La tautologie (du grec ancien ταὐτολογία / tautología, composé de τὸ αὐτό / tò autó, « la même chose », et λόγος / lógos, « parole » : ce qui dit la même chose) est une phrase ou un effet de style ainsi tourné que sa formulation ne puisse être que vraie. La tautologie est apparentée au truisme (ou lapalissade) et au pléonasme.
En logique mathématique, le mot « tautologie » désigne une proposition toujours vraie selon les règles du calcul propositionnel. On utilise aussi l'adjectif tautologique en mathématiques pour désigner des structures qui émergent naturellement de la définition de certains objets.
Utilisation en rhétorique
Dans un cadre intentionnel
La tautologie (comme ses divers effets voisins), lorsqu'elle est intentionnelle, utilisée comme un slogan ou effet de rhétorique, vise à renforcer l'expression de la pensée. C'est le cas de beaucoup de celles qui sont énoncées plus loin, qu'il s'agisse de renforcer le propos (« vu, de mes yeux vu ») ou de faire rire (« Mais le mal que j'y trouve, c'est que votre père est votre père »).
C'est ainsi qu'une tautologie, parce qu'elle est vraie, peut servir à faire passer de fausses idées, en profitant de l'impression de vérité et d'évidence qu'elle dégage[1].
Eugène Ionesco, dans sa pièce Rhinocéros, montre ce procédé en bafouant les lois de la logique à l'aide de tautologies et syllogismes fumeux mais corrects du point de vue grammatical et « mécanique » ; Jean : « J'ai de la force parce que j'ai de la force. »
Karl Marx, dans Le Capital, Livre I, « Le prix est le nom monétaire du travail réalisé dans la marchandise. L'équivalence de la marchandise et de la somme d'argent, exprimée dans son prix, est donc une tautologie, comme en général l'expression relative de valeur d'une marchandise est toujours l'expression de l'équivalence de deux marchandises. Mais si le prix comme exposant de la grandeur de valeur de la marchandise est l'exposant de son rapport d'échange avec la monnaie, il ne s'ensuit pas inversement que l'exposant de son rapport d'échange avec la monnaie soit nécessairement l'exposant de sa grandeur de valeur. »
En fait, elle peut tout aussi bien servir de mode de manipulation qu'être utilisée au second degré, comme un clin d'œil.
Tautologies en logique mathématique
En logique mathématique, le terme a pris un sens technique qui peut s'écarter du sens commun.
En calcul propositionnel, à la suite du Tractatus logico-philosophicus de Wittgenstein paru en 1921, on appelle tautologie (du calcul propositionnel) une proposition (ou énoncé) toujours vraie, c'est-à-dire vraie quelle que soit la valeur de vérité, vraie ou fausse, de ses constituants élémentaires[2]. Dit autrement, la table de vérité de cet énoncé prend toujours la valeur vrai. Par exemple « s'il fait beau, alors il fait beau » qui est de la forme « si A, alors A » (ou « A implique A ») est une tautologie. Les tautologies ainsi définies peuvent paraître sans réelle signification, n'apporter aucune information. Si c'est bien le cas de celle précitée, les tautologies propositionnelles peuvent tout de même être bien plus complexes. Affirmer que « de A1, … , An on déduit B », revient à affirmer que la proposition « si A1, … , si An alors B » est une tautologie. Or, comme le remarque Kleene le raisonnement logique ordinaire revient à manier de telles relations de déduction (pas forcément dans le cadre du calcul propositionnel)[3].
Il reste qu'en calcul propositionnel classique, la question de savoir si un énoncé donné est une tautologie est décidable, c'est-à-dire que cette question peut être théoriquement résolue de façon purement mécanique, par exemple par les tables de vérité. Cependant, ce problème est co-NP-complet, le temps de calcul devient rapidement prohibitif (du moins dans l'état actuel des connaissances).
En calcul des prédicats, on appelle universellement valide un énoncé (formule close) qui est vrai dans tous les modèles (où elle a un sens). Cette notion n'est pas en général décidable, la vérité ne se définit pas de façon mécanique, les modèles pouvant être infinis[4].
Aussi, un usage courant en logique mathématique est d'appeler tautologie du calcul des prédicats une formule close obtenue à partir d'une tautologie du calcul propositionnel en substituant aux variables propositionnelles des formules du calcul des prédicats[5]. Par exemple, P étant un prédicat à une place, « Pour tout x P(x) implique Pour tout x P(x) » est une tautologie obtenue à partir de la tautologie propositionnelle précédente. Une telle formule est bien universellement valide, mais une formule peut être universellement valide sans être une tautologie. Par exemple « Pour tout x P(x) implique Il existe x P(x) » est universellement valide (les modèles sont supposés toujours avoir au moins un élément), mais n'est pas une tautologie. Comme les tautologies sont décidables, cela a un sens de formaliser la déduction en prenant pour axiomes toutes les tautologies du calcul des prédicats[6].
Objets tautologiques en mathématiques
En mathématiques, on utilise l'adjectif « tautologique » pour désigner des structures qui émergent naturellement de la définition de certains objets. Par exemple :
- le fibré cotangent d'une variété différentielle se distingue de son fibré tangent en ce qu'il est naturellement muni d'une forme différentielle tautologique, dite forme de Liouville. Loin d'être anodine, l'existence d'une telle structure tautologique est très riche de conséquences, puisqu'elle est à l'origine de la formulation hamiltonienne de la mécanique classique et plus généralement de la géométrie symplectique.
- le fibré tautologique (en) sur une grassmannienne G est le fibré vectoriel dont la fibre au-dessus d'un point V de G est l'espace vectoriel V. Son universalité le rend important dans l'étude des classes caractéristiques. Le fibré en droites tautologique sur un espace projectif intervient en géométrie algébrique et en K-théorie.
Exemples de figures tautologiques
Selon Michèle Zacharia, autrice d'un livre sur l'expression écrite, la tautologie est au pléonasme ce que l'amphibologie est à l'ambiguïté[7].
Tautologies qui cherchent à appuyer sur un fait
Ce type de tournure est généralement implicite de par la forme de phrase employée, souvent pour en faire un slogan, notamment dans le domaine publicitaire, apportant ainsi un effet comique ou attrayant :
- « La fin n'a jamais été aussi près »[8] (si le temps possède une fin, chaque seconde qui s'écoule nous en rapproche forcément)
- « 100 % des gagnants ont tenté leur chance. »[9] (célèbre slogan publicitaire de la Française des jeux : sauf cas de fraude, chaque participant doit bien acheter un ticket pour participer au tirage).
- « Je n'ai jamais été aussi vieux »[10] (à chaque seconde, tout être vivant, n'ayant qu'une vie, bat son record de longévité)
Tautologies souvent jugées superfétatoires, qui n’apportent aucune précision supplémentaire
Les tournures qui suivent sont, d'un point de vue lexical, des pléonasmes, c’est-à-dire qu'elle contiennent de la redondance, du trop plein d'information, de l'emphase, de la superfluité, de l'excès ou de la superfétation[11]. Néanmoins, elles sont entrées dans l'usage et ne sont plus alors senties comme des pléonasmes.
- « Monter en haut »
- « Descendre en bas »
- « Tourner sur le côté » (et non pas « se retourner »)
- « C’est mon livre à moi » (par contraste avec « le tien »)
- « Tu le lui diras toi-même » (« en personne »)
Tautologies involontaires, voire insoupçonnées
Ce sont des tautologies par oubli ou méconnaissance de sens ou d'origine des mots :
- « Au jour d'aujourd'hui » (pour signifier « à ce jour »), « hui » venant du latin : hodie se traduisant par « ce jour », l'expression signifie finalement « au jour du jour de ce jour ». Le terme « aujourd'hui » est déjà tautologique en soi, signifiant « Au jour de ce jour ».
- « L'Odyssée d'Ulysse », Odyssée vient du grec Ὀδυσσεύς / odusseús qui signifie "Ulysse".
- « L'autoroute A4 », le "A" de A4 indiquant déjà qu'il s'agit d'une autoroute.
En fait ces tautologies n'en sont plus réellement, l'étymologie étant oubliée.
Le nom d’un lieu peut exprimer une idée dans une langue oubliée, les nouveaux locuteurs introduiront une répétition alors dans le nouveau nom. Mais dans la plupart des cas, c'est une traduction, non une tautologie.
- La Balme-les-Grottes : balme signifie « grotte » en francoprovençal[12].
- Le mont Fujiyama : yama (kanji : 山) signifie « montagne » en japonais. L'appellation correcte est donc « le Mont Fuji » ou « le Fujisan » (kanji : 富士山) directement[alpha 1].
- Le val d'Aran : Aran signifiait « vallée » en aquitain ou aquitanien. Tandis que val signifie aujourd'hui également « vallée ». Le nom s'est conservé dans la toponymie gasconne.
- Le lac de Grand-Lieu : Lieu dériverait, selon certains étymologistes, d'un mot vieux-celtique équivalant au loc'h breton signifiant « étang côtier, lagune ».
- Le lac Léman : Léman voulant dire « lac »[13].
- le lac Dhal à Srinagar en Inde : le mot ḍal signifie « lac » en cachemiri[14].
- Le désert de Gobi : Gobi signifie en mongol « semi-désert ».
- Le désert du Sahara : Sahara' صحراء signifie « désert » en arabe[15].
- Le golfe du Morbihan : Mor-bihan signifie en breton « petite mer » = golfe.
- Le pont d'Alcántara : Sud d'Espagne. القنطرة al-Qanṭara signifie « Le pont » en arabe.
- La fête de l'Aïd : Aïd signifie « fête » (Aïd el-Fitr عيد الفطر, en arabe « la fête de la rupture du jeûne », et Al Aïd al-Kebir العيد الكبير, « la grande fête »)
- La porte Tian'anmen : men (门 / 門) signifie « porte » en chinois, ce qui signifierait la porte de la porte de la paix céleste.
- L'île de Koh Phi Phi : koh signifie « île » en thaïlandais.
- Les cols de Cou / Col de Couz : cou étant dérivé du mot « col »[16]
- L'Île-d'Yeu : Yeu est une évolution du mot germanique auwja/augjo signifiant « prairie humide », puis « terre entourée d'eau » et « île ».
- Le palais de l'Alcazar : de l’espagnol alcázar (« forteresse »), de l’arabe قصر (al) qaṣr (« château »), lui-même dérivé du latin castra.
- La ville de Médine : de l’arabe المدينة, Al-Madīna (« La Ville »).
- La place Maïdan à Kiev : de l’ukrainien майдан, maydan (« place »).
- La localité de Glendale en Écosse : du gaélique glen (« vallée ») et de l'anglais dale (« vallée »).
Expressions consacrées courantes ou proverbiales
- « Je l’ai vu de mes propres yeux. »
- « Donner c'est donner, reprendre c'est voler. »
- « C’est la vérité pleine et entière. »
- « C'est la vérité vraie ! »
- « Dura lex, sed lex », c'est-à-dire « La loi est dure, mais c'est la loi ».
- « Quand on voit ce qu'on voit, on a raison de penser ce qu'on pense. »
- « C’est sûr et certain ! »
- « Une promesse est une promesse ! »
- « Un sou est un sou ! »
- « Concurrence pure et parfaite » (structure de marché qui satisfait 5 conditions particulières. L'expression se justifie dans la conception classique en tant que réunion de la concurrence pure de Knight et de la concurrence parfaite d'Arrow)
- « Je me présente face à vous en personne. » (Quoique le sens signifie souvent ici qu’on ne se fait pas représenter par quelqu'un d'autre, ni par le biais d'un support électronique)
- « La raison du plus fort est toujours la meilleure. » (la plus forte sous-entendant que la force prime le droit) ce qui est également une tautologie selon Pascal et Jean-Jacques Rousseau, Du Droit du plus fort[17]
La plupart de ces expressions lexicalisées ne sont pas des tautologies.
Tautologies prononcées par des personnalités
- « Lui, c'est lui, et moi c'est moi. » (dixit Laurent Fabius - à propos de François Mitterrand - lors de sa prise de fonction de Premier ministre en 1984)[18].
- « Ce qui est intolérable ne sera pas toléré. La place des délinquants n'est pas dans la rue, elle est en prison. » (Brice Hortefeux, alors ministre de l'Intérieur, vis-à-vis de faits d'insécurité ayant lieu à Grenoble en 2010)[19].
- « Appelez-ça comme vous voulez, une défaite, c'est une défaite. » (Jean-François Copé, répondant au journal télévisé à Laurence Ferrari qui cherche à faire reconnaître à l'homme politique l'échec de l'UMP aux élections sénatoriales de 2011)[20].
- « Si on n’avait pas perdu une heure et quart, on serait là depuis une heure et quart. » (Johnny Hallyday, s'adressant à son équipier lors de l'édition 2002 du Dakar)[21].
Tautologies dans la littérature
- « Quand je danse, je danse ; quand je dors, je dors. » (Montaigne, Essais)
- « Mais le mal que j'y trouve, c'est que votre père est votre père. » (Molière, L'Avare - Acte IV, scène 1)
- « Les jeunes gens sont jeunes » (Molière, Les Fourberies de Scapin - Acte I, scène 4)
Tautologie au cinéma
- « L’aventure c’est l’aventure » film de Claude Lelouch de 1972
Notes et références
Notes
- ↑ On peut noter que la prononciation « Fujiyama » souvent utilisée dans les pays occidentaux est une lecture erronée de 富士山, qui se lit « Fujisan » en japonais.
Références
- ↑ On trouve cette idée notamment chez la linguiste Lucile Gaudin-Bordes, « La tyrannie tautologique : l’évidence comme outil énonciatif et stratégie discursive », Langue française vol. 160, no 4, Nice, 2008.
- ↑ D'après (en) Stephen Cole Kleene, Mathematical logic, New York, Dover Publications, (1re éd. 1967), 398 p., poche (ISBN 978-0-486-42533-7, LCCN 2002034823, lire en ligne), p. 12, lien Math Reviews.
- ↑ Kleene 2002, p. 27 ; pour la formalisation du raisonnement en termes de relation de déduction, voir les articles déduction naturelle et calcul des séquents.
- ↑ Kleene 2002, p. 131.
- ↑ On trouve cette définition dans René Cori et Daniel Lascar, Logique mathématique I. Calcul propositionnel, algèbres de Boole, calcul des prédicats [détail des éditions], p. 180 de la première édition ; elle se trouve également dans Kleene 1967, ouvrage cité, p. 131.
- ↑ L'usage est courant dans les livres orientés vers la théorie des modèles, quand il s'agit de démontrer le théorème de complétude, par exemple René Cori et Daniel Lascar, Logique mathématique I. Calcul propositionnel, algèbres de Boole, calcul des prédicats [détail des éditions], chap. 4 p. 230. Kleene en 1967 mentionne que cela se fait (p. 131), mais préfère donner des schémas d'axiomes et de règles explicites.
- ↑ Michèle Zacharia, Le petit Retz de l'expression écrite, Paris, Retz, (lire en ligne).
- ↑ « Moto : le Montois Lucas Mahias n’a "jamais été aussi près" du titre mondial » est une variante chez les journalistes sportifs.
- ↑ QUAND LE LOTO GAGNAIT À FAIRE RIRE, Les Échos, le 17/08/2011. Notons qu'Eric Hélias, de Young & Rubicam, dit que c'est un euphémisme !
- ↑ « Pierre Palmade, seul en scène au Palace avec "Je n'ai jamais été aussi vieux" », sur Franceinfo, (consulté le )
- ↑ site langue-française.fr, page "20 célèbres tautologies de la langue française", consulté le 24 novembre 2018
- ↑ Henry Suter, « Balme », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
- ↑ Google livre "Voyage pittoresque au lac de Genève ou Léman"
- ↑ https://dsal.uchicago.edu/cgi-bin/app/hassan_query.py?qs=%E1%B8%8Dal&searchhws=yes
- ↑ Google livre Voyage en Afrique au royaume de Barcah et dans la Cyrénaïque à travers le désert De Paolo Della Cella
- ↑ Henry Suter, « Col », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté le ).
- ↑ Site sos philosophie Rousseau : Du contrat social.
- ↑ « Laurent Fabius "Lui c'est lui et moi c'est moi" », extrait de l'émission L'Heure de vérité, sur ina.fr
- ↑ « Hortefeux. «L'intolérable ne sera pas toléré» », sur letelegramme.com
- ↑ Cité dans « Arithmétique de langage », Isabelle Talès, Le Monde du 27 septembre 2011.
- ↑ Johnny Hallyday - On a perdu 1 heure et quart ! sur Youtube.com
Voir aussi
- Pierre Pellegrin (dir.) et Myriam Hecquet-Devienne, Aristote : Œuvres complètes, Éditions Flammarion, , 2923 p. (ISBN 978-2081273160), « Réfutations sophistiques », p. 457.
- Quintilien (trad. Jean Cousin), De l'Institution oratoire, t. I, Paris, Les Belles Lettres, coll. « Budé Série Latine », , 392 p. (ISBN 2-2510-1202-8).
- Antoine Fouquelin, La Rhétorique françoise, Paris, A. Wechel, (ASIN B001C9C7IQ).
- César Chesneau Dumarsais, Des tropes ou Des différents sens dans lesquels on peut prendre un même mot dans une même langue, Impr. de Delalain, (réimpr. Nouvelle édition augmentée de la Construction oratoire, par l’abbé Batteux), 362 p. (ASIN B001CAQJ52, lire en ligne).
- Pierre Fontanier, Les Figures du discours, Paris, Flammarion, (ISBN 2-0808-1015-4, lire en ligne).
- Patrick Bacry, Les Figures de style et autres procédés stylistiques, Paris, Belin, coll. « Collection Sujets », , 335 p. (ISBN 2-7011-1393-8).
- Bernard Dupriez, Gradus, les procédés littéraires, Paris, 10/18, coll. « Domaine français », , 540 p. (ISBN 2-2640-3709-1).
- Catherine Fromilhague, Les Figures de style, Paris, Armand Colin, coll. « 128 Lettres », 2010 (1re éd. nathan, 1995), 128 p. (ISBN 978-2-2003-5236-3).
- Georges Molinié et Michèle Aquien, Dictionnaire de rhétorique et de poétique, Paris, LGF - Livre de Poche, coll. « Encyclopédies d’aujourd’hui », , 350 p. (ISBN 2-2531-3017-6).
- Michel Pougeoise, Dictionnaire de rhétorique, Paris, Armand Colin, , 228 p., 16 cm × 24 cm (ISBN 978-2-2002-5239-7).
- Olivier Reboul, Introduction à la rhétorique, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Premier cycle », , 256 p., 15 cm × 22 cm (ISBN 2-1304-3917-9).
- Hendrik Van Gorp, Dirk Delabastita, Georges Legros, Rainier Grutman et al., Dictionnaire des termes littéraires, Paris, Honoré Champion, , 533 p. (ISBN 978-2-7453-1325-6).
- Groupe µ, Rhétorique générale, Paris, Larousse, coll. « Langue et langage », .
- Nicole Ricalens-Pourchot, Dictionnaire des figures de style, Paris, Armand Colin, , 218 p. (ISBN 2-200-26457-7).
- Michel Jarrety (dir.), Lexique des termes littéraires, Paris, Le Livre de poche, , 475 p. (ISBN 978-2-253-06745-0).
Articles connexes
- Lapalissade
- Paradoxe de Hempel
- Pléonasme
- Acronyme redondant