Bourg-lès-Valence | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Valence | ||||
Intercommunalité | Valence Romans Agglo | ||||
Maire Mandat |
Marlène Mourier 2020-2026 |
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Code postal | 26500 | ||||
Code commune | 26058 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bourcains, Bourcaines | ||||
Population municipale |
29 970 hab. (2020 ) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 56′ 55″ nord, 4° 53′ 46″ est | ||||
Altitude | Min. 99 m Max. 200 m |
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Superficie | 20,3 km2 | ||||
Unité urbaine | Valence (banlieue) |
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Aire d'attraction | Valence (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Valence-1 | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | bourg-les-valence.fr | ||||
Bourg-lès-Valence est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes, limitrophe de la ville de Valence.
Ses habitants sont dénommés les Bourcains et les Bourcaines.
Géographie
Localisation
La commune est située dans l'agglomération valentinoise.
La Roche-de-Glun | Châteauneuf-sur-Isère | Châteauneuf-sur-Isère | ||
Cornas (Ardèche) Saint-Péray (Ardèche) |
N | Saint-Marcel-lès-Valence | ||
O Bourg-lès-Valence E | ||||
S | ||||
Guilherand-Granges (Ardèche) | Valence | Valence |
Relief et géologie
Sites particuliers :
- Plateau des Chanalets[1].
Géologie
Hydrographie
La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :
- le Canal Secondaire numéro 2 de la Bourne ;
- le Rhône (L'ancien cours longe la commune et la sépare du département de l'Ardèche. Un canal de dérivation des années 1960 longe l'ancien lit).
Climat
Urbanisme
Typologie
Bourg-lès-Valence est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].
Elle appartient à l'unité urbaine de Valence, une agglomération inter-départementale regroupant 10 communes[5] et 131 695 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].
La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8],[9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (46,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (38,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (30,7 %), zones agricoles hétérogènes (26,9 %), cultures permanentes (12,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,7 %), eaux continentales[Note 3] (9,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,3 %), terres arables (2,6 %), mines, décharges et chantiers (1,2 %), forêts (0,9 %), prairies (0,7 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Site Géoportail (carte IGN)[1] :
- Bellevue
- Centrale électrique de Bourg-lès-Valence
- Cité de l'Armailler
- Domaine de l'Armailler
- Ferme Cotte
- Ferme Dessemond
- Ferme Félix
- Ferme Muscat
- Ferme Revol
- Ferme Roux
- Genas
- Girodet
- Gondanger
- Île d'Adam
- Île d'Ève
- Jonquettes
- la Bouse
- l'Allet
- la Montée du Long
- l'Armailler
- la Table Ronde
- la Teppe
- la Tourtelle
- le Bourg
- le Champ Fleuri
- le Colombier
- l'Écondu
- le Geai
- le Moulin d'Albon
- le Plateau
- le Prat
- les Blaches
- les Bruyères
- les Carmats
- les Chabanneries
- les Chanalets
- les Chaux
- les Chirouzes
- les Combeaux
- les Gamelles
- les Morlières
- les Selles
- Maison Rodet
- Marcerolle
- Milieu
- Parc Brun
- Pommarel
- Royet
- Talavard
- Vaugrand
Anciens quartiers et lieux-dits :
- Albon est un moulin attesté en 1891. Il était dénommé les Bapteurs des Albons en 1545 (archives de la Drôme, E 2575)[11].
- les Alisières est un quartier attesté[12] :
- en 1279 : territorium de Loisas (cartulaire de Bourg-lès-Valence, 49) ;
- en 1405 : in magnis Oloysis (cartulaire de Bourg-lès-Valence, 72) ;
- en 1470 : Les Aloyses (archives de la Drôme, E 2531) ;
- en 1700 : Les Alizières ou Grandes Allemagnes (archives de la Drôme, E 2025) ;
- en 1891 : les Alisières.
Logement
Aides au logement
- ADLS (association drômoise de location sociale).
- CALD (centre d'amélioration du logement de la Drôme).
- CLLAJ (comité local pour le logement autonome des jeunes).
Projets d'aménagement
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la route nationale N 7 et les routes départementales D 7, D 67, D 268, D 632 et D 2007n[1].
La commune est comprise dans le réseau de communication de l'agglomération valentinoise. Le périphérique valentinois traverse le nord de la commune et permet une desserte rapide vers l'est et le sud valentinois.
Bourg-lès-Valence est à proximité immédiate de l'autoroute A7 (Lyon/Marseille) et de l'autoroute A49 (Grenoble/Genève).
Les gares les plus proches sont celle de Valence-Ville (à 5 kilomètres) et celle de la gare de Valence-TGV (à 10 kilomètres).
Les aéroports les plus proches sont l'aéroport de Lyon-Saint-Exupéry et l'aéroport Marseille-Provence. Le petit aéroport de Valence-Chabeuil se trouve à une dizaine de kilomètres de Bourg-lès-Valence.
Transports en commun
La ville de Bourg-lès-Valence est desservie par le réseau de bus Citéa (lignes 4, 5, 7 et 20).
Vélos en libre-service
Bourg-lès-Valence possède également deux stations de vélos en libre-service Libélo[13].
Risques naturels et technologiques
Risques sismiques
Autres risques
Toponymie
Attestations
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[14] :
- 1065 : mention de l'église Saint-Pierre : ecclesia Sancti Petri de Burgo (cartulaire du Bourg-lès-Valence, 6).
- 1162 : mention du prieur de l'église Saint-Pierre : prior de Burgo Valentie (cartulaire du Bourg-lès-Valence, 12).
- 1192 : Borc (cartulaire de Léoncel, 44).
- 1261 : mention de l'église Saint-Pierre : San Pere del Borc (cartulaire du Bourg-lès-Valence, 204).
- 1395 : mention de l'église Saint-Pierre : Saint-Pierre du Bour de Valence (cartulaire du Bourg-lès-Valence, 137).
- 1430 : mention de l'église Saint-Pierre : ecclesia Burgi Valencie (cartulaire du Bourg-lès-Valence, 135).
- XVe siècle : mention de l'église Saint-Pierre : ecclesia collegiata Sancti Petri de Burgo (pouillé de Valence).
- 1628 : Bourg Saint-Pierre (confirmation des libertés de Valence).
- 1891 : Le Bourg-lès-Valence, commune du canton de Valence.
Non daté : Bourg-lès-Valence, l'article défini n'est plus prononcé.
Étymologie
Histoire
Antiquité : les Gallo-romains
Le territoire fait partie de la colonie romaine de Valentia. Un port est construit.
Les chrétiens construiront l'église Saint-Pierre. Elle jouera un rôle important dans la région.
Du Moyen Âge à la Révolution
- La seigneurie
- Sur le plan féodal, le chapitre de l'église Saint-Pierre était seigneur spirituel et temporel de Bourg-lès-Valence, concurremment avec le prévôt de la cathédrale, qui joignait à son titre celui d'abbé du Bourg[14].
- 1693-1695 : Les Veynes, ayant acquis en 1693 la plupart des droits seigneuriaux dans cette terre, obtiennent en 1695 l'érection de la seigneurie du Bourg-lès-Valence en marquisat, qu'ils ont conservé jusqu'à la Révolution[14].
- Originaire du Gapençais, la famille de Veynes s'établit en région valentinoise avec Claude (vers 1665-1730), seigneur de Veynes, de Chichilianne et du Prayet, qui acquiert les terres du Valentin et de l'Île-Adam à Bourg-lès-Valence. Le marquisat de Bourg-lès-Valence est créé pour lui en 1695[15].
- Histoire détaillée
Valence et Bourg-lès-Valence sont séparés par des remparts.
Valence fait partie du Saint-Empire romain germanique et reste au pouvoir des seigneurs locaux. L'évêque de Valence influence grandement la région.
Le petit port sur le Rhône est une zone de transit et de commerce entre les rives de l'Empi (Saint Empire Romain Germanique) et du Riaume (Royaume de France). Les Chanoines de l'église Saint-Pierre et les seigneurs de Crussol contrôlent ce secteur. Par la suite le port est déplacé plus au sud.
Le bourg est une possession du chapitre de Valence jusqu'au XVIIe siècle[16].
XIIe siècle : péage du château de Confolens (possession des Clérieux puis, au XIVe siècle, des dauphins)[16]. Le château datait de 1091. Il dominait et protégeait le confluent de l'Isère (rivière) et du Rhône. Il était chargé d'encaisser un péage nécessaire pour remonter le Rhône vers Lyon. Il sera détruit vers 1965 lors des aménagements hydro-électriques.
XIVe siècle : la communauté du bourg obtient certaines libertés municipales.
XVe siècle : le Valentinois est rattaché au royaume de France.
XVIe siècle : des manufactures naissent à proximité des canaux du bourg.
Les guerres de Religion freinent l'essor du bourg et vont provoquer la destruction de l'église Saint-Pierre et des édifices religieux de Valence.
XVIIe siècle : l'évêque de Valence, monseigneur de Cosnac, partisan de la révocation de l'édit de Nantes (1685) va construire une demeure d'agrément au lieu-dit Saint-Barthélemy. C'est aujourd'hui le domaine du Valentin.
En 1789, la commune avait 458 chefs de famille[14].
Avant 1790, Bourg-lès-Valence était une communauté de l'élection, subdélégation et bailliage de Valence.
Elle formait une paroisse du diocèse de Valence, dont l'église, dédiée à saint Pierre, était celle d'une antique abbaye qui, sécularisée au IXe siècle, fut alors convertie eu un chapitre, qui fut uni à celui de la cathédrale de Valence en 1727[14].
De la Révolution à nos jours
En 1790, Bourg-lès-Valence devient le chef-lieu d'un canton du district de Valence, comprenant Bourg-lès-Valence, Châteauneuf-d'Isère et la Roche-de-Glun. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une simple commune du canton de Valence[14].
L'ancien curé de la paroisse de Marbos devient maire de la commune de Bourg-lès-Valence.
XIXe siècle : Bourg-lès-Valence connaît une importante croissance industrielle.
1850 : la nouvelle commune de Saint-Marcel-lès-Valence fait perdre une partie de son territoire à la commune de Bourg-lès-Valence.
En 1930, un cinéma, L'Idéal, est ouvert à Bourg-lès-Valence. Programme de la semaine du 24 au 30 septembre : Moulin rouge, Loulou et des films muets.
Dans les années 1940-1960, Bourg les Valence possédait deux salles de cinéma :
- l'ABC, équipé en 35 mm. Il était situé rue du Docteur Ponsoye (la façade est encore visible). Il avait pris la suite de l'Eden dont l'entrée était rue du Gaz. Il a été fermé en 1968.
- le Familia, équipé en 16 mm et cinémascope. Il était situé rue Dériard à l'emplacement de l'actuel immeuble Le Charlemagne construit dans les années 1980 sur l'emplacement de l'école privée de garçons et de la salle de cinéma. Il a été fermé en 1963.
Seconde Guerre mondiale
Histoire récente
Dans les années 1960, le fleuve Rhône qui longeait la commune est scindé en deux à partir de la confluence Rhône-Isère. Un grand canal est creusé en parallèle sur le territoire de la commune. Une écluse est mise en service en 1969 (déclaration d’utilité publique : 1964)[17]. De cette époque date la disparition des petites îles de graviers et de sédiments que les enfants d'après-guerre prenaient le risque de rejoindre.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 10 000 et 19 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 33.
À la suite des élections municipales françaises de 2020, le conseil municipal est composé du maire (Marlène Mourier), de 9 adjoints (Eliane Guillon, Aurélien Esprit, Dominique Gential, Christian Rozo, Geneviève Audibert, Robert Tafankejian, Audrey Renaud, Florian Reverdy, Danielle Payan) et de 23 conseillers municipaux (15 de la majorité et 8 de l'opposition)[18],[19].
Liste des maires
Rattachements administratifs et électoraux
Politique environnementale
Espaces verts et fleurissement
En 2014, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[20].
Finances locales
Finances locales de Bourg-lès-Valence de 2000 à 2018[21] (cliquez sur le lien wiki[22]).
Jumelages
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[23] - [Note 4].
En 2020, la commune comptait 19 814 habitants[Note 5], en augmentation de 1,14 % par rapport à 2014 (Drôme : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Services et équipements
Médico-social
- centre médico-social de Bourg-lès-Valence.
- La Croix-Rouge française, délégation locale (urgence, secourisme, formations, aide sociale, etc.).
- REMAID (service d’aide aux victimes et de médiation pénale et aide en cas de procédure contentieuse enclenchée).
- Resto du Cœur insertion.
- SAO (service d’accueil et d’orientation et traitement de l'urgence afin de trouver un toit pour une ou plusieurs nuits).
- L'Escale (centre d’hébergement et de réinsertion sociale) (CHRS).
Cimetières
Enseignement
Le Lycée des Trois Sources est aménagé dans l'ancien Château du Valentin[28].
Santé
Manifestations culturelles et festivités
- Fête : premier dimanche de juillet[16].
- L'Espérance nautique organise les joutes et la fête du Rhône.
Loisirs
Sports
- Le bowl en béton (hors-sol), inauguré en 2012 et construit à côté de l'ancien skatepark situé sur le parking de la Halle des sports aux trois sources[29].
- Le gymnase du Valentin doté d'une structure artificielle d’escalade.
- Le stade municipal qui accueille le siège social de l’US Rhône XV, ainsi que le siège social du FC Bourg-lès-Valence.
- Le COSEC qui est un ensemble sportif englobant un gymnase avec un dojo, un stade d’athlétisme avec un terrain de football en contrebas, ainsi qu'un plateau de basket-ball et de handball.
Médias
- L'Agriculture drômoise dont le siège est implanté à Bourg-lès-Valence.
- ACIL Radio BLV (radio associative locale).
Cultes
- Pèlerinage catholique de Saint-Expédit : dernier dimanche de septembre[16].
Économie
Située au cœur de la vallée du Rhône, la commune de Bourg-lès-Valence attire des entreprises du fait de sa proximité avec les infrastructures de déplacement (autoroutes, chemin de fer et fleuve).
Environ neuf cents entreprises se sont installées, représentant des secteurs variés :
- Agroalimentaire : La Valentinoise, CRENO.
- Bâtiment (construction) : Ferreira.
- Énergie : CNR (hydro-électrique), France turbo (bois).
- Industrie : Spit, Imaje, Solystic, Oerlykon, Infologic, Biousse.
- Logistique : Rétif.
- Travaux publics : Giamatteo, Lyon agglos.
Dans le secteur de la création audiovisuelle, la commune figure parmi les principaux centres français de l'animation. L'ancienne cartoucherie de Bourg-lès-Valence a été réaménagée en Cour des Images, présenté comme un pôle d'excellence autour de l'image animée[30]. Sont parmi les implantations sur ce site, le studio TeamTO (depuis 2008)[31] et le studio Folimage (depuis mars 2009)[32].
En 1992, l'agriculture est toujours présente : céréales, vergers, vignes, porcins[16].
- Marchés (de quartiers) : mercredi, vendredi et dimanche[16].
Les zones d'activités économiques
La commune de Bourg-lès-Valence comprend plusieurs zones d'activités économiques dont les trois principales sont :
- La zone de l’Armailler : elle est affectée depuis environ 10 ans au développement économique de l’agglomération valentinoise sous la maîtrise de la communauté d'agglomération Valence Romans Agglo.
- La zone de Marcerolles : elle permet une offre variée et attractive pour les PME/PMI des secteurs industriels et BTP. La surface minimale de vente se situe en général aux environs de 1 500 m2 selon les tranches de lotissement en cours de commercialisation.
- La zone de la CNR : elle est la propriété de la Compagnie nationale du Rhône (CNR) et permettra, à terme, le transport multimodal route, fer et fleuve du fait de sa situation privilégiée. Les terrains disponibles, d’une surface minimum de 5 000 m2, sont offerts à la location long terme.
Tourisme
Revenus de la population et fiscalité
Emploi
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ancienne collégiale Saint-Pierre (romane, du XIIe siècle) : le maître-autel date du XVIIe siècle[16]. C'est l'une des plus anciennes églises du Valentinois : sépulture des évêques. Elle fut détruite au cours des guerres de religion en 1597, plusieurs fois reconstruite, a subi d'importantes modifications aux XIXe et XXe siècles, notamment des peintures murales du peintre et sculpteur André Deluol.
- Château du Valentin[16] : château épiscopal construit en 1668.
- Château de Champrousset[16].
- Château des Chanalets (époque moderne).
- Ancienne cartoucherie de Bourg-lès-Valence, réaménagée en Cour des Images, centre de création de l'image animée.
- Église Saint-Pierre.
- Ancien château du Valentin (XVIIIe siècle).
- Cartoucherie de Bourg-lès-Valence.
Patrimoine culturel
- Le Théâtre Le Rhône, salle de spectacle et d'exposition offrant 600 places et constituant une salle majeure du bassin valentinois.
Patrimoine naturel
- Association La Rhodanienne : connaissance du Rhône, sa flore et sa faune.
Personnalités liées à la commune
- Gabriel-Venance Rey (né en 1763, mort en 1836 à Bourg-lès-Valence) : général des armées de la République.
- Ange François Blein (né en 1767) : général des guerres de la Révolution et de l'Empire (son nom est gravé sur l'Arc de Triomphe).
- Elie Cester (né en 1942, mort en 2017 à Bourg-lès-Valence) : joueur de rugby.
- Alain Maurice (né en 1962) : conseiller municipal de Bourg-lès-Valence (1995-2008), maire de Valence (2008-2014).
- Ludivine Rioury (née vers 1990) : élue Miss Dauphiné Rhône-Alpes 2010 pour Miss Nationale – Geneviève de Fontenay[33].
Héraldique, logotype et devise
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Bourg-lès-Valence possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
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Annexes
Bibliographie
- Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 192 pages, 2004.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Bourg-lès-Valence sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2007.
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- ↑ Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- 1 2 3 4 5 6 « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- ↑ « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Unité urbaine 2020 de Valence », sur insee.fr (consulté le ).
- ↑ « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- ↑ « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- ↑ J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 4 (Albon).
- ↑ J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 5 (Les Alisières).
- ↑ « Stations Libélo de Bourg-Lès-Valence », sur valence-romans-tourisme.com (consulté le ).
- 1 2 3 4 5 6 J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 47 (Bourg-lès-Valence).
- ↑ Julien Mathieu (attaché de conservation du patrimoine), Famille du Plan de Sieyès de Veynes, 1697-1818, Valence, Archives communales, (lire en ligne).
- 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Bourg-lès-Valence.
- ↑ « Bourg-lès-Valence », sur planete-tp.com, (version du 5 mars 2014 sur Internet Archive).
- ↑ Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- ↑ « Conseil Municipal », La Mairie, sur le site de la mairie.
- ↑ « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
- ↑ « Villes du département de la Drôme », sur marielaure.monde.free.fr (consulté le ).
- ↑ « Pour Bourg-les-Valence wikicode », sur marielaure.monde.free.fr (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- ↑ « Pavillon - Bourg-lès-Valence (26500) - Localisation », sur cimetieres-de-france.fr (consulté le ).
- ↑ « Talavard - Bourg-lès-Valence (26500) - Localisation », sur cimetieres-de-france.fr (consulté le ).
- ↑ Bourg-les-Valence, « Présentation de la ville / Découvrir la ville - Ville de Bourg-les-Valence », sur bourg-les-valence.fr (consulté le ).
- ↑ « Skatepark de Bourg les Valence (26) », sur spotland.fr (consulté le ).
- ↑ « Accueil », sur Ville de Bourg-les-Valence (consulté le ).
- ↑ « TÉLÉVISION », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ https://www.folimage.fr/fr/studio/autour-de-folimage
- ↑ Julien COMBELLES, « Tain-l'Hermitage/LES IMAGES DE LA SOIREE. Ludivine Rioury est miss Dauphiné Rhône-Alpes », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne, consulté le ).