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Saint-Nicolas
Saint-Nicolas (Pas-de-Calais)
Le monument aux morts.
Blason de Saint-Nicolas
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté urbaine d'Arras
Maire
Mandat
Alain Cayet
2020-2026
Code postal 62223
Code commune 62764
Démographie
Gentilé Médiolanais
Population
municipale
4 659 hab. (2020 en diminution de 5,71 % par rapport à 2014)
Densité 1 461 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 18′ 11″ nord, 2° 46′ 41″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 102 m
Superficie 3,19 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Arras
(banlieue)
Aire d'attraction Arras
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Arras-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Nicolas
Liens
Site web ville-saintnicolas.fr

    Saint-Nicolas, nommée également localement Saint-Nicolas-lez-Arras, est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

    La commune fait partie de la communauté urbaine d'Arras qui regroupe 46 communes et compte 109 592 habitants en 2020.

    Géographie

    Localisation

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :

    Communes limitrophes de Saint-Nicolas
    Roclincourt
    Sainte-Catherine Saint-Nicolas Saint-Laurent-Blangy
    Arras

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    La commune est traversée par la Scarpe, que l'on distingue en deux parties :

    • la rivière Scarpe, cours d'eau naturel non navigable de 26,8 km qui prend sa source dans la commune de Tincques et se jette dans la Scarpe canalisée au niveau de la commune de Saint-Nicolas[1].
    • et, en prolongement, par la Scarpe canalisée, cours d'eau d'une longueur de 67 km, qui prend sa source dans la commune d'Arras et se jette dans L'Escaut canalisée au niveau de la commune de Mortagne-du-Nord dans le département du Nord[2]

    Par ailleurs, la rivière le Crinchon, un affluent en rive-droite de la Scarpe (et donc un sous-affluent de l'Escaut) qui prend sa source à Bailleulmont, se jette dans la rivière Scarpe au niveau de la commune de Saint-Nicolas[3].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Nicolas est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Arras, une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes[7] et 87 215 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (51,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (41,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,6 %), zones urbanisées (31,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8,4 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Medens en 1022, Beatus Nicolaus de Mellens en 1154-1159, Mellenz en 1161, Meaullens en 1169, Meallens en 1194, Meallenz au XIIe siècle, Méaulens en 1225, Miallens en 1243, Méaulen en 1250, Miaullens au XIIIee siècle, Meulens au XIIIee siècle, Miaulans au XIIIe siècle, Saint-Nicholay en 1329, Miaoulens en 1333, Maulens au XIVe siècle, Saint-Nicolay-à-Miolens en 1442, Saint-Nicolay-de-Myolens ès fauxbours d’Arras en 1454, Saint-Nicolay au XVe siècle, Molens en XVe siècle, Saint-Nicolas-au-Faubourg en 1560[13].
    Au XVIIIe siècle, on parle indifféremment de Saint-Nicolas en Méaulens.

    Saint-Nicolas était, en 1789, un des faubourgs de la ville d'Arras. Son église paroissiale, diocèse et doyenné d'Arras, était consacrée à saint Nicolas[13].
    Durant la Révolution, la commune porte le nom de La Fraternité[14].

    Sint-Niklaes en flamand, Sint-Niklaas en néerlandais[15].

    Histoire

    Préhistoire

    L'homme de Néandertal occupe la région, à proximité de Saint-Nicolas, il y a 200 000 ans[16].

    Antiquité

    Déjà au siècle dernier, Ricouart signale « pour moi, Méaulens est un Médiolanum, le village encaissé entre les deux rives de la Scarpe, des collines Baudimont jusqu'aux Rampes qui mènent à Écurie »[17].

    L'habitat, composé de maisons de bois et de terre, est assez dispersé et devait s'étendre autour des rives marécageuses de la rive gauche de la Scarpe et du Crinchon sur des terrains aujourd'hui partagés entre la ville d'Arras et Saint-Nicolas. Son centre administratif et religieux se trouve à « Méaulens » d'après le sens celtique du terme, et donc probablement à Saint-Nicolas[18].

    Les voies tracés par les Romains pour desservir la ville nouvelle que ces derniers bâtissent vont complètement ignorer Saint-Nicolas et la partie du futur Arras-Ville peuplés par des « indigènes ». Les voies vers le nord rayonnent de ce qui va devenir Sainte-Catherine[19].

    Par deux fois, au livre III de ses commentaires, César désigne son camp par NEMETO-CENA. Cenna désigne bien une propriété mais aussi un promontoire, Nemeto un bois ou une clairière sacrée, ce qui est exactement la traduction de Méaulens. La trace de ce camp, assez vaste car il abrité au moin deux légions complètes, et à rechercher entre Baudimont et Étrun et se trouvais sans doute au Blancs-Monts, véritable promontoire dominant le Méaulens celte[20].

    Christianisation de Saint-Nicolas

    On ignore encore la date exacte de l'implantation chrétienne à Méaulens, pourtant, on peut noter quelques points de repères. Certaines légions romaines ont pu compter dans leur sein des soldats convertis au christianisme, on en relève la trace à Baudimont, dans la ville gallo-romaine.

    La tradition veut que Saint-Vaast est apprivoisé un ours sauvage vivant dans les ruines d'un petit oratoire sur la rive droite du Crinchon près de Méaulens et de la Cité d'Arras, là où allait s'implanter la puissante abbaye Saint-Vaast d'Arras[21].

    Il faut ensuite attendre un siècle pour avoir des éléments plus précis, sans nécessairement croire à la légende miraculeuse de la fontaine Saint-Kilien, il faut relevé que ce saint irlandais, évangélise la région arrageoise et ternésienne de 645 à 670, année de sa mort à Aubigny.

    Or, le fief dit de Saint-Kilien ou d'Aubigny constitue jusqu'à la révolution, un petit ilot médiolanais indépendant, au milieu du cercle de la banlieue d'Arras que vont se partager le Chapitre de l'Evêque et l'Abbaye Saint-Vaast. Cela laisse supposer une possession du monastère d'Aubigny, bien antérieure à se partage[21].

    Moyen Âge

    Le château de Méaulens

    Emplacement de la seigneurie.

    On ignore la position exacte du château primitif, de nombreuses terres dépendaient de la seigneurie, mais le siège s'étend à cette époque entre la rue de la Scarpe, à l'est, et la rue des Quatre-Crics à l'ouest, entre la route de Douai et la Scarpe.

    D'abord nommée Méaulens jusqu'au XIIIe siècle, la seigneurie prend le nom de Boves-Méaulens lorsque le chateau passe dans les mains de la famille de Boves, originaire de ce village de Picardie[22].

    La seigneurie d'Aubigny et sa fontaine Saint-Kilien

    Au Moyen Âge, le fief Saint-Kilien ou d'Aubigny est le berceau de la cité médiolanaise, il fait fasse à l'église paroissiale et occupe l'angle formé par la bifurcation des routes d'Arras à Lille et de Saint-Nicolas à Douai.

    Le fief Saint-Kilien se situe autour de l'actuel rue du Paradis-aux-Chevaux et rue Anatole-France, où se situe aujourd'hui la café de Saint-Nicolas, et les ruines du manoir Bellon.

    À l'origine, le fief devait s'étendre jusqu'à la Scarpe, mais au cours des siècles, Saint-Vaast revendique la possession des terrains, le long de la rivière en raison de sa seigneurie sur la Scarpe d'Anzin à Athies.

    Que vient faire cette minuscule seigneurie dépendante du Prieuré d'Aubigny-en-Artois, noyée au milieu du pays de Méaulens que s'étaient soigneusement partagée le Chapitre de l'Evêque et l'Abbaye Saint-Vaast ? Une explication semble probable, ce fief appartenait déjà aux prêtres d'Aubigny au moment de la répartissions des autels paroissiaux[23].

    À Aubigny, l'ordre des facteurs et un peu inversé, Saint-Kilien reçoit du comte Eulfe un territoire et y fait bâtir une église au bord de la Scarpe. Un jour, les serfs du comte, occupés à la construction viennent dire au saint : « Maître, nous ne pouvons plus boire à la rivière, le soleil l'a mise à sec », le saint lève les yeux au ciel et fait une prière.

    Il plante son baton dans le sol et une source limpide et claire jaillit sous ses pieds. Un ermitage s'établit à Aubigny autour de l'église que le saint avait édifiée et dans laquelle il est inhumé. Vers 1132, le comte du Ternois, Hugues, substitue des chanoines réguliers aux prêtres séculiers de l'église de Saint-Kilien. Les religieux de l'ordre de Saint-Augustin forment une prieuré ressortissant de l'abbaye du Mont-Saint-Éloi[24].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

    Commune et intercommunalités

    La commune est l'une fondatrices de la communauté urbaine d'Arras, créée en 1965 sous le statut du district urbain d'Arras.

    Circonscriptions administratives

    La commune faisait partie depuis 1801 du canton d'Arras-Nord[14]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattaché au canton d'Arras-2.

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 2012 de la deuxième circonscription du Pas-de-Calais.

    Élections municipales et communautaires

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Henri Grenier[25] Représentant
    Décédé en fonction
    1973 Charles Gheerbrant UDF Industriel (minotier)
    Député du Pas-de-Calais (2e circ.) (1993 → 1997)
    [26] Annie Cardon PS Retraitée
    Vice-présidente de la communauté urbaine d'Arras
    En cours
    (au 13 juillet 2020)
    Alain Cayet UDI Fonctionnaire territorial retraité[27] - [28]
    Vice-président de la communauté urbaine d'Arras (2020 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[29]

    Jumelages

    La commune est jumelée avec :

    Jumelages et partenariats de Saint-Nicolas.
    VillePaysPériode
    Lipperode (d)[30]Allemagnedepuis

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Médiolanais[31].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

    En 2020, la commune comptait 4 659 habitants[Note 3], en diminution de 5,71 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5806136528119049449751 0051 017
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0001 0151 0769861 0341 0871 1821 2221 285
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2861 2931 2621 0851 5961 5191 5671 5651 579
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 9362 4024 0726 2246 1215 6595 1345 0594 660
    2017 2020 - - - - - - -
    4 7384 659-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 2 216 hommes pour 2 508 femmes, soit un taux de 53,09 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    1,9
    5,3
    75-89 ans
    7,9
    17,4
    60-74 ans
    20,1
    19,7
    45-59 ans
    18,6
    20,3
    30-44 ans
    18,9
    17,3
    15-29 ans
    15,9
    19,6
    0-14 ans
    16,7
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,6
    5,5
    75-89 ans
    8,9
    16,4
    60-74 ans
    17,8
    20,3
    45-59 ans
    19,3
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,1
    15-29 ans
    16,2
    20,2
    0-14 ans
    18,1

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    ZUP.

    Personnalités liées à la commune

    • Louis-Gabriel Bellon (1819-1899), négociant, archéologue et collectionneur
    • Marie-Louise Gheerbrant (1883-1969), infirmière distinguée pour son courage et son dévouement pendant les deux guerres mondiales

    Héraldique

    Saint-Nicolas
    Blason de Saint-Nicolas Blason
    De gueules à la bande d'argent côtoyée de deux cotices du même[37].
    Détails
    Les armes de la communes de Saint-Nicolas-lez-Arras sont issues de celles de l'ancienne famille des chevaliers de Boves-Méaulens, qui s'illustre au XIIe siècle[38]. L'auteur de cette lignée, Gautier, seigneur de Méaulens, le plus ancien trouvère d'Artois, cousin germain des Châtelains d'Arras, exerce la régence de cette charge et de ce fait, se trouve connu dans le monde sous le nom de Gautier d'Arras.

    Adopté par la municipalité le .

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Louis Caudron, Daniel Koscinski et Achille Pichon, Histoire de Saint-Nicolas, Saint-Nicolas, , 382 p. (ISBN 2-9513-1380-2, lire en ligne).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Rivière Scarpe (E2010600) » (consulté le ).
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Scarpe canalisée (E2--0110) (E2--0110) » (consulté le )
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Crinchon (E2010800) » (consulté le )
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 d'Arras », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Arras », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. 1 2 Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, , p. 347.
    14. 1 2 3 Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. flandreetartois.over-blog.com
    16. Louis Caudron, Daniel Koscinski et Achille Pichon, « Histoire de Saint-Nicolas » Accès libre, sur calameo.com (consulté le ) : « L'homme et la femme de Biache-Saint-Vaast dont on a retrouvé les crânes devaient avoir des cousins à Saint-Nicolas et de très nombreux ancêtres néandertaliens... et pourtant, ils vivaient il y a environ 200 000 ans ! », p. 47
    17. Louis Caudron, Daniel Koscinski et Achille Pichon, Histoire de Saint-Nicolas (lire en ligne), p. 50
    18. Louis Caudron, Daniel Koscinski et Achille Pichon, « Histoire de Saint-Nicolas » Accès libre, sur calameo.com (consulté le ), p. 51
    19. Louis Caudron, Daniel Koscinski et Achille Pichon, « Histoire de Saint-Nicolas » Accès libre, sur calameo.com (consulté le ) : « Les voies tracés par les Romains pour desservir la ville nouvelle que ces derniers bâtissent sur la colline Baudimont vont complètement ignorer Saint-Nicolas et la partie du futur Arras-Ville peuplés par les « indigènes ». Les voies vers le nord rayonnent de ce qui va devenir Sainte-Catherine, la comparaison de deux cartes est frappante. », p. 51
    20. Histoire de Saint-Nicolas (lire en ligne), p.53
    21. 1 2 Histoire de Saint-Nicolas (lire en ligne), p.69
    22. Histoire de Saint-Nicolas (lire en ligne), p.73
    23. Histoire de Saint-Nicolas (lire en ligne), p.87
    24. Histoire de Saint-Nicolas (lire en ligne), p.90, p.91
    25. Géraldine Csizmadia, « Bilan des maires - Saint-Nicolas - Annie Cardon: « Une ville qui s’est entièrement redessinée » : Annie Cardon se représentera aux prochaines municipales, forte d’un mandat étoffé, notamment grâce aux chantiers de renouvellement urbain », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    26. Nicolas André, « Saint-Nicolas-lez-Arras : Alain Cayet enlève la mairie à Annie Cardon (PS), avec 54,8 % : La maire PS sortante de Saint-Nicolas, Annie Cardon, avait fort à faire face à Alain Cayet et Guy Bras, ses deux opposants du premier tour, alliés au second. Elle doit finalement céder son fauteuil de maire à Alain Cayet, qui l’emporte avec 54,8 % des suffrages », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    27. Géraldine Csizmadia, « Projets des maires - Saint-Nicolas: Alain Cayet : « J’ai un projet pour Saint-Nicolas, c’est ça qui me tient à cœur » : Depuis son élection le 30 mars, Alain Cayet a pris un à un les dossiers de la commune, animé par « l’envie ». Et conforté par son expérience d’une carrière dans la fonction publique territoriale, à la CUA, mais précédemment durant vingt-six ans à Saint-Nicolas », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    28. « Installation du conseil municipal : Séance du jeudi 28 mai 2020 à 18h00 » [PDF], Les décisions du Conseil Municipal, sur http://ville-saintnicolas.eu (consulté le ).
    29. « https://www.lavoixdunord.fr/22682/article/2016-07-13/nos-jumelages-entre-lipperode-allemagne-et-saint-nicolas-lez-arras-les-liens »
    30. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Nicolas (62764) », (consulté le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    36. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
    37. Messieurs CAUDRON, KOSCINSKI et PICHON, Histoire de Saint-Nicolas (lire en ligne), p.15