AccueilFrChercher

Éperlecques
Éperlecques
La mairie.
Blason de Éperlecques
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Saint-Omer
Intercommunalité CA du Pays de Saint-Omer
Maire
Mandat
Laurent Denis
2020-2026
Code postal 62910
Code commune 62297
Démographie
Gentilé Éperlecquois
Population
municipale
3 745 hab. (2020 en augmentation de 8,05 % par rapport à 2014)
Densité 147 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 48′ 25″ nord, 2° 09′ 09″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 97 m
Superficie 25,56 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Omer
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Omer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Omer
Législatives 6e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Éperlecques
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Éperlecques
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Éperlecques
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Éperlecques
Liens
Site web http://www.eperlecques.fr/

    Éperlecques est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

    Ses habitants sont appelés les Éperlecquois.

    La commune fait partie de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer qui regroupe 53 communes et compte 105 142 habitants en 2019.

    La forêt d'Éperlecques, qui fait partie de la Znieff de la forêt d'Éperlecques et ses lisières, occupe une surface totale de 850 ha.

    Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.

    Géographie

    Localisation

    La commune fait partie du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale et est située à l'extrémité du marais audomarois. Elle se trouve à 10 km de Saint-Omer et 30 km de Calais.

    La commune s'étend sur 2 550 ha dont 750 ha de forêt. En longueur, elle fait plus de 10 km. La forêt d'Éperlecques occupe une surface totale de 850 ha (avec la partie située en limite sud de Ruminghem) et constitue l'un des grands espaces naturels de l'agglomération.

    La commune s'étend au fond d'un large vallon.

    Les communes limitrophes sont Ruminghem, Mentque-Nortbécourt, Muncq-Nieurlet, Holque, Watten, Bayenghem-lès-Éperlecques et Houlle.

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    La commune est traversée par de nombreux cours d'eau :

    • le fleuve Aa canalisé, qui marque, à l'est, la frontière de la commune avec le département du Nord, d'une longueur de 36,75 km, et qui prend sa source dans la commune d'Arques et se jette dans la mer du Nord entre les communes de Grand-Fort-Philippe et de Gravelines[1] ;
    • le Reninghe, d'une longueur de 2,6 km, qui prend sa source dans la commune de Watten et se jette dans l'Aa au niveau de la commune de Watten[2] ;
    • le Paclose, d'une longueur de 8,42 km, qui prend sa source dans la commune de Nordausques et se jette dans le Reninghe au niveau de la commune de Watten[3]. Quatre petits ruisseaux d'un kilomètre, affuents du Paclose, irriguent la commune : le ruisseau la Paclose et trois autres portant le nom de Nord Straëte[4],[5],[6],[7] ;
    • la Liette d'Eperlecques, d'une longueur de 5,91 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le Paclose au niveau de la commune[8] ;
    • l'Est Mont, d'une longueur de 2,34 km, qui prend sa source dans la commune de Bayenghem-lès-Éperlecques et se jette dans la Liette d'Eperlecques au niveau de la commune[9].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré de type 4 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10].

    Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[10].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 856 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Milieux naturels et biodiversité

    Espaces protégés et gérés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[11].

    Dans ce cadre, la commune fait partie de plusieurs espaces protégés :

    • le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, d'une superficie de 132 499 ha[12].
    • le marais audomarois avec :
      • la réserve de biosphère, zone centrale, d'une superficie de 1 154 ha[13],
      • la réserve de biosphère, zone tampon, d'une superficie de 3 082 ha[14],
      • la réserve de biosphère, zone de transition, d'une superficie de 18 303 ha[15],
      • la zone humide protégée par la convention de Ramsar, d'une superficie de 3 737 ha[16].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 3] :

    • le marais de Warland et les étangs de la Musardière, d’une superficie de 155 hectares et d'une altitude variant de deux à cinq mètres. Cette ZNIEFF située au pied des collines de Watten et d'Éperlecques, entre la Houlle au sud et la Liette au nord, parsemée de watergangs, a subi d'importantes modifications et les prairies naturelles ont régressé au profit de prairies semées et de cultures de maïs[17] ;
    • la forêt d'Éperlecques et ses lisières, d’une superficie de 2 440 hectares et d'une altitude variant de 12 à 94 mètres. Cette ZNIEFF souligne les premières ondulations des collines crayeuses de l’Artois. La forêt d’Eperlecques et les bois environnant occupent ces collines[18].

    et une ZNIEFF de type 2[Note 4] : le complexe écologique du marais Audomarois et de ses versants, d’une superficie de 12 177 hectares et d'une altitude variant de 2 à 94 mètres. Cette ZNIEFF est un élément de la dépression préartésienne, drainé par l’Aa, le marais Audomarois est un golfe de basses terres bordé à l’Ouest par la retombée crayeuse de l’Artois et à l’Est par les collines argileuses de la Flandre intérieure[19].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 sur la commune
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Site Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce réseau est constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les prairies, marais tourbeux, forêts et bois de la cuvette audomaroise et de ses versants, d'une superficie de 563 ha[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Éperlecques est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Omer, une agglomération interdépartementale regroupant 23 communes[25] et 74 274 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[26],[27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[28],[29].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,2 %), forêts (31,6 %), prairies (9,7 %), zones urbanisées (8,9 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), zones humides intérieures (1,6 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    Vue d'Hellebrouck (été 2007).

    La commune est composée de huit hameaux : Culem, le Mont, le Gandspette, le Sart, Bleue-Maison, Hellebroucq, la Meullemotte et le Centre.

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 484, alors qu'il était de 1 372 en 2013 et de 1 235 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 92,4 % étaient des résidences principales, 2,4 % des résidences secondaires et 5,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,2 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Éperlecques en 2018 en comparaison avec celle du Pas-de-Calais et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,4 %) inférieure à celle du département (6,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 71,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74,2 % en 2013), contre 57,8 % pour le Pas-de-Calais et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Éperlecques en 2018.
    Typologie Éperlecques[I 1] Pas-de-Calais[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 92,4 86 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,4 6,4 9,7
    Logements vacants (en %) 5,1 7,6 8,2

    Voies de communication et transports

    Voies de communication

    La commune est desservie par les routes départementales D 207, D 219, D 222, D 300 et D 943 et est située à km, à l'est, de la sortie no 2 de l'autoroute A 26, aussi appelé autoroute des Anglais, reliant Calais à Troyes[31].

    Transports

    La gare de Watten - Éperlecques est située sur la commune et sur la ligne de Lille aux Fontinettes et desservie par des trains TER Hauts-de-France. C'est une ancienne gare de bifurcation, origine de la ligne de Watten - Éperlecques à Bourbourg, exploitée de 1899 à 1964, qui reliait les communes d'Éperlecques et de Bourbourg (Nord).

    Risques naturels et technologiques

    Le , un arrêté reconnaissant l'état de catastrophe naturelle sécheresse a été pris, pour onze communes du Pas-de-Calais, dont Éperlecques, afin que puisse avoir lieu l'indemnisation par les assurances des cas de maisons ou bâtiments fissurés à la suite du retrait-gonflement des argiles[32].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes : Spirliacus au IXe siècle[33] ; Spirliacum au XIe siècle ; Sperleca en 1069-1129 ; Sperlaca en 1139 ; Sperleke vers 1140 ; Sperlecka en 1193 ; Sperleka en 1218 ; Esperlech, Espellecque et Espreleke en 1298 ; Spellekae au XIIIe siècle ; Esprellecke en 1301 ; Esprelleche en 1303 ; Éperlecques en 1309 ; Espelleque en 1329 ; Esperleque en 1331 ; Exprelecque en 1332 ; Experleque en 1334 ; Esprelecque en 1372 ; Esprelesques en 1380 ; Esproulesques au XIVe siècle ; Esperleke en 1412 ; Esperleques en 1720[34] ; Eperleque en 1793 et Éperlecques depuis 1801[35].

    Il s'agit d'une formation toponymique gallo-romaine en -(i)acum, suffixe de localisation et de propriété d'origine gauloise, qui a évolué en -eke dans les régions néerlandophones et les villages néerlandophones jusque vers Le Touquet-Paris-Plage, la graphie ayant par la suite été francisée en -ecques. Le s final s'explique peut-être par les formes au pluriel en -iacas, caractéristique du Nord jusque la Normandie qui ont donné la terminaison -ies dans le domaine du gallo-roman. Ce suffixe est précédé d'un nom d’homme mal déterminé, peut-être latin *Spurilius (non attesté), hypocoristique de Spurius[36],[33], sans doute porté par un indigène gallo-romain.

    La commune s'appelle Éparlecques en picard et Sperleke en néerlandais[37].

    Histoire

    Période romaine

    L'Histoire antique d'Éperlecques est encore relativement méconnue. Eu égard au mobilier archéologique retrouvé lors de chantiers ou travaux agricoles, un passé gallo-romain est bien attesté. En effet, des fragments de poteries romaines, des pièces de monnaie, et parfois des sépultures ont été mis au jour à quelques reprises. De plus, et cela pourrait expliquer la présence de vestiges romains, on sait qu’à l’époque Eperlecques était traversée par deux voies romaines, connues de nos jours sous le nom de Grande Rue (au nord du village), et la Grande Leulène (extrémité ouest).

    Période médiévale

    Le comte Gérard en donna le domaine au monastère de Saint-Winoc en 821[38].

    En 1071 Robert-le-Frison, comte de Flandres, cède Eperlecques à Eustache, comte de Boulogne.

    Vers 1140, les chanoines de l'abbaye de Watten prennent à cens de l'aumônier de l'abbaye de Saint-Bertin de Saint-Omer et de son prévôt Manassès, une terre située à Éperlecques[39].

    Vers 1150, Drogon d'Éperlecques est témoin d'une charte passée par le comte de Guînes Arnould Ier de Guînes en faveur de l'abbaye de Saint-Bertin de Saint-Omer, en présence de plusieurs seigneurs du comté de Guînes[40].

    Au XVe siècle, Enguerrand de Bournonville puis son fils Antoine de Bournonville sont châtelains d'Éperlecques[41].

    Le château, pris par les Français en 1487, est repris par les Bourguignons en 1489.

    Époque moderne

    Le château d'Éperlecques, défendu par son capitaine Gauthier de Bersaques, est pris par les Français en 1542[42].

    En 1627, la seigneurie d'Éperlecques, de même que Ruminghem, est détenue par un membre de la prestigieuse Maison de Croÿ, Charles Philippe Alexandre de Croÿ, marquis de Renty, prince d'Havré, châtelain-vicomte de Bourbourg, Grand d'Espagne, possesseur de nombreuses seigneuries[43].

    Le maréchal de Châtillon se rend maître du château le ; après deux jours de siège. Le maréchal de la Meillearaye détruit complètement le château en août 1639 après s’être emparé d'Hesdin puis, ayant fait sa jonction avec Maillé-Brezé après la chute de Lens (1641), il ravagea les faubourgs de Lille.

    Époque contemporaine

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, le blockhaus d'Éperlecques est construit par l'occupant nazi pour être une base de lancement de missiles V2, mais les différents bombardements Alliés ont rendu son achèvement impossible.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais.

    Circonscriptions administratives

    La commune faisait partie depuis 1803 du canton d'Ardres[35]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Omer

    Commune et intercommunalités

    Éperlecques était membre de la communauté d'agglomération de Saint-Omer (CASO), un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer (CAPSO) dont est désormais membre la commune.

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

    Élections municipales et communautaires

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1925 1936 M. Seigre-Dereudre
    mai 1945 1962 Louis Biecq
    1962 mars 1971 Benjamin Rozé
    mars 1971 mars 1983 Roger Decroix SE Agent SNCF
    mars 1983 mars 2001 Gilles Cocquempot PS Attaché commercial
    Député du Pas-de-Calais (7e circ.) (2001 → 2012)
    mars 2001 mars 2014 Michel Guilbert[44] PS Fonctionnaire du Trésor Public
    mars 2014[45] - [46] - [47] En cours
    (au 1er août 2023)
    Laurent Denis PS Chef de cuisine
    Réélu pour le mandat 2020-2026 [48]

    Jumelages

    La commune est jumelée avec :

    Jumelages et partenariats d’Éperlecques.
    VillePaysPériode
    Zonnebeke[49] - [50]Belgiquedepuis

    Équipements et services publics

    Enseignement

    La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

    La commune administre le groupe scolaire de la Liette[51].

    Sur le territoire de la commune se trouve également un établissements privées : l'école primaire Saint Joseph gérée par l'organisme de gestion de l'enseignement catholique (OGEC)[52].

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dépend du tribunal judiciaire de Saint-Omer, du conseil de prud'hommes de Saint-Omer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer et du tribunal pour enfants de Saint-Omer[53].

    Population et société

    Les habitants de la commune sont appelés les Éperlecquois[54].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[56].

    En 2020, la commune comptait 3 745 habitants[Note 7], en augmentation de 8,05 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4151 3901 8291 8041 8371 8921 8741 8871 931
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9711 9241 9502 0522 1332 2302 2332 3012 142
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 1562 1392 1281 9941 9842 0522 0581 7941 879
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2 0612 1682 2762 5562 7852 8853 1043 1353 350
    2017 2020 - - - - - - -
    3 6403 745-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[57].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 808 hommes pour 1 860 femmes, soit un taux de 50,71 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[58]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3
    90 ou +
    0,5
    3,8
    75-89 ans
    6,4
    14,6
    60-74 ans
    14,9
    19,9
    45-59 ans
    18,0
    21,2
    30-44 ans
    21,4
    16,1
    15-29 ans
    16,1
    24,0
    0-14 ans
    22,6
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[59]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,6
    5,5
    75-89 ans
    8,9
    16,4
    60-74 ans
    17,8
    20,3
    45-59 ans
    19,3
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,1
    15-29 ans
    16,2
    20,2
    0-14 ans
    18,1

    Sports et loisirs

    • Club de football CAE - Le Cercle Athlétique Éperlecques, créé en 1971.
    • Club de karaté KTJE : taijitsu, full-contact, qi gong, créé en 1987.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Monument historique

    La commune compte plusieurs monuments historiques :

    • Le blockhaus.
      Le blockhaus.

    Autres lieux et monuments

    • L'église Saint-Léger du XVe siècle et sa tour en pierre blanche du XVIe. Des éléments patrimoniaux se trouvant dans l'église Saint-Léger sont classés ou inscrits au titre d'objet des monuments historiques :
      • l'ancien jubé du XVe siècle classé depuis le [61],
      • la cloche du XIXe siècle, fonte de Drouot inscrite depuis le [62].
    • La chapelle Notre-Dame-des-Neiges du XIXe siècle (hameau du Gandspette), chapelle bénite le [63].
    • 6 petites chapelles :
      • Notre-Dame-des-Trois-Cayelles (avant 1780, dans la forêt).
      • Notre-Dame-de-Lourdes (1907, rue de l'église).
      • Notre-Dame-des-Miracles (1912, rue du Mont).
      • Saint-Antoine (dans la forêt).
      • Saint-Pierre (rebâtie en 1837, rue Saint-Pierre).
      • de la Viergette (1957, rue du Pavillon).
    • L'église.
      L'église.
    • La statue de l'ange gardien.
      La statue de l'ange gardien.
    • La statue de Saint-Flocel.
      La statue de Saint-Flocel.
    • Le monument aux morts[64].
    • La gare.
    • Les traces d'anciens châteaux.
    • Le manoir de Bleue-Maison datant de 1592.
    • Le moulin à farine Seigre du XIXe siècle[65].
    • Le moulin du Gandspette.
    • La gare.
      La gare.
    • Les ruines du moulin.
      Les ruines du moulin.

    Personnalités liées à la commune

    • Enguerrand de Bournonville (vers 1368-1414), châtelain d'Éperlecques.
    • Antoine de Bournonville (vers 1403-1480), fils du précédent, châtelain d'Éperlecques.
    • Gilles Cocquempot (1952-), personnalité politique et maire de la commune de 1983 à 2001, né à Éperlecques.

    Héraldique

    Blason de Éperlecques Blason
    Écartelé : au 1er et 4e d'azur aux trois barres d'or, au franc-quartier senestre échiqueté d'or et d'argent, au 2e et 3e d'argent à trois étoiles d'azur[66].
    Ornements extérieurs
    Croix de guerre 1939-1945
    Détails
    Adopté par la commune avant 1996.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Henri de Laplane, « Éperlecques (Pas-de-Calais). Ses seigneurs, son ancien château, son église, sa vieille tour », Mémoires de la Société des antiquaires de la Morinie 1872-1874, t. 14, , p. III-VII, 1-196 (lire en ligne)
    • Louis Delozière, L'Histoire d'Éperlecques, foyer culturel de l'Houtland, réédition de 1994.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le climat océanique altéré de type 4 apparaît comme une transition entre l'océanique franc (type 5) et l’océanique dégradé (type 3). Entre le Nord-Pas-de-Calais et la Normandie il s'agit d’une fine bande tandis qu'à l’Ouest, cette transition s'élargit jusqu'à atteindre plus de 150 km. Elle affecte également le sud-ouest du Massif central, de la Dordogne à l'Aveyron et le nord des Pyrénées. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8/an) et chauds soutenu (entre 15 et 23/an). L'amplitude thermique annuelle (juillet-janvier) est proche du minimum et la variabilité interannuelle moyenne. Les précipitations, moyennes en cumul annuel (800-900 mm) tombent surtout l'hiver, l’été étant assez sec. (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Aa canalisée (E4--001-) » (consulté le )
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Reninghe (E4070950) » (consulté le )
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Paclose (E4070900) » (consulté le )
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau la Paclose (E4070920) » (consulté le )
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Nord Straëte (E4071010) » (consulté le )
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Nord Straëte (E4071000) » (consulté le )
    7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Nord Straëte (E4071020) » (consulté le )
    8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Liette d'Eperlecques (E4070910) » (consulté le )
    9. Sandre, « Fiche cours d'eau - Est Mont (E4070930) » (consulté le )
    10. 1 2 Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    12. « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « espace protégé FR6300012 - Marais Audomarois - zone centrale », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « espace protégé FR6400012 - Marais Audomarois - zone tampon », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « espace protégé FR6500012 - Marais Audomarois - zone de transition », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « espace protégé FR7200030 - Marais Audomarois - zone humide », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF 310013355 - Le Marais de Warland et les étangs de la Musardière », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF 310013717 - forêt d'Éperlecques et ses lisières », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF 310013353 - Le complexe écologique du Marais Audomarois et de ses versants », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le )
    21. « Natura 2000 FR3100495 - Prairies, marais tourbeux, forêts et bois de la cuvette audomaroise et de ses versants », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Unité urbaine 2020 de Saint-Omer », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    26. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    27. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    28. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Saint-Omer », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    31. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    32. Christian Canivez (photogr. Florent Moreau), « Nos habitats sont-ils adaptés à la nouvelle donne climatique ?. Sécheresse, canicule, inondations, tempêtes... Face à des épisodes météorologiques extrêmes de plus en plus fréquents, les maisons et immeubles d’habitation de la région peuvent-ils faire face ? Et que faire en cas de sinistre ? Premier volet de notre enquête avec un état des lieux sur les effets de la sécheresse. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    33. 1 2 Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, (ISBN 978-2-600-00133-5, présentation en ligne), p. 750.
    34. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne), p. 134.
    35. 1 2 3 Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1978, p. 265b.
    37. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois.
    38. Louis Joseph Harbarville, Mémorial historique et archéologique du département du Pas-de-Calais, (lire en ligne)
    39. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome VII, 2e partie, Année 1140.
    40. André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 60, lire en ligne
    41. Bertrand Schnerb, Enguerrand de Bournonville et les siens. Un lignage noble du Boulonnais aux XIVe et XVe siècles, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, coll. « Cultures et civilisations médiévales » (no 14), , 384 p. (ISBN 2-84050-074-4), p. 135
    42. Louis Delozière, Histoire d'Éperlecques, par Louis Delozière,..., impr. de Hubert (Dunkerque), (lire en ligne).
    43. Georges Dupas, Seigneuries et seigneurs de la châtellenie de Bourbourg, Coudekerque-Branche, Galaad Graal, , p. 210.
    44. Jean-Marc Szuba, « Michel Guilbert, « exemple pour nous tous », devient maire honoraire d’Éperlecques : Michel Guilbert a été fait maire honoraire d’Éperlecques, mercredi soir. Une distinction qui met en avant un homme dont l’investissement au service des autres n’a eu d’égal que sa gentillesse de tous les instants, aussi bien avec les puissants qu’avec les humbles », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    45. « Première écharpe tricolore pour Laurent Denis, le jeune maire d’Éperlecques : Victorieuse de la confrontation du 23 mars avec plus de 60 % des voix, la liste « Éperlecques Demain » a logiquement élu, samedi, son leader Laurent Denis au poste de premier magistrat (17 suffrages et 6 bulletins blancs). », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    46. David Monnery, « Laurent Denis, le « gamin de la commune » devenu maire d’Éperlecques : Engagé en politique et membre du Parti socialiste depuis 2001, Laurent Denis est devenu maire en mars dernier. Itinéraire d’un enfant de la commune », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    47. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    48. « Éperlecques: Laurent Denis renforcé pour un second mandat : Lundi 25 mai, Laurent Denis, 47 ans, technicien principal de restauration, a été reconduit dans ses fonctions de premier magistrat de la commune, à l’unanimité », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    49. « http://afccre.org/fr/nos-membres/annuaire-des-villes-jumelees#.Ygy6Li_pPR1 »
    50. « https://pastel.diplomatie.gouv.fr/cncdext/dyn/public/atlas/rechercheAtlasFrance.html?criteres.collectiviteId=27159 »
    51. « Groupe scolaire d'Éperlecques », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
    52. « École privée d'Éperlecques », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
    53. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
    54. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
    55. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    56. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    57. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    58. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Éperlecques (62297) », (consulté le ).
    59. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    60. Notice no PA00108267.
    61. Notice no PM62000617.
    62. Notice no PM62003144.
    63. Perrin, Miracle advenu en la Ville de Lyon en la personne d'un jeune enfant, lequel ayant esté mort vingt-quatre heures est ressuscité par l'intercession de la Sacrée Vièrge. Avec le vœu, prière et oraison faite par son Père et sa Mère, L. Perrin, « Miracle advenu en la Ville de Lyon en la personne d'un jeune enfant, lequel ayant esté mort vingt-quatre heures est ressuscité par l'intercession de la Sacrée Vièrge. Avec le vœu, prière et oraison faite par son Père et sa Mère », sur Google Books, Bibliothèque municipale de Lyon (Bibliothèque jésuite des Fontaines),
    64. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
    65. Notice no IA62000851.
    66. « 62297 Éperlecques (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).