licence de mathématique. Les élèves de la TSI, du IUT, ainsi que ceux d'une licence non mathématique auront un accompagnement supplémentaire.
Les cours du tronc commun de la première année sont répartis dans les domaines suivants :
- mathématiques appliquées, communications numériques ;
- physique électronique réseaux ;
- informatique ;
- sciences économiques et sociales ;
- exploration professionnelle.
Le sport n'est pas obligatoire, cependant l'école partage de nombreux gymnases et terrains avec les autres établissements du plateau de Saclay, notamment le Centre de loisirs de Moulon et la piscine de l'École polytechnique.
Filières de 2e année
En 2e année, les élèves choisissent 2 filières parmi les 14 proposées par l'école, regroupées dans les domaines suivants[13] :
- réseaux, communications et cybersécurité ;
- mathématiques et informatique théorique ;
- intelligence artificielle et science des données ;
- systèmes informatiques, interactifs et embarqués ;
- économie et innovation numériques.
Ainsi que 8 cours complémentaires, qui sont des cours de culture générale, de formation humaine, de sciences économiques et sociales et des cours scientifiques, regroupés dans les domaines suivants :
- sciences et technologies ;
- culture générale ;
- sciences économiques et sociales ;
- formation humaine.
Depuis 2017, Télécom Paris propose à ses étudiants d'intéger sa filière apprentissage pour les deux années restantes du cycle ingénieur. Les étudiants peuvent choisir parmi les spécialisations suivantes :
- cybersécurité ;
- réseaux, télécoms et internet des objets ;
- systèmes embarqués ;
- intelligence artificielle.
Options de 3e année
Masters
Télécom Paris est partenaire de plusieurs cursus universitaires de masters des universités Pierre et Marie Curie, Paris-Saclay, Paris-Descartes et Paris-Diderot[14]. Les élèves en scolarité sur le site de Paris ont la possibilité de suivre l'une de ces formations, en parallèle à leur 3e année de formation, moyennant un aménagement de scolarité.
Mastères
Télécom Paris propose des mastères spécialisés dans les domaines d’expertise suivants[15] :
- cybersécurité ;
- intelligence artificielle et big data ;
- internet des objets ;
- mobilité ;
- réseaux ;
- transformation numérique, entrepreneuriat ;
- régulation.
Doctorat
Télécom Paris a été habilitée à délivrer le doctorat en son nom jusqu'au , dans le cadre d'une co-accréditation avec l'UPMC, pour l'École doctorale d'informatique, de télécommunications et d'électronique (EDITE) de Paris (ED 130). En parallèle, depuis le , elle inscrit des doctorants dont le diplôme est délivré sous le sceau de l'Université Paris-Saclay. À partir de 2019, le doctorat est délivré à Télécom Paris sous le sceau de l'Institut Polytechnique de Paris soit avec l'École Doctorale de l'Institut Polytechnique de Paris, soit avec l'École Doctorale de Mathématiques Hadamard (EDMH) conjointement avec l'Université Paris-Saclay.
Vie étudiante et associative
Télécom Paris possède des clubs et associations qui rythment la vie sur le campus.
Classements
Classements nationaux (classée en tant que Télécom Paris au titre de son diplôme d'ingénieur)
Nom | Année | Rang |
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DAUR Rankings[16] | 2022 | 8 |
L’Étudiant[17] | 2021 | 2 |
L’Usine Nouvelle[18] | 2021 | 13 |
Le Figaro[19] | 2022 | 5 |
Classements internationaux (classée en tant qu'Institut polytechnique de Paris)
Admission
Le recrutement pour la formation d'ingénieur se fait de quatre façons[24] :
Concours commun pour les élèves sortant des classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE)
Le concours d'entrée est le « Concours commun Mines-Ponts ». En 2021, 150 places sont offertes pour Télécom Paris via ce concours.
Admission par voie universitaire
Cette procédure d'admission est réservée aux étudiants titulaires d'un diplôme universitaire dans un des domaines de compétence de Télécom Paris. Elle permet d'accueillir des étudiants titulaires d'une licence L3 (5 à la rentrée 2013) et d'un master M1 ou équivalent (45 en 2013), toutes nationalités confondues.
L'admission se fait sur dossier, épreuves écrites et sur entretien. Les titulaires d'une licence sont admis en première année comme ceux issus des classes préparatoires aux grandes écoles (trois ans d'études). Les étudiants titulaires d'un master M1 rejoignent directement la deuxième année (deux ans d'études).
Admission en apprentissage
Cette procédure d'admission est réservée aux étudiants titulaires d'un DUT dans un des domaines de compétence de Télécom Paris. En septembre 2013, 11 étudiants titulaires d'un DUT sont entrés en apprentissage à Télécom Paris.
L'admission très sélective se fait sur dossier, épreuves écrites et sur entretien. Les admis sont admis en première année (trois ans d'études par apprentissage).
École polytechnique
Cette procédure d'admission est réservée aux élèves de l'École polytechnique qui souhaitent obtenir un double diplôme Polytechnique-Télécom Paris.
Personnalités liées à l'établissement
Professeurs
- Antonio Casilli professeur de sociologie
- Jean-Louis Dessalles X76
- Éric Moulines ingénieur général du corps des mines X81
- Pierre Musso professeur en Sciences de l'information et de la communication
- Pascal Urien dans le domaine de la sécurité informatique, inventeur, et créateur de startup
Élèves
Par ordre chronologique de promotion (indiquée entre parenthèses, suivi éventuellement de l'école d'origine).
- Léon Charles Thévenin (1879, X 1876) : inventeur du théorème de Thévenin. Lui-même directeur de l'école.
- Édouard Estaunié (X 1882) : inventeur du mot « télécommunications ». Écrivain. Lui-même directeur de l'école.
- Nicolas Pietri (1863-1964) : homme politique.
- Louis Leprince-Ringuet (1925, X 1920) : physicien, historien des sciences et essayiste français. Membre de l'Académie française.
- Gilbert Manuel (1939, X 1933) : directeur de l'École nationale de l'aviation civile.
- Louis-Joseph Libois (1945, X 1941) : directeur général des Télécommunications.
- Jacques Dondoux (1954, X 1951) : ministre. Directeur général des Télécommunications.
- Gérard Théry (1957, X 1952) : directeur général des Télécommunications.
- Marcel Roulet (1959, X 1954) : président-directeur général de France Télécom.
- Michel Petit (1960, X 1955) : directeur de l'Institut national d'astronomie et de géophysique et auteur du GIEC.
- Jean Grenier (1961, X 1956) : directeur général d'Eutelsat.
- Jean-Noël Chevreau (1962) : maire de Bourg-la-Reine.
- Marc Houery (1964, X 1959) : président de la Commission consultative des radiocommunications.
- Jean-Michel Hubert (1964, X 1959) : président de l'ARCEP, vice-président du Comité stratégique pour le numérique.
- Michel Feneyrol (1964, X 1959) : directeur du CNET.
- Didier Lombard (1967, X 1962) : président du groupe France Télécom.
- Charles Rozmaryn (1968, X 1963) : directeur général de France Télécom et de Cegetel.
- Richard Lalande (1972, X 1967) : président de la Fédération française des télécommunications.
- Bernard Pauchon (1972, X 1969) : précurseur des applications des télécommunications au cinéma numérique[25].
- Dominique Jean (1973) : directeur général de France Boissons.
- Henri Serres (1974, X 1969) : directeur général des systèmes d'information et de communication. Vice-président du Conseil général des technologies de l'information.
- Michel Devoret (1975) : membre de l'Académie des sciences. Professeur au Collège de France.
- Alain Prestat (1976, X 1971) : président-directeur général de Thomson Multimedia.
- Patience Eboumbou (1977): sénatrice (Cameroun).
- François Baccelli (1977) : membre de l'Académie des sciences.
- Dominique Costagliola (1977) : membre de l'Académie des sciences. Directrice de recherche à l’INSERM.
- Alain Glavieux (1978) : co-inventeur des turbo-codes.
- Jean-Bernard Lévy (1978, X 1973) : président-directeur général de Thales et d'EDF.
- Philippe Distler (1979, X 1974) : directeur général de l'ARCEP.
- François Rancy (1979, X 1974) : directeur général de l'Agence nationale des fréquences radioélectriques.
- Barbara Dalibard (1982, ENSJF 1977) : directrice générale de SNCF Voyageurs et de SITA.
- Mehdi Houas (1983) : fondateur et président de Talan. Ministre (Tunisie).
- Yves de Talhouët (1983, X 1977) : président-directeur général de Hewlett-Packard France.
- Mohamed Benchaâboun (1984) : ministre (Maroc).
- Patrick Constant (1985) : cofondateur de Qwant.
- Éric Labaye (1985, X 1980) : président de l'École polytechnique.
- Jean-Marc Ollagnier (1985) : directeur général d'Accenture Europe.
- Pascale Sourisse (1986, X 1981) : femme d'affaires.
- Michel Combes (1986, X 1981) : directeur général d'Alcatel-Lucent.
- Jean-Marc Jancovici (1986, X 1981) : ingénieur, enseignant, conférencier, consultant, auteur.
- Michel Paulin (1986, X 1981) : directeur général de Neuf Télécom et OVH.
- Gabrielle Gauthey (1987, X 1982) : directrice des investissements et du développement local de la Caisse des dépôts et consignations.
- Jean Beunardeau (1988, X 1983) : directeur général de HSBC France.
- Patrick Drahi (1988, X 1983) : président-fondateur d'Altice.
- Pascal Faure (1988, X 1983) : directeur général de l'Institut national de la propriété industrielle.
- Olivier Huart (1988, X 1983) : président-directeur général de TDF.
- Gilles Brégant (1988, X 1983) : directeur général de l'Agence nationale des fréquences radioélectriques.
- Laure de La Raudière (1989, ENS 1984) : députée, présidente de l'ARCEP.
- Dominique Valentiny (1989, X 1984) : directrice générale de Hub One.
- Jean-Luc Vaillant (1990) : cofondateur de LinkedIn.
- Franck Bouetard (1990) : directeur général d'Ericsson France.
- Isabelle Sebah (1990) : titulaire du grand Orgue du Temple de Pentemont à Paris
- Karim Zaz (1990, X 1985) : président-fondateur d'Inwi.
- Fred Potter (1993) : fondateur de Netatmo et Withings.
- Cécile Dubarry (1994, ENS Ulm 1989) : directrice générale de l'ARCEP[26].
- Luc Julia (1995) : vice-président de l'innovation chez Samsung.
- Philippe Dewost (1995, ENS Ulm 1988) : cofondateur de Wanadoo.
- Nadi Bou Hanna (1996, X 1994): directeur interministériel du numérique.
- Folco Aloisi de Larderel (1997, X 1992) : cofondateur de Karavel.
- Fabrice Bellard (1998, X 1993) : créateur de LZEXE, développeur principal de FFmpeg, QEMU, et Tiny C Compiler.
- Alexandre Castagnetti (1999) : membre de La Chanson du dimanche.
- Clément Marchand (1999) : membre de La Chanson du dimanche.
- Barbara Martin Coppola (mastère 1999) : directrice générale de Decathlon.
- Corentin Raux (1999) : cofondateur de Pretty Simple.
- Mathieu Weill (1999, X 1994) : directeur général de l'AFNIC.
- Sébastien Soriano (2001, X 1996) : président de l'ARCEP.
- Oscar Salazar (2007) : cofondateur d'Uber.
- Alexandre Arnault (2015) : directeur de Rimowa.
Directeurs
- Depuis 2019 : Nicolas Glady[27]
Notes et références
- ↑ Arrêté du 5 novembre 2019 portant nomination du directeur de Télécom ParisTech (Télécom Paris) - M. GLADY (Nicolas)
- 1 2 3 [PDF] https://espace-ecole.cti-commission.fr/uploads/donnees_certifiees/2020/donnees_certifiees_2020_institut_mines_telecom_telecom_paristech.pdf"
- ↑ [PDF] https://espace-ecole.cti-commission.fr/uploads/donnees_certifiees/2017/donnees_certifiees_2017_institut_mines_telecom_telecom_paristech.pdf"
- ↑ Arrêté du 25 février 2021 fixant la liste des écoles accréditées à délivrer un titre d'ingénieur diplômé.
- ↑ Ernest-Édouard Blavier sur data.bnf.fr.
- ↑ Arrêté du 31 juillet 2012 portant nomination de la présidente du conseil d'école de Télécom ParisTech, sur le site de Légifrance
- ↑ « Avec la création officielle d'#IPParis, nous changeons de nom pour devenir #TelecomParis. Notre fil Twitter est désormais @TelecomParis_ »
- ↑ « Télécom SudParis - Grafton architects dessine l'Institut Mines-Telecom », sur Télécom SudParis (consulté le )
- ↑ « L’Institut Mines-Télécom, le joyau brut de Saclay », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- ↑ « L'Institut Polytechnique de Paris officiellement créé »,
- ↑ « Réhabilitation de l'ancien site de l’école Télécom Paristech », sur RIVP - Régie Immobilière de la Ville de Paris (consulté le )
- ↑ « Scolarité à Télécom Paris - votre 1re année : les bases de l’ingénieur·e innovant·e du numérique », sur www.telecom-paris.fr (consulté le )
- ↑ Scolarité à Télécom Paris : votre 2e année
- ↑ Les Masters partenaires
- ↑ Tous les mastères spécialisés
- ↑ « Le classement 2022 des écoles d'ingénieurs », sur daur-rankings.com
- ↑ « Classement général des écoles d'ingénieurs », sur L’Étudiant
- ↑ « Le classement 2020 des écoles d'ingénieurs », sur Usine Nouvelle
- ↑ « Le classement 2022 des écoles d'ingénieurs », sur Le Figaro étudiant
- ↑ « GLOBAL 2000 LIST BY THE CENTER FOR WORLD UNIVERSITY RANKINGS », sur CWUR
- ↑ « QS World University Rankings 2022 », sur QS Top Universities
- ↑ « 2022 Academic Ranking of World Universities », sur Shanghai Ranking
- ↑ « World University Rankings 2022 », sur Times Higher Education
- ↑ procédures d'admission
- ↑ Cf. Philippe Binant, « Bernard Pauchon, lorsque le cinéma s'élance vers les étoiles », La Lettre, n° 181, Commission Supérieure Technique de l'Image et du Son, mai 2022, p. 54-55 lire en ligne.
- ↑
- ↑ « Biographie », sur letudiant.fr.
Voir aussi
Liens externes
- Ressource relative à la vie publique :
- Ressource relative à la recherche :
- Site officiel