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Gabriel Attal
Illustration.
Gabriel Attal en 2017.
Fonctions
Ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse
En fonction depuis le
(3 mois et 24 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Élisabeth Borne
Gouvernement Borne
Prédécesseur Pap Ndiaye
Ministre délégué chargé des Comptes publics

(1 an et 2 mois)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Élisabeth Borne
Ministre Bruno Le Maire
Gouvernement Borne
Prédécesseur Olivier Dussopt
Successeur Thomas Cazenave
Député français

(1 mois)
Élection 19 juin 2022
Circonscription 10e des Hauts-de-Seine
Législature XVIe (Cinquième République)
Groupe politique LREM
Prédécesseur Florence Provendier
Successeur Claire Guichard

(1 an, 4 mois et 26 jours)
Élection 18 juin 2017
Circonscription 10e des Hauts-de-Seine
Législature XVe (Cinquième République)
Groupe politique LREM
Prédécesseur André Santini
Successeur Florence Provendier
Conseiller municipal de Vanves
En fonction depuis le
(9 ans, 7 mois et 14 jours)
Élection 30 mars 2014
Réélection 28 juin 2020
Maire Bernard Gauducheau
Secrétaire d'État auprès du Premier ministre
Porte-parole du gouvernement

(1 an, 10 mois et 14 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Jean Castex
Gouvernement Castex
Prédécesseur Sibeth Ndiaye
Successeur Olivia Grégoire
Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse

(1 an, 8 mois et 20 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Édouard Philippe
Ministre Jean-Michel Blanquer
Gouvernement Philippe II
Prédécesseur Fonction créée
Successeur Sarah El Haïry
Porte-parole de La République en marche

(9 mois et 12 jours)
Prédécesseur Sibeth Ndiaye
Successeur Laetitia Avia
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Clamart (France)
Nationalité Français
Parti politique PS (2006-2016)
EM/LREM/RE (depuis 2016)
Père Yves Attal
Conjoint Stéphane Séjourné
Diplômé de IEP de Paris
Université Paris II Panthéon-Assas

Signature de

Gabriel Attal
Ministres français de l’Éducation nationale

Gabriel Attal, né le à Clamart (Hauts-de-Seine), est un homme politique français.

Militant au Parti socialiste de 2006 à 2016, il est membre du cabinet de la ministre de la Santé Marisol Touraine de 2012 à 2017, ainsi que conseiller municipal de Vanves depuis 2014.

En 2016, il rejoint le parti fondé par Emmanuel Macron, En marche devenu La République en marche puis Renaissance , dont il est porte-parole en 2018 et membre du bureau exécutif à partir de 2021.

Il est élu député lors des élections législatives de 2017 dans la dixième circonscription des Hauts-de-Seine. À l'Assemblée nationale, il est membre de la commission des Affaires culturelles et de l'Éducation. Il est également rapporteur du projet de loi relative à l'orientation et à la réussite des étudiants (ORE).

En 2018, il est nommé secrétaire d'État auprès du ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse dans le second gouvernement Édouard Philippe, devenant à 29 ans le plus jeune membre d'un gouvernement sous la Ve République. Il est notamment chargé de mettre en place le service national universel (SNU). Il est ensuite porte-parole du gouvernement Jean Castex, entre 2020 et 2022.

Au sein du gouvernement Élisabeth Borne, formé en 2022 sous la seconde présidence d'Emmanuel Macron, il est d'abord ministre délégué chargé des Comptes publics. Réélu député dans la foulée lors des élections législatives de 2022, il n'occupe pas cette fonction afin de rester au gouvernement. En , il est nommé ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse.

Situation personnelle

Jeunesse et études

Gabriel Nissim Attal naît le [1] à Clamart.

Son père, Yves Attal, avocat puis producteur de cinéma[2],[3],[4], est d'origine juive tunisienne et sa mère, Marie de Couriss[5], salariée d’une société de production[6], est de confession chrétienne orthodoxe[7] et descend d'une famille de Russes blancs d'Odessa[8] d'origine grecque[9].

Il grandit dans les 13e et 14e arrondissements de Paris auprès de ses trois sœurs.

Il ajoute, à titre d'usage, le nom de sa mère à son patronyme et se fait appeler Gabriel Attal de Couriss[10]. Il étudie à l'École alsacienne[2], où il côtoie la chanteuse Joyce Jonathan[11]. Il développe une inimitié avec un autre camarade de classe, Juan Branco[12].

Il est admis en 2007 à l'Institut d'études politiques de Paris, où il obtient en 2013 un master 2 en affaires publiques. Il suit également une licence de droit à l'université Panthéon-Assas[13].

À la mort de son père en 2015, il hérite de plus de 1 million d'euros, et devient millionnaire à 26 ans[14].

Vie privée

Lorsqu'il était adolescent, il a été en couple avec Joyce Jonathan[11] dont il dit à Closer qu'elle a été l'un de ses « premiers amours »[15].

Lié par un pacte civil de solidarité (Pacs) au député européen Stéphane Séjourné, il révèle son homosexualité après que des allusions à sa vie privée et à son couple ont circulé dans les travées de l’Assemblée nationale[16],[17],[18].

Parcours politique

Militantisme au PS

Selon une de ses proches, sa vocation politique naît lorsque ses parents l'emmènent à une manifestation contre la présence de Jean-Marie Le Pen au second tour de l'élection présidentielle de 2002[6].

Il indique avoir participé en 2006 au mouvement contre le contrat première embauche[2]. Il rejoint le Parti socialiste (PS) en 2006 pour soutenir la candidature de Ségolène Royal à l'élection présidentielle de 2007[19]. Le Monde le situe, dès son adhésion, « dans le sillage de cette « deuxième gauche » pour qui l’entreprise et le libéralisme ne sont pas des gros mots, tout en ayant des convictions humanistes assumées »[20]. Il indique quant à lui avoir « adhéré au PS en étant dans la mouvance de Dominique Strauss-Kahn »[20].

À son arrivée à l'Institut d'études politiques de Paris, il rejoint le comité de soutien à Íngrid Betancourt et coordonne des actions en soutien à l’otage franco-colombienne détenue par les FARC[21],[22]. Il postule en vain au poste de secrétaire de section du Parti socialiste[23],[24].

En 2009-2010, il effectue une mission auprès d'Éric de Chassey, directeur de la villa Médicis[25].

Après un stage à l'Assemblée nationale auprès de Marisol Touraine pendant la campagne présidentielle, Gabriel Attal entre en 2012 dans le cabinet de la ministre de la Santé[26], avec l'aide de Benjamin Griveaux[27], lui aussi membre du cabinet, dont il est l'adjoint[20],[2]. Il devient ainsi le plus jeune conseiller ministériel du quinquennat[2]. Jusqu'en 2017, il travaille au cabinet comme préposé aux discours, puis comme conseiller politique après le départ de Benjamin Griveaux[28],[29].

Cinquième sur la liste PS aux élections municipales de 2014, Gabriel Attal devient l'un des quatre conseillers municipaux PS de Vanves et prend la tête de l'opposition, après la démission de la tête de liste socialiste[30],[31].

Militant chez En marche

Il adhère à En marche, devenu ensuite La République en marche (LREM), selon les sources dès la création du mouvement en avril 2016[31] ou fin 2016[18], et quitte le PS, selon les sources lorsque Emmanuel Macron déclare sa candidature à l'élection présidentielle de 2017[32] ou après avoir obtenu l'investiture LREM pour les élections législatives de 2017[2]. Il déclare avoir été déçu par l'opposition de certains élus PS à la loi Macron, notamment à propos du travail du dimanche[31],[20]. Selon Libération, il est « heurté par le raidissement de Manuel Valls sur les questions d’identité et d’immigration »[29].

Député de la XVe législature

Il est élu député en dans la dixième circonscription des Hauts-de-Seine avec 60,94 % des suffrages exprimés et un taux d'abstention de 51,82 %[33]. Lors la campagne électorale, il a affronté Jérémy Coste, dont le suppléant était André Santini, ainsi que le général Bertrand Soubelet[28].

Au sein de l'Assemblée Nationale, Le Monde le classe en comme faisant partie des « snipers » d'Emmanuel Macron[34] :

« Des janissaires dévoués corps et âme au chef de l'État, qui ne dépendent que de lui, ne rendent de comptes qu’à lui »[34].

Il est également proche de Christophe Castaner[35] et de Stéphane Séjourné[36].

Toujours selon Le Monde, au sein de l'Assemblée nationale, les députés de La République en Marche (LREM) considèrent qu'avec Amélie de Montchalin, il fait partie des députés les plus talentueux. Le Monde indique qu'il y est parvenu « grâce à son sens politique et à son aisance à l’oral. Et surtout, en profitant du vide. Alors que beaucoup de ses collègues du groupe LREM, composé en majorité de novices, n’osaient pas prendre la parole en public au début de la législature, lui a très vite crevé l’écran en défendant l’action d’Emmanuel Macron avec un aplomb et une facilité déconcertants pour son jeune âge »[20].

Libération relève qu'il « est invité partout, des matinales de radio à l’émission On n'est pas couché, reléguant les autres porte-parole de LREM au rang de figurants », et que il est « l’un des seuls à monter au feu cet été [en 2018] pour défendre Emmanuel Macron et l’Élysée en pleine affaire Benalla, gagnant du même coup de nouveaux galons »[29]. Il bénéficie d’un accès privilégié au palais de l'Élysée, qui lui fournit les éléments de langage en vue de ses passages dans les médias[20].

Porte-parole de la majorité

Il est porte-parole de LREM de janvier à octobre 2018[37],[38].

Sa maison parisienne fait par ailleurs office de « petit carrefour de la majorité »[29].

En avril 2018, à la veille du mouvement social contre la réforme de la SNCF, sa dénonciation de « la gréviculture » suscite la polémique[2],[20]. En mai 2018, il prend ses distances avec les propos polémiques du ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, selon lesquels les migrants font du « benchmarking » en comparant les pays européens[20].

En septembre 2018, après l'élection de Richard Ferrand à la présidence de l'Assemblée nationale, il se porte candidat pour lui succéder à la présidence du groupe LREM[39], mais il annonce le retrait de sa candidature la veille du scrutin alors qu'il était considéré comme l'un des trois favoris pour l'emporter[40].

Travaux législatifs

À l'Assemblée nationale, il est membre de la commission des Affaires culturelles et de l'Éducation, au sein de laquelle il est le coordinateur (« whip ») du groupe La République en Marche[41].

Après six mois de législature, il est le 31e député le plus actif selon le classement établi par Capital, classement qualifié de « prime aux bavards » par le président du groupe La République en marche[42],[43] et dénoncé par Gabriel Attal lui-même qui affirme qu'il est favorisé car il a signé des amendements alors que ses collègues de LREM ont travaillé autant que lui à leur préparation[44].

Le journal Ouest-France relève que « selon le site Nosdéputés.fr qui scrute l’activité des députés, Gabriel Attal est l’un des élus les plus actifs (127 interventions en commission ce qui le classe parmi les vingt premiers) »[31].

En décembre 2017, il est nommé rapporteur du projet de loi relative à l'orientation et à la réussite des étudiants (Loi ORE)[45],[46].

Le Monde indique que l'examen du texte « lui a permis de se distinguer par sa capacité à ferrailler avec l’opposition dans l’Hémicycle, en particulier avec La France insoumise (LFI), qu’il cible prioritairement dans ses prises de position »[20].

Il suscite la polémique en qualifiant les étudiants opposés à sa réforme de « bobos égoïstes »[2].

En , il travaille à la réforme de l'audiovisuel public au sein d'un groupe de travail constitué à l'Assemblée[47].

Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse

Gabriel Attal au Festival d'Angoulême 2019.

Le , il est nommé secrétaire d'État auprès du ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse, Jean-Michel Blanquer.

À 29 ans, il est le plus jeune membre d'un gouvernement sous la Ve République, battant de quelques mois le record établi par François Baroin en 1995[48].

Il est notamment chargé d'intervenir sur les dossiers de la jeunesse et la mise en place du service national universel (SNU)[20], jusque-là sous la responsabilité de Geneviève Darrieussecq, secrétaire d'État auprès de la ministre des Armées[49].

Le 29 novembre 2018, il annonce des mesures concernant le monde associatif. En matière de philanthropie, il déclare souhaiter que « les grandes fortunes » puissent léguer leur patrimoine net d'impôt de succession à des fondations dont leurs enfants sont administrateurs, plutôt qu'à leurs enfants, ce qui est imposé à 45 %. En effet, de nombreuses fortunes françaises, comme c'est le cas, par exemple, de Johnny Hallyday, s'établissent à l'étranger afin de procéder à ce montage dans la légalité[50]. La réforme projetée finit par échouer.

Selon Libération, « il est un des rares secrétaires d’État à exister »[18].

Lors des élections municipales de 2020, il est deuxième sur la liste LREM à Vanves, qui arrive en troisième position au second tour (19,9 %), derrière celle du maire sortant (UDI) Bernard Gauducheau (53,3 %) et celle d'EÉLV (26,8 %). Il reste conseiller municipal d'opposition[51].

Secrétaire d'État auprès du Premier ministre, porte-parole du gouvernement

Gabriel Attal est nommé secrétaire d'État auprès du Premier ministre, porte-parole du gouvernement le [52],[53].

Il est candidat en dernière position sur la liste LREM dans les Hauts-de-Seine pour les élections régionales de 2021 en Île-de-France[54]. Dans la foulée, en , il intègre le bureau exécutif de LREM, élu sur la liste conduite par Richard Ferrand[55].

Alors que Gabriel Attal est en couple avec Stéphane Séjourné, conseiller politique d'Emmanuel Macron jusqu'en 2021, Le Monde juge qu'ils forment un couple au cœur du pouvoir[16]. Le quotidien constate qu'« ils se sont hissés au sommet de l'État dans une position totalement inédite sous la Ve République : l'un souffle à l'oreille du président, l'autre parle au nom du Premier ministre »[16].

Comme porte-parole du gouvernement, il lance et anime en février 2021 une émission sur Twitch et YouTube, au cours de laquelle il échange au palais de l'Élysée avec des influenceurs. Libération relève alors qu'« il rencontre déjà un certain succès auprès d’une communauté Instagram qui s’élève à 67 000 personnes », mais qu'il compte seulement 1 200 abonnés sur Twitch[56]. Le premier rendez-vous est vivement critiqué sur Twitter par des étudiants ne se reconnaissant pas dans les influenceurs invités[57].

Ministre délégué chargé des Comptes publics

Le , il est nommé ministre délégué chargé des Comptes publics dans le gouvernement Élisabeth Borne.

Lors des élections législatives de 2022, Gabriel Attal est candidat pour la majorité présidentielle dans la dixième circonscription des Hauts-de-Seine. L'Élysée annonce que tous les membres du gouvernement candidats qui sont battus dans leur circonscription devront quitter le gouvernement[58]. Au premier tour, il arrive en tête avec 48,06 % des voix devant la candidate NUPES, Cécile Soubelet (30,75 %)[59]. Au second tour, il obtient 59,85 % des suffrages, ce qui lui permet de se maintenir au gouvernement[60].

Comme ministre, il annonce qu'il va expérimenter la semaine de 4 jours pour les fonctionnaires[61].

Ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse

Le , Gabriel Attal est nommé ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse et succède ainsi à Pap Ndiaye, qui quitte le gouvernement[62],[63]. Âgé de 34 ans, il devient le plus jeune ministre de l'Éducation nationale de la Ve République[64] et le deuxième plus jeune de l'histoire de la République française après Jean Zay, nommé ministre de l'Éducation nationale à l'âge de 31 ans[65].

Résultats aux élections législatives

Année Parti Circonscription 1er tour 2d tour
Voix  % Rang Voix  % Issue
2017[33] LREM 10e des Hauts-de-Seine 19 572 44,04 1er 20 818 60,94 Élu
2022[59] 20 679 48,06 1er 24 047 59,85 Élu

Notes et références

  1. « INFOGRAPHIES. Législatives : l'Assemblée prend un coup de jeune historique avec l'arrivée de 28 députés vingtenaires », sur France Info, (consulté le ).
  2. 1 2 3 4 5 6 7 8 Laurent Telo, « Du Parti socialiste à La République en marche, la mue fulgurante de Gabriel Attal », M, le magazine du Monde, (lire en ligne, consulté le ).
  3. Mariana Grépinet, « Gabriel Attal, l’homme pressé », sur parismatch.com, (consulté le ).
  4. « Gabriel Attal : un vingtenaire débarque dans le gouvernement », sur start.lesechos.fr, (consulté le ).
  5. Voir sur cc-veron.fr.
  6. 1 2 Delphine Bancaud, « Qui est Gabriel Attal, le plus jeune membre d'un gouvernement de la Ve République ? », sur 20minutes.fr, .
  7. Mathilde Siraud, « Gabriel Attal, sur les traces de Macron ? », sur lepoint.fr, .
  8. « La rentrée très politique de Gabriel Attal », sur lemonde.fr, (consulté le )
  9. (en) Anna Bykova, « Fr. Nicholas Couriss (1895-1977) at the Head of the Russian Community in Ireland in the 20th century », sur rocorstudies.org, (consulté le )
  10. Juan Branco, Crépuscule, Vauvert/Paris, coéd. Au diable vauvert / Massot Éditions, , 312 p. (ISBN 979-10-307-0260-6), p. 99.
  11. 1 2 « Gabriel Attal, du gouvernement Macron, a été en couple avec Joyce Jonathan », sur femina.fr, .
  12. Jérôme Dupuis, Benoist Fechner et Ludwig Gallet, « Les réponses de L'Express à Juan Branco », sur lexpress.fr, .
  13. « Gabriel Attal, nouvelle icône de la gauche moderne », sur Cafebabel (consulté le ).
  14. « Quel ministre du gouvernement Borne détient le plus gros patrimoine ? », sur bfmtv.com, (consulté le ).
  15. « Le saviez-vous ? Gabriel Attal a été en couple avec l’ex du fils de François Hollande », Gala, (lire en ligne).
  16. 1 2 3 Grégoire Biseau, « Stéphane Séjourné et Gabriel Attal, un couple au cœur du pouvoir », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  17. « Affaire Griveaux : ce qu'il faut savoir sur Juan Branco », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  18. 1 2 3 Quentin Girard, « Gabriel Attal, de ses propres zèles », Libération, (lire en ligne).
  19. « De nouveaux visages dans le paysage politique de Vanves : Gabriel Attal (PS) conseiller parlementaire », (consulté le ).
  20. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Alexandre Lemarié, « Gabriel Attal, secrétaire d’État auprès de Blanquer », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  21. Jean-Pierre Largillet, « Le fils d'Ingrid Betancourt à la rencontre des Niçois samedi », sur WebTimeMedias, (consulté le ).
  22. Bruno Jeudy, « Gabriel Attal : "Le jour où je rencontre Ingrid Betancourt à l'aéroport de Villacoublay" », Paris Match, semaine du 16 au 22 août 2018, p. 107 (lire en ligne, consulté le )
  23. Section socialiste de Sciences-Po, « Profession de foi de Gabriel, candidat à l'élection de secrétaire de section », sur Blog des socialistes de Sciences Po (consulté le ).
  24. Section socialiste de Sciences-Po (A laquelle il échoue), « Élections du secrétaire de section - Résultats », sur Blog des socialistes de Sciences Po (consulté le ).
  25. Pierrick Baudais, « Qui est Gabriel Attal, le futur porte-parole de la République en marche ? », sur ouest-france.fr,
  26. « Six relais du macronisme à l'Assemblée », sur Libération, (consulté le ).
  27. Nathalie Raulin, « Six relais du macronisme à l'Assemblée », sur liberation.fr, (consulté le ).
  28. 1 2 « Qui est Gabriel Attal, votre député (LREM) d'Issy-Vanves », sur Le Parisien, (consulté le ).
  29. 1 2 3 4 Laure Bretton, « Gabriel Attal, la météorite récompensée », sur liberation.fr, (consulté le ).
  30. « Conseiller de Marisol Touraine… et dans l'opposition locale », leparisien.fr, 2014-04-08cest07:00:00+02:00 (lire en ligne, consulté le ).
  31. 1 2 3 4 Pierrick Baudais, « Qui est Gabriel Attal, le futur porte-parole de la République en marche ? », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
  32. Martine Bréson, « Législatives 2017 : qui est Gabriel Attal le nouveau député REM des Hauts-de-Seine ? », sur francebleu.fr, (consulté le ).
  33. 1 2 « Résultats des élections législatives 2017 Hauts-de-Seine - 10ème circonscription », sur lexpress.fr (consulté le )
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  35. Yann Guégan et Diane de Fortanier, « Les tribus du groupe La République en marche à l'Assemblée nationale », sur contexte.com, (consulté le ).
  36. « Gabriel Attal, jeune loup de la macronie et benjamin du gouvernement », sur lepoint.fr, (consulté le ).
  37. « « Un honneur » : le député Gabriel Attal sera le porte-parole de LREM », sur France Info, .
  38. Cyrielle Cabot, « La République en Marche réorganise sa structure interne », sur bfmtv.com, (consulté le ).
  39. Alexandre Lemarié, « Quatre candidats pour la tête du groupe LRM à l’Assemblée nationale », sur lemonde.fr, (consulté le ).
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  44. Gabriel Gabriel, « Mauvais critères= mauvais classement. Il favorise les députés d'opposition qui font de l'obstruction et les députés majoritaires qui ont pu être rapporteur d'un texte (c'est mon cas). Les amendements qu'on a signés ont été préparés avec nos collègues du groupe La République en marche qui bossent autant que nous », sur Twitter, (consulté le ).
  45. « Gabriel Attal : « Il faudra être très vigilant sur la rentrée 2018 à l'université » », sur Le Monde (consulté le ).
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  63. « Remaniement : Gabriel Attal nommé ministre de l'Éducation nationale », sur BFMTV (consulté le ).
  64. Astrid de Villaines, Émilie Garcia et Jade Toussay, « Gabriel Attal ministre de l’Éducation nationale, itinéraire d’un surdoué de la politique », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  65. « Décrets, arrêtés & circulaires : présidence du Conseil », Journal officiel de la République française, no 131, , p. 5955 (lire en ligne)

Liens externes