Arzacq-Arraziguet | |||||
Les arcades de la place de la République. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Luys en Béarn | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Crabos 2020 - 2026 |
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Code postal | 64410 | ||||
Code commune | 64063 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Arzacquois | ||||
Population municipale |
1 054 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 69 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 32′ 12″ nord, 0° 24′ 41″ ouest | ||||
Altitude | Min. 95 m Max. 238 m |
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Superficie | 15,26 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Artix et Pays de Soubestre | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | arzacq.com | ||||
Arzacq-Arraziguet (en gascon Arzac) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Localisation
La commune d'Arzacq-Arraziguet se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 31 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 26 km d'Artix[3], bureau centralisateur du canton d'Artix et Pays de Soubestre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie d'Arzacq-Arraziguet[1]
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Vignes (1,1 km), Poursiugues-Boucoue (3,2 km), Méracq (3,6 km), Poursiugues-Boucoue (3,6 km), Coublucq (3,9 km), Philondenx (4,0 km), Cabidos (4,2 km), Mialos (4,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Arzacq-Arraziguet fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
Accès
La commune est desservie par les routes départementales D 944 et D 946 ainsi que par les D 32 et D 264.
Deux lignes de bus la relient à Pau (Citram et Marette)[7].
Lieux-dits et hameaux
- l'Abattoir[6]
- Barot[6]
- Borde[6]
- La Borde[6]
- Brioulou[6]
- Castéra[6]
- Castetber[8] - [6]
- Chatou[6]
- Collongues[6]
- Couillet[6]
- Coutet[6]
- Cruhot[9] - [6]
- Cussou[6]
- Gaillat[6]
- Gariman[6]
- Gibardéou[10] - [6]
- Glesia[11]
- Gouaillard[6]
- Higuères[6]
- Hournas[6]
- Jouanlanne[6]
- Labère[12] - [6]
- Labus[6]
- Lacoste[6]
- Lafitte (deux lieux-dits)[6]
- Lafounta[6]
- Lafume[6]
- Lahon[6]
- Lanot[6]
- Larribaou[6]
- Lasterrières[6]
- Laulhé[6]
- Lhamounet[6]
- Licorne[6]
- Loué[6]
- Loustalet[6]
- Massou[6]
- Millet[6]
- Nabailh[6]
- Naude[6]
- Ninot[6]
- Piarrot[6]
- Pifre[6]
- Pigat[6]
- Pountet[6]
- Pouy[6]
- Rouquet[6]
- Roux[6]
- Salles[13]
- Sicut[6]
- Sobole[6]
- Ten[6]
- Tristan[14] - [6]
- Vialé[15] - [11] - [6]
Hydrographie
La commune est drainée par le Luy, le Louts, le ruisseau l'arblech, un bras du Luy de France, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[16],[Carte 1].
Le Luy, d'une longueur totale de 154,5 km, prend sa source dans la commune d'Espoey et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Rivière-Saas-et-Gourby, après avoir traversé 65 communes[17].
Le Louts, d'une longueur totale de 85,7 km, prend sa source dans la commune de Thèze et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Téthieu, après avoir traversé 33 communes[18].
Climat
Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[19]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[20].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 123 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[21]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pomps à 12 km à vol d'oiseau[22], est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 062,2 mm[23],[24]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[25].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[26],[27],[28].
Urbanisme
Typologie
Arzacq-Arraziguet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[29],[30],[31].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[32],[33].
- La place de la République.
- Entrée dans Arzacq-Arraziguet.
- Sortie d'Arzacq-Arraziguet sur la D 32.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,5 %), prairies (31,9 %), forêts (9,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), zones urbanisées (3,9 %)[34]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Arzacq-Arraziguet est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Louts et le Luy. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 2008 et 2009[37],[35].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[38]. 67,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[39].
Risque technologique
La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 6]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[41].
Toponymie
Le toponyme Arraziguet apparaît sous la forme altérée Raviguet (1793 ou an II[42]) et n’est pas mentionné sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[43]). Michel Grosclaude[43] indique que l’origine du toponyme est arrasic (« racine » en gascon), augmenté du suffixe collectif -etum, ce qui donne « amas de racines, souches ».
Le toponyme Arzacq apparaît sous les formes Arsac (1385[43], censier de Béarn[44]), Lo marcat d'Arsac (1542[15], réformation de Béarn[45]), marché auquel on venait de la Soule et le Basse-Navarre, Arzac (1620[43], relation du voyage de Louis XIII à Pau) et Arzac sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[43]).
Son nom, gascon, est écrit Arsac[46] ou Arzac[47]. L'hypothèse d'un ancien propriétaire gallo-romain *Arsius[48],[43] (dans un terroir alors aquitanien) ne tient pas. Arzac s'explique comme la contraction d'un *arrazac de même sens qu'Arraziguet (http://www.gasconha.com Arzacq-Arraziguet).
Cherre désignait un hameau d’Arzacq, mentionné par le dictionnaire de 1863[15].
Le toponyme Vialé apparaît sous la forme Le Vialé (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[15]).
Histoire
Arzacq est une bastide à la limite de la Chalosse. Ancien évêché de Lescar mais Généralité d'Auch. Sa trève Vignes (Binhes) était en Béarn. Arzacq a été pénétré d'influences venues de la plaine béarnaises (architecture du XVIIIe s.).
Les 14 et 15 octobre 1620, Louis XIII fit étape à Arzacq en se rendant à Pau. Les deux jurats de la ville étaient alors Pierre Dubern et Dominique de Meylon. En 1790, le canton d'Arzacq comptait les mêmes communes qu'aujourd'hui à l'exception du village de Riumayou, mais avec la commune de Momas.
Arraziguet s'est unie à Arzacq le 7 septembre 1845[49].
En 1922, après la Première Guerre mondiale, Arzacq-Arraziguet parraine la reconstruction du village de Violaines dans le Pas-de-Calais. La commune s'engage, lors du conseil municipal du 24 juin 1922, à prendre à son compte le remboursement d'un emprunt de 100 000 francs sur 30 ans[50].
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
Arzacq-Arraziguet appartient à trois structures intercommunales[51] :
- la communauté de communes du canton d'Arzacq ;
- le syndicat AEP d'Arzacq ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques.
Arzacq-Arraziguet est le siège de la communauté de communes du canton d'Arzacq.
Jumelages
Au 3 septembre 2019, Arzacq-Arraziguet est jumelée avec[52] :
Population et société
Démographie
Le nom des habitants est Arzaqués, francisé Arzacquois[55],[56].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[58].
En 2020, la commune comptait 1 054 habitants[Note 7], en diminution de 2,59 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
De 1793 à 1836, la population indiquée ne reflète que celle d'Arzacq, encore séparé d’Arraziguet, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[42].
Enseignement
La commune dispose d'une école élémentaire[61] et d'un collège[62].
Arzacq possède également une maison de la formation et un relais assistance maternelle.
Sports
- Nord Béarn XV fondé en 1997 par la fusion de l'association sportive garlinoise et des Lévriers arzacquois.
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine civil
La période gallo-romaine[11] de la commune fait l'objet d'une description par le ministère de la Culture.
La commune possède un ensemble fortifié, nommé motte la Tourette[63], dont la construction s'est étendue du Xe siècle au XIVe siècle, et qui comprend une église, une basse-cour, une motte, un fossé et une enceinte.
Des fermes d'Arzacq-Arraziguet (lieux-dits Castetber[8], Gibardéou[10], Cruhot[9], Salles[13], Tristan[14]) datent du XIXe siècle.
De même un lavoir[12] fut construit au XIXe siècle près du lieu-dit Labère.
Des maisons de maître, du XVe siècle au XXe siècle sont également recensées par le ministère de la Culture telles que celles de la place du Marcadieu (maison Mimbielle[64] des XVIIIe et XXe siècles et une maison[65] du XVIIIe siècle, la poste[66] (XIXe siècle), des maisons de la place de la République[67] datant pour l'une des XVe, XVIe et XIXe siècles et d'autres[68] du XVIIIe et XIXe siècles[69], la maison presbytère[70] (XIXe siècle). Il faut également noter l'actuelle boucherie[71] de la place de la République qui date des XVe, XVIe et XXe siècles. Sur cette même place se dresse un manoir[72] qui tient ses origines du XVe siècle et qui a été remanié durant les siècles suivants, servant aujourd'hui de café.
Enfin un monument aux morts[73] de la guerre de 1914-1918 est également recensé par le ministère de la Culture (Inventaire général du patrimoine culturel) sur cette même place.
La mairie possède un tableau[74] de Paul Mirat représentant l'arrivée de Louis XIII à Arzacq le 14 octobre 1620.
Un musée du jambon se trouve à Arzacq, et retrace l'histoire du jambon de Bayonne.
Les arènes dédiées aux courses vasconnes ou courses de vaches "landaises" ont été rebâties.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Pierre[75] date du XIXe siècle. Elle recèle des sculptures[76],[77],[78],[79], divers mobiliers[80],[81],[82],[83],[84],[85] et vingt-trois verrières[86] d'Émile Thibaud, recensés par le ministère de la Culture (Inventaire général du patrimoine culturel).
Arzacq-Arraziguet est une étape sur la via Podiensis (ou route du Puy), l'un des chemins contemporains du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, qui part du Puy-en-Velay et se prolonge jusqu'au col de Roncevaux et, de là, à Saint-Jacques-de-Compostelle. À ce titre, le blason de la ville s'orne de trois coquilles.
Personnalités liées à la commune
- Damien Catalogne, né à Arzacq en 1856 et décédé à Arzacq en 1934, est un homme politique français.
- Georges Visat, né le 2 janvier 1910, à Foce Di Mela (Corse), et mort le 2 février 2001, à Arzacq-Arraziguet, est un graveur, éditeur d’art et peintre français.
Héraldique
Blasonnement :
De gueules au lévrier courant d'or surmonté d'un croissant du même, au chef cousu d'azur chargé de trois coquilles aussi d'or. |
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- La bastide
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- ↑ Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- ↑ Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- ↑ Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[40].
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- ↑ « Carte hydrographique d'Arzacq-Arraziguet » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- ↑ « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
- 1 2 3 « Métadonnées de la commune d'Arzacq-Arraziguet », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- ↑ Stephan Georg, « Distance entre Arzacq-Arraziguet et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ Stephan Georg, « Distance entre Arzacq-Arraziguet et Artix », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Communes les plus proches d'Arzacq-Arraziguet », sur www.villorama.com (consulté le ).
- ↑ Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- ↑ Page transports sur le site de la commune
- 1 2 « La ferme du lieu-dit Castetber », notice no IA64000207, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- 1 2 « La ferme du lieu-dit Cruhot », notice no IA64000205, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- 1 2 « La ferme du lieu-dit Gibardéou », notice no IA64000206, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- 1 2 3 « Présentation de la période gallo-romaine », notice no IA64000004, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- 1 2 « Le lavoir du lieu-dit Labère », notice no IA64000003, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- 1 2 « La ferme du lieu-dit Salles », notice no IA64000203, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- 1 2 « La ferme du lieu-dit Tristan », notice no IA64000202, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- 1 2 3 4 Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne).
- ↑ « Fiche communale d'Arzacq-Arraziguet », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- ↑ Sandre, « le Luy ».
- ↑ Sandre, « le Louts ».
- ↑ « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- ↑ Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Orthodromie entre Arzacq-Arraziguet et Pomps », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- ↑ « Station Météo-France « Pomps » (commune de Pomps) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- ↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
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- ↑ BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
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- ↑ « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ Article R214-112 du code de l’environnement
- ↑ « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- 1 2 Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Arraziguet », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
- 1 2 3 4 5 6 Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059).
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- ↑ Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF] (consulté le ).
- ↑ Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
- ↑ Page histoire du site de la mairie
- ↑ « Présentation de la commune », notice no IA64000148, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Violaines, un village du Pas-de-Calais reconstruit grâce aux Béarnais d'Arzacq », sur larepubliquedespyrenees.fr, La République des Pyrénées, (consulté le ).
- ↑ Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- ↑ « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des affaires étrangères (consulté le ).
- ↑ Annuaire des villes jumelées
- ↑ Page jumelage du site de la commune
- ↑ Gentilé sur habitants.fr
- ↑ Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167 p. (ISBN 978-2-35077-151-9, BNF 42089597).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- ↑ Site de l'école élémentaire
- ↑ Site du collège d'Arzacq
- ↑ « La motte la Tourette », notice no IA64000006, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « La maison Mimbielle », notice no IA64000195, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « La maison du XVIIIe siècle de la place Marcadieu », notice no IA64000199, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « La poste », notice no IA64000200, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Une maison de la place de la République datant des XVe, XVIe et XIXe siècles », notice no IA64000008, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « La maison de XVIIIe siècle de la place de la République », notice no IA64000198, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « La maison du XIXe siècle de la place de la République », notice no IA64000197, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « La maison presbytère », notice no IA64000196, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « L'ancienne boucherie de la place de la République », notice no IA64000194, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Le manoir de la place de la République », notice no IA64000007, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Le monument aux morts », notice no IA64000005, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Le tableau de Paul Mirat », notice no M64002820, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « L'église Saint-Pierre », notice no IA64000002, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Le Christ en croix de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002652, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « Vierge à l'Enfant de l'église Saint-Pierre », notice no PM64000043, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « Le groupe sculpté (petite nature) : Vierge à l'Enfant entourée d'anges », notice no IM64002656, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « Christ en croix de l'église Saint-Pierre », notice no PM64000043, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « Le mobilier de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002653, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « Le mobilier de l'église paroissiale Saint-Pierre (liste supplémentaire) », notice no IM64002781, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « La clôture de chœur de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002736, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « Les autel, gradin d'autel, tabernacle (maître-autel) de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002735, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « Les fonts baptismaux de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002655, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « Le bénitier de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002654, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « Les verrières de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002737, base Palissy, ministère français de la Culture.