Porrentruy (de) Pruntrut | ||||
Armoiries |
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Administration | ||||
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Pays | Suisse | |||
Canton | Jura | |||
District | Porrentruy | |||
Communes limitrophes | Alle, Bure, Cœuve, Courchavon, Courgenay, Courtedoux, Fontenais | |||
Maire Mandat |
Philippe Eggertswyler 2023-2027 |
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NPA | 2900 | |||
No OFS | 6800 | |||
Démographie | ||||
Gentilé | Bruntrutain | |||
Population permanente |
6 441 hab. (31 décembre 2022) | |||
Densité | 437 hab./km2 | |||
Langue | Français | |||
Géographie | ||||
Coordonnées | 47° 25′ 02″ nord, 7° 04′ 34″ est | |||
Altitude | 443 m |
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Superficie | 14,75 km2 | |||
Localisation | ||||
Carte de la commune
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Géolocalisation sur la carte : Suisse
Géolocalisation sur la carte : Suisse
Géolocalisation sur la carte : canton du Jura
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Liens | ||||
Site web | porrentruy.ch | |||
Sources | ||||
Référence population suisse[1] | ||||
Référence superficie suisse[2] | ||||
Porrentruy (prononcé [pɔʁɑ̃tʁɥi]) (en franc-comtois : Poérreintru et en allemand : Pruntrut) est une commune suisse située dans le canton du Jura dans la région de l'Ajoie. Elle est le chef-lieu du district de Porrentruy. Elle est la troisième commune du canton du Jura par sa population.
Géographie
La commune de Porrentruy se situe à l'extrême nord-ouest de la Suisse, dans le canton du Jura. Elle est le chef-lieu du district de Porrentruy et fait partie du domaine géographique de la vallée de l'Allaine dans la région ajoulote. Elle est traversée par l'Allaine, une rivière affluente du Doubs.
Le territoire de Porrentruy s'étend sur 14,75 km2[2]. Lors du relevé de 2013-2018, les surfaces d'habitations et d'infrastructures représentaient 24,5 % de sa superficie, les surfaces agricoles 34,5 %, les surfaces boisées 40,2 % et les surfaces improductives 1,1 %[3].
Urbanisme
La commune est desservie par :
- La ligne ferroviaire CFF Bienne - Delémont - Porrentruy - Delle ;
- La ligne de Porrentruy à Bonfol des Chemins de fer du Jura (CJ) ;
- L'autoroute A16 Bienne - Delémont - Porrentruy - Belfort, Sortie 4 (Porrentruy-Ouest) direction Courtedoux et Bressaucourt et sortie 5 (Porrentruy-Est) direction Alle et Courgenay.
La gare de Porrentruy est à 2 h 30 min de Paris en utilisant le TGV.
Histoire
Appartenances historiques
Principauté épiscopale de Bâle 1283–1397 |
Le site est habité dès l'époque romaine (en 1983, un fanum (temple gallo-romain) a été mis au jour, près du cimetière actuel « En Solier »), mais les premières mentions historiques se situent entre 968 et 1148. Les documents révèlent l'existence d'une petite bourgade, avec une église paroissiale dédiée à saint Germain et, après 1233, avec une chapelle située sur la colline sud, à l'emplacement de l'actuelle église Saint-Pierre.
En 1283, Porrentruy reçoit sa charte de franchises de l’empereur Rodolphe de Habsbourg. Mais au XIIIe siècle la situation est compliquée ; engagée sous condition au comte de Montbéliard en 1236, la ville doit faire retour aux Ferrette, mais ceux-ci ont, entretemps, cédé leurs droits à l’évêque de Bâle. Le nouveau comte de Montbéliard, Renaud de Bourgogne (frère d’Othon IV, comte de Bourgogne), ne tient pas à accroître encore la puissance de son voisin. Il entre en guerre ouverte contre l’évêché de Bâle et se saisit du château de Porrentruy. La même année, pour financer sa campagne, Renaud accorde des franchises, immunités et privilèges semblables aux bourgeois de la cité de Montbéliard, moyennant 1 000 livres estevenantes (monnaie de Besançon). Mais au bout du compte, les princes-évêques de Bâle, soutenus par l’Empereur, auront raison de Renaud de Bourgogne. En 1386, l'évêque Imier de Ramstein dut vendre toute l'Ajoie, Porrentruy et son château, au comte Étienne de Montbéliard (maison de Montfaucon) pour 11 000 florins. À sa mort, en 1397, l’héritage tomba dans la corbeille de sa petite-fille, Henriette d’Orbe, qui épousa 10 ans plus tard Eberhard IV, comte de Wurtemberg.
En 1409, Eberhard IV confirma les franchises de la ville aux bourgeois de Porrentruy (ainsi qu’à ceux de Montbéliard). Devenue veuve et gouvernant seule le Wurtemberg, la comtesse Henriette régnera sur la cité de Porrentruy ; elle devait encore acquérir de l’évêque de Bâle, pour 3 000 florins d’or, la partie occidentale de l’Ajoie. Les bourgeois de Porrentruy n’ont d’ailleurs eu qu’à se louer de l’administration des Wurtemberg, qui leur avaient octroyé des privilèges et des bienfaits. Les princes wurtembergeois régneront encore sur Porrentruy jusqu’en 1461, date à laquelle ils rétrocédèrent toute l’Ajoie à l'évêque Jean de Venningen, moyennant une somme considérable.
Après le passage de la ville de Bâle à la Réforme protestante (1528), Porrentruy devint le siège « provisoire » des princes-évêques de Bâle et le resta officiellement jusqu'en 1828, date à laquelle le siège fut transféré à Soleure. L'épiscopat de Jacques Christophe Blarer de Wartensee (1575-1608) fut une époque brillante pour la ville, suivie de la période noire de la guerre de Trente Ans.
Le , la ville fut prise par le général Custine. Porrentruy devint le chef-lieu du département français du Mont-Terrible de 1793 à 1800.
De 1800 à 1815, Porrentruy fut un chef-lieu d'arrondissement du département du Haut-Rhin.
Politique et administration
Organisation
Les autorités municipales sont constituées de deux pouvoirs : le législatif et l’exécutif.
- Le législatif s'appelle « Conseil de ville ». Il se compose de 41 membres, élus tous les cinq ans, selon le système proportionnel. Il exerce la surveillance de l'ensemble de l'administration communale et prend les mesures nécessaires à cet effet.
Répartition proportionnelle au « Conseil de ville » pour la législature 2013-2017 : PDC : 14 ; PS : 9 ; PLR : 10 ; PCSI : 8 ;
Président(e) : Manuel Godinat (PLR) (2015).
- L'exécutif, appelé « conseil municipal », est composé de six conseillers et du maire, qui en est le président. Le vice-président (adjoint) est élu par le conseil communal, pour une durée d'une année, par rotation. Le maire est élu pour cinq ans selon le système majoritaire à deux tours et les membres du Conseil (« conseillers municipaux ») sont élus selon le système proportionnel pour cinq ans également. L'exécutif exerce dans l'administration tous les pouvoirs qui ne sont pas attribués à un autre organe par des prescriptions de droit fédéral, cantonal ou communal. Il représente la commune municipale envers les tiers.
Répartition des sièges « Conseil municipal » pour la législature 2013-2017 : PDC : 2 ; PLR : 1 ; PS : 1 ; PCSI : 2.
Liste des maires
Début | Fin | Nom | Parti | Qualité |
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1800 | 1807 | Jean-Georges Quiquerez[4] (1755-1832) |
Notaire ;
Receveur et conseiller des finances du prince-évêque ; Receveur de l'enregistrement dans le Mont-Terrible. | |
1858 | 1860 | Joseph Trouillat[5] (1815-1863) |
Conservateur ; | Professeur et bibliothécaire au collège de Porrentruy ;
Conservateur des archives de l'évêché de Bâle. |
1860 | 1874 | Pierre-François Girardin[6] (?-?) |
Négociant ;
Député au Grand Conseil bernois (1846-1847 ; 1854-1860). | |
1874 | 1876 | Charles Bodenheimer[7] (?-?) |
Radical | Médecin ;
Président de la Commission de l'École cantonale de Porrentruy. |
1876 | 1878 | Hyppolyte Paulet[8] (1818-1879) |
Radical | Géomètre ;
Député au Grand Conseil bernois (1854-1862) ; Directeur du cadastre et de l'impôt foncier du Jura bernois (1873-1878) ; Conseiller national (1872-1879) ; Préfet du district de Porrentruy (1878-1879). |
1878 | 1891 | Népomucène Schmider (1816-1894) |
Radical | |
1891 | 1896 | Ferdinand Kenel[9] (?-1931) |
Radical | Hôtelier, puis horloger. |
1896 | 1920 | Joseph Maillat (1854-1923) |
PLR | Géomètre ;
Directeur du cadastre du Jura bernois (1884-1923). |
1920 | 1939 | Achille Merguin (1863-1939) |
PLR | |
1940 | 1950 | Paul Billieux[10] (1884-1960) |
PLR | Avocat ;
Président du tribunal du district de La Neuveville (1910-1913) ; Procureur du Jura (1913-1954) ; Conseiller national (1922-1931, 1934-1943). |
1950 | 1972 | Charles Parietti (1912-1981) |
PLR | Exploitant du Moulin des halles de Porrentruy ;
Député au Grand Conseil bernois (1954-1970; 1973-1974). |
1972 | 1984 | Gabriel Theubet[11] (1936-) |
PDC | Instituteur, journaliste ;
Chef de la Trésorerie générale du canton du Jura (1984-1993) ; Conseiller national (1987-1995). |
1985 | 1988 | Robert Salvadé[12] (1936-) |
PDC | Banquier ;
Directeur de la filiale de la Banque cantonale bernoise à Porrentruy (1976-1979) ; Directeur adjoint (1979-1992), puis directeur général de la Banque cantonale du Jura (1992-1997). |
1988 | 1995 | Jean-Marie Voirol[13] (1933-) |
PLR | Instituteur ;
Député au Parlement du canton du Jura (1982-1994). |
1996 | 2004 | Hubert Theurillat (?-) |
PDC | |
2005 | 2012 | Gérard Guenat[14] (1946-) |
PDC | Imprimeur. |
2013 | 2017 | Pierre-Arnauld Fueg (?-) |
PDC | |
2018 | Gabriel Voirol[15] (1961-) |
PLR | Pharmacien ;
Pharmacien cantonal du Jura (1989-2006) ; Député au Parlement du canton du Jura dès 2015. |
Jumelage
Porrentruy est jumelée avec Tarascon (France), ou Tarascon-sur-Rhône, commune française située à l'extrémité ouest du département des Bouches-du-Rhône et de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, peuplée de 15 056 habitants en 2015. Le jumelage a été ratifié en 1969[16].
Population et société
Démographie
Évolution de la population
Porrentruy compte 6 441 habitants au 31 décembre 2022 pour une densité de population de 437 hab/km2[1]. Sur la période 2010-2019, sa population a diminué de −1,9 % (canton : 5,1 % ; Suisse : 9,4 %)[2].
Pyramide des âges
En 2020, le taux de personnes de moins de 30 ans s'élève à 31,4 %, au-dessous de la valeur cantonale (33 %). Le taux de personnes de plus de 60 ans est quant à lui de 30,7 %, alors qu'il est de 28,1 % au niveau cantonal[18].
La même année, la commune compte 3 186 hommes pour 3 248 femmes, soit un taux de 49,5 % d'hommes, supérieur à celui du canton (49,4 %)[18].
Enseignement supérieur
- Lycée cantonal de Porrentruy et école supérieure de commerce ;
- Haute école spécialisée de Suisse occidentale (HES-SO), école d'ingénieurs Arc partagée avec Saint-Imier, Le Locle (microtechniques, génie mécanique, génie électrique et informatique), HEP haute école pédagogique.
Sports
La ville compte un club de hockey sur glace en Championnat de Suisse de hockey sur glace de national league : le HC Ajoie.
Elle a été ville étape du Tour de France le dimanche , étape remportée par le Français Thibaut Pinot (22 ans) de l'équipe FDJ-Bigmat, le plus jeune coureur de la compétition.
Économie
La ville de Porrentruy est le centre économique de l'Ajoie. De nombreuses entreprises dans le domaine de la construction, de la mécanique et de l'horlogerie y sont installées. Les commerces sont principalement concentrés dans la vieille-ville. Cependant, deux centres commerciaux sont installés en bordure de la vieille-ville, sur la route de Courgenay. Porrentruy abrite aussi les succursales des principales banques du pays. Elle est le siège de la Banque cantonale du Jura.
Culture locale et patrimoine
Légende du sanglier
Le sanglier possède une place particulière dans la culture bruntrutaine. Encore aujourd'hui, on le rencontre dans les forêts avoisinantes, sur les armoiries et sous la forme d'une statue devant la mairie. La légende raconte[19] :
« Un jour d’autrefois, une singulière bête, courant ventre à terre, queue en l’air et la gueule grande ouverte (un énorme sanglier) franchissait le rempart de dix pieds comme si ç’avait été une petite clôture de rien du tout.
Après moult péripéties dont le récit fait état, la bête fut frappée à mort par la hache lancée d’une fenêtre par un courageux bruntrutain ! Elle s’écroula finalement devant le perron de l’Hôtel de ville.
L’aventure fit comprendre à « Messieurs du Conseil » qu’en certains endroits le mur de l’enceinte de la ville était insuffisamment haut pour s’opposer aux attaques de l’ennemi. Il fut donc décidé de pousser les remparts à une hauteur plus imposante.
Ce sanglier providentiel était donc, à n’en pas douter, le messager des Puissances protectrices de la cité… Le Conseil arrêta, en séance solennelle, que, dorénavant, le sanglier deviendrait l’emblème de la louable ville de Porrentruy. Les étendards de la cité arborèrent donc le sanglier de sable sur champ d’argent et les sceaux officiels imprimèrent sur tous les documents l’animal héraldique, hirsute, bondissant et grognant, qui avait incarné, à un moment mémorable, le bon génie de la cité. »
Lieux et monuments
- Le château ;
- L'église Saint-Pierre ;
- L'église Saint-Germain ;
- Le collège Saint-Charles ;
- L'hôtel-Dieu (ancien hôpital) ;
- L'Hôtel des halles ;
- L'ancienne église des Jésuites ;
- L'ancien collège des Jésuites (lycée cantonal) ;
- L'école Juventuti ;
- L'hôtel de Gléresse ;
- La chapelle de Lorette ;
- L'hôtel de ville ;
- La porte de France ;
- Les trois fontaines historiques : La Samaritaine, le Suisse et la Boule dorée ;
- Le pavillon des remparts ;
- Le POPA.
Arts et culture
Porrentruy possède depuis 2016 un musée unique en Europe consacré à l'art optique, le POPA (Porrentruy Optical Art).
Depuis 2017, Porrentruy fait partie de l'association Les plus beaux villages de Suisse[20].
Personnalités liées à la commune
- Pierre-François Pâris, 1721-1799?, géomètre, architecte des prince-évêques, directeur des travaux public, président du conseil de régence en 1792 ;
- Xavier Stockmar, 1797-1864, homme politique et patriote jurassien, cofondateur de la Société d'émulation du Jura en 1847 ;
- Jules Thurmann, 1804-1855, géologue et botaniste suisse ;
- Jean-Baptiste Jecker (1812-1871), homme d'affaires, né à Porrentruy ;
- Robert Caze (1853-1886), écrivain, exilé par la Commune à Porrentruy ;
- Emil Causé (1867-?), décorateur franco-suisse né dans cette ville ;
- Auguste Viatte (1901-1993), homme de lettres, né à Porrentruy ;
- Maurice Lapaire (1905-1997), peintre suisse né à Porrentruy ;
- Jean-Paul Pellaton (1920-2000), écrivain, né à Porrentruy ;
- François Schaller (1920-2006), économiste, président du conseil de la Banque nationale, né à Porrentruy.
- Pierre Michel (1924-2009), peintre, né à Porrentruy ;
- Jean-Pierre Schaller (1924-2021), théologien, né à Porrentruy.
- Alexandre Voisard, écrivain, né à Porrentruy le ;
- Michèle Bolli (1945-), écrivain vaudoise y est née ;
- Georges Baumgartner, journaliste, né à Porrentruy en 1952 ;
- François Schaller, journaliste et essayiste, né à Porrentruy le .
- Bernard Comment, écrivain, né à Porrentruy en 1960 ;
- Giselle Rufer, cheffe d'entreprise, a grandi à Porrentruy ;
- Jean-François Comment, artiste, né à Porrentruy en 1919, mort en 2002 dans la même ville ;
- Arnaud Bédat (1965-2023), reporter, né à Porrentruy, auteur de livres à succès sur le pape François.
- Rodolphe Cattin, designer horloger et joailler, né le à Porrentruy.
- Florian Froehlich (1959-), artiste contemporain, né à Porrentruy.
Distinctions
- Elle obtient le prix Wakker en 1988 ;
- Elle fait partie depuis 2017 des plus beaux villages de Suisse.
Notes et références
- 1 2 3 « Bilan démographique selon le niveau géographique institutionnel » , sur Office fédéral de la statistique (consulté le ).
- 1 2 3 « Portraits régionaux 2021: chiffres-clés de toutes les communes » [xls], sur Office fédéral de la statistique (consulté le ).
- ↑ Office fédéral de la statistique, « Statistique de la superficie standard - Communes selon 4 domaines principaux » [xls], sur www.bfs.admin.ch, (consulté le ).
- ↑ André Bandelier, « Quiquerez, Jean-Georges », sur HLS-DHS-DSS.CH (consulté le )
- ↑ Dominique Prongué, « Trouillat, Joseph », sur HLS-DHS-DSS.CH (consulté le )
- ↑ « DIJU - Dictionnaire du Jura – Girardin, Pierre-François (?-?) », sur www.diju.ch (consulté le )
- ↑ « DIJU - Dictionnaire du Jura – Bodenheimer, Charles (?-?) », sur www.diju.ch (consulté le )
- ↑ François Kohler, « Paulet, Hippolyte », sur HLS-DHS-DSS.CH (consulté le )
- ↑ « DIJU - Dictionnaire du Jura – Kenel, Ferdinand (?-1931) », sur www.diju.ch (consulté le )
- ↑ Peter Stettler / LTT, « Billieux, Paul », sur HLS-DHS-DSS.CH (consulté le )
- ↑ « DIJU - Dictionnaire du Jura – Theubet, Gabriel (1936-) », sur www.diju.ch (consulté le )
- ↑ « DIJU - Dictionnaire du Jura – Salvadé, Robert (1936-) », sur www.diju.ch (consulté le )
- ↑ « DIJU - Dictionnaire du Jura – Voirol, Jean-Marie (1933-) », sur www.diju.ch (consulté le )
- ↑ « DIJU - Dictionnaire du Jura – Guenat, Gérard (1946-) », sur www.diju.ch (consulté le )
- ↑ « DIJU - Dictionnaire du Jura – Voirol, Gabriel (1961-) », sur www.diju.ch (consulté le )
- ↑ www.chronologie-jurassienne.ch, Chronologie jurassienne, « Jumelage | Chronologie jurassienne - de l'époque romaine à nos jours », sur www.chronologie-jurassienne.ch (consulté le )
- ↑ « Évolution de la population des communes 1850-2000 » , sur Office fédéral de la statistique, (consulté le ).
- 1 2 3 4 « Population résidante permanente et non permanente selon les niveaux géographiques institutionnels, la nationalité (catégorie), le lieu de naissance, le sexe et la classe d'âge » , sur Office fédéral de la statistique (consulté le ).
- ↑ « Notre Histoire », sur porrentruy.ch (consulté le ).
- ↑ « Porrentruy parmi les plus beaux villages de Suisse », sur www.rfj.ch, (consulté le )
Voir aussi
Bibliographie
- Arthur Daucourt, Dictionnaire historique des paroisses de l'ancien évêché de Bâle, Genève, Slatkine, 1896-1915, 2604 p. (ISBN 978-2-05-100142-7 et 2-05-100142-1).
- Louis Vautrey, Histoire du collège de Porrentruy (1590-1865), Nabu Press, (1re éd. 1866), 320 p. (ISBN 978-1-279-98977-7 et 1-279-98977-7).
- Gustave Amweg, Bibliographie du Jura bernois, ancien évêché de Bâle, Le Jura, , 708 p.
- André Bandelier, Porrentruy, sous-préfecture du Haut-Rhin (thèse de doctorat), Neuchâtel, .
- Auguste Quiquerez, Ville et château de Porrentruy, J. Boéchat, , 267 p. (lire en ligne).
- (mul) « Horloge Richard Mille pour le Québec pour son 400ème anniversaire », Gérard Guilbaud, Notre patrimoine Horloger
Articles connexes
- District de Porrentruy
- Communes du canton du Jura
Liens externes
- Site officiel
- Ressource relative à la musique :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :