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Le Point
Image illustrative de l’article Le Point

Pays France
Zone de diffusion France
Langue Français
Périodicité Hebdomadaire, parution le jeudi
Genre Magazine d'actualité
Prix au numéro 5,90 €
Diffusion 294 456 (diffusion France payée) ex. (2021[1])
Fondateur Olivier Chevrillon, Claude Imbert, Jacques Duquesne, Pierre Billard, Georges Suffert, Henri Trinchet, Robert Franc, Philippe Ramond, Michel Bracciali
Date de fondation 1972 (il y a 51 ans)
Éditeur Sebdo 1, boulevard Victor
75015 Paris
Ville d’édition Paris

Propriétaire François Pinault via Artémis[2]
Directeur de publication Étienne Gernelle
Directeur de la rédaction Valérie Toranian
ISSN 0242-6005
ISSN (version électronique) 2271-0744
Site web www.lepoint.fr

Le Point est un magazine d'actualité hebdomadaire français, créé en 1972 par une équipe de journalistes venant essentiellement de L'Express et proches d'Olivier Chevrillon et de Claude Imbert. Son format s'inspire de celui du magazine américain Time.

Traditionnellement classé à droite, le journal ouvre ses pages à diverses opinions politiques (interviews, analyses, etc.). C'est l'un des cinq magazines d'actualité hebdomadaires de dimension nationale en France[3].

Depuis 1997, il appartient à 100 % au milliardaire François Pinault via sa holding Artémis. Son siège est situé à Paris.

Histoire

Le Point est fondé en 1972[4] par une équipe de journalistes qui avaient quitté, une année plus tôt, la rédaction en chef de L'Express, alors dirigé par Jean-Jacques Servan-Schreiber. Ils reprochaient à ce dernier d'avoir transformé cet hebdomadaire en son porte-parole exclusif. Le premier numéro du Point est consacré à Valéry Giscard d'Estaing, à l'époque ministre de l'Économie et des Finances dans le gouvernement du nouveau Premier ministre — Pierre Messmer ayant été nommé au mois de  — et intitulé Giscard au banc d'essai.

L'équipe fondatrice du Point est composée d'Olivier Chevrillon (PDG et éditorialiste), des journalistes : Claude Imbert, Jacques Duquesne, Pierre Billard, Georges Suffert, Henri Trinchet, Robert Franc, du responsable de la publicité et du marketing Philippe Ramond, et de l'administrateur Michel Bracciali. S'appuyant financièrement sur le groupe Hachette, dont le PDG est alors Simon Nora, cette équipe recrute au printemps 1972 des journalistes — jugés parmi les plus performants — à travers les grands titres de la presse parisienne.

Le Point mise d'alors sur sa capacité à renouveler le genre de l'hebdomadaire d'information, le « newsmagazine », du type Newsweek ou Time. En trois années, le journal réussit à atteindre l'équilibre financier puis à être largement bénéficiaire. Il est toujours dans ce modèle.

Son directeur de la publication est Étienne Gernelle, nommé en 2014[5].

En , Sébastien Le Fol est débarqué de son poste de directeur de la rédaction, remplacé par Valérie Toranian[6].

Actionnariats successifs

Après la victoire de la gauche aux élections de 1981, Le Point quitte le groupe Hachette, dont la nationalisation est évoquée ; l'équipe dirigeante craint d'y perdre son autonomie. Le journal intègre le groupe de cinéma Gaumont, présidé par Nicolas Seydoux[7].

En 1992, souhaitant se désengager de son investissement dans Le Point, Nicolas Seydoux cède ses parts à la Générale occidentale[8]. Un groupement d'intérêt économique « L'Express-Le Point » prend alors naissance pour gérer en particulier la publicité, source importante de revenus. Cet étrange attelage de deux hebdomadaires concurrents ne durera qu'un temps. En , la Compagnie générale d'électricité, devenue Alcatel-Alsthom, fait apport de ses activités de presse à CEP communication, une filiale d'Havas, groupe dont Alcatel (PDG : Serge Tchuruk) devient l'actionnaire principal.

Le , le journal est racheté pour près de 200 millions de francs par l'homme d'affaires François Pinault, PDG de la holding Artémis[9],[10] et présenté comme un proche de Jacques Chirac. Claude Imbert, en garant de la continuité du journal et de sa ligne, demeure l'un des éditorialistes principaux.

Dates clés

  • Le paraissait le premier numéro du magazine avec pour titre en une « Crise de régime », au prix de 3,50 francs[11].
  • En 1975, grâce à l'accroissement de son audience et de ses recettes publicitaires, Le Point atteint, dès sa troisième année, son seuil de rentabilité. Il compte 150 collaborateurs.
  • Le , la société Gaumont rachète 51 % du capital du Point à Hachette, l'actionnaire initial et devient ainsi l'actionnaire principal du journal.
  • En , après le départ d'Olivier Chevrillon, Jacques Duquesne, directeur adjoint de la rédaction, est nommé président-directeur général.
  • En 1988, Denis Jeambar, est nommé directeur de la rédaction.
  • En , La Générale occidentale, filiale d'Alcatel Alsthom qui possède entre autres L'Express, acquiert 40 % du capital. Elle devient actionnaire majoritaire du Point en . Création du groupement d'intérêt économique L'Express-Le Point.
  • Le , Le Point présente sa nouvelle formule : dos carré, nouvelle maquette, nouveau logo, format agrandi, prix en baisse. La diffusion du journal augmente régulièrement.
  • Le , lancement de la première édition ciblée du Point : « Le Point Grandes écoles et universités », suivie, en , par une édition Affaires en collaboration avec Business Week.
  • À l'été 1996, Denis Jeambar, directeur de la rédaction, quitte Le Point. Il est remplacé par Jean Schmitt.
  • En , Franz-Olivier Giesbert devient directeur du Point et Claude Imbert conserve l'éditorial. Michel Colomès (63 ans) est nommé directeur de la rédaction en remplacement de Jean Schmitt.
  • En , Le Point adopte une version rénovée de sa formule : nouveau logo, format élargi, pagination renforcée, nouvelles rubriques.
  • En , Étienne Gernelle (33 ans) est nommé directeur de la rédaction. Il succède à Michel Colomès (72 ans) à qui l'on a fait valoir ses droits à la retraite.
  • Le , Franz-Olivier Giesbert, poursuivi pour diffamation raciale et publique depuis un an (il sera condamné six jours plus tard[12]) annonce qu'il va quitter volontairement la présidence du Point, ne s'estimant plus « l'homme de la situation » (voir l'interview de Télérama du [13]). Il est remplacé par Étienne Gernelle, ancien directeur de la rédaction.
  • En , la directrice adjointe de la rédaction fait l'objet d'un licenciement pour faute grave, sans indemnités ni préavis. Selon son avocat, la procédure légale n'a pas été respectée parce que le motif du limogeage est « inavouable »[14].
  • En , le site d'information Mediapart publie plusieurs articles sur le traitement par Le Point d'informations reçues sur le financement par la Libye de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy de 2007 et sur des malversations criminelles liées à la construction de l'hôpital de Benghazi ; deux articles commandés par la rédaction, mis en page et payés n'auraient finalement pas été publiés[15],[16]. Le directeur du Point se défend de toute censure et accuse Mediapart de « complotisme »[17].

Transparence, Finances et Gestion

Actionnariat

Depuis 1997, il appartient à 100 % au milliardaire François Pinault.

Il contrôle Le Point via sa holding Artémis.

Direction

Le groupe Le Point ou Société d'Exploitation de l'Hebdomadaire Le Point est une société anonyme à conseil d'administration. Son siège social est situé dans le 15e arrondissement de Paris.

Depuis 2019, Le Point est dirigé par Renaud Grand Clément (PDG)[18].

Francois Claveri est le directeur général délégué[19].

Finances

Le Point fait preuve de peu de transparence sur son financement. Contrairement à d'autres journaux (Mediapart, Le Monde, etc.), il ne communique pas ses résultats financiers aux lecteurs.

Depuis 2018, ses données ne semblent d'ailleurs plus disponibles au registre du commerce.

En euros 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 2022
Chiffre d'affaires 80 373 700 79 416 100 67 820 500 70 090 400 Non disponible Non disponible Non disponible Non disponible Non disponible
Résultat d'exploitation -3 607 000 871 200 - 757 800 -1 836 100 Non disponible Non disponible Non disponible Non disponible Non disponible
Résultat net -12 064 800 1 029 500 307 600 -1 861 300 Non disponible Non disponible Non disponible Non disponible Non disponible

Dans le cadre des aides de l'État à la presse, Le Point reçoit environ 4,5 millions d'euros par an de subventions publiques[20],[21],[22], auxquelles s'ajoutent plusieurs subventions du ministère de la Culture et de la Communication[23].

Diffusion et ventes

Diffusion du Point par numéro[24]
Année Diffusion France payée Évolution annuelle Diffusion totale
(gratuits inclus)
1999 301 423[25] en augmentation 2,2 %[25] NC
2000 302 625[26] en augmentation 0,4 %[26] NC
2001 329 073[27] en augmentation 8,7 %[27] NC
2002 337 024[28] en augmentation 2,4 % NC
2003 350 088[29] en augmentation 3,9 % NC
2006 NC NC 408 931
2007 NC NC 443 956
2008 NC NC 443 738
2009 NC NC 434 745
2010 NC NC 429 650
2011 NC NC 430 086
2012 412 286 NC 432 813
2013 399 291 en diminution –3,2 % 417 940
2014 383 559 en diminution –3,9 % 401 171
2015 364 085 en diminution –5,1 % 380 222
2016 340 253 en diminution –6,5 % 355 586
2017 315 579 en diminution –7,3 % 330 602
2018 288 319 en diminution –8,7 % 301 722

Controverses

Une enquête du site Mediapart publiée en 2022 pointe les « très nombreuses informations erronées » publiées par Le Point « et presque jamais modifiées », accusant l’hebdomadaire de « tordre la déontologie, en censurant également des articles[30]. »

Parution d'un faux témoignage

En 2010, Le Point publie un dossier nommé « Immigration Roms, allocations, mensonges… Ce qu'on n'ose pas dire ».

Le site web Arrêt sur images rapporte alors que l'hebdomadaire a publié dans celui-ci un faux témoignage d'un homme qui s'est fait passer pour la troisième femme d'un Français polygame d'origine malienne qui souhaitait prouver que « les médias travaillent mal sur la banlieue »[31].

L'hebdomadaire précise de son côté que le faux-témoin « imitant avec talent la voix d'une femme africaine » s'était fait passer pour le fixeur de la prétendue femme[32]. Dans l’article, les journalistes laissaient croire qu’ils l’avaient rencontrée, décrivant une « jeune femme au joli visage légèrement scarifié de chaque côté des yeux[30].

Condamnations de Franz-Olivier Giesbert

En 2014, le directeur de la publication de l'hebdomadaire, Franz-Olivier Giesbert, est condamné à 1 500 euros d'amende pour « diffamation publique envers un groupe de personnes à raison de leur origine ou nationalité chinoise »[33].

Fausse « vidéo porno » à la mairie d’Asnières

Le , Le Point publie un article, rapidement repris dans les autres titres de la presse nationale, affirmant qu' «un film porno a été tourné à la mairie d’Asnières ». Pourtant, il s'avère que les images en question provenaient d’un montage et que les « scènes torrides » décrites par le journal n’ont pas été filmées en mairie[30].

L'auteur de l'article et rédacteur en chef du Point, Jérôme Béglé, et le directeur de l'hebdomadaire, Étienne Gernelle, sont condamnés après avoir été poursuivis en justice par l’ancien maire PS d’Asnières, Sébastien Pietrasanta. L’article incriminé reste cependant en ligne, sans modification. Surtout, selon Mediapart, « les condamnations dans la fausse affaire du “film porno” d’Asnières s’inscrivent dans un contexte particulier » puisque Jérôme Béglé est un ami du chef de l'opposition de droite de la ville, Manuel Aeschlimann, lequel est à l'origine de cette fausse information. La justice a ainsi relevé que « le journaliste, non seulement s’est contenté de donner foi, sans les vérifier et sans recueillir au préalable le point de vue de la partie civile, aux accusations de Manuel Aeschlimann, mais les a en outre assorties de commentaires ou d’expressions malveillants »[30].

Bernard Henry Levy vs Bernard Cassen

En , Bernard-Henri Lévy, chroniqueur au Point, attribue au journaliste du Monde diplomatique Bernard Cassen des propos antimusulmans tenus par le pamphlétaire d’extrême droite Pierre Cassen. L’hebdomadaire refuse la publication d’un droit de réponse[34]. Il est condamné à s’exécuter par la 17e chambre correctionnelle (jugement du ). Laquelle, soulignant « l’insuffisance de rigueur et la carence de fond », « la gravité et la virulence » de la diffamation, estime que « le bénéfice de la bonne foi ne saurait lui être accordé »[35]. Il impose au Point de payer 3 500 euros d’amende[35].

Jean-Marie Le Pen candidat

En , Le Point informe ses abonnés que Jean-Marie Le Pen se présentera à l'élection présidentielle de 2017.

L'information bidon provenait en réalité d'un canular généré par le site satirique Nordpresse[36].

Affaire Corbiere-Garrido

En , Le Point publie un article accusant les députés de la France Insoumise Alexis Corbière et Raquel Garrido d'employer illégalement une femme de ménage algérienne à qui ils « imposeraient des cadences infernales ».

Les députés accusés démentent et affirment qu'on tente de les salir.

Plusieurs journaux français relèvent les incohérences de l'enquête[37],[38],[39].

L'article est finalement retiré du site le lendemain de sa publication. Le directeur de publication du journal Étienne Gernelle présente ses excuses aux concernés et explique dans un communiqué que « des erreurs et manquements à la prudence avaient été commis »[40],[41].

Étienne Gernelle met à pied le journaliste Aziz Zemouri, qui a signé cet article [42] puis le convoque à un entretien préalable à un possible licenciement[43]. Aziz Zemouri, journaliste au Point, avait déjà été condamné en diffamation à 4 reprises[41].

Il porte ensuite plainte contre le président de l’UDI Jean-Christophe Lagarde et le policier Noam Anouar qu'il dit être à l’origine de ces fausses informations[44]. Le parquet ouvre une enquête pour escroquerie[43].

En 2021, Étienne Gernelle, directeur de publication du Point, et Aziz Zemouri avaient été condamnés à plusieurs milliers d'euros d'amende pour diffamation après avoir qualifiée de « call-girl » l'actrice Sand Van Roy dans un article et tenté de discréditer son témoignage dans l'affaire de viol l'opposant à Luc Besson[45].

Rédaction et activités

Journalistes

Depuis , la rédaction du Point est dirigée par Valérie Toranian, qui succède à Sébastien Le Fol[6].

Depuis 2014, le directeur de la publication est Étienne Gernelle.

Le Point compte plusieurs chroniqueurs réguliers :

  • Nicolas Baverez
  • Bernard-Henri Lévy
  • Kamel Daoud
  • Patrick Besson
  • Alain Duhamel
  • Jean-Paul Enthoven

L'écrivain Gabriel Matzneff, accusé de viols d'enfants, a longtemps été chroniqueur invité au Point[46].

Selon Étienne Gernelle, directeur de la publication :

Sur les réseaux sociaux, je me fais parfois interpeller pour le virer. Notre philosophie est claire : plus on nous demande de virer quelqu’un, moins on le fera. C’est une question de liberté d’expression[47]

Ils ne font pas partie de la rédaction mais publient des tribunes dans presque chaque numéro.

La rédaction compte des dizaines de journalistes, dont Laurence Allard, Emmanuel Berretta, Manuel Carcassonne, Sophie Coignard, Florence Colombani, Michel Colomès, Charles Consigny, Jacques Dupont, Baudouin Eschapasse, François Gauvin, Jean Guisnel, Danièle Kriegel, Marc Lambron, Frédéric Lewino, François-Guillaume Lorrain, Saïd Mahrane, Claire Meynial, Yann Moix, Bruno Monier-Vinard, Christophe Ono-dit-Biot, Gilles Pudlowski, Sacha Reins, Michel Richard, Voutch, Fabien Roland-Lévy, Emilie Trévert et Olivier Weber.

Récompense de bande dessinée

Depuis 2014, Le Point décerne le prix de la BD du Point pour récompenser une bande dessinée.

Après les attentats de , au cours desquels Georges Wolinski est assassiné, le prix change de nom en hommage au défunt, avec l'accord de sa veuve, et il devient le « Prix Wolinski de la BD du Point »[48].

Révélations

Lobbying de Google

En 2022, le journal Le Point révèle un plan confidentiel de Google pour exercer une pression intense sur l'Union Européenne[49]. L'objectif de Google est de mettre en difficulté le commissaire européen Thierry Breton[49].

Les révélations déclenchent un tollé. Lors d'un entretien avec Thierry Breton, le patron de Google Sundar Pichai présente ses excuses[50].

Anciens collaborateurs du Point

  • Xavier Accart
  • Alexandre Adler
  • Jacques-Pierre Amette
  • Raymond Aron
  • Claude Aubry
  • Philippe Aziz
  • Christophe Barbier
  • Igor Barrère
  • Mehdi Benchelah
  • Pierre Beylau
  • Manuel Bidermanas
  • Pierre Billard
  • Claude Bonjean
  • Roselyne Bosch
  • Philippe Bouvard
  • Jacques Bouzerand
  • Olivier Bruzek
  • Georges Buis
  • Roger Campion
  • André Chambraud
  • Kosta Christitch
  • Christine Clerc
  • Michèle Cotta
  • Gil Courtemanche
  • Guillaume Dasquié
  • Christophe Deloire
  • Hélène Demoriane (Patouillard-Demoriane)
  • Annie-Paule Derczansky
  • Geneviève Dormann
  • François Dufay
  • Jacques Duquesne
  • Pierre Évrard
  • Jacques Faizant
  • Laurence Ferrari
  • Jean-Louis Ferrier
  • Marc Francelet
  • Jean-Michel Frodon
  • Marc Fumaroli
  • Gilles Gaetner
  • Geneviève Galey
  • Daniel Garric
  • Marcel Giuglaris
  • Jean-Michel Gourevitch
  • Jean Gourmelin
  • Yves Guihannec
  • Pascal Irastorza
  • Denis Jeambar
  • Annette Kahn
  • Claude Lacroix
  • Marie-Françoise Leclère
  • Philippe Le Corre
  • Alexandre Le Guienne
  • Walter Lewino
  • Alain Louyot
  • Joseph Macé-Scaron
  • Christian Makarian
  • Isabelle Mandraud
  • Philippe Manière
  • Eugène Mannoni
  • Jérôme Marchand
  • Jacques Marseille
  • Philippe Meyer
  • Serge Michel
  • Roland Mihaïl
  • Dominique de Montvalon
  • François Nourissier
  • Jean d'Ormesson
  • Catherine Pégard
  • Georges Perec
  • Patrick Pesnot
  • Jacques Pessis
  • Jean Pierrard
  • Bernard Pivot
  • Patrice de Plunkett
  • Jean-Marie Pontaut
  • Jean-François Revel
  • François Reynaert
  • Angelo Rinaldi
  • Marc Roche
  • Aude Rossigneux
  • François Rousselle
  • Maurice Roy
  • Jean-Michel Royer
  • Maryvonne de Saint-Pulgent
  • Claude Sales
  • Marcel Schneider
  • Georges Suffert
  • Maurice Szafran
  • André Tubeuf
  • Voutch
  • Thierry Wolton

Notes et références

  1. « Le Point - ACPM », sur Acpm.fr (consulté le ).
  2. « Médias français, qui possède quoi ? », sur Le Monde diplomatique, (consulté le ).
  3. Avec L'Obs, l'Express, Marianne et Valeurs actuelles, en exceptant Le Figaro Magazine, qui est un supplément.
  4. « La Presse à la Une, Le Point, n°1, 25 septembre 1972. », sur expositions.bnf.fr.
  5. « Étienne Gernelle officiellement nommé directeur de la publication du Point », sur Challenges (consulté le ).
  6. 1 2 « Le Point: Valérie Toranian, nouvelle directrice de la rédaction », Le Figaro, (consulté le ).
  7. Michel Jamet, « Le « Point » un new-magazine à l'état pur », Communication et langages, no 52, , p. 96-106 (lire en ligne, consulté le ).
  8. fondée par James Goldsmith et ancrée depuis 1987 à la Compagnie générale d'électricité, qui possède aussi L'Express.
  9. « François Pinault remporte le « Point ». Le patron de la Redoute et de la FNAC rachète l'hebdo pour moins de 200 millions. », sur Libération.fr, (consulté le ).
  10. « François Pinault rachète « Le Point » à Havas pour près de 200 millions », sur Les Echos, .
  11. D'un « Point » à 2 499 autres, lepoint.fr du 23 juillet 2020.
  12. « « Le Point » condamné pour diffamation pour un article sur les immigrants chinois », sur Le Monde.fr, (consulté le ).
  13. Franz-Olivier Giesbert : « Je ne suis plus l’homme de la situation », Télérama du 13 janvier 2014.
  14. « La directrice adjointe du « Point » est licenciée pour «motif inavouable» », Mediapart, (lire en ligne).
  15. Fabrice Arfi et Karl Laske, « Première censure au «Point»: les journalistes témoignent », Mediapart, (lire en ligne, consulté le ).
  16. Fabrice Arfi et Karl Laske, « « Le Point » a censuré une deuxième enquête sur l’affaire libyenne », Mediapart, (lire en ligne, consulté le ).
  17. « "Avec les compliments du Guide" : le droit de réponse d'Étienne Gernelle », France Inter, (lire en ligne, consulté le ).
  18. Strategies, « Renaut Grand Clément PDG de Le Point », sur Strategies.fr, .
  19. La Lettre A, « François Claverie, discret numéro deux du Point en croisade pour les droits voisins », sur La Lettre A, .
  20. Rapport de la Cour des Comptes sur les aides à la presse écrite, 18 septembre 2013.
  21. Les mensonges du Point sur « la France des assistés », Politis, 25 octobre 2013.
  22. Le Plan d'aide à la presse écrite 2009-2011, p. 647, rapport de la Cour des comptes de France.
  23. Budget 2012 du ministère de la Culture et de la Communication, 28 septembre 2011.
  24. Diffusion Contrôle, 2012, site Office de Justification de la Diffusion 2005.
  25. 1 2 Michel Delberghe, « Les magazines à gros tirage n'ont pas enrayé la baisse de leurs ventes », Le Monde, , p. 24.
  26. 1 2 Michel Delberghe, « Coup de frein dans les magazines », Le Monde, , p. 21.
  27. 1 2 José Barroso, « La diffusion de la presse s’est révélée « assez stable » en 2001 », Le Monde, , p. 21.
  28. Daniel Psenny, « La presse française a connu une légère régression en 2002 », Le Monde, , p. 20.
  29. Pascale Santi, « La baisse de la diffusion de la presse, amorcée en 2001, s’est poursuivie en 2003 », Le Monde, , p. 31.
  30. 1 2 3 4 David Perrotin, Antton Rouget et Marine Turchi, « Garrido-Corbière : « Le Point », un journal accro aux fausses infos », sur Mediapart, .
  31. « Polygamie : le Point en flagrant délit de bidonnage - Par Dan Israel | Arrêt sur images », sur www.arretsurimages.net (consulté le ).
  32. « Comment " Le Point " s'est fait piéger », Le Point, (consulté le ).
  33. « « Le Point » condamné pour diffamation pour un article sur les immigrants chinois », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  34. Michel Deléan, « Bernard Cassen gagne contre BHL et «Le Point» », sur Mediapart (consulté le ).
  35. 1 2 Serge Halimi & Pierre Rimbert, « Voyage en feinte vérité », Le Monde diplomatique, .
  36. « Le journaliste Jérôme Béglé ou les nouveaux habits du dimanche », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  37. David Perrotin et Antton Rouget, « Les erreurs et incohérences du « Point » sur les députés Garrido-Corbière », sur Mediapart (consulté le ).
  38. Vincent Coquaz et Luc Peillon, « Femme de ménage sans papiers: «Le Point» a-t-il publié une fausse info sur le couple Garrido-Corbière ? », Libération (consulté le ).
  39. « Accusations visant Raquel Garrido et Alexis Corbière: les incohérences de l’enquête du «Point» », sur Libération (consulté le ).
  40. « "Tout est faux" : accusés d'avoir employé une femme de ménage sans papiers, Alexis Corbière et Raquel Garrido portent plainte pour "diffamation" », sur Franceinfo, (consulté le ).
  41. 1 2 « Alexis Corbière et Raquel Garrido maintiennent leur plainte pour diffamation après le retrait de l’article du « Point » les mettant en cause », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  42. « « Le Point » met à pied le journaliste qui a mis en cause à tort Raquel Garrido et Alexis Corbière », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
  43. 1 2 « Fausses accusations contre Raquel Garrido et Alexis Corbière : ouverture d’une enquête pour escroquerie », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
  44. « Fausses accusations contre Garrido et Corbière : le journaliste du « Point » Aziz Zemouri porte plainte contre Jean-Christophe Lagarde », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
  45. « Affaire Luc Besson : la plaignante fait condamner Le Point pour diffamation », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
  46. Gabriel Matzneff, « Matzneff - Yann, encore un effort si tu veux être crucifié ! », Le Point, .
  47. « Le Point, Le Figaro, Causeur, etc : à droite, on aime encore Matzneff », sur Arrêt sur Images,
  48. Didier Pasamonik, « Zep et "What a Wonderful World !" reçoivent le premier Prix Wolinski de la BD du Point 2015 », sur Actua BD, .
  49. 1 2 Emmanuel Berretta et Guillaume Grallet, « Comment Google veut faire plier Bruxelles » Accès payant, Le Point, (ISSN 0242-6005, consulté le ).
  50. Déborah Loye, « Régulation : le patron de Google présente ses excuses à Thierry Breton », Les Échos, (ISSN 0153-4831, consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes

  • Prix du polar européen
  • Indépendance des rédactions

Liens externes

  • Nicolas Tryzna, Le Point : Création, positionnement et fonctionnement d’un hebdomadaire français à la fin du XXe siècle (Thèse de doctorat en Histoire des médias (résumé)), Paris, 14 septembre 2017 (soutenance) (lire en ligne)