Naissance | |
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Nationalité | |
Formation |
Faculté des lettres de Paris (doctorat) (jusqu'en ) |
Activités |
A travaillé pour |
Université Cornell European Graduate School Université Paris-VIII |
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Directeur de thèse |
Roger Asselineau (d) |
Genres artistiques | |
Influencée par | |
Distinctions | Liste détaillée Prix Médicis () Commandeur de l'ordre national du Mérite () Officier de la Légion d'honneur () Commandeur des Arts et des Lettres () Prix Francine-et-Antoine-Bernheim pour les arts, les lettres et les sciences () Médaille Justus-Möser () Docteur honoris causa de l'université de Georgetown Docteure honoris causa de l'université d'York Docteur honoris causa de l'université Queen's Docteur honoris causa de l'université de St Andrews Prix de la langue française Docteur honoris causa de l'université de l'Alberta Prix du Syndicat de la critique Docteur honoris causa de l'University College de Londres |
La Venue à l'écriture (d) |
Hélène Cixous, née le à Oran en Algérie[1], est une écrivaine et dramaturge française. En 1968, elle publie chez Grasset L'Exil de James Joyce ou L'art du remplacement qui connaît un vif succès, et Dedans (Grasset, 1969), pour lequel elle obtient le prix Médicis.
Hélène Cixous est l'autrice de nombreuses pièces écrites pour le Théâtre du Soleil, et sa collaboration avec Ariane Mnouchkine dure depuis 1984. Cofondatrice du Centre universitaire de Vincennes, elle y crée en 1974 le premier centre d'études féminines dans une université européenne. Son essai Le Rire de la Méduse (1975) est considéré comme une œuvre déterminante du féminisme moderne.
Biographie
Hélène Cixous est née à Oran d'un père médecin (Georges Cixous, également né en Algérie, 1908-1948), et d'une mère allemande (Ève Klein, réfugiée, 1910-2013, sage-femme)[1].
Sa famille laïque (de tradition juive, ashkénaze par la mère, séfarade par le père) quitte l'Algérie en 1954.
Mariée en 1955 à Guy Berger, elle donne naissance à trois enfants, Georges (1959-1961), Anne-Emmanuelle (1960), Stéphane (1961).
Carrière universitaire
Hélène Cixous est reçue à l'agrégation d'anglais en 1959. Proche de Jean-Jacques Mayoux, elle rédige une thèse sur James Joyce[2] et obtient un doctorat ès lettres en 1968.
En 1969, elle participe à la fondation de la revue Poétique, avec Tzvetan Todorov et Gérard Genette.
Elle est à l'origine, avec Raymond Las Vergnas, de la création du centre universitaire de Vincennes, après Mai 68[2],[3]. Elle obtient un poste de professeur et fonde en 1974 le Centre d'études féminines et d'études de genre[4], pionnier en Europe.
À partir de 1983, elle anime un séminaire au Collège international de philosophie.
Carrière littéraire
À partir de 1967, Hélène Cixous publie une œuvre considérable, composée d'une soixantaine de titres essentiellement parus aux éditions Grasset, Gallimard, Des femmes et Galilée. Elle est en outre dramaturge et ses pièces sont mises en scène par Simone Benmussa au théâtre d'Orsay, par Daniel Mesguich au Théâtre de la Ville et par Ariane Mnouchkine au Théâtre du Soleil[2].
Elle publie des textes sur Jacques Derrida et sur James Joyce, mais aussi sur les œuvres de Clarice Lispector, qu’elle contribue à faire connaître en France[5], Maurice Blanchot, Franz Kafka, Heinrich von Kleist, Montaigne, Ingeborg Bachmann, Thomas Bernhard, Marina Tsvetaeva, Jean Genet et Samuel Beckett.
Elle a beaucoup écrit sur l'œuvre d'artistes, tels Simon Hantaï, Pierre Alechinsky, ainsi que deux livres sur Adel Abdessemed.
Elle est la marraine la Société européenne des auteurs et traducteurs.
Elle reçoit le prix Marguerite-Yourcenar 2016[6].
En 2020, la fondation prince Pierre de Monaco a décerné le prix de la principauté à Hélène Cixous[7].
Engagement militant et amitié avec Derrida
Pour Télérama,
« Elle a partagé toutes les “guerres de libération” : celle de l’Algérie, pays où elle est née, celle de l’université, minée par les archaïsmes, celle des femmes, alors sous la coupe masculine. Avoir été jeune dans cette décennie, dit-elle, était une chance…[2] »
En 1963, Hélène Cixous rencontre Jacques Derrida, avec lequel elle entretient une longue amitié et partage de nombreuses activités à la fois politiques et intellectuelles, comme la création de l'université Paris-VIII, le Centre national des lettres (aujourd'hui Centre national du livre) — 1981-1983 —, le Parlement international des écrivains, le Comité anti-apartheid, des colloques, ou encore des séminaires au Collège international de philosophie. Ils partagent certaines publications communes ou croisées, comme Voiles, avec des dessins d'Ernest Pignon-Ernest, (Galilée, 1998), Portrait de Jacques Derrida en jeune saint juif (Galilée, 2001), H.C. pour la vie, c’est à dire… (Galilée, 2002). Derrida, quant à lui, voit en Hélène Cixous le plus grand écrivain vivant de langue française.
La Bibliothèque nationale
En 2000, un fonds à son nom est créé par la Bibliothèque nationale de France, après qu'Hélène Cixous y a fait don de la totalité de ses manuscrits à ce jour. Ils sont présentés dans l'exposition «Brouillons d'écrivains» qui s'y est tenue en 2001.
En 2003, la BnF organise la conférence « Genèses Généalogies Genres : Autour de l’œuvre d'Hélène Cixous ». Parmi les intervenants figurent Mireille Calle-Gruber, Marie-Odile Germain, Jacques Derrida, Annie Leclerc, Ariane Mnouchkine, Ginette Michaud et Hélène Cixous elle-même.
Films
En 1989, Cixous et Mnouchkine collaborent au film La Nuit miraculeuse, commandé par l'Assemblée nationale pour le bicentenaire de la Déclaration des droits de l'homme (diffusé sur FR 3, le 7 décembre 1989).
Entre 2012 et 2018, Hélène Cixous participe à la réalisation du film documentaire d'Olivier Morel, Ever, Rêve, Hélène Cixous[8] (118 minutes, 2018), qui lui est entièrement consacré.
Engagements
Hélène Cixous est membre du Comité d'honneur de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD)[9].
En 2020, elle fait partie des premières personnalités à répondre à l'appel de Laurent Joffrin ayant l'intention de lancer un mouvement pour la « refondation d’une gauche réaliste, réformiste »[10].
Œuvre
Fiction
- Le Prénom de Dieu (Grasset, 1967)
- Dedans (Grasset, 1969) prix Médicis
- Le Troisième Corps (Grasset, 1970)
- Les Commencements (Grasset, 1970)
- Neutre (Grasset, 1972)
- Tombe (Seuil, 1973, 2008)
- Portrait du Soleil (Denoël, 1974)
- Révolutions pour plus d'un Faust (Seuil, 1975)
- Souffles (Des femmes, 1975)
- Partie (Des femmes, 1976)
- La (Gallimard, 1976)
- Angst (Des Femmes, 1977)
- Anankè (Des femmes, 1979)
- Illa (Des femmes, 1980)
- Limonade tout était si infini (Des femmes, 1982)
- Le Livre de Prométhéa (Gallimard, 1983)
- Déluge (Des femmes, 1992)
- Beethoven à jamais ou l'Existence de Dieu (Des femmes, 1993)
- La Fiancée juive de la tentation (Des femmes, 1995)
- OR, les lettres de mon père (Des femmes, 1997)
- Osnabrück (Des femmes, 1999)
- Le Jour où je n'étais pas là (Galilée, 2000)
- Les Rêveries de la femme sauvage (Galilée, 2000)
- Manhattan (Galilée, 2002)
- Rêve je te dis (Galilée, 2003)
- Tours promises (Galilée, 2004)
- Rencontre terrestre, en collaboration avec Frédéric-Yves Jeannet (Galilée, 2005)
- L'Amour même : dans la boîte aux lettres (Galilée, 2005)
- Hyperrêve (Galilée, 2006)
- Si près (Galilée, 2007)
- Cigüe : vieilles femmes en fleurs (Galilée, 2008)
- Philippines : prédelles (Galilée, 2009)
- Ève s'évade : la ruine et la vie (Galilée, 2009)[11]
- Double oubli de l'Orang-Outang (Galilée, 2010)
- Homère est morte (Galilée, 2014)[12]
- Gare d'Osnabrück à Jérusalem (Galilée, 2016)[13]
- 1938, nuits, Éditions Galilée, Paris, 2019, collection Lignes fictives, 146 pages (ISBN 978-2-7186-0981-2)
- Ruines bien rangées (Gallimard, 2020)
- Rêvoir (Gallimard, 2021)
- Animal amour (Bayard, 2021)
- Mdeilmm (Gallimard, 2022)
- Incendire (Gallimard, 2023)
Essais
- L’Exil de James Joyce ou L'art du remplacement (Grasset, 1968)
- Prénoms de Personne (Seuil, 1974)
- La Jeune Née, en collaboration avec Catherine Clément, (U.G.E., 1975)
- Un K incomprehensible : Pierre Goldman (C. Bourgois, 1975)
- Le Rire de la Méduse (L'Arc, 1975 - rééd. Galilée, 2010)
- La Venue à l’écriture (U.G.E., 1977)
- Entre l’écriture (Des femmes, 1986)
- L'Heure de Clarice Lispector (Des femmes, 1989)
- Karine Saporta, en collaboration avec Daniel Dobbels et Bérénice Reynaud, (éditions Armand Colin, 1990) (ISBN 978-2200372064)
- Hélène Cixous, photos de racines (avec Mireille Calle-Gruber, Des femmes, 1994)
- Voiles (avec Jacques Derrida, Galilée, 1998)
- Portrait de Jacques Derrida en jeune saint juif (Galilée, 2001)
- Le Voisin de zéro : Sam Beckett (Galilée, 2007)
- Entretien de la blessure, sur Jean Genet (Galilée, 2011)
- Abstracts et brèves chroniques du temps. I. Chapitre Los (Galilée, 2013)
- Ayaï ! Le Cri de la littérature (Galilée, 2013)
- Une autobiographie allemande, en collaboration avec Cécile Wajsbrot (Christian Bourgois, 2016)
- Les Sans Arche d’Adel Abdessemed (Gallimard, 2018)
- Défions l'augure (Galilée, 2018)
- Nacres, cahier (Galilée, 2019)
- Lettres de fuite. Séminaire 2001-2004 (Gallimard, 2020)
- Lettres dans la forêt, avec Cécile Wajsbrot (L'Extrême Contemporain, 2022)
- Il faut bien aimer. Séminaire 2004-2007 (Gallimard, 2023)
Théâtre
- La Pupille (Cahiers Renaud-Barrault, 1971)
- Portrait de Dora (Des femmes, 1975) Mise en scène, scénographie, décor et costumes de Simone Benmussa. Création au Théâtre d'Orsay, Paris (saison 195/76). - Londres 1979.
- La Prise de l'école de Madhubaï (Avant-Scène, 1984)
- L’Histoire terrible mais inachevée de Norodom Sihanouk, roi du Cambodge (Théâtre du Soleil, 1985; nouvelle édition corrigée 1987)
- L’Indiade, ou l’Inde de leurs rêves, et quelques écrits sur le théâtre (Théâtre du Soleil, 1987)
- Les Euménides d’Eschyle (traduction, Théâtre du Soleil, 1992)
- La Ville parjure ou le réveil des Erinyes (Théâtre du Soleil, 1994)
- Et soudain, des nuits d'éveil (Théâtre du Soleil, 1997)
- Tambours sur la digue, sous forme de pièce ancienne pour marionnettes jouée par des acteurs (Théâtre du Soleil, 1999)
- Rouen, la Trentième Nuit de Mai '31 (Galilée, 2001)
- Les Naufragés du Fol Espoir (Théâtre du soleil, 2010)
- La Fiancée aux yeux bandés (réécriture d'Hamlet, CNSAD, 2011)
- Une chambre en Inde (cocréation avec la troupe du Théâtre du Soleil, 2016)
- L'Île d'Or (cocréation avec la troupe du Théâtre du Soleil, 2021)
Articles (sélection)
- « Cela n'a pas de nom, ce qui se passait », Le Débat, vol. 41, no 4, , p. 153-158 (lire en ligne).
- « Vols d’aveugle autour d’une librerie », Études françaises, vol. 38, nos 1-2, , p. 263-275 (lire en ligne).
- « Ça promet », Lignes, vol. 47, no 2, , p. 142-161 (lire en ligne).
- « Lettre à Adel Abdessemed », Études françaises, vol. 51, no 2, , p. 37-45 (lire en ligne).
- « Quand H. C. essaie de s’excuser... », Études françaises, vol. 51, no 2, , p. 207-212 (lire en ligne).
Prix et récompenses
- 1969 : Prix Médicis pour Dedans
- 2010 : Prix du Syndicat de la critique 2009 : meilleure création d'une pièce en langue française pour Les Naufragés du Fol Espoir (Aurores)
- 2014 : Prix Marguerite-Duras
- 2014 : Prix de la langue française[14]
- 2016 : Prix Marguerite-Yourcenar
- 2017 : Prix Bernheim
- 2018 : Grand prix du théâtre de l'Académie française
- 2021 : Prix de la BnF pour l'ensemble de son œuvre[15]
Docteur honoris causa
Hélène Cixous est docteure honoris causa de plusieurs universités :
- Université Queen's à Kingston (Canada)
- Université d'Edmonton (Canada)
- Université d'York (Angleterre)
- Université de Georgetown (Washington)
- Université Northwestern de Evanston, Illinois
- Université de St Andrews (Écosse)
- University College de Londres (Angleterre)
- University College Dublin (Irlande)
- « Professor honoris causa » : université de Cardiff (Pays de Galles) ; université du Sussex (Angleterre)
- Andrew White Professor at large : université Cornell (Ithaca, État de New York)
Décorations
- 2009 : Commandeur de l'ordre national du Mérite[16]. Officier du .
- 2014 : Officier de la Légion d'honneur[17]. Chevalier du .
- 2016 : Commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres[18].
Notes et références
- 1 2 Encyclopædia Universalis, « Hélène Cixous », sur Encyclopædia Universalis (consulté le ).
- 1 2 3 4 « Hélène Cixous : “En 68 encore, il n’y avait pas de femmes dans le mouvement” - Idées - Télérama.fr », sur www.telerama.fr (consulté le )
- ↑ Voir sur ipt.univ-paris8.fr.
- ↑ « Site officiel du Centre d'études féminines-Paris VIII. » (consulté le )
- ↑ Jean Larose, « Le temps d'une voix », Études françaises, vol. 17, nos 3-4, , p. 87-96 (lire en ligne)
- ↑ Antoine Oury, « Le Prix Marguerite Yourcenar remis à Hélène Cixous », sur www.actualitte.com, (consulté le ).
- ↑ Raphaël Brun, « Hélène Cixous : « Ce confinement ranime en moi d’innombrables lectures » - Monaco Hebdo », (consulté le )
- ↑ (fr + en) « Cixous », sur evercixousmovie.com, (consulté le )
- ↑ « Hélène Cixous - purple MAGAZINE », sur Purple (consulté le )
- ↑ Philippe Martinat, L’initiative politique de Laurent Joffrin accueillie fraîchement au PS, leparisien.fr, 20 juillet 2020
- ↑ « Ève s'évade, Hélène Cixous », sur www.telerama.fr (consulté le )
- ↑ http://www.editions-galilee.fr/images/3/p_9782718609096.pdf
- ↑ http://www.editions-galilee.fr/images/3/p_9782718609379.pdf
- ↑ Marie-Christine Imbault, « Hélène Cixous reçoit le Prix de la langue française », sur Livres Hebdo, (consulté le )
- ↑ « Le prix de la BnF remis à l’essayiste Hélène Cixous », sur LEFIGARO, lefigaro, (ISSN 0182-5852, consulté le ).
- ↑ Décret du 13 novembre 2009 portant promotion et nomination
- ↑ Décret du 11 juillet 2014 portant promotion et nomination
- ↑ Arrêté du 13 septembre 2016 portant nomination dans l'ordre des Arts et des Lettres.
Voir aussi
Bibliographie
- Florence Rochefort, « Cixous (Hélène) », dans Jacques Julliard et Michel Winock (dir.), Dictionnaire des intellectuels français : les personnes, les lieux, les moments, Paris, Le Seuil, (ISBN 978-2-02-099205-3), p. 315
- Véronique Bergen, Hélène Cixous. La langue plus-que-vive, éd. Honoré Champion, 2017
- Roman 20-50, « Osnabrück et Si près d’Hélène Cixous », Maxime Decout (dir.), no 63,
- Mireille Calle-Gruber, « L’essai comme forme de réécriture : Cixous à Montaigne », Études françaises, vol. 40, no 1, , p. 29-42 (lire en ligne)
- Hélène Cixous : croisées d'une œuvre, sous la dir. de Mireille Calle-Gruber, colloque des 22- à Cerisy-la-Salle, Paris, Galilée, 2000 (dont une intervention de Jacques Derrida et un dialogue entre Cixous et Ariane Mnouchkine ; sur le site ccic-cerisy.asso.fr, consulté le 21 février 2020)
- Jean Larose, « Le temps d'une voix », Études françaises, vol. 17, nos 3-4, , p. 87-96 (lire en ligne)
- Ginette Michaud, Battements – du secret littéraire. Lire Jacques Derrida et Hélène Cixous. Volume 1 et Comme en rêve. Lire Jacques Derrida et Hélène Cixous. Volume 2, coll. « Le Bel Aujourd'hui », Éditions Hermann, 2010.
- Ginette Michaud, « Soi disant sujet, ou ‘‘La fiction suit son cours’’ : autour de Double Oubli de l’Orang-Outang d’Hélène Cixous », Études françaises, vol. 48, no 2, , p. 147-163 (lire en ligne)
- Alice Michaud-Lapointe, « ‘‘Un pays, une langue, une ville ?’’ : Mémoire(s) torsadée(s) et ‘‘zones frontières’’ de l’autobiographie dans Une autobiographie allemande et Gare d’Osnabrück à Jérusalem d’Hélène Cixous », Études françaises, vol. 54, n° 3, 2018, p. 131-14 (lire en ligne).
- Keling Wei, « Écrire vers l’Algérie : Camus, Cixous, Derrida », Études françaises, vol. 52, no 1, , p. 147-163 (lire en ligne)
- (en) Hélène Cixous: Critical Impressions, ouvrage collectif dirigé par Lee A. Jacobus, Regina Barreca, Routledge, 1999
Articles connexes
- Féminisme
- Écriture féminine
- French theory
- Critique féministe littéraire
Liens externes
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- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Angèle Paoli, « 5 juin 1937/ Naissance d’Hélène Cixous », Terres de femmes, 5 juin 2006
- Angèle Paoli, « Hélène Cixous/Petites érinyes de la conscience », Terres de femmes, 13 décembre 2004
- Arnaud Spire, « Hélène Cixous ou l'art du dévoilement », L'Humanité, 15 avril 1999
- Entretien avec Hélène Cixous recueilli par Frédéric-Yves Jeannet sur Remue.net [PDF]
- (en) Strategies of Difference and Opposition, essai de Elmer G. Wiens sur le principe de l'« écriture féminine » chez Hélène Cixous