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Verneuil-sur-Avre
Verneuil-sur-Avre
Maison renaissance à tourelle, médiathèque municipale.
Blason de Verneuil-sur-Avre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Évreux
Intercommunalité Interco Normandie Sud Eure
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Yves-Marie Rivemale
2017-2020
Code postal 27130
Code commune 27679
Démographie
Gentilé Vernoliens
Population 6 680 hab. (2014 en augmentation de 4.85 % par rapport à 2009)
Densité 209 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 44′ 22″ nord, 0° 55′ 43″ est
Altitude Min. 147 m
Max. 193 m
Superficie 31,97 km2
Élections
Départementales Verneuil-sur-Avre
(bureau centralisateur)
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Verneuil d'Avre et d'Iton
Localisation
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Verneuil-sur-Avre
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Verneuil-sur-Avre

    Verneuil-sur-Avre est une ancienne commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie. La commune a fusionné le avec Francheville pour donner la commune nouvelle de Verneuil d'Avre et d'Iton. Verneuil-sur-Avre se situait dans le Pays d'accueil touristique d'Avre, d'Eure et d'Iton, comprenant 88 communes.

    Géographie

    • L'Avre passe à proximité de la ville de Verneuil (au sud de la RN 12). Depuis 1893, huit de ses sources situées à Rueil-la-Gadelière et Verneuil-sur-Avre sont captées pour alimenter en eau potable, grâce à un aqueduc, les 8e, 9e, 16e et 17e arrondissements de Paris à partir du réservoir de Saint-Cloud.
    • L'Iton, autre affluent de l'Eure et donc sous-affluent de la Seine, remplit les fossés de la ville de Verneuil-sur-Avre. Lors de la fondation de la ville,Henri Ier Beauclerc fit détourner une partie de cette rivière pour alimenter la nouvelle ville en eau grâce à un bras forcé partant du Becquet à Bourth. À l'époque, Verneuil était située sur le territoire du duché de Normandie et l'Avre, qui coule à proximité, marquait la frontière avec le territoire du royaume de France, zone ennemie.

    Toponymie

    Sous l'Ancien Régime, la ville s'appelait Verneuil-au-Perche ou simplement Verneuil. Elle est devenue commune et chef-lieu de canton sous le nom de Verneuil, nom encore fréquemment employé dans le langage courant. L'actuelle dénomination Verneuil-sur-Avre semble s'être mise en place au milieu du XIXe siècle : la forme Verneuil-sur-l'Avre est attestée en 1835[1] ; Verneuil-sur-Avre est attestée sous ce nom en 1857[Note 1] ; la forme Verneuil est la plus couramment utilisée, notamment dans les ouvrages de référence [2] ; la forme actuelle a été officialisée à une date inconnue.
    De vern (aulne) et ialos (clairière).

    L'Avre est une rivière qui passe à proximité de Verneuil, qui prend sa source dans la région naturelle du Perche. Elle sert de frontière naturelle entre les régions Normandie et Centre-Val de Loire. L'Avre est un affluent en rive gauche de l'Eure, donc un sous-affluent de la Seine.

    Histoire

    Moyen Âge

    Verneuil-sur-Avre est fondée en 1120 par Henri Ier Beauclerc[3], troisième fils de Guillaume le Conquérant, après la révolte des nobles de 1118-1120[4]. Certains des principaux révoltés sont Richer de l'Aigle, Robert du Neubourg et Eustache, comte de Breteuil, tous possessionnés dans les alentours. Henri Ier, une fois ces révoltés soumis, crée donc trois bourgs fortifiés à Verneuil-sur-Avre pour contrôler la région[5].

    Lorsqu'à l'issue de la troisième croisade, Richard Cœur de Lion est retenu prisonnier par l'empereur du Saint-Empire romain germanique Henri VI, l'occasion apparaît trop belle pour le souverain français, qui, en 1193, met le siège devant la place[6].

    Dans le cadre de la reconquête de la Normandie par Philippe Auguste, la ville fait sa reddition, après celle de Rouen intervenue le , et celle d'Arques[7].

    Quartier Saint-Martin

    Le quartier Saint-Martin, situé au sud de l'Avre, dépendait des seigneurs du Thymerais. Ce face-à-face a donné lieu à de nombreuses confrontations entre les deux partis :

    Révolution française

    Cénotaphe de Frotté par David d'Angers dans l'église de la Madeleine à Verneuil-sur-Avre.
    • Verneuil est chef-lieu de district de 1790 à 1801. L'église de la Madeleine est transformée en temple de la Raison (il en subsiste quelques traces sur la façade, à droite du porche, et la statue de la déesse est conservée à la mairie). En 1844, Gauville est rattachée à Verneuil.
    • Le chef Chouan Frotté y est fait prisonnier et fusillé alors qu'ayant accepté les conditions de Bonaparte et bénéficiant d'un sauf-conduit, il était en négociation avec le général Guidal.

    Seconde Guerre mondiale

    Durant la Seconde Guerre mondiale, la Wehrmacht y installa un camp de prisonniers militaires, dit camp de l'École des Roches. Un grand nombre de soldats français victimes de la débâcle de 1940 y transitèrent avant d'être transférés dans des camps notamment autrichiens. 2 000 soldats canadiens capturés le lors de l'opération Jubilee (tentative de débarquement à Dieppe) y furent également détenus, du au , avant d'être transférés en Allemagne.

    Dans la nuit du au , l'un des 504 avions de la Royal Air Force partis bombarder Milan, le Halifax JD125 code KN-A du 77th Squadron, fut abattu par le chasseur Focke-Wulf 190 piloté par l'Allemand Detlef Grossfuss du 2./JG2. Aucun des sept membres de l'équipage (six Britanniques et un Canadien) n'y survécut. Seuls six corps furent retrouvés, ceux des sergents Griffiths, Gray et Bacon, les trois autres (parmi lesquels le pilote Clinch, les aviateurs Hoyne, Gallantree ou le Canadien Donald Dufton) n'ayant pu être identifiés, ce qui explique la présence de six stèles dont trois anonymes au cimetière communal.

    Le , cinq FFI du réseau « Quand Même », (André Chasles, Jacques et Bernard Girard, Jean Pothin et Marius Bazille) étaient fusillés par les Allemands en compagnie du parachutiste commando canadien Hector Sylvestre qui avait rallié la Résistance. Celui-ci appartenait à la compagnie A du 1er bataillon parachutiste canadien (3e brigade parachutée, 6e division aéroportée). Cinq jours plus tard, le , la ville de Verneuil était libérée par les Américains de la 28e division d'infanterie et de la 2e division blindée. Les corps des six suppliciés reposent toujours au cimetière communal où ils furent transportés après la Libération, un rond-point porte le nom de Donald Dufton et une rue celui d'Hector Sylvestre.

    Le , Verneuil-sur-Avre et Francheville fusionnent pour former la commune de Verneuil d'Avre et d'Iton.

    Administration et vie publique

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    ca 1877 Comte Pierre Roger de Barrey[10] Conseiller général
    Les données manquantes sont à compléter.
    1910 Eugène Le Vaillant de Glatigny Conseiller général
    Les données manquantes sont à compléter.
    ca 1943 Léon Labbé Nommé conseiller départemental en 1943[11]
    Les données manquantes sont à compléter.
    décembre 1973 juin 1995 Jacques Demaire[12] MRG Conseiller général
    juin 1995 mars 2001 Louis Petiet SE
    mars 2001 mars 2008 Christian Perron PS
    mars 2008 mars 2014 Louis Petiet Apparenté UMP Conseiller général
    mars 2014 En cours Yves-Marie Rivemale PS Docteur en biologie

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[14] - [Note 2].

    En 2014, la commune comptait 6 680 habitants, en augmentation de 4,85 % par rapport à 2009 (Eure : 2,59 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5 2804 3754 1704 3764 1783 9003 9564 0473 904
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 9063 7144 2593 8963 7553 9884 2004 2704 330
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    4 4034 4464 5464 6324 6624 7374 6915 1145 357
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2014
    5 5516 0126 4996 6986 4466 6196 6556 2056 680
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[16].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (26,6 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (54 %) est supérieur de plus de deux points au taux national (51,6 %).

    En 2007, la répartition de la population de la commune par tranches d'âge est la suivante :

    • 46 % d’hommes (0 à 14 ans = 16,8 %, 15 à 29 ans = 20,4 %, 30 à 44 ans = 20,7 %, 45 à 59 ans = 19,3 %, plus de 60 ans = 22,8 %) ;
    • 54 % de femmes (0 à 14 ans = 16,2 %, 15 à 29 ans = 17,8 %, 30 à 44 ans = 17,6 %, 45 à 59 ans = 18,5 %, plus de 60 ans = 29,9 %).
    Pyramide des âges à Verneuil-sur-Avre en 2007 en pourcentage[17]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ans ou +
    2,0
    8,6
    75 à 89 ans
    12,0
    13,7
    60 à 74 ans
    15,9
    19,3
    45 à 59 ans
    18,5
    20,7
    30 à 44 ans
    17,6
    20,4
    15 à 29 ans
    17,8
    16,8
    0 à 14 ans
    16,2
    Pyramide des âges du département de l'Eure en 2007 en pourcentage[18]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3
    90 ans ou +
    1,0
    5,2
    75 à 89 ans
    8,1
    12,1
    60 à 74 ans
    12,8
    21,5
    45 à 59 ans
    20,7
    21,5
    30 à 44 ans
    20,9
    18,4
    15 à 29 ans
    17,1
    21,1
    0 à 14 ans
    19,5

    Économie

    • La ville possède une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de l'Eure.
    • Un domaine Center Parcs est situé à km à l'ouest de Verneuil-sur-Avre, sur les communes des Barils et de Pullay.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église de la Madeleine (XIIe et XVIe siècles), monument historique avec sa tour culminant à 56 mètres, en gothique flamboyant, visible bien au-delà du canton jusqu'à la cathédrale de Chartres (l'hiver), et devenue le symbole de la ville. Très comparable à la tour de Beurre de Rouen, bien qu'un peu plus petite, elle a également inspiré les architectes de la Tribune Tower à Chicago, gratte-ciel de 141 mètres de hauteur qui fut érigé en 1925.
    • Église Notre-Dame XIIe et XXe siècles.
    • Série de maisons rues de la Madeleine (dont la Maison à tourelle), de la Poissonnerie, des Tanneries et de la Pomme d'Or.
    • Tour Grise (XIIIe siècle) : élevée par Philippe Auguste, elle tire son nom d'une pierre de couleur marron utilisée pour sa construction et nommée « grison ».
    • Abbaye Saint-Nicolas, fondée en 1627[9].
    • Espace Saint-Laurent, ancienne église transformée en lieu d'expositions.
    • Vestiges de l'église Saint-Jean (XVIe siècle) bombardée en 1944.
    • Le centre de loisirs Center Parcs (Les Bois-Francs).
    • La gare de Verneuil-sur-Avre.
    • Tour de l'église de la Madeleine.
      Tour de l'église de la Madeleine.
    • Maison renaissance de la rue Notre-Dame.
      Maison renaissance de la rue Notre-Dame.
    • Une des nombreuses maisons à colombages.
      Une des nombreuses maisons à colombages.
    • Hôtel de Ville de Verneuil sur Avre.
      Hôtel de Ville de Verneuil sur Avre.
    • Tour Grise.
      Tour Grise.
    • Église Notre-Dame.
      Église Notre-Dame.
    • Le cinéma Trianon, ancienne chapelle de l’hôtel-Dieu.
      Le cinéma Trianon, ancienne chapelle de l’hôtel-Dieu.
    • Quartiers ouest et place de la Madeleine vus de la tour de l'église de la Madeleine.
      Quartiers ouest et place de la Madeleine vus de la tour de l'église de la Madeleine.

    Personnalités liées à la commune

    (Par ordre chronologique de date de naissance)

    • Artus Fillon (v. 1522-1526), évêque de Senlis et donateur ayant permis l'achèvement de la tour de La Madeleine y est né .
    • Paul-Alexis Blessebois (1646-1700), dit Pierre-Corneille Blessebois, aventurier et écrivain, y est né.
    • Paul Bertrand (dit Saint-Arnaud) (1661-1739), ancêtre des familles Saint-Arnaud en Amérique du Nord, y est né.
    • Pierre Vente (1722-1793), relieur français, y est né.
    • Albert Marie de Romé (1730-1793), maréchal de camp des armées de la Révolution française, y est né.
    • Gabriel-François Villette (v. 1744-1816), pharmacien en chef aux armées, y est né.
    • Jacques Nicolas Lacour (1760-1839), général, baron d'Empire, y est né.
    • Le comte de Frotté (1766-1800), chef de la chouannerie normande, fusillé à Verneuil.
    • Jean-Jacques Morel (1766-1852), prêtre exilé en 1790 et décédé à Hampstead, y est né.
    • Jacques Antoine Bertre (1776-1834), ingénieur géographe, accompagne Bonaparte lors de l'expédition d'Égypte, y est mort.
    • Prudent-Louis Aubéry Du Boulley (1796-1870), compositeur, y est né et mort.
    • Louise Colet (1810-1876), femme de lettres, amie de Gustave Flaubert, y est inhumée.
    • Paul Vogler (1852-1904), peintre impressionniste, y est mort.
    • Jean Hillemacher (1889-1914), peintre, y est né.
    • Paul Gires (1873-1948), médecin, fondateur de l'École française de stomatologie, y est mort.
    • Maurice Augustin Storez (1875-1959), architecte qui restaura de nombreuses maisons à Verneuil, y est mort.
    • Maurice de Vlaminck (1876-1958), peintre, établi pendant plus de cinquante ans à Rueil-la-Gadelière près de Verneuil, a beaucoup peint les villages et paysages des environs. Le collège de Verneuil porte son nom.
    • Jérôme Carcopino (1881-1970), historien, secrétaire d'État à l'Éducation nationale et à la Jeunesse de 1941 à 1942, dans le gouvernement de Vichy, y est né.
    • Serge Rigault (1930-1999), tennisman français et chasseur, y est inhumé.
    • Jean-Paul Sevilla (1934-), pianiste concertiste, professeur honoraire à l'Université d'Ottawa, Canada, y demeure[19].
    • Jean-Claude Lebaube, coureur cycliste né en 1937 à Verneuil-sur-Avre et mort en 1977.
    • Hervé Télémaque (1937-2022), artiste peintre français d'origine haïtienne y avait son atelier pendant ses dernières années.
    • Geneviève Moll (1942-2011), journaliste, y est morte.
    • Richard Peduzzi (1943-), scénographe, peintre, designer et créateur de mobilier français.
    • Pascal Quignard (1948-), écrivain, y est né.
    • Claude Baillargeon (1949-2006), affichiste français, y est né.
    • Louis Petiet (1957-), homme d'affaires et homme politique, ancien maire de la commune et ancien conseiller général de l'Eure.
    • Nicolas Miguet (1961-), éditeur de presse, y est né.
    • Bérangère Sapowicz (1983-), footballeuse internationale française, évoluant au poste de gardienne de but, y est née.

    Héraldique

    Blason de Verneuil-sur-Avre Blason
    Parti, au 1 : d'or, au lion de gueules, au chef d'azur à trois fleurs de lys d'or ; au 2 : d'azur à la fleur de lys d'or. »

    Anciennes armes :
    D'argent, au lion de gueules, au chef d'azur, chargé de trois fleurs de lys d'or.»[20]
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Enseignement

    • L'école des Roches, fondée en 1899 par Edmond Demolins, est la première école nouvelle française.
    • Lycée de la Porte de Normandie.
    • Collège Maurice de Vlaminck.

    Notes et références

    Notes

    1. Voir Congrès archéologique de France, par la Société française d'archéologie, volume 23, Derache, Paris, 1857 : Verneuil-sur-Avre figure en titre page 161 (« Séances tenues à Verneuil-sur-Avre ») et à la table des matières page 390 ; dans le reste de l'ouvrage, c'est la forme Verneuil qui est utilisée
    2. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

    Références

    1. Georges-Bernard Depping 1835, p. 125.
    2. Pierre Larousse 1876, p. 918.
    3. Pierre Durand 2019, p. 24.
    4. Astrid Lemoine-Descourtieux, Bourg castraux et centres administratifs nouveaux, vol. II, PURH, , « La frontière normande de l'Avre ».
    5. Astrid Lemoine, « Chennebrun, un bourg castral au cœur des conflits franco-normands du XIIe siècle », Annales de Normandie, vol. 48, no 5, , p. 533 (lire en ligne).
    6. Anne-Marie Flambard Héricher (préf. Vincent Juhel), Le château de Vatteville et son environnement, de la résidence comtale au manoir de chasse royal, XIe – XVIe siècle, vol. Mémoire de la Société des antiquaires de Normandie, t. XLVIII, Caen, Société des antiquaires de Normandie, , 393 p. (ISBN 978-2-919026-27-2), p. 59.
    7. Flambard Héricher 2023, p. 68.
    8. Pierre Durand 2019, p. 27-28.
    9. 1 2 Pierre Durand 2019, p. 28.
    10. « Notice LH/123/7 de Pierre Roger comte de Barrey, maire de Verneuil », base Léonore, ministère français de la Culture.
    11. Journal officiel de la République française. Lois et décrets, parution 2 mai 1943, (en ligne).
    12. « Inauguration. Un très bel hommage rendu à Jacques Demaire à Verneuil », Le Réveil normand, (lire en ligne).
    13. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
    14. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
    17. « Évolution et structure de la population à Verneuil-sur-Avre en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    18. « Résultats du recensement de la population de l'Eure en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    19. « Jean-Paul Sevilla reprend ses causeries et met à l'honneur Giuseppe Verdi », sur paris-normandie.fr.
    20. Victor Adolphe Malte-Brun 1882.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges-Bernard Depping, Histoire de la Normandie sous le règne de Guillaume-le-conquérant et de ses successeurs..., t. 2, Rouen, Frère,
    • Pierre Durand, « Verneuil-sur-Avre. La plus médiévale des cités de l'Eure », Connaissance de l'Eure, no 193,
    • Pierre Larousse, Grand dictionnaire universel du XIXe siècle, t. 15, Paris, Testam-Z, (lire en ligne)
    • Victor Adolphe Malte-Brun, La France illustrée,

    Articles connexes

    • Siège de Verneuil (1173)
    • Bataille de Verneuil (1424)
    • Prise de Verneuil (1449)
    • District de Verneuil

    Liens externes