Fondation |
---|
Type | |
---|---|
Forme juridique |
SA à directoire (s.a.i.) (d) |
Disciplines | |
Nom officiel |
Emlyon business school |
Régime linguistique | |
Fondateur |
Chambre de commerce et d'industrie de Lyon |
Présidente du directoire |
Isabelle Huault (depuis ) |
Devise |
Early makers since 1872 |
Membre de |
Conférence des grandes écoles, CCI Lyon Métropole Saint-Étienne Roanne, Alliance des grandes écoles Rhône-Alpes, AACSB, EQUIS, AMBA |
Sites web |
Étudiants |
9 000 () |
---|---|
Effectif |
550 () |
Budget |
134 millions d’euros (2022)[1] |
Pays | |
---|---|
Campus | |
Localisation |
Écully, Paris, Saint-Étienne, Shanghaï, Bhubaneswar, Bombay, Casablanca |
L’EM Lyon Business School[alpha 1], anciennement appelée École supérieure de commerce de Lyon (ESC Lyon), est une école supérieure de commerce et de gestion française créée en 1872 à Lyon, privée et reconnue par l'État en 1889. Depuis 2007, l'école s'implante sur d'autres campus en France et à l'étranger, notamment à Paris, Shanghai et Casablanca. L'école ferme en 2023 ses campus de Casablanca et de Saint-Étienne afin de recentrer l'activité de l'école à Lyon, son siège originel[2].
En septembre 2018, l'EM Lyon entame un processus de privatisation dans le but de répondre à la baisse des dotations des CCI en devenant une société anonyme. Le groupe EM Lyon est une filiale de Early Makers Group SA dont le capital est ouvert aux anciens élèves, aux salariés du groupe ainsi qu'aux fonds d'investissement Bpifrance et à Galileo Global Education. La gestion du groupe reste cependant pilotée en partie par la CCI Lyon Métropole.
Au premier plan, l’établissement dispense un enseignement généraliste en management, gestion, finance, entrepreneuriat, ainsi qu'en sciences économiques et sociales.
Reconnue pour son excellence, l'EM Lyon est régulièrement citée comme l'une des meilleures écoles de commerce en France et dans le monde pour ses diplômes d'établissements de Master en Management et de MBA, dans des revues grand public comme le Financial Times, The Economist, Le Figaro et Challenges. En France, elle côtoie généralement dans les classements HEC, l'ESSEC, l'ESCP, et l'EDHEC, l'EM Lyon y étant placée de la 4e à la 5e place selon les publications.
Histoire
Genèse
Fondé avec l’appui de la chambre de commerce de Lyon, l’établissement ouvre le sous le nom d'École supérieure de commerce de Lyon[3],[4]. Il est, dans les faits, la reproduction de l’École supérieure de commerce de Mulhouse, créée en 1866, par l’ancienne direction de cette dernière qui fuit Mulhouse en 1872, à la suite du traité de Francfort et de l'annexion allemande de l'Alsace-Lorraine[5],[6]. Les locaux de l'école sont, dès l'inauguration, installés dans l'hôtel de Villeroy, ateliers de la Monnaie, au 34 rue de la Charité, sur la Presqu'île de Lyon où elle restera un siècle durant[5],.
L’école vise, en 1872, à former des employés de commerce avant que les écoles primaires supérieures (EPS) et les écoles primaires de commerce et d’industrie (EPCI) ne récupèrent cette prérogative. L’École supérieure de commerce rehausse alors ses formations à destination des cadres de commerce[7]. L’enseignement est de deux ans mais un cours préparatoire d’une durée d’un an est annexé à l’école pour les élèves qui ne seraient pas assez instruits pour entrer dans la division de première année[5].
L'admission se fait tout d'abord par concours[5]. Bien qu'ouvert à tous, ce dernier sélectionne avant tout des candidats faisant preuve d'une culture générale élargie. Les titulaires d'un baccalauréat et ceux passés par une EPS bénéficient ainsi d'une majoration. Parallèlement, les diplômés de la première classe commerciale de l'école La Martinière, principal établissement technique de la ville avant la création de l'École centrale de Lyon, peuvent jouir d'une passerelle[7]. L’âge minimum pour se présenter au concours d’entrée est initialement fixé à 15 ans révolu mais est revu graduellement jusqu’à atteindre 16 ans avant la Première Guerre mondiale[7].
Au cours de ses cent premières années d'existence, l'EM Lyon occupe l'hôtel Villeroy, ancien atelier monétaire de la ville de Lyon situé au 34, rue de la Charité, sur la Presqu'île[5]. Les anciens locaux de l'école dans l'hôtel de Villeroy témoignent encore aujourd'hui des liens passés entre l'établissement et la soierie lyonnaise et abritent aujourd'hui le musée des Tissus et des Arts décoratifs.
Liens avec la soierie lyonnaise
En 1876, l'école est rebaptisée École supérieure de commerce et de tissage de Lyon. Elle est en effet la seule, à une époque où Lyon s’impose comme « capitale de la soie », à proposer des cours commerciaux et industriels afin d’enseigner aux apprentis patrons la théorie et la pratique de la soierie[8],[9]. Trois grands ateliers sont alors construits au sein de l'école qui produit, à partie des matières premières qu'elle achète, toutes les sortes d'étoffes qu'on trouvait dans la région lyonnaise[5].
Période coloniale
Le 7 novembre 1895, l’école crée une section d’enseignement coloniale spécialisée sur l'Indochine française et l'Asie, où les capitaux lyonnais, au travers de la soierie, sont fortement engagés[10].
Cette décision stratégique voulue par le président de l’école, Louis Isaac, père d'Auguste Isaac, fait suite au rapport d'Ulysse Pila, ambassadeur de Lyon en mer de Chine, qui proposait l’abrogation du privilège accordé à l’École coloniale de Paris et la mise en place d’un concours libre et spécialisé par colonie pour la formation des fonctionnaires coloniaux. Ainsi, les universités publiques échouant à s’entendre pour mettre en place la proposition Pila, l’École supérieure de commerce et de tissage profite d’un quasi-monopole en matière de cours coloniaux. La durée de ces derniers, voulus intensifs, est fixée à 8 mois[10].
En 1899, l’ouverture de l’École coloniale de Lyon tente de casser ce monopole en copiant sans succès les cours de l’École supérieure de commerce et de tissage. Face à cet échec, Louis Pradel, proche d’Ulysse Pila, décide de laisser l’école de commerce absorber l’École coloniale en 1924[10],[11]. L’ensemble de la structure de cette dernière est alors déménagé dans les locaux de l'École supérieure de Commerce et de tissage à l’Hôtel Villeroy. Le musée colonial est ainsi installé sur tout le premier étage du pavillon central, auquel on accède par un monumental escalier de l’architecte Soufïlot. Il regroupe par thème les importantes collections envoyées par les administrations ou entreprises coloniales, mais aussi les surplus de l’exposition coloniale de Marseille de 1906 et, surtout, de la Foire-exposition de Lyon de 1914[11],[12]. Alors qu’il était jusqu'à cette date fermé au grand public, le musée colonial est inauguré le 24 novembre 1924 par le ministre des Colonies, Édouard Daladier[11].
En 1926, l'école comprend trois sections :
- la section du commerce général et de la banque, préparant à la direction des affaires, au service commercial des industries, mines et chemins de fer, à la Banque de France, au Crédit foncier et à l'administration des douanes ;
- la section du commerce colonial, destinée aux carrières coloniales dans le commerce, la banque et l'administration ;
- la section de la soierie, préparant à la direction des usines mécaniques, à la fabrication et au commerce des étoffes de soie, de coton ou de lin.
L'école reprend toutefois son nom d'École supérieure de commerce de Lyon en 1934[13] et cesse ses enseignements coloniaux en 1947[10].
1972 - années 1990
L'établissement amorce un développement notable à partir des années 1970, avec le déménagement de son campus à Écully en 1972, à l'occasion du centenaire de l'école, et son changement de nom en 1979, devenant l'École supérieure de commerce de Lyon (ESC Lyon). Il quitte ainsi le réseau public des écoles supérieures de commerce et d'administration des entreprises (ESCAE) auquel il était jusqu'alors affilié[13],[14].
Le premier accord de double-diplôme est ainsi signé en 1978 et le Centre des entrepreneurs voit le jour en 1984[15]. L'Incubateur EM Lyon Business School est à la première place du palmarès français des incubateurs dans les écoles de commerce, que ce soit pour le nombre d'étudiants incubés, le nombre de créations d'entreprises à la sortie ou le taux de survie[16].
Années 1990 - 2010
La croissance de l'école s'accélère significativement à partir des années 1990, période durant laquelle l'institution est rebaptisée EM Lyon lors de son 125e anniversaire, en 1997. La filière Chine est notamment créée en 1994 et l'école reçoit, en 1998, l’accréditation européenne EQUIS. Suivent les accréditations internationales AMBA et AACSB pour ses programmes International MBA et Executive MBA, respectivement en 2000 et 2005. 2005 est aussi l'année d'un nouveau changement d'identité lorsque l'établissement prend le nom d'EM Lyon Business School[15],.
En 2007, l'EM Lyon Business School inaugure son premier campus à l’international, dans la ville de Shanghai[17].
2011 - 2013
Après l'échec de l'EM Lyon à former un regroupement de trois écoles de commerce financées par des CCI[18], cette période est marquée par une très forte instabilité à la tête de l'établissement lyonnais. Patrick Molle, directeur depuis 1996, est brutalement démis de ses fonctions en 2011 en raison de différends stratégiques et à la suite de la révélation de son investissement dans le projet d'établissement tiers France Business School (FBS)[18],[19]. L'EM Lyon change alors trois fois de direction en deux ans : Philippe Courtier, directeur de 2012 à 2013, est remplacé par Bruno Bonnell dès 2013[20], lequel cède sa place à Bernard Belletante en 2014[21].
Ces changements répétitifs sont parallèlement suivis d'un recul progressif, voire d'une « chute libre » de l'établissement dans les classements internationaux des écoles de commerce[22],[23],[24]. En 2010, le rapport de l'EM Lyon réalisé par l'AERES (Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur), met en exergue plusieurs points faibles dans la gestion de cette école qui seraient responsables en partie de cette baisse dans les classements[25].
2014 - 2017
En 2014, le nouveau directeur Bernard Belletante, ancien directeur de KEDGE Business School ayant mené la fusion entre Euromed Management et Bordeaux école de management[21], orchestre l'ouverture du troisième campus de l'école à Saint-Étienne en 2014, en rachetant l'ESC Saint-Étienne afin d'y enseigner son nouveau Bachelor of Business Administration[26].
En 2015, l'école lance son plan stratégique Nouveaux Territoires 2020 qui donne la priorité à l'international et l'innovation technologique. L'EM Lyon Business School devient en janvier 2015 la première et seule école de commerce à signer un partenariat global avec IBM[27],[28]. Intitulé « Smarter Business School », ce plan prévoit une personnalisation[28] de l'enseignement délivré à travers les différents campus d'EM Lyon grâce à la numérisation des outils pédagogiques et la construction d'un nouvel environnement d'apprentissage[29],[30],[31].
L'école se dote notamment d'une librairie numérique, le Learning Hub, ainsi que d'un fab lab en partenariat avec l'École centrale de Lyon[32].
Toujours dans le cadre de ce plan, l'EM Lyon Business School inaugure en 2015 deux campus supplémentaires reprenant ces installations modernes : l'un au cœur de Paris et l'autre à Casablanca[33]. Une école de management eurasienne est parallèlement créée en 2016 à Shanghai en partenariat avec l'East China Normal University (ECNU)[34].
Le , l'EM Lyon Business School annonce une alliance avec Grenoble École de management[35]. Ce rapprochement se veut motivé par la volonté d'assurer leur futur dans un contexte de compétition mondiale, de besoins de recherche croissants et de baisse des subventions des CCI[36],[37],[38]. Il dote les deux institutions d'un budget cumulé de 120 millions d'euros hors investissements et de 199 professeurs permanents constituant par addition le premier corps professoral dans les sciences de gestion en termes de publications annuelles[38]. Bien que perçu comme salutaire par ses signataires, l'Alliance a toutefois soulevé une vague de critiques de la part des étudiants de chaque école qui ont reproché aux administrations un manque de consultation et de communication interne. Il suscite aussi de nombreuses interrogations quant à une possible fusion future des deux entités[39],[40]. Cette alliance fait état de “la mise en commun de moyens et la création de valeurs”[41] dans les domaines de l’innovation et de l’entrepreneuriat, mais sans projet de fusion, ni gouvernance ou budgets communs. L’alliance restera finalement sans suite. Quelques jours après cette annonce, les deux établissements se refusent à parler de “fusion”[42], et le rapprochement des deux écoles, qui suscitait des interrogations au sein de leurs communautés d’étudiants, ne verra finalement pas le jour.
Interrogé en 2018 sur le projet de rapprochement de l'EM Lyon avec Grenoble EM, voire avec l’ESC Clermont, pour faire une très grande école de management au périmètre de la grande région, Bernard Belletante laisse entendre que les discussions ont achoppé sur la question de la marque et de l’identité de l’ensemble. Le passage d'emlyon au statut de société anonyme entérine la fin d'un rapprochement potentiel avec d'autres écoles[43].
Durant cette période, la proportion d'élèves de classes préparatoires diminue pour laisser la place à plus d'admis sur titre et d'étudiants internationaux[44].
2019
Début 2019, l'école lance l'Artificial Intelligence in Management (AIM) Institute, présenté comme le « premier institut dédié à la compréhension des opportunités et des impacts de l’intelligence artificielle sur les éléments sociaux-économiques, organisationnels et business des entreprises et des institutions »[45],[46].
En , Bernard Belletante, directeur de l'établissement depuis 2014, cède sa place à Tawhid Chtioui (alors directeur de l'EM Lyon Africa)[47] pour se consacrer aux projets stratégiques de l'école, dont la création du futur campus à Gerland[48]. Bernard Belletante rejoint alors la vice-présidence du Conseil de Surveillance[49].
En , la CCI Lyon Métropole Saint-Étienne Roanne, propriétaire de l'EM Lyon, annonce l'augmentation de capital de l'établissement de 100 millions d'euros sur cinq ans[50],[51]. Bpifrance et le fonds Qualium Investissement, adossé à la Caisse des Dépôts, négocient pour être, au terme de cette période, actionnaires de l'école à côté de la CCI de Lyon toujours majoritaire[52],[53].
Depuis 2020
En janvier 2020, Tugrul Atamer devient président du directoire de l'école en remplacement de Tawhid Chtioui, qui démissionne sur demande des actionnaires[54],[55]. Le mois suivant, Lionel Sitz succède à Nathalie Hector au poste de responsable du programme grande école[56],[57]. Après une période de transition, Isabelle Huault, ancienne présidente de l'université Paris-Dauphine, devient directrice générale et présidente du directoire le [58],[59]. Sylvie Jean, ancienne responsable des admissions de l'EDHEC et directrice du PGE de Neoma, devient directrice du programme grande école, et Lionel Sitz directeur adjoint chargé de la première année[60],[61]. Fin , Annabel-Mauve Bonnefous, ancienne directrice du programme grande école de Toulouse Business School et professeur à HEC Paris, rejoint le directoire de l'école en tant que directrice des programmes diplômants en formation initiale ainsi qu'en formation continue[62],[63]. Tessa Melkonian, professeur-chercheur en management et comportement organisationnel, devient doyenne de la Faculté et de la Recherche d’EM Lyon. En décembre 2020, Nicolas Péjout est nommé directeur de la stratégie et du développement[64], et Bruno Tallent directeur de la communication, de la marque et du marketing[65].
EM Lyon annonce dès mars 2020 un plan stratégique intitulé « Confluences 2025 » qui sera approuvé en 2021. "La gouvernance s'est apaisée", assure sa directrice générale Isabelle Huault dans un entretien au journal Les Echos[66],[67],[68]. Ce plan comporte différentes composantes :
- l’école intègre ces notions de développemet durable dans la formation. Le cours “Agir pour le climat” devient obligatoire pour les élèves du PGE en 2021, et pour les élèves du BBA en 2022.
- l’école active l'ouverture sociale, grâce à sa Fondation, avec pour objectif d’atteindre 30% d’étudiants boursiers en 2025[67]. Elle se fixe également pour objectif une féminisation du corps professoral, à hauteur de 45%.
- l’hybridation disciplinaire : des partenariats sont lancés avec l’Esadse et la Cité du Design[69], et des instituts thématiques sont créés (intelligence artificielle, sport et société, analyses ethnographiques)[70].
- l'internationalisation : il y a des projets de développement de campus en Inde, à Mumbai, et en Amérique Latine[71],[72].
En , la CEFDG (Commission d’évaluation des formations et des diplômes de gestion) renouvelle son autorisation de délivrer le grade de master pour une durée de trois ans, au lieu de cinq habituels[73] évoquant le « besoin de garanties sur la pérennité du modèle de l’école », et expliquant qu’il s’agit avant tout d’être « vigilant » face à un bouleversement sans précédent[74]. Isabelle Huault déclare être confiante sur la capacité de l’école à “regagner son visa de cinq ans très rapidement”[75]. Les réserves seraient liées aux multiples départs au sein de la direction de l'école, au passage du statut d’association à celui de société anonyme, et à l'ouverture du capital au fonds d’investissement Qualium[74]. Les incertitudes liées au statut de société anonyme alimentent des critiques dans les médias : en , 1 200 étudiants corédigent une lettre ouverte pour dénoncer ce qu'ils décrivent comme un « acharnement médiatique » avec « 4 articles à charge en 10 mois » publiée par Challenges[76],[77],[78].
En juillet 2021, l'EM Lyon Business School devient société à mission[79]. Créé par la loi Pacte, ce changement permet à l'école lyonnaise de « réaffirmer sa mission d’intérêt général ». Qualium et BpiFrance restent actionnaires (respectivement à hauteur de 19,89% et 9,80%), aux côtés de la CCI Lyon Métropole Sainte-Étienne Roanne, actionnaire historique et majoritaire (67,15%).
L’année 2021 voit aussi l'EM Lyon Business School entamer les travaux du chantier de son futur campus de 30 000m2 à Gerland, dans le 7e arrondissement lyonnais, qui doit s'achever en 2024[80]. La première rentrée est envisagée en septembre 2024 pour les étudiants de l’école[81].
En septembre 2022, alors que l'école connaît depuis plusieurs années des polémiques, une crise de gouvernance et une perte de rang, un nouvel actionnaire, Galileo Global Education remplace Qualium[82]. L'école augmente aussi son capital de 50 millions d'euros[83],[84].
Le 14 octobre 2022, la chambre régionale des comptes d'Auvergne-Rhône-Alpes publie un rapport sur la réorganisation de l'école de 2014 à 2019 sous la présidence de Bruno Bonnell et signale au parquet plusieurs irrégularités concernant Bernard Belletante, alors directeur de l'école, notamment les importantes indemnités obtenues pour son départ, un partenariat avec IBM et des contrats passés avec une société de conseil lui appartenant[85].
En 2023, l'EM Lyon est 4e ex-aequo du classement national des Écoles de commerce françaises dans les médias français[86],[87]. L'école ferme les campus qu'elle avait ouverts à Saint-Étienne et à Casablanca, pour se recentrer sur ses activités lyonnaises[88],[2].
Structure juridique
Lors de sa fondation en , l’école de commerce de Lyon est régie sous le statut d’une société anonyme formée sous le patronage de la Chambre de commerce de Lyon. Son capital initial est de 1 120 000 F, divisé en 2240 actions de 500 F, souscrites par 552 actionnaires de la région lyonnaise[89].. Le Conseil est composé de treize personnes, dont 4 membres sont nommés par la Chambre de commerce[89] nommés pour 5 ans et renouvelés tous les ans par cinquième. Le conseil nomme chaque année, parmi ses membres, un président, un vice-président et un secrétaire qui peuvent être réélu. Il se réunit une fois par mois. Le président de la Chambre de commerce est président honoraire, avec voix consultative[90].
En , l’école passe sous statut associatif de type Association loi de 1901[91]. Le est créée l’Association de l'Enseignement Supérieur Commercial Rhône-Alpes (AESCRA)[92]. Le conseil d’administration de l’association se compose de 16 membres. Le collège des fondateurs dispose de 6 membres, le collège des partenaires, 4 membres, le collège des diplômés et futurs diplômés, 2 membres et enfin le collège des personnalités qualifiés, 4 membres. Sur les 16 membres, les 6 désignés par la CCI Lyon Métropole disposent chacun d’un droit de vote double, assurant ainsi de fait la gouvernance de la CCI sur l’association[91].
Depuis le , l'EM Lyon Business School est une société anonyme à directoire et conseil de surveillance. Le directoire est l'organe exécutif de l'école[93]. La CCI Lyon Métropole reste majoritaire au capital[94]. Dénommée Early Makers Group, la société est immatriculée le .
Enseignement et recherche
Programmes de formation
L'EM Lyon Business School propose différents types de formation[95], parmi lesquelles : un « Programme Grande École » (PGE), accessible aux élèves issus de deuxième année de classes préparatoires ou titulaires d'une licence ou d'un master, qui permet aussi d’accéder à des écoles nationales ou internationales[96] ; le « BBA », un cursus de niveau master 1 enseigné en anglais qui donne accès au précédent[97] ; le « Global DBA », un programme PhD à temps partiel délivré en partenariat avec la Durham University Business School, qui n'est pas un diplôme national de doctorat, destiné aux chefs d'entreprise[98]. L'école propose également une maîtrise en administration des affaires (MBA)[99].
Corps enseignant
En , l’école compte 18 professeurs pour la section commerciale et 4 professeurs pour la section de tissage[100]. En , l'école emploie 550 salariés[101]. Le corps professoral se compose de 160 professeurs permanents[102] dont 48 % d'internationaux[103] et 855 vacataires[103].
Public étudiant
A son ouverture en , l’école accueille 40 élèves dont une partie vient de l’école de Mulhouse. De 1872 à 1886, l’école forme 1519 élèves, soit une moyenne annuelle de 108 élèves[104].
En , l'école accueille en formation initiale 8900 étudiants[105] de 121 nationalités différentes[106]. L’école accueille également près de 6900 participants[105] à des programmes de formation continue.
Activités de recherche
L'EM Lyon Recherche est l’unité propre de recherche de l'école[107]. Ce pôle intègre neuf centres de recherche couvrant les domaines du management, de la gestion d’entreprise, de l’entreprenariat, de la finance ainsi que des disciplines associées[108] :
Centre de recherche | Thématique | Année de création |
---|---|---|
ERC | Entrepreneuriat et innovation | 2002 |
IFGE | Institut français de gouvernance d’entreprise | 2003 |
OCE | Organisations, carrières et nouvelles élites | 2005 |
QUANT | Méthodes quantitatives pour la gestion | 2006 |
Finance | Finance d’entreprise, d’entrepreneuriat et
comportementale |
2013 |
CBT | Cognition, Comportement et Transformation | 2015 |
STORM | Stratégie et organisation | 2016 |
Lifestyle | Marketing et style de vie | 2017 |
AIM | Intelligence artificielle pour le Management | 2018 |
Implantations
L'école est présente sur 7 campus à travers le monde :
Campus de Lyon-Ecully
Le campus Lyon-Ecully inauguré en 1972 est le campus principal et historique d’EM Lyon. Il se situe à Écully, au 23 avenue Guy de Collongue. Aux portes de Lyon, les bâtiments ont été conçus par les architectes Olivier Vaudou et Reymond Luthi[109] ainsi que Claude Viseux pour la partie artistique[110]. L'ensemble s’étend sur une surface de 6 hectares et dispose de 30 000 m2 de locaux. Il comprend notamment un incubateur, une salle de marché, une bibliothèque digitale (le Learning Hub, fruit d'un partenariat technologique avec IBM) et diverses infrastructures sportives[111]. Depuis 2012, le campus principal mutualise certains locaux avec l'École centrale de Lyon, située en face. C'est notamment le cas d'un fab lab (appelé LearningLab), au travers de l'alliance officielle entre les deux écoles[112].
Campus de Shanghai
Le campus de Shanghai est implanté en 2007 dans les locaux de l'université normale de la Chine de l'Est (ECNU en anglais), à l'ouest de Shanghai. Après un accord signé en 2015, un nouveau campus de 5 000 m2 est inauguré plus au sud de la ville[113],[114]. Complémentaire du premier, il doit notamment héberger une nouvelle école de commerce, commune avec l'ECNU : l'Asia European Business School (AEBS)[115].
Campus de Saint-Étienne
Le campus de l’ESC Saint-Étienne est racheté et modernisé en 2012[116],[117]. Implanté dans un ancien bâtiment historique de la manufacture Manufrance, au 51 cours Fauriel, il accueille depuis 2014 les étudiants du programme Global BBA sur 9 500 m2 et reprend certains éléments du campus d'Écully, comme sa bibliothèque numérique[118],[119].
Campus de Casablanca
Le campus de Casablanca (Maroc) a ouvert ses portes en 2015, au 6e étage de la tour Crystal dans la Marina de Casablanca. Il accueille les étudiants du Global BBA Casablanca[120],[121].
Campus de Paris
Le campus de Paris s'est implanté en 2016 au 15 boulevard Diderot, en face de la gare de Lyon, dans le 12e arrondissement[122],[123]. Il accueille les participants du Global BBA, de mastère spécialisé et des cursus de formation continue[123]. D’une surface totale de 5 500 m2, il comprend, comme le campus d'Écully ou de Saint-Étienne, une bibliothèque numérique et un fab lab[123]. Ce campus se veut un relais d’influence à Paris pour les entrepreneurs lyonnais, avec en son sein un espace de réseautage en partenariat avec OnlyLyon, la structure chargée de la promotion économique de la ville de Lyon, et un espace destiné au développement d’applications numériques en partenariat avec l'entreprise lyonnaise Visiativ[122].
Campus de Bhubaneswar
Le campus de Bhubaneswar (Inde) est créé en avec un accord de partenariat avec l'université Xavier Bhubaneswar (en)[124].
Campus de Bombay
En 2021, l'EM Lyon signe une convention avec le St Xavier’s College de Bombay, officialisant son implantation dans cette ville. Elle y installe un campus qui s’étend sur une surface de 12 000 m², et qui accueille 250 étudiants français et indiens[125].
Nouveau campus de Lyon-Gerland : L’Agora des transformations
En , l'EM Lyon annonce le déménagement pour 2022 de son campus principal d'Écully à Lyon, dans le quartier de Gerland, à la place d'une ancienne usine Nexans[126],[94]. Le terrain de 4 hectares a été acquis par la Métropole de Lyon et 2,4 hectares seront consacrés aux nouveaux bâtiments de l’école[127]. Le futur campus, dont le projet immobilier a été confié à la société Altarea Cogedim et l'architecte Philippe Chiambaretta[128] aura une superficie de 30 000 m2, dont 7 000 m2 d'espaces collaboratifs[129],[130]. Le site se composera de 4 bâtiments et d'une allée centrale et pourra accueillir à terme jusqu'à 10 000 étudiants[130],[105]. Les travaux débutés en 2020 étaient prévus pour s'achever en 2022 pour les 150 ans de l'école mais, en raison de la crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19, il est probable que l’inauguration des nouveaux locaux se fasse plutôt à l’été 2023[131],[132]. Le montant du projet est estimé à 140 millions d'euros de fonds privés dont plusieurs banques régionales et nationales, Crédit agricole Centre-est, LCL et CIC Crédit Mutuel[131],[133],[130],[126].
Gouvernance
Société à mission
L'EM Lyon est devenue société à mission en 2021 dans le cadre de son plan stratégique, « Confluences 2025 »[134].
Actionnariat
Nom | Part |
---|---|
Chambre de commerce et d'industrie Lyon Métropole Saint-Étienne Roanne | 51 % |
Galileo Global Education associé à Téthys Invest (fonds d'investissement de la famille Bettencourt)[66] | 40 % |
Budget et chiffre d'affaires
En 2020, le budget de fonctionnement propre au groupe EM Lyon Business School se porte à 110 millions d’euros[152].
Une partie de ce budget est fourni par les frais d'inscription, qui, à l'instar de ceux d'autres écoles, ont augmenté de 89 % entre 2008 et 2018[153] frôlant les 45 000 € en 2019[154].
Fondation Emlyon
Créée en sous l'égide de la Fondation de France, la Fondation EM Lyon Business School est l'une des premières fondations françaises attachée spécifiquement au développement d'une école de commerce[155]. Cette instance est pilotée par un comité exécutif de 11 personnes[156]. La fondation permet de mobiliser et soutenir l’école, de renforcer son rayonnement et d’accroitre sa dynamique internationale. Les principales actions de la fondation sont l’accompagnement des étudiants en difficulté financière par le biais de bourses ou de fonds d’urgence, le soutien aux projets entrepreneuriaux portés par les étudiants, le renforcement de la présence de l’école et la modernisation de l’environnement de travail sur les campus[157]. Durant la pandémie de Covid-19, la Fondation emlyon et les diplômés ont débloqué 408000€ en faveur des étudiants de l’école[158]. En 2021, Philippe Klocanas est élu à la présidence de la Fondation[156].
Identité visuelle
- Logo de 1998 à 2005.
- Logo de 2005 à 2016.
- Logo de 2016 à 2021.
- Logo actuel depuis 2021.
L'entité correspondant aujourd'hui à l'EM Lyon Business School a changé de nom et de graphie commerciale à de multiples reprises au cours de son histoire. Originellement créée sous le nom d'École supérieure de commerce de Lyon en 1872, elle est rebaptisée École supérieure de commerce et de tissage de Lyon en 1876 avant de reprendre son nom initial, École supérieure de commerce de Lyon, en 1934[13].
2016 marque l'adoption de la dernière graphie commerciale en date, « emlyon business school », dont l'emphase et le style en minuscules veut refléter l'engagement global et numérique de l'école[159].
Accréditations internationales
L'EM Lyon Business School dispose de la triple accréditation : EQUIS, AMBA et AACSB.
- en 1998, l'EM Lyon obtient l’accréditation européenne EQUIS. Celle-ci est ensuite renouvelée sans interruption (2003, 2008, 2014, 2019)[160] ;
- en 2000, les programmes International MBA et Executive MBA, suivis par le programme MSc in Management sont reconnus par l’AMBA (Royaume-Uni)[161];
- en 2020, son accréditation américaine AACSB est renouvelée pour cinq ans[162],[163],[164].
Classements
Dans les classements nationaux, l'école est régulièrement classée parmi les cinq meilleures écoles de commerce françaises, avec HEC, l'ESSEC, l'ESCP Europe, et l'EDHEC Business School, l'EM Lyon étant placée de la 4e à la 5e place selon les classements. Selon le classement officiel SIGEM (qui comptabilise les choix d'affectation des étudiants des classes préparatoires à la suite des concours, hors choix des admissions sur titres), l'EM Lyon est à la 5e place derrière HEC, l'ESSEC, l'ESCP Europe et l'EDHEC[165].
Programme Grande École - grade de Master (Bac +5)
Classement du Programme Grande École - Master | Rang français |
---|---|
Financial Times - Masters in Management 2022[166],[167] | no 4 |
Challenges - Classement des écoles de commerce post-prépa 2023[168] | no 5 |
L'Étudiant - Classement des grandes écoles de commerce 2023[169] | no 4 |
Le Figaro - Classement des écoles de commerce 2023[170] | no 4 |
Le Parisien - Palmarès des Grandes Écoles de Commerce 2023[171] | no 5 |
Le Point - Classement Master Grande École 2020[172] | no 4 |
Sigem - Classement Sigem 2023[173] | no 5 |
Programme MBA et formation continue (Executive Education)
Classement du programme | Rang français | Rang mondial |
---|---|---|
The Economist - MBA Ranking 2022[174] | no 3 | no 30 |
Financial Times - Global MBA Ranking 2020[175] | no 3 | no 79 |
Financial Times - Executive MBA 2019[176] | no 7 | no 55 |
Financial Times - Executive Education - Open - 2020[177] | no 7 | no 64 |
Financial Times - Executive Education - Customised - 2020[178] | no 6 | no 29 |
Classement de Shanghai
Au classement de Shanghai des universités mondiales de 2022, l'EM Lyon est, parmi les grandes écoles de commerce/management, classée 2e établissement français ex-æquo avec HEC Paris dans la catégories « management » et 3e dans la catégorie « business administration »[166],[179],[180].
Associations
Associations étudiantes
Il existe au sein de l'école une cinquantaine d'associations étudiantes[181], parmi lesquelles :
- Le Petit Paumé : association au budget le plus important de l'école. 35 étudiants bénévoles rédigent, publient et distribuent chaque année les 250 000 exemplaires du guide lyonnais Le Petit Paumé[182]. L'équipe du guide est critiquée pour des propos jugés racistes et discriminatoires dans son édition 2020, pour lesquels elle présente des excuses[183],[184] ;
- Astuce Lycéens : association d'ouverture sociale, elle est la concrétisation du programme Trait d'union multi-campus multi-quartiers lancé en 2006 par EM Lyon[185]. 300 étudiants-tuteurs de l'EM Lyon et de l'École centrale de Lyon accompagnent et soutiennent scolairement 450 lycéens et 80 élèves de classes préparatoires issus de zone d'éducation prioritaire[186] ;
- Jet EM Lyon : fondée en 1989, Jet EM Lyon est le job service de l'école. Elle s’inscrit dans un mouvement national : la Confédération nationale des job services (CNJS) ;
- Cheer Up! EM Lyon : créée en 2012, cette association est affiliée à la fédération Cheer Up ! accompagnant bénévolement des jeunes atteints de cancers dans la réalisation de projets personnels[187],[188] ;
- EM Lyon Junior Conseil : Junior-Entreprise de l'école. Fondée en 1972, elle est la première junior-entreprise française à avoir été certifiée ISO 9001 par le bureau Veritas Certification en 1999[189],[190].
- Sup' de Coteaux : association d'œnologie fondée en [191] ayant pour but de faire découvrir l'œnologie aux étudiants[192] à travers de nombreux évènements et organisant notamment le Défi de Bacchus[193].
- Forum EM Lyon : tribune étudiante de l'école fondée en 1999. Le but de l'association est d'organiser des conférences et des débats avec des invités inspirants appartenant aux hautes sphères politiques, économiques, culturelles ou sportives françaises[194],[195].
- NOISE EM Lyon : L'acronyme NOISE signifie Nouvel Observatoire de l'Innovation Sociale et Environnementale. Ce nom fait également référence au bruit grandissant de l’économie sociale et solidaire (ESS) dans la société. Créé en 2011 à l'ESCP Europe, le NOISE est désormais un réseau d'associations dans 10 Grandes Ecoles françaises (ESCP, Paris Dauphine, ESSEC, Sciences Po Paris, AgroParisTech, Les Mines Paris, Sorbonne, ASSAS et enfin emlyon business school). Créée en 2009 sous le nom de EMicrocrédit, l'association d'innovation sociale et environnementale de l'emlyon business school rejoint le réseau du NOISE en 2015 et devient le NOISE emlyon[196].
Association des anciens élèves (Alumni)
En , plusieurs anciens élèves de l’école se regroupent et élaborent un projet d'association des anciens élèves. L'assemblée générale de constitution a lieu le , sous la présidence du directeur de l'école, Achille Penot. Le bureau de l'association est alors composé de 9 membres[197]. L'association est autorisée par arrêté préfectoral du et Pierre Pagnon est nommé premier président de l'association, fonction qu'il occupera jusqu'en décembre 1894[198]. Les premiers statuts de l'association fixent les objectifs suivants: 1° Établir et entretenir des relations amicales; 2° Correspondre afin de se communiquer des renseignements utiles; 3° Indiquer à l'administration de l'école les emplois vacants à la connaissance de chacun, afin de faciliter le placement des anciens élèves. La première année, l'association compte 50 membres. Ils seront 450 en 1885[199]. À partir de 1879, l'association publie un Bulletin trimestriel relatant les travaux de l'association[200] mais également des rapports et articles concernant le commerce, la géographie, l'économie politique[201]...
À partir de 2010, l'Association des diplômés EM Lyon (ADEM) adopte le principe de la cotisation à vie et devient le réseau Emlyon Forever[202], réseau qui regroupe l'ensemble des anciens élèves de l’école mais également les étudiants en cours de formation. Cette association d'anciens élèves a pour but de faciliter la carrière des étudiants diplômés en organisant des événements leur permettant de se rencontrer, en animant le réseau ou en promouvant l'image de l'école en France et à l'international[203].
Personnalités
Corps enseignant
- David Courpasson, sociologue, rédacteur régulier pour la Harvard Business Review France[204]
- Pierre-Yves Gomez, professeur de stratégie et de gouvernance d'entreprise
- Marc Dugain, romancier, ancien professeur en master d'ingénierie financière[205]
- Patrick Louis, homme politique et professeur d'économie politique et de géopolitique
- Kako Nubukpo, homme politique et macroéconomiste togolais
- Thomas Guénolé, politologue et intellectuel, professeur de marketing et d'enjeux écologiques[206]
- Jacques Pélissard, homme politique et professeur de droit économique
- Sabine Buis, femme politique, chargée de cours transition énergétique
- Michel Sauquet, écrivain et professeur d'économie appliquée
- Erno Tornikoski, chercheur et professeur en entrepreneuriat
- Laurent Wauquiez, homme politique et intervenant pour le cours « Enjeux de société »[207]
- Paul Ariès, politologue, animateur durant plusieurs années d’un séminaire d'anthropologie économique
- Astrid Hopfensitz, enseignante-chercheuse en économie, médaille de bronze du CNRS[208]
Anciens élèves et diplômés
- Antoine Arbel (1875), industriel et homme politique, député[209]
- Cyrille Cottin (1891), industriel et coureur automobile, cofondateur de l'entreprise Cottin & Desgouttes[210]
- Désiré Valette (1901), homme politique, sénateur[211]
- Paul Jourdain (1902), homme politique, député, sénateur, ministre du travail puis ministre des pensions[212]
- Robert Waddington (1913), as de l'aviation français de la Première Guerre mondiale[213]
- Georges Riond (1928), journaliste, patron de presse et homme politique
- André Ferrand (1957), homme politique, sénateur[214]
- Jean Proriol (1957), homme politique, député, sénateur[215]
- Henry Chabert (1968), homme politique, député[216]
- Bernard Fornas (1970), ancien président et CEO de Cartier International[217]
- Hassan Abouyoub (1974), ambassadeur du Maroc en Italie[218]
- Daniel Rouach (1978), professeur universitaire et auteur de livres économiques[219]
- Bruno Duvergé (1984), homme politique, député[220]
- Stéphane Bern (1985), journaliste, animateur de radio, présentateur de télévision[221]
- Jean-Pascal Tricoire (1986), PDG de Schneider Electric[222]
- Ali Kooli (1987), ministre de l’économie et des finances tunisien[223]
- César Giron (1987), PDG de Martell Mumm Perrier-Jouët, filiale de Pernod Ricard, petit-fils de Paul Ricard[224]
- Vincent Prolongeau (1987), ancien PDG de Danone France, actuel PDG de Continental Foods France[225]
- Valérie Guignabodet (1988), scénariste et réalisatrice[226]
- Guillaume-Olivier Doré (1996), entrepreneur[227]
- Gwendal Peizerat (1998), patineur artistique, médaille d'or aux JO de Salt Lake City[228]
- Pierre-Édouard Stérin (1998), entrepreneur et investisseur français (Smartbox, TheFork)[229]
- Éric Bellion (2001), navigateur[230]
- Amandine Albizzati (2002), dirigeante d'entreprise, spécialiste de l'économie sociale et solidaire[231]
- Thomas Guénolé (2007), politologue et intellectuel[232]
- Olivier Berruyer (2008), économiste[233]
- Nathalie Péchalat (2014), patineuse artistique, présidente de la Fédération française des sports de glace[234]
- Eva Sadoun (2015), entrepreneuse, cofondatrice & présidente de LITA.co[235]
- Marion Maréchal (2019), femme politique et directrice d'établissement d'enseignement supérieur[236]
- Frédéric Michalak (2019), rugbyman[237]
- Sébastien Chabal (2019), rugbyman[238]
Autres personnalités
- Édouard Aynard, banquier et homme politique lyonnais, président du conseil d'administration de l'école de 1878 à 1889[239]
- Joseph Gillet, industriel et banquier, ancien vice-président du conseil d'administration de l'école[240]
- Charles Cabaud, homme d'affaires lyonnais, ancien membre du conseil d’administration de l'école[241]
- Renaud Gillet, chef d'entreprise, ancien président du conseil d'administration de l'école[242]
- Dominique Nouvellet, président du conseil d’administration du Groupe EM Lyon de 2003 à 2006[243]
- Bruno Bonnell, entrepreneur et homme politique, président du conseil d’administration du Groupe EM Lyon de 2012 à 2019[244] - [245]
- Gérald Karsenti, homme d'affaires, membre du conseil de surveillance de l'école
- Guillaume Pepy, haut fonctionnaire français, ancien président de la SNCF, président du conseil de surveillance de l'école[246]
Controverses
Enregistrements de Laurent Wauquiez
Au cours d'un enseignement intitulé « Enjeux de société », en , Laurent Wauquiez voit certaines de ses déclarations être enregistrées à son insu et diffusées, provoquant une controverse[247]. S'il avait interdit aux étudiants de communiquer sur leur contenu[248], des extraits sont diffusés dans l'émission Quotidien. On y entend l'enseignant affirmer que Nicolas Sarkozy « mettait sur écoutes pour pomper tous les mails, tous les textos » les portables des membres du gouvernement et que les équipes qu'Emmanuel Macron « ont largement contribué à mettre en place la cellule de démolition » contre François Fillon[247].
Laurent Wauquiez menace de « suites judiciaires »[249]. Thierry Picq, directeur de l'innovation à l'EM Lyon, avait indiqué plus tôt que Laurent Wauquiez interviendrait « évidemment de façon apolitique »[250]. Si pour Gérald Darmanin « il y a de drôles d’enseignements dans de drôles d’écoles de commerce »[251], le vice-président de LR Guillaume Peltier indique que « c’était un cours de jeu de rôles sur des situations irréelles, exceptionnelles liées aux rumeurs dans le monde politique »[252]. Le directeur de l'école, Bernard Belletante, condamne sévèrement la fuite de l'enregistrement. Bruno Bonnell, qui préside l'école et est également député LREM, « regrette profondément qu'un engagement de faire un cours apolitique et inspirant soit devenu une tribune politique et désespérante »[253].
Sexisme et racisme
En , une enquête interne est ouverte à la suite de la révélation par Le Progrès et Lyon Capitale d’un classement sexiste des étudiantes de l’école, tenu par des étudiants depuis au moins deux ans[254],[255]. La direction annonce un conseil de discipline, mais, ne pouvant pas identifier les auteurs, demande finalement un travail collectif sur les sujets de parité, de sexisme et de racisme, ainsi qu’un engagement écrit à ne pas réitérer les faits[256],[257]. Elle rend également la parité obligatoire au sein de la direction des associations de l’école[257].
En , l’édition 2020 du guide de Lyon Le Petit Paumé, rédigé par l’association étudiante homonyme, est dénoncée pour des propos sexistes et racistes. La ville de Villeurbanne annonce l’annulation de la distribution du guide sur sa commune. L’équipe de rédaction présente des excuses en évoquant des « mésinterprétations »[184]. La direction de l’école condamne publiquement ces agissements et affirme que « des sanctions ont été prises lors d’un conseil de discipline »[258].
En 2020, l’administration de l’école annonce des mesures contre les violences sexuelles et sexistes, dont notamment la création, avec le collectif Olympe, d’une plate-forme de signalement de faits de discrimination ou de violence sexiste ou sexuelle, SpeakUp, pour les étudiants et les membres du personnel de l’école[258],[259],[260].
Dans la culture populaire
En 2014, le film Barbecue réalisé par Éric Lavaine et coécrit avec Héctor Cabello Reyes a pour protagonistes un groupe d’amis, tous anciens de Sup de Co Lyon, ayant entretenu une solide amitié et qui continuent de se retrouver, des années après la fin de leurs études[261].
Notes et références
Notes
- ↑ « emlyon business school » est la graphie officielle employée sur le site institutionnel de l'école.
- 1 2 L'INSEAD ne pratique toutefois pas de formation initiale
Références
- ↑
- 1 2 « Après Casablanca, L'EM Lyon ferme son campus de Saint-Etienne », sur Le Figaro Etudiant, (consulté le ).
- ↑ Annonce légale publiée dans le Journal de Lyon d'octobre 1872 Extrait tronqué consultable : http://www.em-lyon.com/fr/content/download/7015/161673/version/2/file/Rapport%20Annuel%20F.pdf
- ↑ « Ecole supérieure de commerce et d'administration des entreprises. Ecully, Rhône (1872 - 1979) - Organisation - Ressources de la Bibliothèque nationale de France », sur data.bnf.fr (consulté le ).
- 1 2 3 4 5 6 Ferdinand Edouard Buisson, Dictionnaire de pédagogie et d'instruction primaire, Volume 1, Hachette et Cie., , 1780 p. (lire en ligne), p. 434
- ↑ « Chapitre II : une école en perpétuelle adaptation », sur Service des archives de l'Université de Haute Alsace (consulté le ).
- 1 2 3 Marianne Thivend, « L’enseignement technique et la promotion scolaire et professionnelle sous la Troisième République », Revue française de pédagogie. Recherches en éducation, , p. 59–67 (ISSN 0556-7807, DOI 10.4000/rfp.1045, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « École de tissage » (consulté le ).
- ↑ « Lyon et la soie : le dessin textile entre art et industrie (fiche n°6) », sur Millénaire - Le centre ressources prospectives du Grand Lyon.
- 1 2 3 4 Jean-François Klein, « La création de l’école coloniale de Lyon. Au cœur des polémiques du Parti colonial », Outre-mers, vol. 93, no 352, , p. 147–170 (DOI 10.3406/outre.2006.4230, lire en ligne, consulté le )
- 1 2 3 Jean-François Klein, « Pour une pédagogie impériale ? L'École et le Musée colonial de la Chambre de commerce de Lyon (1890-1947) », dans La colonisation culturelle dans l'Empire français, Outre-Mers. Revue d'histoire (no 94), (lire en ligne), p. 35-61
- ↑ « De l'exposition universelle de Lyon de 1894 à l'université Jean Moulin : la collection lyonnaise d’ethnologie coloniale d’André Leroi-Gourhan » (consulté le ).
- 1 2 3 « École supérieure de commerce et d'administration des entreprises. Ecully, Rhône - atelier de data.bnf.fr », sur data.bnf.fr (consulté le ).
- ↑ Ecole supérieure de commerce et d'administration des entreprises (Ecully, Rhône), « BnF Catalogue général », sur catalogue.bnf.fr (consulté le ).
- 1 2 emlyon, « Découvrez l'histoire de l'école de management - EMLYON Business School », sur emlyon (consulté le ).
- ↑ « Classement des incubateurs d'entreprise dans les écoles de commerce » (consulté le ).
- ↑ L’EM Lyon à Shanghai
- 1 2 Dominique Largeron, « Ancien directeur d'EMLyon, Patrick Molle veut créer à Lyon... une nouvelle école de commerce », sur lyon-entreprises.com, (consulté le ).
- ↑ « Patrick Molle et l'EM LYON, un grand tour et puis s’en va » (consulté le ).
- ↑ emlyon, « EMLYON Business School, départ du Directeur Général - EMLYON Business School », sur emlyon (consulté le ).
- 1 2 « Bernard Belletante: biographie et actualités sur EducPros », sur letudiant.fr (consulté le ).
- ↑ « Classement "masters" du "Financial Times" : Les écoles françaises dominent les anglaises - Educpros », sur letudiant.fr (consulté le ).
- ↑ « L'EMLYON en chute libre au classement des écoles de commerce du Financial Times » (consulté le ).
- ↑ « EM Lyon : l’Ecole de management sort du Top 10 des masters en management » (consulté le ).
- ↑ AERES, « Rapport d'évaluation de l’EMLYON » [PDF], .
- ↑ À Saint-Étienne, EM Lyon inaugure un campus dernier cri
- ↑ « EMLYON : une connection [sic] de 5 ans avec IBM » (consulté le ).
- 1 2 « Partenariat inédit entre EMLYON et IBM » (consulté le ).
- ↑ Christine Lagoutte, « EMLyon va développer avec IBM des campus éphémères », Le Figaro, (ISSN 0182-5852, lire en ligne, consulté le )
- ↑ (en-US) « EMLyon to create a Smart Business School via IBM Cloud », sur www-03.ibm.com, (consulté le ).
- ↑ « Le palmarès 2015 des écoles de commerce : cap sur l'international et le digital - Educpros », sur letudiant.fr (consulté le ).
- ↑ Coralie Donas, « La pédagogie du futur s'invente à Lyon », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « L’EMLyon s’implante à Paris et Shanghai » (consulté le ).
- ↑ Coopération entre l’ECNU et l’EM Lyon
- ↑ EM Lyon et Grenoble École de management : les fiançailles, Denis Lafay, La Tribune,
- ↑ letudiant.fr du , L'emlyon business school et Grenoble École de management se fiancent.
- ↑ Olivier Rollot, « L’« Alliance Lyon Grenoble Business School » décryptée : entretien avec Loïck Roche (GEM) », sur Il y a une vie après le bac ! (consulté le ).
- 1 2 « Pourquoi l'EMLyon et Grenoble Ecole de management se rapprochent » (consulté le ).
- ↑ (en-US) « Interview de Bernard Belletante 30/03/16 », sur Mixcloud (consulté le ).
- ↑ « Grenoble EM et EM Lyon: une alliance... et plus si affinités? » (consulté le ).
- ↑ le figaro, « Grenoble EM et EM Lyon: une alliance... et plus si affinités? », sur Le Figaro Etudiant (consulté le ).
- ↑ « L'EM Lyon et Grenoble École de management se fiancent », sur letudiant.fr (consulté le ).
- ↑ « B. Belletante : "Le passage d’EM Lyon en SA est nécessaire si Rhône-Alpes... », sur aefinfo.fr (consulté le ).
- ↑ Gaëlle Ginibrière, « EM Lyon : « En 2020, seuls 10 % de nos étudiants seront issus de classes prépas » », Le Figaro Etudiant, 12/11/2014 à 09:39, p. 1 (lire en ligne, consulté le )
- ↑ « EM Lyon lance le premier institut en Intelligence artificielle », Le Progrès, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Emlyon business school inaugure AIM Institute, un institut en IA appliquée au management de l’entreprise », sur Actu IA, (consulté le ).
- ↑ « EM Lyon Business School va changer de directeur », sur Lyonmag.com (consulté le ).
- ↑ Caroline Girardon, « Lyon: Le futur campus d'EM Lyon présenté comme «l'école de demain» », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
- ↑ « EXCLUSIF. Bernard Belletante quittera la direction de l'EM Lyon en avril - Tribune de Lyon », Tribune de Lyon, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Rhône. Ouverture du capital d’Emlyon : 100 millions d’euros pour prendre une longueur d’avance », sur leprogres.fr (consulté le ).
- ↑ « L'EMLyon lève 100 millions d'euros en s'alliant au fonds Qualium Investissement », sur Challenges (consulté le ).
- ↑ « Écoles de commerce: l'EMLyon lance une augmentation de capital de 100 millions d'euros », sur FIGARO, (consulté le ).
- ↑ « EMLyon : Bruno Bonnell cède sa place à la tête du conseil de surveillance », sur Tribune de Lyon, TribunedeLyon, .
- ↑ « Enseignement supérieur : Emlyon n'a plus de patron », sur La Tribune, (consulté le ).
- ↑ Kira Mitrofanoff, « L’EMLyon vire son directeur », sur Challenges, (consulté le ).
- ↑ « Lionel Sitz », sur Blog Headway (consulté le ).
- ↑ Maximilien Arengi, « emlyon nomme un nouveau Directeur du PGE », sur Business Cool, (consulté le ).
- ↑ Marie-Christine Morosi, « Carnet - Isabelle Huault, bientôt directrice de l’Emlyon Business School », sur Le Point, (consulté le ).
- ↑ « Isabelle Huault prend la direction d'emlyon », sur Business Cool, (consulté le ).
- ↑ Maximilien Arengi, « La directrice du PGE de NEOMA prend la tête du PGE d’emlyon », sur Business Cool, (consulté le ).
- ↑ « Nomination de Sylvie Jean au PGE de l'EM Lyon BS : ce qu'il faut savoir », sur Misterprepa, (consulté le ).
- ↑ « Annabel-Mauve Bonnefous quitte Toulouse pour l’emlyon business school », sur La Tribune (consulté le ).
- ↑ « Annabel-Mauve Bonnefous quitte TBS pour emlyon », sur Business Cool, (consulté le ).
- ↑ « EM Lyon : Nicolas Péjout devient directeur de la stratégie et du développement... », sur aefinfo.fr (consulté le ).
- ↑ « Bruno Tallent, directeur de la communication, de la marque et du marketing de emlyon business school », sur CB News (consulté le ).
- 1 2 « Grandes écoles: comment l'EM Lyon cherche à se relancer », sur Les Echos, (consulté le ).
- 1 2 « Auvergne Rhône-Alpes. L'EM Lyon veut "accueillir 30 % d’étudiants boursiers d’ici à 2025" », sur leprogres.fr (consulté le ).
- ↑ « Confluence 2025 : EM Lyon dévoile son plan stratégique », sur Studyrama Grandes Ecoles, (consulté le ).
- ↑ « emlyon, l'Esadse et la Cité du design signent un partenariat », sur Studyrama Grandes Ecoles, (consulté le ).
- ↑ « Grandes écoles : emlyon devient société à mission et aspire au prestige universitaire », sur Les Echos, (consulté le ).
- ↑ « Ecole de management : comment l'emlyon veut restaurer son image », sur Les Echos, (consulté le ).
- ↑ « EMLyon : le plan stratégique “Confluences 2025“ détaillé ; évolution de l'école en société à mission », sur News Tank Éducation & Recherche (consulté le ).
- ↑ « Business schools: pourquoi l'emlyon est placée sous surveillance », sur Challenges (consulté le ).
- 1 2 « L’EM Lyon, une école de commerce dans la tourmente », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- ↑ « I.Huault (emlyon) : 'La logique de rentabilité s’impose à toutes les business schools' », sur letudiant.fr (consulté le ).
- ↑ « Les étudiants d’emlyon répondent au magazine Challenges », sur Medium, (consulté le ).
- ↑ « 1 200 étudiants d'emlyon répondent ouvertement à Challenges », sur Misterprepa, (consulté le ).
- ↑ le figaro, « Classement du Financial Times 2020: trois écoles françaises dans le top 10 », sur Le Figaro Etudiant (consulté le ).
- ↑ Par Le Parisien Etudiant Le 18 mai 2021 à 07h10, « Ecoles de commerce : l'EM Lyon deviendra société à mission en juillet », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- ↑ Jeanne Le Bihan, « Début des travaux pour l'EM Lyon sur le nouveau campus de Gerland », sur Lyon Capitale, (consulté le ).
- ↑ « L'EMLyon inaugure le chantier de son nouveau campus », sur Challenges, (consulté le ).
- ↑ Isabelle Chaperon, « L’EM Lyon veut se relancer avec un nouvel actionnaire », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Enseignement supérieur : de nouveaux actionnaires pour emlyon », sur Les Echos, (consulté le ).
- ↑ le-tout-lyon, « Biomérieux parmi les nouveaux actionnaires de l'emlyon », sur Tout Lyon, (consulté le ).
- ↑ Richard Schittly, « A Lyon, la chambre régionale des comptes dénonce la gestion passée d’une école de commerce », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Classement 2023 des grandes écoles de commerce - L'Etudiant », sur letudiant.fr (consulté le ).
- ↑ « Classement 2023 des écoles de commerce », sur Le Figaro Etudiant (consulté le ).
- ↑ « Dix ans après son installation, l'EM Lyon va fermer son campus de Saint-Etienne », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, (consulté le ).
- 1 2 Eugène (1837-1909) Auteur du texte Léautey, L'enseignement commercial et les écoles de commerce en France et dans le monde entier... / par Eugène Léautey, (lire en ligne)
- ↑ Eugène (1837-1909) Auteur du texte Léautey, L'enseignement commercial et les écoles de commerce en France et dans le monde entier... / par Eugène Léautey, (lire en ligne)
- 1 2 Chambre de commerce et d'industrie Lyon Métropole Saint-Étienne Roanne, « Séance de l'assemblée générale du 23 avril 2018 : Réorganisation de la gouvernance d'EM Lyon », sur lyon-metropole.cci.fr, .
- ↑ « Résultats de recherche | Associations | journal-officiel.gouv.fr », sur journal-officiel.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « EM Lyon : Bernard Belletante passera la main le 1er avril 2019 », sur Lyon Capitale, (consulté le ).
- 1 2 Ouverture du capital de la SA Early Makers Group (EMG) - Assemblée générale du 21 janvier 2019, Chambre de commerce et d'industrie Lyon Métropole Saint-Étienne Roanne (lire en ligne)
- ↑ « Grandes écoles de commerce : leurs vraies spécialités - L'Etudiant », sur L’Étudiant (consulté le ).
- ↑ « Doubles diplômes proposés par le Programme Grande Ecole d'emlyon », sur masters.em-lyon.com (consulté le ).
- ↑ « Global BBA : découvrez le Bachelor in Business Administration, BBA », sur Global BBA d’EM Lyon Business School (consulté le ).
- ↑ « Global Doctorate Of Business Administration, GDBA, formation management Paris », sur Formations par EM Lyon executive development (consulté le ).
- ↑ « MBA : préparez un Executive MBA avec emlyon executive », sur Formations par EM Lyon executive development (consulté le ).
- ↑ Eugène (1837-1909) Auteur du texte Léautey, L'enseignement commercial et les écoles de commerce en France et dans le monde entier... / par Eugène Léautey, (lire en ligne)
- ↑ Denis Lafay, « Tawhid Chtioui, nouveau patron d’EM Lyon Business School, veut impulser une approche qui mette l’accent sur la responsabilité sociétale. », sur pressreader.com, (consulté le ).
- ↑ « Emlyon devient une société à mission en juillet 2021 », sur letudiant.fr (consulté le ).
- 1 2 « Emlyon business school - Semaine des grandes écoles »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur grandesecoles-evenements.etudiant.lefigaro.fr (consulté le ).
- ↑ Eugène (1837-1909) Auteur du texte Léautey, L'enseignement commercial et les écoles de commerce en France et dans le monde entier... / par Eugène Léautey, (lire en ligne)
- 1 2 3 « emlyon business school », sur Planete Grandes Ecoles - PGE (consulté le ).
- ↑ (en-GB) FE News: The Future of Education News Channel, « emlyon business school announces new Mumbai campus », sur FE News (consulté le ).
- ↑ « scanR | Moteur de la Recherche et de l'Innovation », sur scanr.enseignementsup-recherche.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ Haut Conseil de l'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, « Évaluation de l'unité Emlyon Recherche », sur hceres.fr, .
- ↑ « École supérieure de commerce, Écully (69) - Présentation du projet », sur vaudou-luthi-architectures.com.
- ↑ « École supérieure de commerce de Lyon », sur numelyo.bm-lyon.fr.
- ↑ « Campus de Lyon », sur em-lyon.com (consulté le ).
- ↑ emlyon, « Programme I.D.E.A. : alliance Centrale Lyon et EMLYON - projet entrepreneuriat », sur em-lyon.com (consulté le ).
- ↑ « L'emlyon s'implante à Paris et Shanghai », sur leprogres.fr, .
- ↑ « L'emyon crée l'Asia Europe Business School à Shanghai », sur leprogres.fr, .
- ↑ « ESSCA, EMLyon, SKEMA, KEDGE : les business schools se déploient en Chine », sur challenges.fr, .
- ↑ « L'ESC Saint Étienne va devenir un campus de l'EM Lyon », sur letudiant.fr, .
- ↑ « Grandes écoles : ESC Saint-Étienne devient le troisième campus d'EM Lyon », sur latribune.fr, .
- ↑ « L'EM Lyon inaugure un nouveau campus à Saint-Etienne », sur france3-regions.francetvinfo.fr, .
- ↑ « A Saint-Etienne, EMLYON inaugure un campus dernier cri », sur latribune.fr, .
- ↑ L'Usine Nouvelle, « L’Essec prépare son implantation au Maroc pour la rentrée 2016 - L'Usine Maroc », usinenouvelle.com/, (lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Cap sur l’Afrique pour les écoles de management françaises », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le )
- 1 2 « Emlyon prend racine à Paris, avec les entrepreneurs lyonnais », L'Opinion, (lire en ligne, consulté le )
- 1 2 3 « emlyon : un campus parisien de 5 500 m2 ouvrira en septembre 2016 », sur latribune.fr, .
- ↑ « L'EM Lyon réinvente ses relations avec les entreprises - Educpros », sur letudiant.fr, (consulté le ).
- ↑ « emlyon ouvre son nouveau campus en Inde Business Cool », sur Business Cool, (consulté le ).
- 1 2 « L'EMLyon inaugure le chantier de son nouveau campus », sur Challenges, (consulté le ).
- ↑ « ENSEIGNEMENT. Le nouveau campus de l’EM Lyon à Gerland se dévoile », sur lyonplus.com (consulté le ).
- ↑ « L'EM Lyon revient en ville dans un bâtiment inspiré des nouveaux sièges sociaux », sur Les Echos, (consulté le ).
- ↑ « Lyon: Le futur campus d'EM Lyon présenté comme «l'école de demain» », sur 20minutes.fr (consulté le ).
- 1 2 3 le-tout-lyon.fr, « Emlyon retient Altarea-Cogedim et PCA-Stream Architecte », sur Le Tout Lyon (consulté le ).
- 1 2 « EM Lyon : “le futur campus contribuera à façonner la société” - VIDEO », sur Lyonmag.com, (consulté le ).
- ↑ « Interview d’Isabelle Huault, nouvelle présidente du directoire d’emlyon », sur Business Cool, (consulté le ).
- ↑ « Rhône. Les premières images du futur campus de l’EM Lyon dévoilées », sur leprogres.fr (consulté le ).
- ↑ « Grandes écoles : emlyon devient société à mission et aspire au prestige universitaire », sur Les Echos, (consulté le ).
- 1 2 « https://doczz.fr/doc/5996329/140-ans-de-formation-entrepreneuriale »
- 1 2 « http://clio.ish-lyon.cnrs.fr/patrons/AC000008076/AC000008076Doc1297.pdf »
- 1 2 « https://halshs.archives-ouvertes.fr/tel-01115989/document »
- ↑ « http://rbcp.free.fr/1991/1991_15.pdf »
- ↑ Les Échos, (journal)
- ↑ L'Usine Nouvelle, (revue)
- ↑ L'Étudiant, (périodique)
- ↑ L'Étudiant, (périodique)
- ↑ « http://www.em-lyon.com/fr/content/download/45618/1878203/version/1/file/CP%20Courtier%20juin%202013.pdf »
- ↑ L'Étudiant, (périodique)
- ↑ L'Étudiant, (périodique)
- ↑ L'Étudiant, (périodique)
- ↑ « https://www.em-lyon.com/fr/actualite-ecole-de-commerce/Folder/communiques-sur-l-ecole-de-commerce/Nomination-d-Isabelle-Huault-a-la-Presidence-du-Directoire-d-emlyon-business-school »
- ↑ « https://www.le-tout-lyon.fr/isabelle-huault-nouvelle-presidente-d-emlyon-c-est-une-ancienne-etudiante-diplomee-d-emlyon-1990-12445.html »
- ↑ L'Étudiant, (périodique)
- ↑ Jean-Pierre VACHER, « Emlyon : la CCI garde les rênes aux côtés de Galileo » , sur lyondecideurs.com, (consulté le ).
- ↑ « L’EM Lyon veut se relancer avec un nouvel actionnaire », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Classement 2016 des écoles de commerce post-prépa: EM Lyon », sur challenges.fr, .
- ↑ « Frais de scolarité en école de commerce : où va l’argent ? », sur Les Echos Start, (consulté le ).
- ↑ « Frais de scolarité des écoles de commerce : le seuil de 40 000€ franchi ! », sur Major-Prépa, (consulté le ).
- ↑ « Fondation EM Lyon Business School », sur fondationdefrance.org, (consulté le ).
- 1 2 « P. Klocanas élu président de la Fondation de l'emlyon », sur Capital Finance, (consulté le ).
- ↑ « Faire un don à notre Fondation », sur dons.fondationdefrance.org (consulté le ).
- ↑ « emlyon débloque plus de 600 000€ pour ses étudiants », sur Business Cool, (consulté le ).
- ↑ http://www.taonix.fr, « EM Lyon se dote d'un nouveau logo et d'une nouvelle identité visuelle », sur lyon-entreprises.com (consulté le ).
- ↑ « E.M.LYON : accréditation EQUIS renouvelée pour 5 ans », sur Studyrama.com (consulté le ).
- ↑ EM Lyon : Présentation et Formations
- ↑ (en) emlyon, « La ré-accréditation AACSB confirme l’attractivité et l’excellence académique d’emlyon business school - EMLYON Business School », sur emlyon (version du 22 octobre 2020 sur Internet Archive)
- ↑ « BSIS | FNEGE », sur fnege.org (consulté le ).
- ↑ (en-GB) « BSIS labelled schools - EFMD Global » (consulté le ).
- ↑ le figaro, « Classement Sigem 2023: les écoles de commerce peinent à recruter », sur Le Figaro Etudiant, (consulté le ).
- 1 2 Florent Vairet, « Classement des meilleurs masters en management : emlyon en remontada, HEC au top », Les Échos, (lire en ligne)
- ↑ « Masters in Management 2022 - Business school rankings from the Financial Times - FT.com », sur rankings.ft.com (consulté le ).
- ↑ « Le classement 2023 des écoles de commerce post-prépa », sur Challenges, (consulté le ).
- ↑ « Classement 2023 des grandes écoles de commerce - L'Etudiant », sur letudiant.fr (consulté le ).
- ↑ « Classement 2023 des écoles de commerce », sur Le Figaro Etudiant (consulté le ).
- ↑ Par Gilbert Azoulay Le 17 mai 2023 à 07h39 et Modifié Le 17 Mai 2023 À 07h57, « Ecoles de commerce : notre classement des meilleures business school post-prépa en 2023 », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- ↑ Ecoles-Commerce, « Classement écoles de commerce Le Point 2020 », sur Ecoles commerce, (consulté le ).
- ↑ (en-US) « Classement SIGEM 2023 - Annales-Prépa », (consulté le ).
- ↑ (en) « EMLYON | Full-time MBA 2022 | Which MBA? | The Economist », sur whichmba.economist.com (consulté le ).
- ↑ « Business school rankings from the Financial Times - FT.com », sur rankings.ft.com (consulté le ).
- ↑ « Business school rankings from the Financial Times - FT.com », sur rankings.ft.com (consulté le ).
- ↑ « Business school rankings from the Financial Times - FT.com », sur rankings.ft.com (consulté le ).
- ↑ « Business school rankings from the Financial Times - FT.com », sur rankings.ft.com (consulté le ).
- ↑ « Shanghai Ranking 2022 GRAS : emlyon dans le top 3 français dans deux disciplines », sur EM Lyon, .
- ↑ « Emlyon Business School », sur Shanghai rating.
- ↑ « Vie étudiante à l'école de commerce et management - EMLYON Business School », sur em-lyon.com (consulté le ).
- ↑ « Le Petit Paumé s'arrache à Bellecour », sur leprogres.fr, (consulté le ).
- ↑ Elisa Frisullo, « Quel avenir pour « Le Petit Paumé » après ses critiques très controversées? », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
- 1 2 J. Cl., « À Lyon, le Petit Paumé présente ses excuses après un article raciste », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- ↑ « La nouvelle ENS de Lyon parie sur l’interdisciplinarité - Educpros », sur letudiant.fr (consulté le ).
- ↑ « Ces étudiants qui s'engagent dans des actions solidaires », sur Le Parisien étudiant (consulté le ).
- ↑ « CHEER UP ! EMLYON », sur net1901.org (consulté le ).
- ↑ « Le festival caritatif Holi Up annulé à Boulogne-Billancourt », sur leparisien.fr (consulté le ).
- ↑ « Les Guides 2016-2017 : Créer son entreprise », Tribune de Lyon, , p. 30 (lire en ligne)
- ↑ « Société EM Lyon Junior Conseil à Écully (chiffre d'affaires, bilans, résultat) avec verif.com - Siren 334502689 », sur verif.com (consulté le ).
- ↑ « Sup de Coteaux, l’association de dégustation de l’EM Lyon », sur Terre de Vins, (consulté le ).
- ↑ « SUP’ DE COTEAUX, DES AMIS AMOUREUX DU BON VIN », sur Monde des grandes écoles et universités, (consulté le ).
- ↑ « EM Lyon : son club oenologique veut faire connaître le Beaujolais », sur La Revue du vin de France (consulté le ).
- ↑ « Tribune étudiante d'emlyon », sur forum-emlyon.fr (consulté le ).
- ↑ « Rencontre avec Le Forum, la tribune étudiante de l’emlyon », sur Planete Grandes Ecoles, (consulté le ).
- ↑ « NOISE emlyon, l'association engagée en faveur des enjeux de demain », sur Planete Grandes Ecoles, (consulté le ).
- ↑ Eugène (1837-1909) Auteur du texte Léautey, L'enseignement commercial et les écoles de commerce en France et dans le monde entier... / par Eugène Léautey, (lire en ligne)
- ↑ « Pierre PAGNON », sur cnrs.fr, Association des Anciens Élèves de l’École Supérieure de Commerce et de Tissage de Lyon, .
- ↑ Eugène (1837-1909) Auteur du texte Léautey, L'enseignement commercial et les écoles de commerce en France et dans le monde entier... / par Eugène Léautey, (lire en ligne)
- ↑ Eugène (1837-1909) Auteur du texte Léautey, L'enseignement commercial et les écoles de commerce en France et dans le monde entier... / par Eugène Léautey, (lire en ligne)
- ↑ Eugène (1837-1909) Auteur du texte Léautey, L'enseignement commercial et les écoles de commerce en France et dans le monde entier... / par Eugène Léautey, (lire en ligne)
- ↑ « EMLYON Business School - Les relations avec les anciens, un enjeu stratégique de développement pour les grandes écoles et Universités », sur Monde des grandes écoles et universités, Grandes Écoles & Universités Magazine, (consulté le ).
- ↑ « Résultats de recherche | Associations | journal-officiel.gouv.fr », sur journal-officiel.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « David Courpasson », sur HBR (consulté le ).
- ↑ « Marc Dugain, de l'air à l'art », sur Les Echos, (consulté le ).
- ↑ le figaro, « Écoles de commerce : quand les politiques donnent des cours », sur Le Figaro Etudiant (consulté le ).
- ↑ le figaro, « Laurent Wauquiez va redonner des cours à l’EM Lyon », sur Le Figaro Etudiant (consulté le ).
- ↑ « Rentrée 2021 : 20 nouveaux professeurs-chercheurs intègrent la Faculté d’emlyon busines school », sur Studyrama Grandes Ecoles, (consulté le ).
- ↑ Bulletin de l'Association des Anciens Élèves de l’École Supérieure de Commerce et de Tissage de Lyon, « Antoine Arbel », sur cnrs.fr, .
- ↑ « Cottin, Cyrille, Edouard | Système d'Information Patrons et Patronat Français | XIXe-XXe siècles », sur patronsdefrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Anciens sénateurs IIIème République : VALETTE Désiré », sur senat.fr (consulté le ).
- ↑ « Anciens sénateurs IIIème République : JOURDAIN Paul », sur senat.fr (consulté le ).
- ↑ « VIEILLES TIGES », sur espacesaerienslyon.pagesperso-orange.fr (consulté le ).
- ↑ « 3e Journée des Français de l'étranger », sur senat.fr, .
- ↑ Centre France, « L’ex-député détient le record de longévité à la tête d’une commune parmi les actuels 260 maires », sur lamontagne.fr, (consulté le ).
- ↑ « Interrogatoire de Henry Chabert sur Lyonpeople.com », sur lyonpeople.com (consulté le ).
- ↑ (en-GB) « Bernard Fornas is part of the BoF 500 », sur The Business of Fashion (consulté le ).
- ↑ Par Le Reporter.ma, « Hassan Abouyoub, ambassadeur du Maroc à Rome », sur Le Reporter.ma, (consulté le ).
- ↑ (en) « Go4Israel - Bizzabo », sur events.bizzabo.com (consulté le ).
- ↑ « Qui est mon député ? Notre moteur de recherche pour mieux connaître votre représentant à l’Assemblée nationale », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Quel élève étiez-vous?. Stéphane Bern : « J’avais tout le temps ‘‘peut mieux faire’’» », sur leprogres.fr (consulté le ).
- ↑ « Jean-Pascal Tricoire », sur whoswho.fr (consulté le ).
- ↑ « Biographie de Ali Kooli, proposé ministre de l’Economie, des Finances et de l’Investissement », sur La Presse de Tunisie, (consulté le ).
- ↑ « M. César GIRON - Président du directoire de Paul Ricard (depuis 2019) - Biographie mise à jour le 15 mars 2021 - LesBiographies.com », sur lesbiographies.com (consulté le ).
- ↑ « Pepsico au plus près de la santé des consommateurs », sur Monde des grandes écoles et universités, (consulté le ).
- ↑ « Moi, ex-cadre et apprentie scénariste. Un mode d'emploi vécu pour ceux qui voudraient écrire », sur LExpansion.com, (consulté le ).
- ↑ « Guillaume-Olivier Doré - Nomination », sur L'AGEFI, (consulté le ).
- ↑ « Gwendal Peizerat, l’entrepreneur en or olympique », sur Les Echos Executives (consulté le ).
- ↑ « Une forte dynamique du réseau forever à Bruxelles ! », sur emlyon business school alumni (consulté le ).
- ↑ « Eric Bellion (Comme un seul homme) : « Il faut oser la différence ! » », sur emlyon business school alumni (consulté le ).
- ↑ « Amandine Albizzati »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Journées Economie Autrement (consulté le ).
- ↑ le figaro, « Écoles de commerce : quand les politiques donnent des cours », sur Le Figaro Etudiant (consulté le ).
- ↑ « Olivier Berruyer », sur atlantico.fr (consulté le ).
- ↑ « emlyon m'a permis de préparer mon avenir au-delà de la compétition », sur Monde des grandes écoles et universités, (consulté le ).
- ↑ « Eva Sadoun (1001 Pact): « Etre jeune n'est pas un handicap si on veut imposer son projet » », sur emlyon business school alumni (consulté le ).
- ↑ « Les anciens élèves célèbres de l'emlyon », sur Business Cool, (consulté le ).
- ↑ « Frédéric Michalak, Président de Sport Unlimitech : "Lyon est une place forte du sport et un territoire attractif" - SportBuzzBusiness.fr », sur SportBuzzBusiness.fr, (consulté le ).
- ↑ « emlyon business school accompagne les sportifs de haut niveau », sur LE [Lyon-Entreprises] (consulté le ).
- ↑ Association des anciens élèves de l’École supérieure de commerce de Lyon, « M. Edouard AYNARD », sur clio.ish-lyon.cnrs.fr, .
- ↑ « Gillet, Joseph | Système d'Information Patrons et Patronat Français | XIXe-XXe siècles », sur patronsdefrance.fr (consulté le ).
- ↑ Association des anciens élèves de l’École supérieure de commerce de Lyon, « M. Charles CABAUD », sur clio.ish-lyon.cnrs.fr, .
- ↑ « Généalogie de Renaud GILLET », sur Geneanet (consulté le ).
- ↑ « Le Mérite pour Dominique Nouvellet, le créateur de Siparex », sur LE [Lyon-Entreprises] (consulté le ).
- ↑ « Bruno Bonnell, nouveau président du conseil d'administration d'EMLyon », sur brefeco.com, (consulté le ).
- ↑ « EMLyon : Bruno Bonnell cède sa place à la tête du conseil de surveillance », sur Tribune de Lyon, (consulté le ).
- ↑ « Guillaume Pepy, nouveau président à la relance de l’emlyon », sur Challenges, (consulté le ).
- 1 2 « Les propos de Laurent Wauquiez devant des étudiants continuent de faire des vagues dans son camp », sur Le Monde.fr (consulté le ).
- ↑ Dylan Munoz, « EM Lyon: Les étudiants ayant suivi les cours de Laurent Wauquiez sommés de ne pas parler aux médias », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
- ↑ « Après la diffusion d’un enregistrement polémique, Laurent Wauquiez menace de « suites judiciaires » », sur Le Monde.fr (consulté le ).
- ↑ Olivier Faye, « Le professeur Wauquiez disserte sur le « défi des communautarismes » », sur Le Monde.fr, (consulté le ).
- ↑ « Darmanin sur les propos de Wauquiez: "Il y a de drôles d'enseignements dans de drôles d'écoles de commerce" », sur Le HuffPost, (consulté le ).
- ↑ AFP, « Wauquiez dénonce la diffusion de propos enregistrés « de façon illégale » et menace de « suites judiciaires » », Libération.fr, (lire en ligne, consulté le )
- ↑ « L'EM Lyon ne mènera pas d'enquête interne après l'enregistrement de Laurent Wauquiez à son insu », Franceinfo, (lire en ligne, consulté le )
- ↑ « À l'EM Lyon, des étudiantes fichées sur leur physique », sur Lyon Capitale, (consulté le ).
- ↑ « Enquête interne à l'EM Lyon après le classement sexiste des élèves », sur 20minutes.fr (consulté le ).
- ↑ Richard Schittly, « L’Ecole de management de Lyon silencieuse après les révélations estivales sur un fichier sexiste », sur Le Monde.fr, Le Monde, (ISSN 1950-6244, consulté le ).
- 1 2 « Fichage des étudiantes à l'EM Lyon : quelles sanctions depuis ? », sur Lyon Capitale, (consulté le ).
- 1 2 « Sexisme en école de commerce : à l’EM Lyon, de timides actions de prévention », sur Le Monde.fr, Le Monde, (ISSN 1950-6244, consulté le ).
- ↑ « « Les fondamentaux de emlyon sont solides » Isabelle Huault », sur Studyrama Grandes Ecoles, (consulté le ).
- ↑ « « Face aux nouveaux enjeux, les jeunes doivent continuer de nous mettre la pression », dixit les grandes écoles », sur Les Echos Start, (consulté le ).
- ↑ « "Barbecue" : des amis pas pour la vie », sur CNEWS (consulté le ).
Annexes
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Pierre-Henri Haas, Histoire de l'École supérieure de commerce de Lyon, 1872-1972, Université Paris IV, , 221 p. (présentation en ligne).
- Pierre Rivière, L'enseignement du management à EMLYON depuis 1972 : Histoire et identité de l'ESC LYON devenu EMLYON de 1972 à nos jours, , 380 p. (présentation en ligne).
- Marianne Blanchard, Socio-histoire d’une entreprise éducative: le développement des Ecoles supérieures de commerce en France (fin du XIXe siècle-2010), , 565 p. (lire en ligne).
- Fabienne Pavis, Sociologie d'une discipline hétéronome. Le monde des formations en gestion entre universités et entreprises. Le cas de la France. Années 1960-1990., , 419 p. (lire en ligne).
- Ministère du commerce, de l'industrie, des postes et des télégraphes, Exposition internationale de 1900 à Paris : Groupe I - Education et enseignement, t. 1, , 420 p. (présentation en ligne, lire en ligne), Cinquième, Pages 199-202.
- Marianne Chouteau et Ludovic Viévard, Chronologie de l'enseignement supérieur dans l’agglomération lyonnaise, Millenaire 3 - Centre de Ressources Prospectives du Grand Lyon, , 39 p. (lire en ligne).
- Marianne Thivend et Sylvie Schweitzer, Etat des lieux des formations techniques et professionnelles dans l’agglomération lyonnaise. XIXe siècle - années 1960, LARHRA (Laboratoire de Recherches Historiques Rhône-Alpes, moderne et contemporaine), , 171 p. (lire en ligne)
- Eugène Léautey, L'enseignement commercial et les écoles de commerce en France et dans le monde entier, Paris, , 757 p. (présentation en ligne, lire en ligne), Pages 69-109
- Alain Fayolle, L'enseignement de l'entrepreneuriat dans les universités françaises : analyse de l'existant et propositions pour en faciliter le développement, Direction de la Technologie du Ministère de l'Education Nationale de la Recherche et de la Technologie, , 102 p. (lire en ligne)
Evaluation
- HCERES, « RAPPORT D’ÉVALUATION D’EMLYON BUSINESS SCHOOL » [PDF],
Audiovisuel
- 2022 : l’Odyssée d’emlyon [Podcast] () emlyon business school. Consulté le .
Articles connexes
- Lyon | Histoire de Lyon | Histoire de la soierie à Lyon
- Études de commerce en France | École de commerce | Grande école | Conférence des grandes écoles
- Alliance des grandes écoles Rhône-Alpes | Études supérieures à Lyon | Université de Lyon
Liens externes
- Sites officiels : (fr + en) www.em-lyon.com, (fr + en) executive.em-lyon.com et certificate.em-lyon.com
- Ressources relatives à la recherche :
- Ressources relatives aux organisations :
- Ressource relative à l'audiovisuel :
- (en) IMDb
- Site de l'association des alumni
- Site officiel « La certification blockchain à emlyon business school »
- IT SHAKER, « emlyon sécurise 20.000 diplômes dans la blockchain grâce à BCdiploma » , (consulté le )
- Nicolas Vannier, « emlyon business school adopte la certification blockchain à grande échelle » , (consulté le ) : « emlyon business school dématérialise et automatise la délivrance de diplômes et certificats, en collaboration avec BCdiploma, start-up précédemment accélérée à l’école. »