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Guer
Guer
Le château de Coëtbo.
Blason de Guer
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité De l'Oust à Brocéliande Communauté
Maire
Mandat
Jean-Luc Bléher
2020-2026
Code postal 56380
Code commune 56075
Démographie
Gentilé Guérois, Guéroise
Population
municipale
6 079 hab. (2020 en diminution de 3,39 % par rapport à 2014)
Densité 117 hab./km2
Population
agglomération
6 141 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 54′ 17″ nord, 2° 07′ 09″ ouest
Altitude Min. 18 m
Max. 155 m
Superficie 52,11 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Guer
(ville isolée)
Aire d'attraction Guer
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Guer
(bureau centralisateur)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel de la ville de Guer

    Guer [ɡɛʁ] (Gwern-Porc'hoed en breton) est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne.

    Géographie

    Situation

    La commune de Guer comprend quatre parties : Guer-Coëtquidan, Saint-Raoul, La Telhaie et Bellevue-Coëtquidan où l'on trouve les écoles militaires de Saint-Cyr-Coëtquidan, situées à cheval sur la commune voisine de Saint-Malo-de-Beignon.

    Guer est limitrophe de la forêt de Paimpont, souvent identifiée comme la mythique forêt de Brocéliande, où se trame la légende de Merlin l'enchanteur, de la fée Morgane et de la fée Viviane.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Guer
    Beignon, Saint-Malo-de-Beignon Plélan-le-Grand, Loutehel (Ille-et-Vilaine)
    Porcaro Guer Val d'Anast, Les Brulais
    Monteneuf Carentoir Comblessac

    Hameaux, lieux-dits et écarts

    • Bellevue-Coëtquidan
    • La Houssaye[1]
    • La Telhaie
    • Saint-Raoul

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 812 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1992 à 2020 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records GUER (56) - alt : 47 m 47° 54′ 06″ N, 2° 07′ 00″ O
    Statistiques établies sur la période 1992-2010 - Records établis sur la période du 01-03-1992 au 31-12-2020
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,9 2,8 3,9 5,4 8,8 11,4 13 13 10,2 8,2 5 2,7 7,3
    Température moyenne (°C) 6,1 6,7 8,7 10,8 14,4 17,5 19 19,1 16,3 12,8 8,8 5,9 12,2
    Température maximale moyenne (°C) 9,2 10,6 13,4 16,2 20 23,5 25,1 25,3 22,3 17,5 12,6 9,2 17,1
    Record de froid (°C)
    date du record
    −12
    02.01.1997
    −9
    11.02.12
    −9
    01.03.05
    −4
    11.04.03
    −1,2
    06.05.19
    4
    01.06.06
    6
    30.07.15
    5,4
    13.08.19
    2
    24.09.03
    −5
    30.10.1997
    −7,5
    29.11.10
    −8,5
    31.12.1996
    −12
    1997
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    19,5
    27.01.03
    22,7
    27.02.19
    25
    20.03.05
    29
    30.04.05
    32
    30.05.03
    37
    23.06.05
    38,7
    23.07.19
    41
    09.08.03
    33,5
    06.09.06
    30,5
    02.10.11
    22,1
    07.11.15
    18
    19.12.15
    41
    2003
    Précipitations (mm) 94,8 67,8 65,6 61,9 74,4 46,3 51,5 34,5 63 94,4 89,9 99,4 843,5
    Source : « Fiche 56075001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Entre 2003 et 2022, Guer a détenu le record de la température la plus chaude jamais enregistrée dans la région Bretagne : 41 °C le [9].

    Urbanisme

    Typologie

    Guer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Guer, une unité urbaine monocommunale[13] de 6 192 habitants en 2017, constituant une ville isolée[14],[15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guer, dont elle est la commune-centre[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 9 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

    Occupation des sols

    Le tableau ci-dessous présente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 8,9 % 462
    Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 1,8 % 96
    Équipements sportifs et de loisirs 0,05 % 3
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 32,5 % 1690
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 6,3 % 327
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 30,4 % 1581
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 2,4 % 124
    Forêts de feuillus 3,6 % 189
    Forêts de conifères 8,8 % 457
    Forêts mélangées 5,3 % 274
    Source : Corine Land Cover[18]

    Toponymie

    Attestée sous les formes Wern en 836, Guern au XIIe siècle[19].

    « Guer » est issue du mot breton Gwern issu du mot gaulois verno que l'on retrouve toujours en gallois sous la forme Gwernin signifiant « aulnes », mais en breton, gwern peut également signifier le « marais », l'un n'excluant pas l'autre, l'aulne est un arbre qui aime beaucoup l'humidité, et qu'on trouve fréquemment au bord des marais. Ce nom de lieu a par la suite perdu son -n final.

    Gwern Porc'hoet en breton : Porc'hoet permet de différencier Guer de Guern, autre commune du Morbihan.

    Histoire

    Ancien Régime

    La paroisse de Guer naquit au VIIe siècle sous l'impulsion de saint Malo et d'un monastère breton. Cette paroisse fit partie d'ailleurs de l'ancien évêché d'Alet-Saint-Malo, qui fut supprimé à la Révolution française ; elle se situait plus précisément dans le doyenné du Porhoët.

    Guer accueillait autrefois (XVIIIe siècle) plusieurs foires tout au long de l'année : la veille de la mi-carême en mars, à la Saint-Marc, le 25 avril, à la Saint-Atanaze, le 2 mai, à la Saint-Grégoire, le 9 mai, à la mi-août (16 août), la grande Saint-Michel, le 29 septembre et la petite Saint-Michel, le 16 octobre, le mercredi d'après la Toussaint et le lendemain de la Saint-Thomas, le 6 décembre.

    Révolution française

    Lors des États généraux de 1789, le cahier de doléances de la ville demande que Guer soit pris pour « chef lieu d'un district considérable, eu égard à sa population et à sa distance de toutes villes voisines »[20].

    Le XIXe siècle

    Le XXe siècle

    La Belle Époque

    Un décret du Président de la République en date du attribue, à défaut de bureau de bienfaisance, les biens ayant appartenu à la fabrique de Guer et actuellement placés sous séquestre à la commune de Guer[21].

    • Alignement de tentes au camp de Coëtquidan vers 1912.
      Alignement de tentes au camp de Coëtquidan vers 1912.
    • Le camp de Coëtquidan vers 1914 : départ de l'artillerie pour le tir.
      Le camp de Coëtquidan vers 1914 : départ de l'artillerie pour le tir.

    Première Guerre mondiale

    Durant la Première Guerre mondiale, le camp de Coëtquidan a servi de camp de prisonniers et de camp d'entraînement.

    • Camp de prisonniers à Coëtquidan en 1915.
      Camp de prisonniers à Coëtquidan en 1915.
    • Camp de prisonniers à Coëtquidan en 1915.
      Camp de prisonniers à Coëtquidan en 1915.
    • Camp de prisonniers à Coëtquidan en 1915.
      Camp de prisonniers à Coëtquidan en 1915.
    • Vue généale du camp de Coëtquidan en 1919.
      Vue généale du camp de Coëtquidan en 1919.

    L'Entre-deux-guerres

    • Grandes manœuvres de Coëtquidan, passage de véhicules blindés [White TBC], septembre 1922.
      Grandes manœuvres de Coëtquidan, passage de véhicules blindés [White TBC], septembre 1922.
    • Camp de Coëtquidan en 1929 : avion militaire Potez XV.
      Camp de Coëtquidan en 1929 : avion militaire Potez XV.

    Seconde Guerre mondiale

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, une division polonaise en formation a séjourné au camp d' à .

    Après le débarquement de juin 1944, les résistants cachés dans le manoir de Saint-Gurval[22],[23] se sont affrontés aux supplétifs de la Gestapo du Bezen Perrot.

    Des prisonniers de guerre allemands se trouvent internés dans le camp de Coëtquidan en 1946 et 1947.

    • Le camp de la formation de l'armée polonaise à Coetquidan en France en 1939-1940, vue générale.
      Le camp de la formation de l'armée polonaise à Coetquidan en France en 1939-1940, vue générale.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1947 1958 Victor Molac[alpha 5] DVD Médecin
    Conseiller général de Guer (1928 → 1940 puis 1945 → 1958)
    1958 mars 1959 Pierre Prévert
    mars 1959 1963 René Le Toquin
    1963 mars 1971 Félix Régent[alpha 6] - [25] Agriculteur, maire honoraire
    Deuxième adjoint (1959 → 1963)
    mars 1971 novembre 1982[26] Joseph Coudray[alpha 7] DVD puis
    UDF-CDS
    Retraité de la fonction publique, ancien chef de bataillon
    Conseiller général de Guer (1970 → 1982)
    Décédé en fonction
    décembre 1982 mars 2001 Gurval Colléaux UDF-CDS Directeur de collège privé et professeur
    Conseiller général de Guer (1982 → 1994)
    Président de la CC du Pays de Guer (1994 → 2001)
    mars 2001 En cours
    (au 19 janvier 2021)
    Jean-Luc Bléher UDF puis UMP
    puis AC-UDI
    puis LREM
    RE
    Ancien SGS du conseil général d'Ille-et-Vilaine
    Premier adjoint (1995 → 2001)
    Président de Guer Communauté (2001 → 2016)
    Président de la CC De l'Oust à Brocéliande Communauté (2017 → )
    Suppléant du député Loïc Bouvard (2002 → 2007)
    Réélu en 2008, 2014 et 2020[27]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

    En 2020, la commune comptait 6 079 habitants[Note 6], en diminution de 3,39 % par rapport à 2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    4 8504 8963 4653 9733 4883 8603 7733 9603 956
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 9743 3433 3273 3813 3713 4763 5443 5633 547
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 8023 4733 5433 3893 6563 6316 9896 8276 934
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    5 4285 7575 9225 6575 7945 5606 1746 3696 174
    2014 2019 2020 - - - - - -
    6 2926 0916 079------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    Emploi

    Entreprises et commerces

    • Agroalimentaire : Mix Buffet, fabricant de salades composées, plus de 1 000 salariés.
    • Transports routier de voyageurs: Entreprise des Transports Herviaux créée en 1934 par François Herviaux, devenue en 2016 Linevia par fusion de plusieurs sociétés, entre 100 et 250 salariés.
    • Photographe : actif en 1974 Yvon Ristori ancien de l'École nationale de photographie et cinématographie dite de la rue de Vaugirard, Paris(promotion 67-69).

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Raoul.
    • Le château de la Ville-Huë : XIIIe, XVIIIe, XIXe et XXe siècles. Élégant château en pierre enduite sous ardoises composé du vieux logis dans sa partie Nord (XIIIe siècle), d'un corps principal, élevé sur deux étages, formant façade orientée sud - sud-ouest flanqué de deux tours (XIXe siècle). Le château a été ravagé par les flammes à la suite de l'incendie du . Il a été reconstruit à l'identique dans la foulée avec des modifications de distribution à l'intérieur et une toiture inférieure de près de 2,50 m pour des raisons d'économies. Le château est sis au milieu d'un agréable parc planté d'arbres centenaires. La même famille habite le château depuis sa fondation. La légende de la Ville-Huë dit que « Monsieur de PORCARO, vient tous les soirs, pendant la période de chasse, avec son costume de chasseur et ses chiens, sur la Lande Saint-Jean. On le voit rôder autour de la chapelle Saint-Jean sans essayer d'y entrer. Il n'y fait aucun bruit et à l'aurore il disparaît. On dit qu'il y fait son purgatoire ».
    • Le château de Coëtbo, manoir depuis le XVe siècle, L'édifice actuel est le résultat d'une reconstruction progressive à partir de 1620. Château, avec ses communs, la conciergerie, la chapelle, le pigeonnier ainsi que le jardin avec ses terrasses et leurs escaliers classé au titre des monuments historiques par arrêté du [32].
    • La chapelle Saint-Étienne, édifice construit à l'époque carolingienne avec des matériaux et peut-être une partie du soubassement datant de l'époque gallo-romaine, et faisant l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par arrêté du [33]
    • Le village de Saint-Nicolas possède une croix située devant la chapelle, inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du [34].
    • Une parcelle contenant des vestiges d'un édifice gallo-romain, située sur le lieu-dit Saint-Étienne, classé au titre des monuments historiques par arrêté du [35]
    • Église Notre-Dame.
    • Église Saint-Gurval.
    • Église Saint-Raoul.
    • Académie militaire de Saint-Cyr Coëtquidan et son musée.
    • L'oratoire Notre-Dame-de-Grottais, construit par un architecte italien en 1946, dans un style unique en la région.

    Héraldique

    Les armoiries de Guer se blasonnent ainsi : « D’azur à sept macles d’or posées trois, trois et un, au franc-canton brochant d’argent fretté de huit pièces de gueules. »

    (Armes de la famille de Guer : ramage de Le Sénéchal de Carcado, brisées d’un franc-canton).

    Personnalités liées à la commune

    • Plusieurs membres de la famille de Guer furent marquis de Pontcallec, dont Clément-Chrysogone de Guer, un des responsables de la Conspiration de Pontcallec.
    • Famille Huchet.
    • Paul Molac, professeur au lycée-collège de Brocéliande à Guer depuis 1990, président du Conseil culturel de Bretagne depuis 2009, député autonomiste UDB et secrétaire de la commission des lois à l'Assemblée nationale depuis 2012.
    • Louis Roger (1928-2018), artiste peintre, fresquiste, illustrateur, graveur, cinéaste mort dans la commune.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    1. Zéphirien Marie Le Gal, né le à Josselin, décédé le à Guer.
    2. Eugène Charles François de la Foye, né le à Wetzlar (Saint-Empire), décédé le à Guer.
    3. Auguste Henri Louis Carouge, né le à Dol, décédé vers 1909.
    4. Louis Marie Joseph de Raguenel de Montmorel, né le à Paramé, décédé le à Guer.
    5. Victor Molac, né en 1894, décédé le à Guer.
      Distinctions : Chevalier de la Légion d'honneur, Croix de guerre 1914-1918
    6. Félix Jacques Régent, né le à la Gouraie en Guer, décédé le à Guer.
    7. Joseph Marie Coudray, né le à Monteneuf, décédé le à l'hôpital Ambroise-Paré de Rennes.

    Références

    1. Pol Potier de Courcy, Nobiliaire et armorial de Bretagne, t.II, 1890, p.143 : Laillé (de), sr de la Houssaye, par. de Guer. Réf. et montres de 1479 a 1513, dite par., ev. de Saint-Malo. « D’argent à trois pots ou orceaux de sable » (Sceau de 1404).
    2. 1 2 Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le ).
    8. « Fiche du Poste 56075001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. Jacques Chanteau, « En Bretagne, le record de chaleur va-t-il tomber cette semaine ? », Journal Le Télégramme, (lire en ligne, consulté le ).
    10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Unité urbaine 2020 de Guer », sur insee.fr (consulté le ).
    14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Guer », sur insee.fr (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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    Voir aussi

    Bibliographie

    • Michel Petit, « Sépultures du Bas-Empire à Guer », Annales de Bretagne, no 77, , p. 273–278.

    Articles connexes

    Liens externes