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Avrillé
Avrillé (Maine-et-Loire)
Le tramway à la station Bascule à Avrillé.
Blason de Avrillé
Blason
Avrillé (Maine-et-Loire)
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Angers Loire Métropole
Maire
Mandat
Caroline Houssin-Salvetat
2020-2026
Code postal 49240
Code commune 49015
Démographie
Gentilé Avrillais
Population
municipale
14 727 hab. (2020 en augmentation de 11,14 % par rapport à 2014)
Densité 930 hab./km2
Population
agglomération
245 518 hab. (2020)
Géographie
Coordonnées 47° 30′ 28″ nord, 0° 35′ 16″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 62 m
Superficie 15,84 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Angers
(banlieue)
Aire d'attraction Angers
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Angers-4
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Avrillé
Liens
Site web ville-avrille.fr

    Avrillé [avʁije] est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

    Elle se trouve en périphérie nord-ouest de la ville d'Angers, et fait partie de la communauté urbaine Angers Loire Métropole.

    Géographie

    Localisation

    Avrillé est située dans la périphérie nord-ouest d’Angers à km de celle-ci sur un terrain relativement plat, avec un sol originellement boisé et riche en schistes ardoisiers et grès primaires.

    Avrillé est desservie par deux sorties autoroutières du contournement nord d’Angers : Avrillé-Centre et Avrillé-Z.I.

    Communes limitrophes

    Rose des vents Longuenée-en-Anjou Montreuil-Juigné Cantenay-Epinard Rose des vents
    Longuenée-en-Anjou N Angers
    O Avrillé E
    S
    Beaucouzé Angers Angers

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d'établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 670 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le réchauffement climatique, ces variables ont évolué : une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé, mise en service en 1937[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 693,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, dans le département de la Loire-Atlantique, mise en service en 1945 et à 86 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Avrillé est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE)[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angers, une agglomération intra-départementale regroupant 12 communes[17] et 245 518 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

    Avrillé, située dans la banlieue nord-ouest d'Angers, fait partie de la communauté urbaine Angers Loire Métropole regroupant trente communes et une population de 264 689 habitants (2009)[22].

    On y trouve plusieurs quartiers, dont :

    • le quartier résidentiel du Parc de la Haye, proche de l'Étang Saint-Nicolas auquel on accède par des chemins escarpés, d'où le nom de Suisse angevine ;
    • la résidence du Val d'Or comportant 380 logements répartis en onze immeubles et douze pavillons en copropriété, entourés d'espaces boisés.

    Une importante opération d'urbanisme a eu lieu sur le plateau de la Mayenne et des Capucins, associant les villes d'Angers et d'Avrillé sur plusieurs années.

    La première ligne de tramway, longue de 12 km du nord au sud de l'agglomération, a son terminus à Avrillé et dessert une partie de la ville, créant une urbanisation en cours ou en projet. À côté de ce terminus s'achève la réalisation du nouveau quartier des Ardennes (400 logements[23] individuels et collectifs). Ce quartier devrait connaître une extension sur des terrains contigus proches de la Mayenne[23].

    Un contournement nord d'Angers a été réalisé sur le territoire d'Avrillé avec une partie en tranchée couverte de km.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (50,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (33,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (27,5 %), terres arables (18,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (14,3 %), prairies (13,3 %), zones agricoles hétérogènes (13,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8,9 %), forêts (3,8 %), eaux continentales[Note 7], [24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) pour la période de 1950 à aujourd'hui[Carte 1].

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Environnement

    Avrillé a fait l’objet de plusieurs études suggérant d'y conserver et développer une agriculture périurbaine voire urbaine[25],[26].

    Avrillé, Ville-Parc

    Ville fleurie (récompensée par 4 fleurs au concours national des villes et villages fleuris en 2015[27] et arborée, Avrillé dispose de nombreux espaces verts publics, soit 48 hectares environ auxquels il faut ajouter 32 hectares autour de l'étang Saint-Nicolas :

    • le parc de l'Hôtel de ville ;
    • le parc des Poumons verts ;
    • le bois des Assis ;
    • le parc Georges Brassens, agrandi récemment, d'une superficie de 29 hectares, avec extension sur la partie couverte de l'autoroute A11.

    La ceinture verte est un projet à long terme destiné à limiter l'urbanisation.

    Toponymie

    Dans l'Antiquité Aprilis était le nom d'un propriétaire romain (avril en latin) et, par extension, le nom de ses villas. Ce serait l'origine du nom Avrillé[28].

    De Aprilis, le nom du site passe à Johannes de Avrilleio au XIe siècle, puis Auvrillé au XIIIe siècle, avant de devenir Avrillé aux XVIIIe et XIXe siècles[28],[29],[30].

    Histoire

    Préhistoire

    Des bifaces de type acheuléen (paléolithique) trouvés au bas de la Perrière, une hache-marteau en diorite datant du néolithique découverte parmi d'autres objets de pierre polie au Bois du Roy, des traces enfin d'une industrie métallurgique primitive (-500) en divers endroits de la commune attestent la présence ancienne, temporaire ou durable, des hommes sur la commune mais on ne peut encore pas parler vraiment de la naissance d'Avrillé, car aucune trace ne laisse penser que s'y trouvait un quelconque village.

    Ancien Régime

    L'histoire d'Avrillé est plus facile à retracer à partir du XIIe siècle, quand la paroisse d'Auvrillé fut créée. Jusque-là, le territoire de l'actuelle commune appartenait au comte d'Anjou. En 1129, le comte Foulques le Jeune part en croisade et fait don d’une partie de ses terres à l'abbesse du Ronceray et l'autorise à y créer un bourg. L'église Saint-Gilles est alors construite.

    Dès cette époque et pour la première fois en Anjou, on commence à exploiter les ardoises à Avrillé.

    Pendant l'Ancien Régime, Avrillé et ses habitants vivent des ardoisières, de la culture viticole, mais aussi du « nourrissage » (mise en nourrice d'enfants). C'est un petit village rural, assez pauvre. Dès la fin du XVIIe siècle, ses limites territoriales deviennent les mêmes que celles du XXIe siècle.

    Époque contemporaine

    Avrillé devient une commune avec un maire et une municipalité en 1791.

    Entre janvier et , durant les guerres de Vendée, près de 863 à 3 000 personnes (hommes et femmes) sont fusillés en un lieu qu'on appellera très vite « Champ des Martyrs », lieu de pèlerinage en Anjou. Une chapelle est édifiée au XIXe siècle. Le pape Jean-Paul II a béatifié 99 des 2 000 massacrés dont Odile Beaugard et Marie-Anne Voillot, deux religieuses de charité ; deux rues de la commune portent leur nom.

    Au XIXe siècle, Avrillé est une petite commune rurale et ouvrière de la banlieue d'Angers. Les carrières à ciel ouvert d'ardoises sont exploitées de façon industrielle. Le village se développe très lentement. Pendant la Première Guerre mondiale, 45 habitants perdent la vie[31].

    Pendant l'entre-deux-guerres, quelques travaux d'aménagement relativement importants sont mis en œuvre : en 1925 on défriche le Bois du Roy pour construire un lotissement, l'électricité arrive en 1926 et on commence en 1929 les constructions au Parc de la Haye. En 1939, l'architecte Ernest Bricard construit pour la Compagnie française d'aviation l'école d'aviation d’Angers-Avrillé, le long de la route nationale 162.

    Les nazis utilisent ce site comme base de la Kriegsmarine et pour entreposer leurs chasseurs bombardiers. Avrillé devient alors une cible militaire pour l'aviation alliée qui la bombarde pendant l'été 1944. Lors de la Seconde Guerre mondiale, 15 habitants sont tués[31].

    Jusque dans les années 1950, Avrillé est une petite banlieue d’Angers, pauvre, à la fois rurale et ouvrière (respectivement 20 % et 60 % des habitants actifs). Seule la route principale est pavée, les autres rues sont toujours en terre.

    Dans les années 1950 et 1960, sous l’impulsion de deux maires successifs (Émile Savigner de 1947 à 1959, puis Yves Besnier, de 1959 à 1977), la ville d'Avrillé se développe et se transforme pour devenir peu à peu ce qu'elle est au début du XXIe siècle. Des logements modernes sont construits, les rues sont goudronnées, la population triple à cette époque (en 1947 les Avrillais sont 1 604, en 1999 ils sont 13 267). Les professions et catégories socioprofessionnelles s'installent dans la commune qui voit les origines sociales de sa population se diversifier.

    La ville fait l’objet d'une attention particulière en raison de séquelles particulières de guerre ; l'armée y ayant jeté environ 7 000 tonnes de munitions non explosées[32] (provenant à 90 % de la Première Guerre mondiale, dont 4 millions de grenades à main) dans le lac situé dans la commune, près de la déchetterie et à proximité des habitations.

    Avrillé est devenu la 13e ville de Maine-et-Loire, c'est une banlieue pavillonnaire, très verte qui est récompensée par quatre fleurs au concours des villes et villages fleuris[33] (cinq parcs et plus de 11 000 arbres selon la mairie) et assez dynamique : projet du parc végétal Terra Botanica, tramway Arc-en-ciel, le contournement Nord d'Angers ainsi que le quartier du Plateau de la Mayenne.

    L'aérodrome d'Avrillé a définitivement fermé en 1998 (transfert de l'aérodrome sur la commune de Marcé)[34].

    Faits historiques

    Il y a eu à Avrillé des ardoisières à partir de 1815 mais cette exploitation n'a jamais été florissante. Plusieurs effondrements et même une faillite ont fragilisé l'entreprise. Un grave accident s'y produisit le , la rupture d'un câble remontant les ouvriers du puits entraîna de nombreux morts originaires d'Angers et d'Avrillé. Cinq ouvriers avrillais victimes de cette catastrophe sont inhumés au cimetière.

    Le , le terrain d'aviation est bombardé, faisant 22 victimes. Le , lors des combats pour la libération, on dénombre 5 morts.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Administration municipale

    Période Identité Étiquette Qualité
    1791 1800 François-René Coué
    1800 1804 Gastines
    1804 1813 Camille Boguay de la Boissière
    1813 1830
    1830 mars 1848 Victorin La Reveillère
    mars 1848 août 1848 Alexandre Chiron
    août 1848 1852 Victorin La Reveillère
    1852 1860 Hector Boguay de la Boissière
    1860 1871 Richou-Durand
    1871 1904 Edmond Raffray
    1904 1942 Joseph Boguay de la Boissière
    1942 1945 Émile Savigner
    1945 1947 Auguste Blot
    1947 1959 Émile Savigner
    1959 1977 Yves Besnier
    1977 1983 Guy Pasquier PS Technicien Afpa
    1983 juillet 2020 Marc Laffineur[35] - [36] UDF
    puis UMP
    puis LR
    puis DVD
    Médecin anesthésiste-réanimateur
    Député de la 7e circonscription de Maine-et-Loire (1988-2011 puis 2012-2017)
    Ancien secrétaire d'État auprès du ministre de la Défense (2011-2012)
    juillet 2020 En cours
    (au 5 juillet 2020)
    Caroline Houssin-Salvetat[37] SE-DVD Directrice des ressources humaines

    En 2010, la commune d'Avrillé a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[38].

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté urbaine Angers Loire Métropole[39], elle-même membre du syndicat mixte Pôle métropolitain Loire Angers[40].

    Autres circonscriptions

    Jusqu'en 2014, Avrillé fait partie du canton d'Angers-Nord-Ouest et de l'arrondissement d'Angers[41]. Ce canton comprend alors Avrillé et une fraction d'Angers. C'est l'un des quarante-et-un cantons que compte le département ; circonscriptions électorales servant à l'élection des conseillers généraux, membres du conseil général du département. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton d'Angers-4, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[42].

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[43] - [Note 8].

    En 2020, la commune comptait 14 727 habitants[Note 9], en augmentation de 11,14 % par rapport à 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    4845917909201 0581 2731 2031 0551 064
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    9859889599641 0039429111 0181 163
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 0631 0478861 1041 4221 6401 6042 2183 034
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    4 6039 38610 81112 87812 99112 24212 80813 69914 727
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2020, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,7 % la même année, alors qu'il est de 26,1 % au niveau départemental.

    En 2020, la commune comptait 6 818 hommes pour 7 909 femmes, soit un taux de 53,7 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,42 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2020 en pourcentage[45]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,5
    90 ou +
    2,1
    9,9
    75-89 ans
    12,2
    21,3
    60-74 ans
    22
    16,9
    45-59 ans
    18
    16,5
    30-44 ans
    14,8
    16,4
    15-29 ans
    15,4
    17,5
    0-14 ans
    15,5
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2020 en pourcentage[46]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,9
    90 ou +
    2,1
    6,9
    75-89 ans
    9,4
    16
    60-74 ans
    16,8
    19,4
    45-59 ans
    18,7
    18,3
    30-44 ans
    17,5
    18,7
    15-29 ans
    17,6
    19,8
    0-14 ans
    17,8

    Enseignement

    Présence de plusieurs établissements : groupes scolaires du Bois du Roy, Jean Piaget, de l'aérodrome, Saint-Exupéry, écoles privées Sainte-Colombe et Notre-Dame de l'Adézière, collège Clément-Janequin et lycée professionnel Paul-Émile-Victor.

    Santé

    Établissements de santé : clinique neuro-psychiatrique Saint-Didier, résidence la Fauvetterie (infirmes moteurs cérébraux), foyer les Tournesols (handicapés physiques), foyers-logements pour les personnes âgées.

    Sports

    Mi-2009, Avrillé compte plusieurs associations sportives regroupées au sein de la fédération des associations sportives d'Avrillé (ASA)[47] : arts martiaux (judo, karaté, kung fu, etc.), athlétisme, badminton, basket-ball, BMX, cyclisme, équitation, escalade, football, golf, gymnastique, handball, natation, tennis et tennis de table.

    Cultes

    Lieux de culte : église protestante évangélique, église Saint-Gilles (catholique).
    Avrillé a la particularité d'accueillir deux communautés dominicaines contemplatives et traditionalistes :

    • la fraternité Saint-Dominique, sise dans le prieuré de la Haie-aux-Bonshommes créé en 1982 où résident une vingtaine de frères ;
    • le monastère Saint-Joseph, fondé en 1982, où prient dans la fuga mundi, une quinzaine de sœurs dominicaines contemplatives[48]. Elles ouvrent leurs portes au public lors des journées européennes du patrimoine[49]. Devenues plus nombreuses, les sœurs fondent, en 2015, le monastère de l'Immaculée à Montagnac-la-Crempse dans le Périgord.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 33 073 , ce qui plaçait Avrillé au 9 088e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[50].

    Secteurs d'activités

    Sur 772 établissements présents sur la commune à fin 2010, 2 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 64 % de celui du commerce et des services et 20 % du secteur de l'administration et de la santé[51]. En 2015, sur les 966 établissements présents sur la commune, 1 % relevaient de l'agriculture (pour une moyenne de 11 % sur le département), 6 % de l'industrie, 8 % de la construction, 65 % du commerce et des services et 21 % de l'administration et de la santé[52].

    Industries

    • Giffard, entreprise de fabrication de liqueurs dont la menthe-pastille et du guignolet.
    • Artus, filiale du groupe Meggitt, établissement de fabrication de moteurs électriques.

    Commerces

    • Un centre commercial en centre-ville regroupant un supermarché Carrefour Market et une dizaine de boutiques ;
    • Un centre commercial de proximité, dans le quartier du Bois du Roy ;
    • Un centre commercial de proximité, dans le quartier du Val d'Or ;
    • Un hypermarché Auchan d'une surface de 5 800 m2, situé à l’entrée nord de la ville, comprenant une galerie marchande, quelques moyennes surfaces (Kiabi, Norauto, Électro Dépôt, Chauss Expo) et l'un des cinq restaurants McDonald's d'Angers ;
    • Un magasin de hard discount à l’enseigne Netto.

    Zones d'activités économiques

    Présence de plusieurs zones d'activités, dont le parc d'activités Angers-Avrillé, au nord-ouest de la commune, regroupant trois secteurs : La Croix Cadeau, Le Fléchet, Les Landes I et II. Quelques entreprises implantées : Zach System, Atab, La Poste, Innodes Sa, Eurostranspharma, Soregor, Établissements Petit, Hormann, Ottofond, Man Camion & Bus, Foucteau, Sombat, VM Matériaux[53].

    Culture locale et patrimoine

    Structures culturelles

    • V.M.H-Anjou (Véhicules Militaires Historiques), association de restaurations de véhicules militaires.
    • Centre culturel Georges-Brassens.

    Répartie en deux secteurs adultes et jeunesse, la médiathèque propose en prêt ou en consultation environ 25 000 ouvrages, périodiques, ainsi que des postes multimédia. Le fonds de la médiathèque est également en ligne.

    Lieux et monuments

    Patrimoine architectural

    • Le château de La Boissière (1860), propriété privée.
    • Le château de La Garde (1858), centre de formation des maîtres de l'enseignement catholique.
    • Le château La Plesse (du XVe siècle au XXe siècle), maison de retraite[54].
    • Le manoir dit château de la Perrière (classé MH), construit au XVIIe siècle, acquis par la ville d'Avrillé et entièrement restauré. Entouré de jardins à la française et d'un vaste espace s'étendant jusqu'à la Mayenne comprenant un restaurant, des salles de réception et un golf 18 trous[55].
    • L'église paroissiale Saint-Gilles, construite en 1983 à l'emplacement de l'ancienne église démolie.
    • Deux moulins caviers, le moulin de la Croix Cadeau (1730) et le moulin de la Garde (XVIIe siècle, inscrit MH)[56], et un moulin à eau, dit la Minoterie[57].
    • L'ancien prieuré de la Haie-aux-Bonshommes (XIIe siècle, inscrit et classé MH), avec chapelle du XVIIe siècle [58].
    • Chapelle Saint-Louis du Champ des Martyrs (XIXe siècle) honorant la mémoire des 2 000 personnes victimes des fusillades d'Avrillé en 1794, dont 99 ont été béatifiées en 1984 par Jean-Paul II et sont connus sous le nom de martyrs d'Angers.

    Patrimoine naturel

    • Le parc de la Haye.
    • Le Lac Bleu.

    Galerie

    • Château de la Perrière.
      Château de la Perrière.
    • Château de la Perrière.
      Château de la Perrière.
    • Château de la Perrière.
      Château de la Perrière.
    • Château de la Perrière.
      Château de la Perrière.
    • Château de la Perrière.
      Château de la Perrière.
    • Moulin à vent de la Garde.
      Moulin à vent de la Garde.
    • Tour du Val d'Or dans le quartier résidentiel du Parc de la Haye.
      Tour du Val d'Or dans le quartier résidentiel du Parc de la Haye.

    Personnalités liées à la commune

    • Charles de Gondi : seigneur d'Avrillé de 1520 à 1540, descendant d'une famille de banquiers florentins, il avait pour fief le domaine des Raffoux. Il a été le protecteur de Clément Janequin et ce dernier fut parrain de ses enfants baptisés dans l’église d’Avrillé.
    • Charles Goddes de Varennes : gentilhomme de la fauconnerie du roi, se rend acquéreur en 1606 du château de la Perrière. Son fils François, né en 1593, fut Conseiller d'État, gentilhomme ordinaire de la Chambre en 1648, devint ambassadeur extraordinaire des rois Louis XIII et Louis XIV. Il fut chargé, à ce titre, de nombreuses missions qui le conduisirent, entre autres, à Constantinople. Il est mort le .
    • Clément Janequin : né à Châtellerault vers 1485. Après des études religieuses et musicales à Bordeaux, il rejoint son frère Simon à Angers en 1531 et y devient chapelain, puis maistre de la psalette à la cathédrale Saint-Maurice d'Angers. Nommé curé d'Avrillé en 1532, il laissa la charge de sa paroisse à son vicaire Jehan Garande afin de se consacrer à ses compositions musicales. Protégé de François de Gondi, seigneur d’Avrillé. En 1540, il s'installa définitivement à Paris où, en 1549, il obtient le titre de « compositeur ordinaire du Roi ». Il meurt en 1558 ou 1559. Un collège d’Avrillé porte son nom.
    • René Gasnier (1874-1913) : fut l'un des principaux promoteurs de l'aviation en France. En 1908, il réussit son premier vol sur une distance d’environ 1 kilomètre à une altitude de 6 à 7 mètres. Il participa activement à la naissance de l'aérodrome d'Angers-Avrillé et y organisa en 1910 la première course d'aéroplanes « Angers-Saumur ».
    • Roger Chupin, cycliste sur route français y est né.
    • La famille Cointreau qui avait une propriété sur la commune et y résidait.
    • Christian Raymond, cycliste français y est né.
    • Éric Tabarly, dont les parents avaient une propriété sur la commune et y résidaient.
    • Claude Bourrigault, footballeur français ayant évolué au SCO y résidait.

    Héraldique

    Blason d’Avrillé.
    Blason d’Avrillé.

    Le blason de la commune a été créé en 1981 à l'occasion du jumelage avec la ville allemande de Schwalbach, par Jacques Thomé, adjoint du maire de l'époque.

    Il représente les éléments de la vie d'autrefois : Les fleurs de lys représentent l'Anjou, les outils des fendeurs d'ardoises évoquent son exploitation jusqu'à la fin du XIXe siècle, le moulin symbolise les caviers dont deux subsistent, la grappe de raisin rappelle l'exploitation de la vigne jusqu'au XIXe siècle[59].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 212-215.
    • Jacques Thomé, Douceur angevine ? naître, vivre et mourir à Avrillé, Hérault-Éditions (Maulévrier), 1986.
    • Avrillé au fil du temps, Ouvrage collectif rédigé par le groupe "vie sociale" du Conseil des Sages de la commune et édité par la ville d'Avrillé, 2004.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres (0,4 %)
    8. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. 1 2 Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    7. « Station Météo-France Beaucouzé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    8. « Orthodromie entre Avrillé et Beaucouzé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Beaucouzé - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Avrillé et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 d'Angers », sur insee.fr (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. Insee, Chiffres clés de l'EPCI de la CA Angers Loire Métropole (244900015), consulté le 4 juillet 2013.
    23. 1 2 « Avrillé, Les grands projets »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    25. Pascal Frère, Agriculture périurbaine d’Avrillé (49), rapport d’études, Angers - École supérieure d’agriculture, Ministère de l’agriculture, ENSP Versailles - ENSP, 1996, 52 p. et cartes.
    26. Christine Paillard, Écologie, paysage et développement local sur l’espace rural d’Avrillé (49), mémoire de fin d’études de DESS, Angers : Institut d’écologie appliquée et CAUE/Versailles : ENSP, 1996, 47 pages et annexes.
    27. Conseil National des Villes et Villages Fleuris (CNVVF), Avrillé, consulté le 16 février 2015.
    28. 1 2 Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 23
    29. Célestin Port 1965, p. 212.
    30. 1 2 Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. 1 2 Port 1965, p. 212.
    32. CRA 1re Séance du mardi 5 juin 2001, sur Assemblée nationale.
    33. Palmarès 2008 du 49e concours des villes et villages fleuris. Consulté le 23 septembre 2009.
    34. Décision Aviation Civile fermeture définitive Aérodrome Angers-Avrillé (code OACI (IACO code) : LFRA).
    35. Résultats officiels des élections municipales de mars 2008 à Avrillé sur le site officiel du ministère de l'Intérieur (France).
    36. Le Courrier de l'Ouest, Marc Laffineur réélu maire d'Avrillé, article du 29 mars 2014.
    37. « Avrillé. Caroline Houssin-Salvetat élue, l’opposition vigilante », sur Ouest-France, (consulté le ).
    38. Villes Internet, « Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), consulté le 18 décembre 2009.
    39. Insee, Composition de la CU Angers Loire Métropole (244900015), consulté le 8 décembre 2017
    40. Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté DRCL no 879 du 13 décembre 2011, RAA spécial du 21 décembre 2011.
    41. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Avrillé, consultée le 15 mars 2015.
    42. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    45. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Commune d'Avrillé (49015) », (consulté le ).
    46. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
    47. Mairie d'Avrillé, Associations sportives, consulté le 1er juin 2009.
    48. Ouest-France, édition (Angers) du dimanche 22 septembre 2019
    49. Le Courrier de l'Ouest, édition du dimanche 22 septembre 2019
    50. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    51. Insee, Statistiques locales du territoire d'Avrillé (49), consultées le 29 novembre 2012.
    52. « Commune d’Avrillé (49015) », sur Insee, .
    53. « Parc d'activités Angers Avrillé », sur Angers Loire Développement (consulté le ).
    54. « Château de la Plesse », notice no IA49008743, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    55. « Château de la Perrière », notice no PA00108953, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    56. « Moulin à vent de la Garde », notice no PA00108955, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    57. « Moulin à eau dit la Minoterie », notice no IA49008964, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    58. « Prieuré de la Haie aux Bonshommes (ancien) », notice no PA00108954, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    59. « Le blason », sur Mairie d'Avrillé, 2004-2022 (consulté le ).