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Université Paris Dauphine-PSL
Histoire
Fondation
1968
Statut
Type
Forme juridique
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d)
Nom officiel
Université Paris-Dauphine-PSL
Président
El-Mouhoub Mouhoud (depuis )
Membre de
Conférence des grandes écoles, Consortium universitaire de publications numériques Couperin, Association des universités européennes
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
13 000
Localisation
Pays
Localisation
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L’université Paris-Dauphine - PSL est un grand établissement public d’enseignement supérieur et de recherche d’envergure internationale, spécialisée dans les sciences des organisations et de la décision (management, finance, économie, droit, sciences sociales, mathématique, informatique et journalisme).

Elle est créée en 1968 [1] par le ministre Edgar Faure et s'installe dans les anciens bâtiments de l'Organisation du traité de l'Atlantique nord (OTAN) situé porte Dauphine, dans le 16e arrondissement de Paris.

Dauphine devient un grand établissement en 2004[2] et membre de la Conférence des grandes écoles en 2014 [3](CGE). En 2009, elle devient la 1re université française à obtenir le label EQUIS. L'université est également membre fondateurs de l'université Paris Sciences et Lettres.

Histoire

1955 - 1967 : un lieu historique dans Paris, le palais de l'OTAN

C'est au palais Dauphine, dit également palais de l’OTAN, qu'est installée l'université Paris Dauphine-PSL. Construit entre 1955 et 1959, le palais est d'abord le siège de l’OTAN jusqu'en 1967. D'inspiration néo-antique, qualifié d' « architecture monumentale contemporaine »[4], le Palais de l'OTAN est l'œuvre de Jacques Carlu, Grand prix de Rome d'architecture auquel on doit également le palais de Chaillot[5], livré pour l'Exposition universelle de 1937. Le bâtiment est construit sous la forme du « A » d’Alliance Atlantique. Il est situé à proximité de l’Arc de Triomphe et du Bois de Boulogne.

1968 - 2021 : de l'expérimentation à une université de premier plan

À la suite des évènements de mai 1968, le Ministre Edgar Faure crée deux centres universitaires expérimentaux implantés à l’est et à l’ouest de Paris, porte de Vincennes et porte Dauphine. Près de 2 500 étudiants inaugurent le nouveau Centre universitaire Dauphine, en décembre 1968. Paris-IX Dauphine et Paris-VIII Vincennes sont conçues comme des universités expérimentales. Elles doivent mettre en vigueur les principes de la loi Faure, et notamment la rénovation pédagogique et le caractère pluridisciplinaire de la formation et de la recherche.

Les conditions de sa naissance ont fortement marqué le caractère singulier de l'université Paris Dauphine-PSL. Dès l'origine, l'université a été conçue avec très peu d'amphithéâtres. La trame régulière du bâtiment a permis de constituer de nombreuses salles de cours à partir d'anciens bureaux de l'OTAN réunis par 3. Ces salles de cours à taille humaine sont le socle de la pédagogie en petits groupes caractéristique de Dauphine.

Un enseignant de l'époque déclare : « À part le grand amphi de l'état-major, il n'y a que des petites salles... »[6]. Cela permet une pédagogie par petits groupes, et le contrôle continu. Les enseignants viennent du département d'économie de la faculté de droit d'Assas. Ils affirment ainsi l'indépendance, et une nouvelle autonomie de leur discipline. Ces orientations sont notamment formulées par les professeurs Alain Cotta, et Pierre Tabatoni. Il s'agit de s'inspirer des « formules gagnantes » anglo-saxonnes. L'unité de valeur (UV), inventée[7] à partir du credit unit américain, est mise en place. Face à Alain Badiou, Gilles Deleuze et Félix Guattari à Paris-VIII Vincennes, Dauphine propose Jacques Delors et Jacques Attali. Ces derniers interviennent surtout dans l'UERd'économie appliquée ; aux côtés de l'UER de gestion, et de l'UER de mathématiques de la décision. Progressivement, l'économie appliquée est fondue avec la gestion ; et l'informatique de gestion rejoint les mathématiques appliquées.

Attachés à la sélection à l'entrée de leur université, de nombreux étudiants de Dauphine participent au mouvement contre la réforme Savary des universités de 1983 mais d'autres participent à leur tour trois ans plus tard à la contestation du projet de loi Devaquet.

En 2004, l'université obtient le statut « Grand établissement », et devient alors « l'université de technologie en sciences des organisations et de la décision de Paris-Dauphine »[8]. Ce nouveau statut autorise la sélection de ses étudiants et la fixation du coût de ses formations[9].

En 2009, Dauphine est la première université française à recevoir le label European Quality lmprovement System (EQUIS). Cette même année est créée la Fondation Dauphine. En 2010, Dauphine est membre fondateur de Paris Sciences et Lettres, aux côtés de 11 établissements prestigieux.

Elle rejoint en 2014 la Conférence des grandes écoles[10].

2022 - 2027 : le projet Nouveau Campus

Depuis 2022, l'université s'est engagée dans la rénovation et la modernisation des 60 000 m2 de locaux existants et la création d'une aile supplémentaire de 4 000 m2[11].

Formation

L'université est spécialisée dans les Sciences des organisations et de la décision à travers 8 domaines d'enseignement : management, finance, économie, droit, sciences sociales, mathématique, informatique et journalisme. L'université propose 7 Licences, 20 Masters, 7 programmes doctoraux ainsi que la préparation à plusieurs concours administratifs, et 80 programmes en formation continue[12],[13].

Dauphine propose une Licence aménagée pour les artistes, les sportifs et les entrepreneurs (environ 30 étudiants chaque année). Les étudiants suivent leur première et deuxième année de Licence au sein d’un groupe dédié, sur six semestres au lieu de quatre. Le programme de cours est identique[14].

Sélection

Depuis 2020, l'admission se fait via Parcoursup en Licence. Les critères d'admission prennent en compte les notes et le dossier des candidats en Première et Terminale. En 2020, il y a eu près de 20 000 candidatures[15].

La sélectivité à l’entrée en master se fait à partir des notes obtenues au bac, en Licence. Parmi les 5 000 étudiants en master, 1 500 sont en apprentissage[14].

Il n'existe pas de barre d'admission à proprement parler à l'Université Paris Dauphine-PSL, puisque de nombreux critères entrent en compte dans l'évaluation de la candidature d'un bachelier. Les dossiers sont évalués en prenant en compte les notes disponibles de première et de terminale, celles du baccalauréat. La sélection s'appuie également sur l'algorithme Boléro[16].

Toutefois, sur la base des six cents admis en première année de Licence Sciences des organisations en , 99,81 % ont obtenu une mention bien ou très bien au baccalauréat (dont 94,07 % de mentions très bien)[17].

Campus à l'étranger, programmes délocalisés, Institut Pratique du Journalisme

L’université Paris Dauphine – PSL est une composante de l'université Paris Sciences & Lettres qui figure parmi les 50 premières universités mondiales[18]. Au delà du campus historique situé à Paris, l'université possède deux campus à Londres et Tunis, ainsi que des formations délocalisées à Francfort et Madrid et de nombreux partenariats académiques (YERUN, Alliance SIGMA etc.)

Campus de Tunis

Ouverte en 2009, l’université Paris-Dauphine Tunis est le premier campus de l'université Pari Dauphine-PSL à l’international. Elle propose une Licence en Management et Gestion des Organisations et une Licence en Mathématiques et Informatique pour la Décision. Elle propose également plusieurs masters.

Campus de Londres

Depuis 2014, le campus de Londres dispense notamment le "Bachelor's in economics and management" qui est l'équivalent dde la Licence Sciences des organisations à Paris. La sélection s'opère parmi les bacheliers des lycées français à l'étranger, les détenteurs d'un bac international ou les A level britanniques. Pour la 3e année, les étudiants peuvent décider de poursuivre leurs études à Londres, Paris ou dans un programme international.

Programme délocalisé à Madrid

Dauphine ouvre l'équivalent de son programme Licence Sciences des organisations à Madrid pour la rentrée 2016 en partenariat avec l'université Charles-III de Madrid.

Double diplôme Franco-allemand

L'université Paris-Dauphine-PSL en partenariat avec la Goethe Universität Frankfurt am Main propose le programme de Licence Double diplôme franco-allemand en Gestion ou Economie appliquée.

Institut pratique du journalisme

Depuis le , l'Institut pratique du journalisme est l'une des 14 écoles reconnues en France par la profession, via le dispositif prévu par la Convention collective nationale de travail des journalistes. L'établissement a été reconnu par l'État le . Son diplôme de journalisme est visé par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche depuis 2004.

En , IPJ est intégré par décret à l'université Paris-Dauphine4 et devient l'Institut pratique du journalisme de l'université Paris-Dauphine et délivre à ses étudiants un double diplôme : un master de journalisme de l'université Paris-Dauphine, ainsi qu'un diplôme propre à IPJ (Institut pratique du journalisme). Elle accueille 96 étudiants par an pour un cursus de deux ans en master. Ce diplôme est reconnu depuis 1991 par la convention collective des journalistes.

La Défense - Vue du haut de la bibliothèque de l'université Paris-Dauphine.

Recherche

La recherche à l'université Paris Dauphine-PSL est organisée autour de 6 disciplines (Gestion, Économie, Sociologie et Sciences politiques, Droit, Mathématique et informatique) toutes centrées sur les Sciences des organisations et de la décision.

Classements et reconnaissance

L'établissement a reçu le label European Quality Improvement System (EQUIS), renouvelé en 2015[19], puis en 2020. L'université est présente dans les meilleurs classements mondiaux en tant que membre de Paris Sciences & Lettres.

Vie étudiante

Évolution démographique de la population étudiante
2005-2006 2006-2007 2007-2008 2008-2009 2022
7 969[27]7 971[27]8 482[27]8 703[27]10 000

Personnalités liées à l'université

Présidents

Le président de l’université est élu par les trois conseils centraux : conseil d’administration, conseil des études et de la vie universitaire et conseil scientifique[28]. Son mandat est de cinq ans, non renouvelable immédiatement. Le changement de statut de l'établissement a entraîné une exception : Bernard de Montmorillon a assuré la présidence de Dauphine pendant huit années consécutives.

Présidents
IdentitéPériode
DébutFin
Jean-Paul Gilli
Henri Tézenas du Montcel
Brigitte Berlioz-Houin (d)
Ivar Ekeland[29]
Élie Cohen
Bernard de Montmorillon
Laurent Batsch
Isabelle Huault[30]
El-Mouhoub MouhoudEn cours

Personnalités enseignants ou ayant enseigné à Dauphine

  • Jean-Claude Marin, Procureur général de la Cour de cassation de 2011 à 2018
  • Norbert Alter, professeur de sociologie
  • Vladimir Arnold, professeur de mathématiques appliqués, auteur du théorème KAM et récipiendaire des prix Lénine, Crafoord, Heineman, Wolf et Shaw
  • Jacques Attali, économiste et homme politique
  • Laurent Batsch, professeur de gestion
  • Anton Brender, professeur associé d'économie - directeur de la recherche économique à Dexia Asset Management
  • Philippe Chalmin, professeur d'économie
  • Alain Cotta
  • Jacques Delors, ancien président de la Commission européenne et ancien ministre des Finances
  • Hélyette Geman (en), professeur de mathématique appliquée financière
  • Jean-Pierre Jouyet, ancien ministre, président de l'Autorité des marchés financiers
  • André Lévy-Lang, ancien président de Paribas
  • Jean-Hervé Lorenzi, président du Cercle des économistes
  • Pierre-Louis Lions, médaille Fields 1994
  • Dominique Méda, professeure de sociologie
  • Yves Meyer, prix Carl-Friedrich-Gauss 2010 et prix Abel 2017
  • Christian de Perthuis, professeur d'économie, fondateur de la Chaire économie du climat
  • Bernard Roy, professeur de mathématiques appliquées aux sciences de gestion
  • Christian Schmidt, professeur de sciences économiques
  • Jean Dominique Séval, économiste du numérique, ex-directeur général adjoint de l'IDATE
  • Helmut Siekmann (de), professeur de l'université de Cologne et professeur invité à l'université de Berkeley et à Paris-Dauphine
  • Melchior Wathelet, ministre d’État (Belgique)

Anciens étudiants

  • Jacques Attali : conseiller spécial du président Mitterrand, conseiller ponctuel du président Sarkozy et premier président de la Banque européenne de développement (BERD)
  • Thierry Bolloré, directeur général du groupe Renault
  • Nicolas Dupont-Aignan : député de l'Essonne, président du parti politique Debout la France
  • Florian Philippot : conseiller régional, président du parti politique Les Patriotes
  • Bernard Ramanantsoa : ancien directeur général d'HEC Paris
  • Jean Tirole : économiste, prix Nobel d'économie 2014
  • Cédric Villani : mathématicien, médaille Fields 2010, et député de La République en Marche (LREM)
  • Marc Lévy, écrivain, auteur de best-sellers
  • Boni Yayi : président de la République du Bénin
  • Olivier Blanchard : chef économiste du FMI
  • Arnaud Lagardère : président-directeur général de Lagardère
  • Hervé Mariton : député et ancien ministre
  • Hervé Novelli : député et ancien ministre
  • Raymond Ndong Sima : Premier ministre du Gabon
  • François Pierson : membre du directoire d'Axa
  • Christophe Chenut : ancien directeur général de Lacoste
  • Philippe Oddo : associé-gérant d'Oddo & Cie
  • Thierry Morin : ancien président-directeur général de Valeo
  • Jacques Aigrain : ancien PDG de Swiss Re
  • Farid Chedid : entrepreneur libanais[31]
  • Nassim Nicholas Taleb : écrivain et philosophe, spécialiste de l'épistémologie des probabilités
  • Régis Arnoux : fondateur et président-directeur général de Catering International Services
  • Diane Barrière-Desseigne : ancienne présidente-directrice générale du Groupe Lucien Barrière
  • Frédéric Bedin : président du directoire de Public Système Hopscotch
  • Yannick Bolloré : directeur général de Bolloré Média
  • Bruno Bonnell : cofondateur d'Infogrames
  • François-Xavier Clédat : ancien président-directeur général et actuel président du conseil de surveillance du groupe Spie Batignolles
  • Élie Cohen : économiste
  • Michel Combes : ancien président-directeur général de TDF, directeur général d'Alcatel-Lucent à compter du
  • Édouard Courtial : député-maire, ancien secrétaire d’État
  • Claude Czechowski : ancien président de CSC EMEA Sud & Ouest
  • Philippe Dupont : ancien président du Conseil de BPCE
  • Stéphanie Fontugne : dirigeante d'entreprise franco-suisse
  • Bertrand Lemennicier : économiste
  • Roland Minnerath : archevêque émérite de Dijon
  • Albéric de Montgolfier : avocat et sénateur
  • Alain Orsoni : homme politique, président de l'AC Ajaccio depuis 2008
  • Pierre Rosanvallon : historien, professeur au Collège de France
  • Geoffroy Roux de Bézieux : entrepreneur, président du Medef
  • Alain Salzman : président de Marques Avenue
  • Frédéric Sautet : économiste
  • Marie Schneegans (1993-), cofondatrice et PDG des applications mobiles Never Eat Alone et Workwell.
  • Jean-Michel Severino : gérant, ancien directeur général de l’Agence française de développement
  • Jean-Marc Sylvestre : journaliste économique
  • Faure Gnassingbé : président du Togo
  • Faten Kallel : femme politique tunisienne
  • Florent Menegaux : gérant associé commandité du groupe Michelin
  • Sihem Amer-Yahia, informaticienne algérienne, médaille d'argent du CNRS en 2020
  • Marie Rose Dibong Biyong : informaticienne, haute fonctionnaire camerounaise
  • Marie Schneegans : cofondatrice et PDG de Never Eat Alone et Workwell
  • Célestin Tawamba : Dirigeant d'entreprise camerounais
  • Karim M'Ziani : juriste international français

Docteurs honoris causa

Notes et références

  1. Décret du , Légifrance, p. 10 082 (p. 18 du fac-similé).
  2. « Conseil des ministres du 25 février 2004. Création de l'université de technologie en sciences des organisations et de la décision de Paris-Dauphine ».
  3. « L'université Paris Dauphine rejoint le cercle des grandes écoles L'université Paris Dauphine rejoint le cercle des grandes écoles », sur www.letudiant.fr, .
  4. « Visite virtuelle de la galerie Carlu », sur Cité de l'architecture & du patrimoine (consulté le ).
  5. Clotilde Ravel, « Lieux oubliés: l’université Paris-Dauphine, «Sous les cahiers, l’héritage  », RFI, (consulté le ).
  6. Anne-Marie Charles, maître de conférences honoraire en maths.
  7. par Jean-Baptiste Duroselle cité par Rémi Faucherre dans atypie-utopie Vincennes, Naissance d'une université - mai 1968-Janvier 1969.
  8. Décret n° 2004-186 du 26 février 2004 portant création de l'université Paris-Dauphine.
  9. Pierre Merlin, L'Université assassinée : Vincennes (1968-1980), , 292 p. (ISBN 978-2-402-04203-1, lire en ligne), p. 139.
  10. L'université Paris-Dauphine rejoint le cercle des grandes écoles - L'Étudiant, .
  11. « L’Université Paris Dauphine - PSL se transforme ! », sur www.studyrama.com, .
  12. Modèle {{Lien web}} : paramètre « titre » manquant.https://dauphine.psl.eu/formations/choisir-sa-formation
  13. « Université Paris Dauphine : admission, inscription et prix »
  14. 1 2 « Comment entrer à Dauphine en licence et en master »
  15. « Université Paris Dauphine – PSL : comment intégrer l'université ? »
  16. « A Dauphine, le poids du lycée d’origine dans la sélection Parcoursup »
  17. Stéphanie Condis, « Les facs d’éco-gestion, sérieuses concurrentes des écoles de commerce », L'Obs (consulté le ).
  18. « Classement QS 2024: PSL confirme et l’Institut Polytechnique de Paris progresse »
  19. « EQUIS accredited schools », sur efmdglobal.org (consulté le ).
  20. « QS World University Rankings 2024: Top global universities »
  21. (en) « World University Rankings », sur Times Higher Education (THE), (consulté le ).
  22. (en) « QS World University Rankings 2022 », sur Top Universities (consulté le ).
  23. (en) « QS World University Rankings 2021 », sur topuniversities.com (consulté le ).
  24. « QS Graduate Employability Rankings 2017 ».
  25. « World's top 100 universities for producing millionaires », sur Times Higher Education (THE), (consulté le ).
  26. « Formations en marketing : hors des grandes écoles, point de salut ? », sur letudiant.fr (consulté le ).
  27. 1 2 3 4 Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur janvier 2011, p. 43.
  28. Décret no 2004-186, article 5.
  29. « http://www.rfi.fr/france/20180815-lieux-oublies-sous-cahiers-heritage-le-passe-diplomatique-universite-da »
  30. « http://www.letudiant.fr/educpros/entretiens/isabelle-huault.html »
  31. « Une nouvelle dynamique pour Ascoma - Actualité », sur Les Échos de l'Éco (consulté le ).

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes