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Borsalino
Description de l'image Borsalino Logo.png.
Réalisation Jacques Deray
Scénario Jean-Claude Carrière
Jean Cau
Jacques Deray
Claude Sautet
Musique Claude Bolling
Acteurs principaux

Alain Delon
Jean-Paul Belmondo
Catherine Rouvel
Michel Bouquet
Daniel Ivernel

Sociétés de production Adel Productions
Pays de production Drapeau de la France France
Drapeau de l'Italie Italie
Genre policier
Durée 126 minutes
Sortie 1970

Série

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Borsalino est un film policier franco-italien réalisé par Jacques Deray et sorti en 1970. Il s'agit d'une adaptation du roman Bandits à Marseille d'Eugène Saccomano.

Le film raconte les aventures de deux jeunes voyous qui tentent de devenir les caïds de la pègre marseillaise. Il réunit, pour la première fois en tête d'affiche, les deux acteurs vedettes du cinéma français, Alain Delon et Jean-Paul Belmondo.

Le long métrage rencontre un important succès avec plus de 4,7 millions d'entrées. Il a donné lieu à une suite, Borsalino and Co. (avec Alain Delon mais sans Jean-Paul Belmondo[1]), sortie sur les écrans en 1974, qui connaît un accueil moindre au box-office.

Synopsis

Cette Lorraine-Dietrich B3 6S apparait sur l'affiche du film

Marseille, 1930. Roch Siffredi (interprété par Alain Delon) est un jeune voyou récemment libéré de prison. Il rend visite au patron d'un cabaret, dit « le Danseur », pour retrouver sa compagne, Lola (Catherine Rouvel), mais aussi parce qu'il est persuadé que le Danseur l'a donné et l'a fait envoyer en prison : il met le feu au cabaret. Il retrouve Lola sur les indications du Danseur, mais celle-ci s'est entichée d'un certain François Capella (Jean-Paul Belmondo), truand lui aussi, pendant qu'il purgeait sa peine.

Après une rencontre orageuse, les deux hommes deviennent amis et s'associent. Après avoir éliminé la concurrence sur le marché du poisson pour le compte de notables peu scrupuleux, ils se rendent compte qu'ils peuvent en faire plus et décident de conquérir la ville ensemble. Dénués de scrupules et imaginatifs, ils s'attaquent à l'un des deux parrains de Marseille nommé Poli, propriétaire d'un restaurant et gérant de l'approvisionnement de Marseille en viande, le second étant Marello (Arnoldo Foà), le propriétaire d'un casino clandestin. À cause d'une fuite, l'opération de sabotage des entrepôts de viande appartenant à Poli est un échec et ils sont obligés de se retirer. Ils partent alors à la campagne pour se faire oublier, pour recruter de nouveaux membres dans leur bande, acheter de nouvelles armes et préparer leur vengeance. À leur retour, ils tuent Poli devant son restaurant à l'aide de pistolets-mitrailleurs Thompson, c'est ainsi qu'ils gagnent leur rang parmi les notables de Marseille.

Lorsque Me Rinaldi (Michel Bouquet) annonce sa candidature au poste de député, Roch Siffredi veut intervenir, car Me Rinaldi est l'avocat de Marello, désormais leur concurrent ; fait député, Rinaldi donnerait à leur rival une influence accrue. Capella conseille cependant à Siffredi de ne rien faire pour l'instant car ils seraient les premiers soupçonnés. Or, Me Rinaldi est blessé par deux balles alors qu'il joue au tennis. Capella croit alors que Siffredi a commis cet attentat sans le prévenir et lui demande des explications.

Peu de temps après, Rinaldi est assassiné à l'hôpital. Le meurtrier n'est autre que le Danseur, qui déteste Siffredi depuis l'incendie de sa boîte de nuit, et qui de plus espère provoquer des règlements de compte entre les deux empires criminels, pour tirer les marrons du feu ensuite. Malheureusement pour lui, la veuve de Rinaldi l'identifie et un membre de la bande de Capella se charge de l'assassiner.

Malgré cela, Marello fait tuer des proches de Capella et Siffredi. Réconciliés, les deux amis échafaudent alors un plan audacieux. Après s'être rendus au casino de Marello, Capella doit jouer une partie pendant que Siffredi tue discrètement Marello ; au même moment, leur propre bande viendra braquer le casino afin de semer la confusion et leur fournir un alibi, puisqu'ils seront encore présents à l'intérieur du casino et feront partie des « otages » du gang attaquant le casino. Ce plan réussit à merveille et leur permet de prendre le contrôle total de Marseille, face à une police impuissante qui sait parfaitement qu'ils ne sont pas innocents mais ne dispose d'aucune preuve pour les confondre.

Siffredi organise alors une réception pour fêter leur succès ; mais Capella lui annonce qu'il a décidé de quitter Marseille, car il pense qu'ils finiront inéluctablement par devenir rivaux et par ensuite s'entretuer.

Capella quitte la réception. Siffredi, resté seul, se plonge dans ses pensées. Il en est brutalement tiré lorsqu'une rafale de pistolet-mitrailleur retentit à l'extérieur ; c'est Capella qui a été pris pour cible. La dernière scène du film montre Capella s'effondrant sous les balles, puis expirant dans les bras de Siffredi.

Fiche technique

Distribution

  • Jean-Paul Belmondo : François Capella
  • Alain Delon : Roch Siffredi
  • Catherine Rouvel : Lola
  • Michel Bouquet : Me Rinaldi
  • Françoise Christophe : Simone Escarguel
  • Corinne Marchand : Mme Rinaldi
  • Nicole Calfan : Ginette
  • Julien Guiomar : Simon Boccace
  • Mario David : Mario
  • Daniel Ivernel : le commissaire Fanti
  • Arnoldo Foà : Marello
  • Christian de Tillière : « Le Danseur »
  • Lionel Vitrant : Fernand
  • Dennis Berry : Nono
  • Jean Aron : Martial Roger
  • André Bollet : Poli
  • Pierre Koulak : Spada
  • Laura Adani : Mme Siffredi, mère de Roch
  • Yvan Chiffre
  • Hélène Rémy : Lydia
  • Odette Piquet : une chanteuse
  • Marius Laurey : l'inspecteur Teyssère
  • Roland Legrain : « Le Gitan »
  • Stan Dylik : « Le Sétois »
  • Raoul Guylad : le second de Marello
  • Jean Panisse : René
  • Sylvie Lenoir : Mireille
  • Maurice Auzel : Maurice, le videur
  • Henri Attal : le caissier du cercle
  • Philippe Castelli : le garçon d'hôtel
  • Tony Roedel : un homme de Marello
  • Georges Guéret : un homme de Marello
  • Iska Khan : le serveur chinois
  • Fransined : le garçon chez Adrien
  • Jean-François Delon : l'employé du bordel
  • Georges Ass : le prêtre à l'enterrement
  • Roland Malet : un joueur
  • Mireille Darc : une prostituée
  • Claude Cerval : le 1er frère Pradel (coupé au montage)
  • Albert Augier : le 2d frère Pradel (coupé au montage)
  • Art Simmons : le pianiste
  • Pierre Santino : un tireur au pistolet-mitrailleur

Production

Genèse et choix des interprètes

Alain Delon (cliché de 1969), producteur et acteur principal du film.
Jean-Paul Belmondo (cliché de 1971), acteur principal du film.

La genèse de Borsalino est venue d'une discussion entre Alain Delon et Jacques Deray durant le tournage à Ramatuelle de La Piscine en [6],[7]. Delon vient de lire le livre Bandits à Marseille d'Eugène Saccomano et plus particulièrement un chapitre sur Paul Carbone et François Spirito et veut en produire une adaptation cinématographique par sa société Adel Productions[8], dans lequel il partagerait l'affiche pour la première fois avec Jean-Paul Belmondo en vedette, eux qui s'étaient côtoyés brièvement dans une scène de Paris brûle-t-il ?,avaient tenu des rôles secondaires à leurs débuts dans Sois belle et tais-toi et étaient devenus des vedettes à la même époque, grâce à Plein Soleil pour Delon et À bout de souffle pour Belmondo[6],[9]. Belmondo est contacté mais ne se prononce pas. En fait, l'acteur est intéressé par le projet mais refuse de donner son accord tant qu'il n'a pas de scénario solide entre les mains[9]. Deray écrit avec Jean Cau et Claude Sautet trente pages du script qui seront confiées à Jean-Claude Carrière pour le scénario définitif[6].

Delon est satisfait du script et le soumet à Belmondo, qui accepte l’offre et signe son contrat en [6],[9]. Devant un projet d’une telle ampleur, Delon s'associe avec le studio américain Paramount Pictures pour monter le film, qui doit s'intituler Carbone et Spirito, qui est annoncé pour [6] avec un budget de quatorze millions de francs[9]. Mais le milieu marseillais tente de faire pression, le scénario évoquant également la période trouble de l'Occupation durant laquelle Carbone et Spirito ont collaboré[6]. Personne à Marseille ne veut s'impliquer sur le projet et Deray reçoit des menaces téléphoniques[6]. Pour apaiser les tensions, la production va quelque peu modifier le scénario qui n'évoquera pas l'Occupation ; de même, le nom des personnages et le titre du film, devenu Marseille 1930[6] seront modifiés. C'est Delon qui choisira le titre définitif du film, Borsalino, d'après la célèbre marque de chapeaux[6]. Afin de reconstituer le Marseille des années 1930, Deray se plonge dans les journaux et archives d'époque et obtient l'aide du photographe Jacques Henri Lartigue, qui met à disposition ses photos de cette période[6].

Tournage

Le pont transbordeur de Marseille, vu dans le film.

Le tournage de Borsalino débute le [10]. Trois semaines auparavant, le budget qui est calculé en dollars est brutalement amputé de 17 %, à la suite d'une dévaluation de la monnaie[6], obligeant la production et les scénaristes à enlever de longs morceaux du scénario[6]. Le patron de la Paramount, Charles Bluhdorn, récupère tous les droits du film quand Delon demande une rallonge pour terminer le long métrage[9]. Pour reconstituer le Marseille des années 1930, la production a récupéré des automobiles d'époque et plusieurs rues de la ville ont été transformées[6].

L'une des premières scènes tournées est celle de la rencontre suivie de la bagarre entre Capella et Siffredi[6]. Le cascadeur Yvan Chiffre, imposé par Delon, est chargé de coordonner la séquence[6]. Toutefois, Deray ne s'entend pas avec Chiffre, le réalisateur n'accepte pas le passe-droit du cascadeur et insiste pour dire qu'il est le seul maître à bord[6]. Lors d'une séance préparatoire pour la scène, Deray indique à Chiffre qu'il veut une scène similaire à celle de L'Homme tranquille entre John Wayne et Victor McLaglen, mais le cascadeur est dubitatif en raison de la morphologie de Belmondo et Delon, provoquant la colère de Deray[6]. La scène est tournée selon le souhait du réalisateur, mais deux jours plus tard, à la suite de la projection des rushes, Chiffre dit que la scène sonne faux[6]. Delon et Belmondo insistent pour retourner la scène selon ses indications, provoquant l'irritation du metteur en scène, mais celui-ci doit se plier aux volontés des deux stars[6]. Après une projection de la nouvelle version, Deray reconnaît que Chiffre avait raison[6].

Une autre scène pose également problème, celle où l'ancien catcheur André Bollet, qui incarne le caïd Poli doit gifler Nicole Calfan, qui interprète une jeune femme s'étant entichée de Capella[6]. Bollet devait s'arrêter à un centimètre de la joue de Calfan, mais avait peur de lui faire mal. Delon dit à Bollet de lui mettre une vraie gifle pour la scène, qui sera tournée en une seule prise, tout en prévenant la jeune actrice et en ajoutant que Belmondo et lui apporteront de la glace pour atténuer la douleur[6]. Le tournage se poursuit dans la bonne humeur : par exemple, entre deux prises sur le port, Delon et Belmondo parient la somme de mille francs avec un gendarme, le mettant au défi de sauter dans l'eau tout habillé, ce que le militaire accepte de faire[6]. Les deux acteurs vedettes semblent s'être bien entendus durant le tournage : d'après le maquilleur et grand ami de Belmondo, Charly Koubesserian, ils étaient en « compétition amicale »[6]. Les prises de vues s'achèvent .

Musique

La musique est confiée au compositeur Claude Bolling. Delon et Deray veulent que Bolling arrange et réenregistre des vrais airs de l'époque, mais le compositeur leur demande de lui faire confiance et de le laisser leur proposer des créations originales, comme le morceau qu'il leur fait écouter et qu'il vient d'enregistrer pour un 45 tours non encore édité[6]. La mélodie est choisie et contribuera au succès du film[6] (le single se vendra à plus de 60 000 exemplaires l'année de sa sortie[11]).

Sortie et accueil

Accueil critique

Le film obtient un accueil critique contrasté. Le Film français note que le face à face entre les deux stars justifie le déplacement[12], Image et Son affirme qu'il s'agit d'un « bon petit film policier un divertissement honnête exécuté par un bon artisan, aidé en la circonstance par une équipe d'interprètes bien rodés », mais ajoute « que les spectateurs pourraient se fourvoyer bien davantage qu'à ce film commercial qui ne semble pas viser à être autre chose qu'un bon divertissement de deux heures et qui y parvient d'ailleurs sans trop de mal »[12].

Box-office

Borsalino sort le dans les salles françaises. Pour sa première semaine, il prend la seconde place du box-office français avec 182 331 entrées dans dix-sept salles derrière Le Passager de la pluie[13]. Mais c'est la semaine suivante que le film prend son envol en prenant la tête du box-office avec 498 698 entrées dans soixante salles le diffusant, pour un cumul de 681 029 entrées[14]. Il reste en tête du box-office durant les trois semaines qui suivent, voyant son parc de salles augmenter jusqu'à 87 salles, où il enregistre un cumul de 1 974 032 entrées depuis sa sortie[15]. À la mi- et alors qu'il totalise 3 438 037 entrées, Borsalino est distribué dans cent neuf salles sur l'ensemble du territoire[16]. Le film passe une dernière semaine dans le top 30 hebdomadaire entre fin septembre et début avec 3 719 949 entrées enregistrées en vingt-huit semaines d'exploitation en salles[17], mais y revient brièvement à la trentième semaine avec 3,8 millions d'entrées cumulées[18] et en trente-troisième semaine avec près de 3,9 millions d'entrées[19]. Entre le et le , Borsalino enregistre un score de 3 940 857 entrées[20]. Le film finit son exploitation avec un résultat de 4 710 381 entrées[21], ce qui est un succès considérable[9]. La ressortie de Borsalino en 2018 totalise 927 entrées[22].

Le succès est relativement limité aux États-Unis avec 1 090 000 $ de recettes[23]. En Belgique, le film engrange des recettes de 8,3 millions de francs belges, ce qui correspond à environ 130 000 spectateurs[24], tandis qu'en Italie, le film réunit un nombre de spectateurs compris entre 6,7 millions et plus de 7 millions[21],[24].

Controverse

Le film connaît un fort succès avec plus de quatre millions de spectateurs en France[21]. Mais ce succès est entaché par un conflit juridique qui oppose Jean-Paul Belmondo et Alain Delon pour une histoire de formulation contractuelle non respectée sur l'affiche du film. « Bébel » porte l'affaire au tribunal et gagne son procès en 1972.

La presse de l'époque utilise cette mésentente pour broder sur la rivalité des deux stars, ce qui servira finalement le succès de Borsalino. Les deux acteurs se retrouveront vingt-huit ans plus tard pour Une chance sur deux de Patrice Leconte, dans lequel ils partagent la vedette avec Vanessa Paradis.

Diffusion ultérieure

Pour des raisons de droits[25],[26], le film n'est pas sorti sur support vidéo (VHS, Betamax, DVD, ou Blu-Ray) avant 2009 et passe très rarement à la télévision française jusqu'en 2007, avant d'être régulièrement diffusé depuis 2010 [27] :

Diffusions de Borsalino à la télévision française
Date de diffusion Chaîne Audiences
(en millions de téléspectateurs)
TF1NC
La CinqNC
FR35 500 000[28]
TF1NC
NC
France 34 300 000[29]
2 300 000[30]
13e rueNC
NC
France 3NC
1 600 000 [31]
Paris PremièreNC
NC
NC
NC
Arte1 100 000[32]
NC
W9278 000 [33]
NC
6ter307 000 [34]
NC
Paris PremièreNC
NC
NC
W9908 000[35]
NC
Paris PremièreNC
NC
W9598 000 [36]
NC
W9581 000 [37]
604 000 [38]

Un accord entre acteurs et surtout avec le détenteur des droits (Paramount) intervient finalement et le , le film connaît sa toute première édition DVD[39],[40].

Distinctions

Analyse

L'action du film peut être située vers 1931-1932, car le portrait du président de la République Paul Doumer est accroché dans la mairie de Marseille.

Autour du film

Le nom du personnage principal, Roch Siffredi a inspiré le nom de scène de l'acteur pornographique Rocco Siffredi[42].

Notes et références

  1. Belmondo ne fait partie de la suite, car son personnage (Capella) meurt à la fin de ce premier film.
  2. « Eugène Saccomano a inspiré le film "Borsalino" avec Delon et Belmondo », sur huffingtonpost.fr, (consulté le )
  3. Florent Barraco, « Eugène Saccomano, la voix du foot, est mort. Il a commenté des milliers de matches sur Europe 1 et RTL, inventé le talk-show de sport et inspiré « Borsalino ». », sur lepoint.fr, (consulté le )
  4. Pierre de Boishue, « Saccomano : «Borsalino m’a rapporté 30 000 francs» », sur lefigaro.fr, (consulté le )
  5. « Extrait de Gabin, Ventura, Delon...: les légendes du Polar - Philippe DURANT - Google Livres », sur Google Books (consulté le ) : « La sortie de Borsalino constitue l'un des événements cinématographiques du premier trimestre 1970. Pas seulement parce que c'est « la » grosse production française du moment (14 millions de francs) mais du fait que les deux vedettes se fâchent. ».
  6. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 Philippe Lombard, « Borsalino : Histoires de tournage » [archive du ], sur devildead.com, (consulté le ).
  7. Mathilde Blottière, « “Borsalino”, le film de gangsters qui a fini au tribunal », sur Télérama, 2 décembre 2018 (m-à-j le 3 décembre 2018) (consulté le ).
  8. Philippe Paul, « Borsalino de Jacques Deray (1970) », sur DVDClassik, .
  9. 1 2 3 4 5 6 David Mikanowski, « Borsalino (W9) : bataille d'égos, tribunal... Retour sur les tensions entre Jean-Paul Belmondo et Alain Delon », sur Télé Loisirs, (consulté le ).
  10. « Borsalino - Fiche Film », sur bifi.fr (consulté le ).
  11. TOP 45 Tours - 1970
  12. 1 2 « Genre : Policier », sur chez-alice.fr (consulté le ).
  13. « BO hebdo France - 1970 », sur eklablog.com (consulté le ).
  14. « BO hebdo France - 1970 », sur eklablog.com (consulté le ).
  15. « BO hebdo France - 1970 », sur eklablog.com (consulté le ).
  16. « BO hebdo France - 1970 », sur eklablog.com (consulté le ).
  17. « BO hebdo France - 1970 », sur eklablog.com (consulté le ).
  18. « BO hebdo France - 1970 », sur eklablog.com (consulté le ).
  19. « BO hebdo France - 1970 », sur eklablog.com (consulté le ).
  20. « Box-Office France 1970 », sur top-france.fr (consulté le ).
  21. 1 2 3 « Borsalino », sur jpbox-office.com (consulté le ).
  22. « Borsalino dans la base de données Lumiere », sur lumiere.obs.coe.int (consulté le )
  23. « Jean-Paul Belmondo, Alain Delon, Catherine Rouvel dans Borsalino, producteurs Adel Productions, Marianne Productions, Mars Film », (consulté le )
  24. 1 2 « BORSALINO - ALAIN DELON BOX OFFICE », sur BOX OFFICE STORY (consulté le ).
  25. « Ce soir à 20h50, France 3 ressucite Borsalino, film culte de Jacques Deray », sur telesatellite.com, (consulté le )
  26. Julien Mielcarek, « "BORSALINO" : 1ÈRE DIFFUSION DEPUIS 16 ANS SUR FRANCE 3 (VIDÉO) », sur OZAP.com, (consulté le ).
  27. « Inathèque (dates de diffusion de Borsalino depuis 1995 » (consulté le ) (noter le titre du film dans l'onglet "Titres" et cliquer sur "Rechercher", les dates de diffusion)
  28. « PRIMETIMES - ANNEE 1991 », sur audiencestv.com (consulté le ).
  29. Jérôme Roulet, « Une Dilettante à succès pour France 3 », (consulté le ).
  30. Tony Cotte, « Borsalino subit la concurrence de Luke Skywalker », sur toutelatele.com, (consulté le ).
  31. Marion Ollité, « Borsalino : Jean-Paul Belmondo et Alain Delon ne séduisent pas sur France 3 », sur toutelatele.com, (consulté le ).
  32. Jérôme Roulet, « Audiences TV Prime (dimanche 2 décembre 2018) : Vera et la soirée gilets jaunes sur les traces de World War Z, Borsalino et Le nom des gens au top », sur toutelatele.com, (consulté le ).
  33. Benoit Mandin, « Audiences TV prime (dimanche 21 avril 2019) : Captain America battu par La grande vadrouille, Le livre de la jungle séduit », sur toutelatele.com, (consulté le ).
  34. Kevin Boucher, « Audiences : Carton pour "Le Bazar de la Charité" sur TF1 devant "L'Amour est dans le pré" en baisse, TMC au million », sur ozap.com, Puremédias, (consulté le ).
  35. Kevin Boucher, « Audiences : "Stars 80, la suite" leader devant France 3, France 2 et M6 battues par France 5 », sur ozap.com, Puremédias, (consulté le ).
  36. Benoît Mandin, « Audiences TV prime (dimanche 15 août 2021) : Jusqu’ici tout va bien survole, Capital bat Place publique, Arte puissante », sur Toutelatele.com, (consulté le ).
  37. Benoît Mandin, « Audiences TV prime (dimanche 9 janvier 2022) : Kingsman régale TF1, Gone Girl (France 2) troublé par France 3, Ophélie Meunier déçoit M6 », sur Toutelatele.com, (consulté le ).
  38. Valentin Delepaul, « Audiences TV Prime (mardi 2 août 2022) : Tandem (France 3) leader, Superman et Loïs (TF1) faible, Zone interdite (M6) résiste », sur Toutelatele.com, (consulté le ).
  39. http://ecrannoir.fr/blog/blog/2009/11/20/revoir-borsalino-le-film-sort-enfin-en-dvd/
  40. Challenges.fr, « Borsalino pour la première fois en DVD », Challenges, (lire en ligne, consulté le ).
  41. Lors de l'édition 1970, un scandale éclate autour du film O.K. de Michael Verhoeven, mettant en scène le viol et le meurtre d'une Vietnamienne par des soldats américains. La réaction indignée du public et des débats houleux poussent le jury à démissionner. Le Festival est annulé.
  42. (fr) « Témoignage d'Alain Delon », dans le DVD de bonus du film Borsalino sorti en 2009.

Liens externes