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Fresnicourt-le-Dolmen
Fresnicourt-le-Dolmen
Verdrel, hameau de la commune de
Fresnicourt-le-Dolmen.
Blason de Fresnicourt-le-Dolmen
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Dany Clairet
2020-2026
Code postal 62150
Code commune 62356
Démographie
Gentilé Fresnicourtois
Population
municipale
801 hab. (2020 en augmentation de 4,98 % par rapport à 2014)
Densité 101 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 25′ 08″ nord, 2° 36′ 02″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 186 m
Superficie 7,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bruay-la-Buissière
Législatives 10e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Fresnicourt-le-Dolmen
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Fresnicourt-le-Dolmen

    Fresnicourt-le-Dolmen est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Fresnicourtois.

    La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.

    Géographie

    Localisation

    Fresnicourt-le-Dolmen est une commune rurale localisée dans l'est du département du Pas-de-Calais. Elle se situe à 16 km au sud de la commune de Béthune (chef-lieu d'arrondissement).

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

    Communes limitrophes de Fresnicourt-le-Dolmen
    Maisnil-lès-Ruitz Barlin Hersin-Coupigny
    Rebreuve-Ranchicourt Fresnicourt-le-Dolmen Servins
    Gauchin-Légal Estrée-Cauchy

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    La commune est traversée par la Brette, cours d'eau d'une longueur de 7,32 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Lawe au niveau de la commune d'Houdain[1], et le ruisseau de Caucourt, d'une longueur de 4,66 km, qui prend sa source dans la commune de Caucourt, se jette dans la Brette au niveau de la commune[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré de type 4 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3].

    Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[3].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 9,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 864 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

    Milieux naturels et biodiversité

    Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : le coteau et la forêt domaniale d'Olhain. Cette ZNIEFF est située au niveau de la première ligne de crête de la partie nord des collines de l'Artois[4].

    Carte de la ZNIEFF sur la commune.

    Espèces faunistiques et floristiques recensées

    Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 801 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont 83 protégées et 36 menacées[5].

    Urbanisme

    Typologie

    Fresnicourt-le-Dolmen est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[6],[7],[8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9],[10].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,9 %), forêts (29,9 %), prairies (11,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6,3 %), zones urbanisées (3,4 %), zones agricoles hétérogènes (3 %), mines, décharges et chantiers (1,5 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    Fresnicourt, hameau de Verdrel.

    Sur le territoire de la commune se trouvent deux hameaux : Olhain et Verdrel.

    Voies de communication et transports

    Voies de communication

    La commune est desservie par les routes départementales D 57, D 57 E2 et D 301 appelée rocade minière[12].

    Transport ferroviaire

    La commune se trouve à 16 km, au sud, de la gare de Béthune, située sur les lignes d'Arras à Dunkerque-Locale et de Fives à Abbeville, desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[13].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Friscini curtis en 680 ; Frescicort en 1141 ; Fresini curtis de 1154 à 1159 ; Fresincurt de 1168 à 1169 ; Frisincurt en 1171 ; Fresincourt en 1191 ; Fressincort en 1214 ; Fresincort en 1222 ; Frisincort en 1235 ; Fresnecourt en 1295 ; Freniecourt en 1298 ; Fraisnecourt au XIIIe siècle ; Fressincourt au XIVe siècle ; Frenicourt en 1507[14] ; Frenicourt en 1793 ; Fresnicourt en 1801 et Fresnicourt-le-Dolmen depuis le décret du [15].

    Histoire

    Pendant la Première Guerre mondiale, en juin 1915, des troupes stationnent à Fresnicourt située en arrière du front de l'Artois du au . Le , ont lieu sur la commune une revue des troupes et une remise de croix de la Légion d'honneur[16].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[15].

    Commune et intercommunalités

    La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.

    Circonscriptions administratives

    La commune est rattachée au canton de Bruay-la-Buissière. Avant le redécoupage cantonal de 2014, elle était, depuis 1801, rattachée au canton de Houdain[15].

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la dixième circonscription du Pas-de-Calais.

    Élections municipales et communautaires

    Liste des maires

    • Serge Deprez (PS), maire en 1981 (sources : JO du 15 avril 1981).
    Titulaires de la fonction de maire de Fresnicourt-le-Dolmen
    IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
    DébutFin
    Gaston Beltrémieux[17]
    ( - )
    8 ans Section française de l'Internationale ouvrière
    Gaston Beltrémieux
    ( - )
    années 1940 Section française de l'Internationale ouvrière
    Michel Fréville (d)[18]
    ( - )
    12 ans et 9 mois Parti socialiste
    Dany Clairet (d)[19] - [20]
    (né le )
    En cours15 ans et 8 mois

    Équipements et services publics

    Enseignement

    La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

    Elle administre l'école primaire « Jean Moulin » en Regroupement pédagogique concentré (RPC) située au hameau de Verdrel[21].

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dépend du tribunal judiciaire de Béthune, du conseil de prud'hommes de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Béthune et du tribunal pour enfants de Béthune[22].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Fresnicourtois[23].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

    En 2020, la commune comptait 801 habitants[Note 5], en augmentation de 4,98 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    380370415428446472484518554
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    529558591580543554558532574
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    5926226306866335816109011 175
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 1591 0781 014974907880872855832
    2014 2019 2020 - - - - - -
    763797801------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,2 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 391 hommes pour 394 femmes, soit un taux de 50,19 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3
    90 ou +
    1,0
    6,3
    75-89 ans
    6,0
    17,9
    60-74 ans
    21,0
    25,7
    45-59 ans
    22,5
    22,2
    30-44 ans
    20,0
    11,6
    15-29 ans
    13,5
    16,1
    0-14 ans
    16,0
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,6
    5,5
    75-89 ans
    8,9
    16,4
    60-74 ans
    17,8
    20,3
    45-59 ans
    19,3
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,1
    15-29 ans
    16,2
    20,2
    0-14 ans
    18,1

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Monuments historiques

    • Le château d'Olhain est certainement le plus connu des châteaux artésiens. Cette célébrité est largement due à une situation privilégiée au milieu d’un grand étang dans lequel se reflète son pittoresque groupe de tours et de courtines. C’est aussi une des grandes forteresses de l’Artois médiéval, témoignage de la puissance de l'entourage des « grands ducs d'Occident » Car si la famille d'Olhain est citée dès le XIIe siècle, si l’existence du château est attestée dès le début du XIIIe siècle, la construction actuelle est pour l'essentiel l'œuvre de Jean de Nielles, qui épouse Marie d'Olhain à la fin du XIVe siècle.
    Le mariage d'Alix de Nielles avec Jean de Berghes, grand veneur de France, fait passer le château dans cette famille, qui le gardera plus de 450 ans. Un moment confisqué par Charles Quint, il a à souffrir des guerres qui ravagent l'Artois : assiégé en 1641 par les Français, il est en partie démoli par les Espagnols en 1654, et enfin bombardé et pris par les Hollandais en 1710. Restauré vers 1830, il est abandonné après 1870, et vendu par le dernier prince de Berghes en 1900. Pendant les deux dernières guerres, l'ensemble du château fut réquisitionné par les troupes françaises, puis canadiennes et britanniques.
    Le propriétaire actuel a restauré ce château. Le château d'Olhain, sa tour nord, les bâtiments de la basse-cour ainsi que le sol de la cour du château et de la basse-cour, les douves en eau ou comblées, le pont reliant la basse-cour au château et les deux ponts et voie d'accès au château font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [29].
    • La Table des Fées : le dolmen fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1889[30].
    • Le château médiéval d'Olhain.
      Le château médiéval d'Olhain.
    • La Table des Fées.
      La Table des Fées.

    Autres lieux et monuments

    • L'église Notre-Dame construite fin XIXe siècle[31]. L'église héberge treize éléments patrimoniaux, répertoriés dans la base Palissy, classés ou inscrits au titre d'objet des monuments historiques, dont un est classé[32].
    • L'église Saint-Martin au hameau de Verdrel[31].
    • Le monument aux morts[33].
    • Une étude menée par l'Office national des forêts (ONF) en 2019 sur la forêt domaniale d’Ohlain avec la technologie LIDAR a révélé un site fortifié datant du néolithique. La ceinture de fortification est composée de deux rangs de fossés et d'un talus, mesure 50 m de large. Trois entrées ont été identifiées : deux à l'est et une au sud. Le site remarquable de par la qualité de conservation et malgré les dommages causés par la forêt, d'une superficie de 25 hectares, pourrait recevoir une protection au titre des monuments historiques[34],[35].
    • L'église Notre-Dame de Fresnicourt.
      L'église Notre-Dame de Fresnicourt.
    • Village de Fresnicourt le dolmen (photo prise de la colline au sud du village).
      Village de Fresnicourt le dolmen (photo prise de la colline au sud du village).
    • Vue sur le village et le château au printemps.
      Vue sur le village et le château au printemps.
    • Vue sur le village en automne.
      Vue sur le village en automne.

    Personnalités liées à la commune

    • Jacques Mellick (1941-), ancien maire (PS) de Béthune, ancien député du Pas-de-Calais et ancien ministre, né dans la commune.

    Héraldique

    Blason de Fresnicourt-le-Dolmen Blason
    Écartelé : au 1er de sinople au dolmen d'argent, au 2e d'or au lion de gueules armé et lampassé d'azur, au 3e d'argent à trois tourteaux de gueules, au 4e de sinople à la croix de pierre d'argent[36].
    Détails
    Armes parlantes.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le climat océanique altéré de type 4 apparaît comme une transition entre l'océanique franc (type 5) et l’océanique dégradé (type 3). Entre le Nord-Pas-de-Calais et la Normandie il s'agit d’une fine bande tandis qu'à l’Ouest, cette transition s'élargit jusqu'à atteindre plus de 150 km. Elle affecte également le sud-ouest du Massif central, de la Dordogne à l'Aveyron et le nord des Pyrénées. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5°C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8/an) et chauds soutenu (entre 15 et 23/an). L'amplitude thermique annuelle (juillet-janvier) est proche du minimum et la variabilité interannuelle moyenne. Les précipitations, moyennes en cumul annuel (800-900 mm) tombent surtout l'hiver, l’été étant assez sec. (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Brette (E3660610) » (consulté le )
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau de Caucourt (E3660900) » (consulté le )
    3. 1 2 Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « ZNIEFF 310013736 - Coteau et forêt domaniale d'Olhain », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    5. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    13. « Distance entre la commune et la gare de Béthune », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    14. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
    15. 1 2 3 4 Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
    17. Yves Le Maner, « Beltrémieux Gaston, Jean-Baptiste, François, Joseph », Dictionnaire biographique, mouvement ouvrier, mouvement social,  : « Élu maire de Fresnicourt-le-Dolmen le 15 novembre 1904, premier maire socialiste du canton d’Houdain, il était alors l’un des plus jeunes maires de France. Réélu en 1908, il fut battu en 1912, mais resta conseiller municipal. »
    18. Annuaire des mairies du Pas-de-Calais (préf. Christian Poncelet et Jean-Louis Debré), Les Éditions Céline, , 335 p. (ISBN 978-2-35258-162-8), p. 139
    19. « Fresnicourt-le-Dolmen : second mandat pour Dany Clairet », La Voix du Nord,
    20. Sarah Binet, « Fresnicourt-le-Dolmen : gérer les petits et gros travaux du quotidien, le défi de Dany Clairet », La Voix du Nord,  : « La commune n’a pas le budget d’une mégalopole… Quatre cent mille euros de fonctionnement, la même somme pour l’investissement. Le maire Dany Clairet doit optimiser au mieux pour assurer les travaux. Et il y a plusieurs chantiers en cours ou dans les cartons. »
    21. « École de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
    22. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
    23. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fresnicourt-le-Dolmen (62356) », (consulté le ).
    28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    29. « château d'Olhain », notice no PA00108454, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « Dolmen La Table des Fées », notice no PA00108284, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. 1 2 « Lieux de culte de la commune », sur sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR) (consulté le ).
    32. « Base Palissy - mobiliers inscrits et/ou classés », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
    33. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
    34. « Pas-de-Calais : Premières fouilles d’une « capsule temporelle » du néolithique », sur 20minutes (consulté le ).
    35. « Un site préhistorique fortifié découvert par hasard dans le Pas-de-Calais », sur LEFigaro (consulté le ).
    36. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).