Houdain | |||||
Le haut d'Houdain, vu depuis Divion. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Béthune | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane | ||||
Maire Mandat |
Isabelle Levent-Ruckebusch 2020-2026 |
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Code postal | 62150 | ||||
Code commune | 62457 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
7 066 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 1 122 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 27′ 10″ nord, 2° 32′ 17″ est | ||||
Altitude | Min. 45 m Max. 121 m |
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Superficie | 6,3 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Béthune (banlieue) |
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Aire d'attraction | Bruay-la-Buissière (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bruay-la-Buissière | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | mairie-houdain.fr | ||||
Houdain est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.
Au XXe siècle, la Compagnie des mines de Bruay y a exploité la fosse no 7 - 7 bis.
Géographie
Localisation
La commune est desservie par la route départementale 341 dite chaussée Brunehaut reliant Arras à Thérouanne. Cependant l'agglomération n'est pas directement sur le tracé de la chaussée Brunehaut mais sur une dérivation.
Houdain-Haut est constituée d'anciennes cités de vieilles constructions minières identiques qui suivent un programme de rénovation.
Houdain-Bas comporte davantage de bâtiments ruraux, mélange de torchis, de briques et de pierres. C'est ici que l'on trouve les principaux monuments intéressants tels que l'église, les deux anciens moulins, la chapelle de la rue de Géharie ainsi que la Mairie et la fondation Henri-Durant[1].
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes que sont Beugin, Bruay-la-Buissière, Divion, Haillicourt, Maisnil-lès-Ruitz, Rebreuve-Ranchicourt et Ruitz.
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
Il est traversé par trois cours d'eau :
- la Lawe, cours d'eau naturel de 40,97 km, qui prend sa source dans la commune de Magnicourt-en-Comte et se jette dans la Lys au niveau de la commune de La Gorgue[2] ;
- la Brette, d'une longueur de 7,32 km, qui prend sa source dans la commune Fresnicourt-le-Dolmen et se jette dans la Lawe au niveau de la commune[3] ;
- le Fossé d'Haillicourt, d'une longueur de 4,31 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le Fossé des Sept au niveau de la commune d'Haillicourt[4].
Milieux naturels et biodiversité
La commune est située, pour partie, sur un site classé en zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) : le site du Coteau et forêt domaniale d'Olhain. Cette ZNIEFF est située au niveau de la première ligne de crête de la partie nord des collines de l'Artois[5].
Urbanisme
Typologie
Houdain est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[9] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[10],[11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bruay-la-Buissière dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (54,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (40,9 %), terres arables (35,5 %), prairies (16,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1 %), forêts (2,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Transports
La commune est desservie par le bus à haut niveau de services (Bhns) de Tadao. Ce bus relie Houdain et Beuvry en passant par Bruay-La-Buissière et Béthune.
La commune était située sur la ligne de Bully - Grenay à Brias, une ancienne ligne de chemin de fer qui reliait, de 1875 à 1990, Bully-les-Mines à Brias.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Hosdenc (1070), Hosden (1104), Husdenc (1177), Hosdainc (1190)[15].
Selon le Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Houdain vient d'un archétype germanique Husiding sur la base husi-duna, maison sur une hauteur (voir Hodenc-en-Bray, Hodeng, Houdan, Hodent, etc.)[16].
Histoire
Histoire de la commune[18].
Houdain a des origines très anciennes. Au début c’est un village celtique. Donc Houdain existait déjà au temps des romains et était située sur l'axe reliant la capitale des Atrébates à celle des Morins (Arras à Thérouanne).
L'endroit a certainement été choisi pour sa situation géographique dominante. Les romains avaient, pour cette raison, installé un camp fortifié sur la butte d'Houdain à proximité de l'église pour surveiller l'actuelle « Chaussée Brunehaut ».
Ce camp fortifié romain date de 50 à 60 avant Jésus-Christ et est devenu vers 450 un domaine privilégié des Mérovingiens.
En 882, le village est incendié par les Normands (Vikings) et vers 912, il est reconstruit par la population et entouré de murailles sous l'impulsion du roi Charles le Chauve.
Le , Anselme de Houdain, présent à Saint-Omer lorsque le comte de Flandre Guillaume Cliton confirme les lois et coutumes de la ville, jure d'observer celles-ci[19].
Houdain sera encore partiellement détruite par les troupes du comte Ferrand de Portugal en 1212 et les troupes flamandes qui l'achèveront en 1303. D'autres destructions ont lieu en 1374, 1380 ainsi qu'au XVIIIe siècle, sous Louis XIV, par les Anglais du Duc de Marlborough.
Le , Yolande de Flandre héritière de Robert de Cassel, seigneur de toute la Flandre maritime, nomme Jacques de Houdain châtelain de Nieppe[20].
Il faut attendre la Renaissance pour qu'Houdain soit érigée en commune, dirigée par les échevins. Elle possède alors sa charte particulière, une abbaye et un couvent de Dominicaines. C'est également sous la Renaissance que François Ier ravage la région qui est alors sous la domination espagnole. En effet, celui-ci, à la tête de ses armées, affronte celles de Charles Quint.
Plus tard, en 1790, Houdain reçoit l'appellation de chef-lieu de canton. 22 communes constituent alors ce canton et il faudra attendre 1801 pour qu'il atteigne 31 communes.
Après la période révolutionnaire, la vie est dure tant la nourriture est pauvre et réduite. L'espérance de vie ne dépasse guère la cinquantaine et les journées de travail sont longues et ardues. C'est dans ces conditions que naît en 1825, au 36 de l'actuelle rue Roger-Salengro, celui qui deviendra plus tard l'inventeur de l'opérette : Florimond Ronger dit Hervé.
Près d'un siècle plus tard, en 1914, la première guerre mondiale bouleverse la vie communale et de violents bombardements ont lieu en 1918. La ville d'Houdain reçoit d'ailleurs la Croix de Guerre avec citation à l'ordre de l'Armée en hommage aux sacrifices et au courage de la population. Pour faire face à la situation désastreuse de l'après-guerre, il faut faire appel à la main d'œuvre étrangère, notamment polonaise. On débute alors en 1919 le creusement de l'unique fosse d'Houdain (la Fosse no 7) qui sera mise en service 10 ans plus tard en 1929.
En 1939 la seconde guerre mondiale est déclarée et les atrocités ressurgissent, comme partout ailleurs, à Houdain. Il faut attendre le pour célébrer la victoire et la paix.
Au sortir de la guerre, tout est à refaire, en particulier dans les mines. Le gouvernement provisoire décide à l'époque la nationalisation des compagnies minières et crée les Houillères Nationales du Nord-Pas-de-Calais.
La bataille du charbon s'engage pour redresser le pays. À Houdain, la fosse no 7 tourne à son plein et sa production se renforce de 1944 à 1954 (1 800 tonnes de charbon par jour en 1946). C'est pourtant en 1954 que son exploitation est abandonnée, cela est vécu comme un drame pour la commune et ses habitants car la fosse no 7 est alors leur seule richesse. Le premier , elle est rattachée à la fosse no 6 et sera utilisée comme fosse de service pour le matériel et le personnel. Elle fonctionnera ainsi jusqu'à la fermeture de la fosse no 6 en 1979 et servira à la remontée du matériel de cette dernière. Elle sera finalement remblayée en 1980 et son chevalement datant de 1907 sera abattu le après une extraction totale de 10 349 000 tonnes de charbon.
- 882 : les Vikings détruisent le bourg.
- 1150 à 1200 : construction de la petite nef.
- 1300 : construction des voûtes du chœurs
- XVe siècle : l'église, partiellement détruite, est reconstruite.
- 1497 : achèvement des travaux de l'église.
- 1668 : construction du clocher.
- 1789 : à la Révolution l'église est laissée à l'abandon et tombe en ruine.
- 1790 : Houdain devient chef-lieu de canton.
- 1793 : l'abbaye en contrebas de l'église est détruite.
- 1893 : frappé par la foudre, le clocher en bois brûle.
- 1894 : une tour carrée remplace le clocher pyramidal.
- 1918 : Houdain est bombardée les , 21, 22, 30 et .
- 1919 : début du creusement de l'unique fosse de Houdain, la fosse 7.
- 1929 : ouverture de la fosse 7.
- 1954 : fermeture de la fosse 7 après avoir produit plus de 10 millions de tonnes de charbon. Elle est rattachée à la fosse no 6 d'Haillicourt et sera utilisée comme fosse de service pour le matériel et le personnel.
- 1965 : inauguration de la Route du Patois.
- 1970 : Houdain devient chef-lieu de l'un des plus grands cantons de France.
Politique et administration
→ Conseils pour la rédaction de cette section.
Découpage territorial
Commune et intercommunalités
Circonscriptions administratives
Circonscriptions électorales
Élections municipales et communautaires
Élections municipales 2020
Le premier tour des élections municipales de 2020 se déroule le . Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde de trois mois la tenue du second tour, qui a lieu le . La maire sortante Isabelle Levent affronte ses deux prédécesseurs Daniel Dewalle et Marc Kopaczyk[21].
- Maire sortant : Isabelle Levent-Ruckebusch (PS)
- 29 sièges à pourvoir au conseil municipal (population légale 2017 : 7 246 habitants)
- 3 sièges à pourvoir au conseil communautaire (CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane)
Tête de liste | Liste | Premier tour | Second tour | Sièges | ||||
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Voix | % | Voix | % | CM | CC | |||
Isabelle Levent[Note 3] | PS | 814 | 33,80 | 1 136 | 44,46 | 21 | 2 | |
Daniel Dewalle[22] | PCF | 687 | 28,53 | 1 044 | 40,86 | 5 | 1 | |
Bernard Maisnil | SE | 355 | 14,74 | |||||
Marc Kopaczyk[23] | DVG | 385 | 15,99 | 375 | 14,68 | 3 | 0 | |
Damien Mailly | SE | 167 | 6,94 | 0 | 0 | |||
Votes valides | 2 408 | 96,82 | 2 609 | 97,93 | ||||
Votes blancs | 33 | 1,33 | 26 | 1,00 | ||||
Votes nuls | 46 | 1,85 | 28 | 1,07 | ||||
Total | 2 487 | 100 | 2 555 | 100 | 29 | 3 | ||
Abstention | 2 832 | 53,24 | 2 772 | 51,02 | ||||
Inscrits / participation | 5 319 | 46,76 | 5 327 | 48,98 | ||||
Liste des maires
Jumelages
La commune a été jumelée avec les communes de Kirchberg et de Ełk[31].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].
En 2020, la commune comptait 7 066 habitants[Note 4], en diminution de 4,33 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 3 404 hommes pour 3 774 femmes, soit un taux de 52,58 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Houdain a connu la prospérité au temps des mines de charbon.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine mondial
Depuis le , la valeur universelle et historique du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais est reconnue et inscrite sur la liste du patrimoine mondial l’UNESCO. Parmi les 353 sites, répartis sur 109 lieux inclus dans le périmètre du bassin minier, le site no 99 d'Houdain est constitué de la cité pavillonnaire de la Victoire et son école, de la cité moderne des Arbres et de son école, ainsi que d'un dispensaire de la Société de Secours minière dans cette dernière cité, tous ces équipements ont été construits à Houdain pour la fosse no 7 - 7 bis des mines de Bruay[38],[39].
- Habitations groupées par deux.
- Habitations groupées par deux.
- Les écoles.
- Habitations post-Nationalisation.
Autres lieux et monuments
- Houdain est surplombée par l'église Saint-Jean-Baptiste à l'architecture originale. Elle est formée d'une tour carrée. Partiellement détruite lors des guerres des XIVe et XVe siècles, l'église sera reconstruite et agrandie à la fin du XVe siècle. Il y a une légende à sa construction. Les habitants d'Houdain ont décidé de reconstruire leur église au pied de la colline pour que les personnes âgées ou handicapées puissent y venir. Alors qu'ils faisaient les travaux le jour, la nuit les pierres installées étaient enlevées et remontées en haut de la colline par le diable. Il était donc impossible de faire avancer les travaux et ils ont donc dû engager une concertation entre le diable et le bon Dieu et un arrangement a été trouvé : construire l'église au milieu de la pente. Lorsqu'on regarde l'église d'Houdain, on constate que le chœur et la grande nef ne sont pas dans le même alignement, ce qui est inhabituel pour une église. Les bâtisseurs de la petite nef (vers 1150-1200) avaient peut-être le projet d'une petite église. Quand, trois siècles plus tard, des personnes ont voulu reconstruire ou agrandir l'église, ils ont dû constater que s'ils construisaient la grande nef dans le prolongement de la petite nef, l'extrémité sud-ouest de la grande nef se trouverait au-delà de la colline... Nos bâtisseurs avaient donc le choix entre deux solutions: construire dans le prolongement de la vieille église en renforçant la colline ou construire au pied de la colline... Il a dû y avoir une concertation entre partisans de la vallée et partisans de la colline pour aboutir à une solution : agrandir et reconstruire en utilisant la petite nef existante, mais en déviant l'axe de la grande nef pour que celle-ci soit bien stable sur la colline, sans remonter des tonnes de blocs de craie pour conforter la colline[40].
- Le prieuré d'Houdain dépendait de 1606 de 1779 de l'abbaye de Lobbes[41].
Personnalités liées à la commune
- Philippe Gengembre (1764-1838), chimiste et inventeur, inspecteur Général des Monnaies sous l'Empire puis directeur de la Manufacture royale des machines à vapeur d’Indret, près de Nantes, né à Houdain.
- Florimond Ronger dit Hervé (1825-1892), compositeur, auteur dramatique, acteur, chanteur, metteur en scène et directeur de troupe, né à Houdain.
Héraldique
Blason | D'azur semé de fleurs de lis d'or, au lambel de gueules de trois pendants chargés chacun de trois petits châteaux d'or rangés en pal, brochant en chef; sur le tout, d'or au créquier de sinople surmonté d'un lambel d'azur[42]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Bibliographie
- Charles d'Héricourt, Notice sur le canton d'Houdain, Arras : Impr. H. Schoutheer, 1878, 162 pages.
- Léopold Foulon, Notes sur la distillerie agricole comparée aux bouilleurs de cru présentées aux cultivateurs du canton d'Houdain, Arras : Rohard-Courtin, 1895, 20 pages.
- C. Liétard, Bruay-en-Artois et ses seigneurs. Chronologie des seigneurs de Houdain, Hesdigneul et Ourton, Avesnes-sur-Helpe : Editions de l'Observateur, 1939, 57 pages.
- André Fortin, Le canton d'Houdain à travers les siècles, Lens : impr. Ouvrière, 1942, 57 pages.
- Jacques-H. Renaud, « Les tramways de l'Artois », dans Revue bimestrielle de la Fédération des Amis des chemins de fer secondaires, no 77, 1966, pages 2–42.
- Jean-Pierre Roger, « Un célèbre Houdinois, "Hervé" [pseudonyme de Louis-Auguste-Joseph-Florimond Ronger] », dans Plein-Nord, no 30, 1977, pages 40–41.
- Victor Louchart, Houdain et Houdinois dans la tourmente, 1914-1918, 1978, 59 pages[43].
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Houdain » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Liste du maire sortant ou de la maire sortante
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- ↑ « Maire d'Houdain », sur mairie d'Houdain (consulté le ).
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - Lawe (E3660600 ) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - Brette (E3660610) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé d'Haillicourt (E3660702) » (consulté le )
- ↑ « ZNIEFF 310013736 - Coteau et forêt domaniale d'Olhain », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- ↑ « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- ↑ « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur insee.fr (consulté le ).
- ↑ « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Bruay-la-Buissière », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- ↑ Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre
- ↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, librairie Guénégaud, Paris 1989 ou éditions Larousse 1968.
- ↑ Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- ↑ Sources : Route du patois, Mairie de Houdain
- ↑ André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 52, lire en ligne
- ↑ J.-J. Carlier, « Henri d'Oisy, fragment d'études historiques », dans Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1857 publié en 1858, Dunkerque, p. 98, lire en ligne
- ↑ « Municipales : le casting est finalisé, c'est reparti pour un tour », La Voix du Nord, édition Hainaut-Douaisis, no 24244, , p. 3.
- ↑ « Houdain L’ex-maire Daniel Dewalle se représente aux municipales de mars 2020 », sur La Voix du Nord, .
- ↑ « L’ancien maire Marc Kopaczyk et son équipe se préparent pour mars 2020 à Houdain », sur La Voix du Nord, .
- ↑ Sophie Diers, « Un budget primitif qui pose question : Mardi 24 avril, la salle d'honneur de l'hôtel de ville accueillait le conseil municipal de la commune. À l'ordre du jour, l'examen et le vote du budget primitif 2014. Budget qui a soulevé quelques questions de la part de Marc Kopaczyk, maire battu aux dernières municipales... », L'Abeille de la Ternoise, no 8465, , p. 30.
- ↑ Cécile Rubichon, « Houdain : Marc Kopaczyk «ne se remettra jamais» de la défaite aux municipales : Élu maire en 2010, Marc Kopaczyk se montrait sûr de la victoire. Mais le 30 mars, Isabelle Levent a pris sa place. Presque six mois après la défaite, il ressent toujours de l’amertume et un grand vide. Il se livre sans pudeur », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Cécile Rubichon, « Houdain: Isabelle Levent prend le fauteuil de Marc Kopaczyk pour sept voix : « Isabelle Levent l’emporte pour dix-sept voix. » C’est ce qui a été annoncé dimanche soir, ce qui apparaissait sur les premiers tableaux de résultats. En réalité, seules sept voix séparent les communistes des socialistes. Dix avaient été oubliées pour Marc Kopaczyk. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Sarah Binet, « Houdain : premier conseil sous l’ère Levent, et premières escarmouches : Vendredi soir, les élus ont dû voter pour désigner leur maire. La salle était comble pour cette séance qui a parfois tourné au règlement de comptes. Isabelle Levent, désormais maire, va devoir composer avec une opposition qui ne la ratera pas. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- ↑ « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- ↑ « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- ↑ Francis Leverd, « En 2019, un nouveau look pour les écussons à l’entrée de la ville », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Houdain (62457) », (consulté le ).
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- ↑ « Bassin minier du Nord-Pas de Calais », sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
- ↑ « Liste des 109 lieux et des 353 sites qui les composent » [PDF] (217 Mo), sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
- ↑ « Livret d'église d'Houdain », sur mairie-houdain.fr (consulté le ).
- ↑ Tableau général numérique par fonds des archives départementales antérieures à 1790,Impr. Nationale, 1848,
- ↑ « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Wikipédia » (consulté le ).