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La Roque-Gageac
La Roque-Gageac
La Roque-Gageac, au bord de la Dordogne.
Blason de La Roque-Gageac
Blason
La Roque-Gageac
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes Sarlat-Périgord noir
Maire
Mandat
Jérôme Peyrat
2020-2026
Code postal 24250
Code commune 24355
Démographie
Gentilé Laroquois, laroquoise
Population
municipale
429 hab. (2020 en diminution de 6,33 % par rapport à 2014)
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 49′ 38″ nord, 1° 11′ 00″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 218 m
Superficie 7,17 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Sarlat-la-Canéda
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sarlat-la-Canéda
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web laroquegageac.fr

    La Roque-Gageac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

    Elle fait partie de l'association Les Plus Beaux Villages de France.

    Géographie

    Généralités

    Comprise dans l'aire urbaine de Sarlat-la-Canéda, la commune de La Roque-Gageac est implantée en bordure de la Dordogne à 8 kilomètres au sud-ouest de Sarlat-la-Canéda.

    Elle fait partie de l'association Les Plus Beaux Villages de France[1].

    Le bourg bénéficie d'un microclimat dû à la falaise calcaire qui le domine et qui, exposée au sud, conserve sa chaleur, ce qui a permis l'implantation d'un jardin exotique[2].

    Communes limitrophes

    Carte de La Roque-Gageac et des communes avoisinantes.

    La Roque-Gageac est limitrophe de quatre autres communes.

    Communes limitrophes de La Roque-Gageac
    Vézac Vitrac
    La Roque-Gageac
    Cénac-et-Saint-Julien Domme

    Géologie et relief

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. La Roque-Gageac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[3].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c3b-c, date du Coniacien moyen à supérieur, composée de calcaires bioclastiques grossiers et quartzeux jaunes à bryozoaires et gastéropodes, à niveaux gréseux (formation des Eyzies). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 808 - Sarlat-la-Canéda » et « no 832 - Gourdon » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[4],[5] et leurs notices associées[6],[7].

    Carte géologique de La Roque-Gageac.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 60 mètres et 218 mètres[8],[9].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [10]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[11]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[12].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 7,17 km2[8],[13],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 7,21 km2[5].

    Hydrographie

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par la Dordogne et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 8,5 km de longueur totale[17],[Carte 1].

    La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne à Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[18],[19]. Elle arrose la commune sur sept kilomètres du nord-est au nord-ouest en passant par le sud, lui servant de limite naturelle sur cinq kilomètres et demi, en deux tronçons, face à Domme et Cénac-et-Saint-Julien.

    • La Dordogne au bourg de La Roque-Gageac. En rive opposée, commune de Cénac-et-Saint-Julien.
      La Dordogne au bourg de La Roque-Gageac. En rive opposée, commune de Cénac-et-Saint-Julien.
    • Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
      Réseaux hydrographique et routier de la Roque-Gageac.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[22]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Aquitaine, Gascogne » et « Ouest et nord-ouest du Massif Central ». La première est caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours). La seconde présente une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[23].

    Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 925 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[24]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pays de Belvès à 15 km à vol d'oiseau[25], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,2 mm[26],[27]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[28].

    Milieux naturels et biodiversité

    La Dordogne à La Roque-Gageac.

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont La Roque-Gageac[29],[30]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[31].

    La zone Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, qui s'étend au total sur 3 686 hectares et est partagée avec vingt-quatre autres communes, fait également partie du réseau Natura 2000[32],[33]. Deux espèces de chauves-souris inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[32] : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros).

    Sur la commune, elle s'étend sur environ deux kilomètres carrés et se situe au nord de la route départementale 703, en un seul site.

    ZNIEFF

    La Roque-Gageac fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[34],[35], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[36].

    ZPPAUP

    La Zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager de La Roque-Gageac a été créée le [37] et révisée le [38].

    Couvrant près de 720 hectares, cette Z.P.P.A.U.P. vise à englober l'ensemble des protections patrimoniales, en préservant les sites archéologiques sensibles, les monuments historiques, les immeubles d'intérêt architectural, les ensembles urbains homogènes et les espaces naturels.

    Urbanisme

    Typologie

    La Roque-Gageac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[39],[40],[41].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[42],[43].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (27,9 %), forêts (25,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,4 %), zones urbanisées (16,9 %), eaux continentales[Note 5] (10,1 %)[44]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de La Roque-Gageac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[45]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[46].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1993, 1996, 1999, 2001 et 2021[47],[45]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dordogne amont » approuvé le , pour les crues de la Dordogne[48],[49].

    La Roque-Gageac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[50]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[51],[52].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Roque-Gageac.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[53]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[54]. 27,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[55].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[45].

    Risque technologique

    La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 7] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[57].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de La Ròca de Gajac[58].

    Sur la planète Mars, en , l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement rocheux par l'astromobile Curiosity de la NASA est baptisée d'après la commune, mais avec une erreur de transcription « La Rogue-Gageac »[59].

    Histoire

    La Roque-Gageac (au fond à gauche, sous la falaise) et la vallée de la Dordogne.

    Au Moyen Âge, La Roque Gageac a compté jusqu'à 1 500 habitants. À l'époque, la Dordogne faisait vivre pêcheurs et gabariers du port. De cette période demeure l'église recouverte de lauzes. Non loin se dresse, flanqué d'une tour ronde, le manoir de la famille Tarde, amie de Galilée. Pendant la guerre de Cent Ans, La Roque Gageac accueillit les évêques de Sarlat. Leur résidence, à l'extrémité du village, a été conservée. Dominant les maisons, les vestiges du château défient encore le temps.

    Le , un pan de la falaise s'éboule sur une partie du village, tuant trois personnes en détruisant six maisons et une grange, coupant la route et terminant sa course dans la Dordogne[60]. En 2007, une stèle et une plaque ont été implantées au pied de la falaise à la mémoire des victimes de 1957[60].

    Le , un pan du plafond du fort troglodytique s'effondre entraînant la chute d'une partie du mur de courtine du fort, accroché à la paroi de la falaise depuis le XIIe siècle, sur le côté du bâtiment d'accueil du site. Le , au début de la saison touristique, à la suite de la menace d'un rocher de 320 tonnes de s'effondrer sur le village et aux conclusions d'experts d'un danger imminent, la route départementale 703, traversant le village et surplombée par la falaise, est fermée pendant cinq semaines, avec évacuation des personnes les plus menacées. Des travaux de protection, notamment avec la pose de filets, sont effectués pour protéger les vies. À la suite de ces travaux, la RD 703 est rouverte le et les personnes évacuées ont pu regagner leur domicile.

    À la suite de l'effondrement du plafond du fort troglodytique, le site n'a plus été visitable pendant les dix années de travaux qui ont été nécessaires pour le remettre en état. Il a pu rouvrir ses portes en 2020[61],[62].

    À compter de , la route départementale 703 est fermée dans sa traversée du bourg de La Roque-Gageac pour une période de cinq mois, nécessaire à la création de voies piétonnes sécurisées de chaque côté de la route[63].

    Politique et administration

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[64],[65].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Louis Carvès
    (décédé en 1845[66])
    juin 1995[67]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Jérôme Peyrat RPR, UMP[68]
    LR
    puis LREM
    Président de la communauté de communes du Périgord noir (1998-2010)
    Conseiller politique et parlementaire de la Présidence de la République française (2007-2009)
    Conseiller régional d'Aquitaine (2010-2015 et depuis 2021)

    Jumelages

    • Drapeau du Canada Saint-Thomas de Joliette (Canada) depuis 2006[69].

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, La Roque-Gageac relève[70] :

    • du tribunal de proximité de Sarlat-la-Canéda ;
    • du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
    • du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
    • de la cour d'appel et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[71]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[72].

    En 2020, la commune comptait 429 habitants[Note 8], en diminution de 6,33 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    690474606661739741768750807
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    757712705667696651643643577
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    568505518438439415408421446
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    406357373404447449420412449
    2018 2020 - - - - - - -
    426429-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[73].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête des terroirs gourmands, sur deux jours en août (24e édition en 2022[74]).

    Économie

    Ménages fiscaux de l'année 2019

    REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019[75]
    ménages fiscaux - hors communautés et sans abris 2019
    Nombre de ménages fiscaux 207
    Nombre de personnes dans les ménages fiscaux 419
    Médiane du revenu disponible par unité de consommation (en euros) 23 110 

    Insee-DGFiP-Cnaf-Cnav-Ccmsa, au

    Emploi

    En 2015[76], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 199 personnes, soit 42,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt) est resté stable par rapport à 2010 et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,1 %.

    Culture du tabac à la Roque Gageac.

    Plusieurs familles de la Roque-Gageac ont longtemps vécu grâce à la culture du tabac. Cette culture de subsistance a marqué le XXe siècle ; grâce à cette production, les petits paysans recevaient une rentrée d'argent significative, consécutive à la vente de la récolte de l'année à la régie nationale des tabacs. On a pu dire que cette culture sauf cas de grêle, était une forme de "sécurité sociale des paysans"[77]. Au fil du temps, la culture du tabac blond a remplacé la culture du tabac brun. Le tabac est récolté puis séché "sur cadre" directement dans le champ, une fois sec il sera effeuillé et conditionné en balle puis livré aux différentes coopératives françaises, pour le transformer en cigarettes. Si la filière a été très contrôlée par l'État jusque dans les années 1970, où les producteurs devaient détenir un permis et répondre à des contraintes drastiques pour leurs plantations. La fin du monopole de l'État imposé par le droit communautaire a permis aux producteurs de gagner plus d'argent dans les premiers temps. mais ces conditions ont évolué depuis la privatisation de la SEITA et la renégociation du prix du tabac au kilo pour tenir compte de l'évolution des marchés[78].

    Établissements

    Au , la commune compte 86 établissements[79], dont soixante-sept au niveau des commerces, transports ou services, neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, six dans la construction, trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et un dans l'industrie[80].

    Tourisme

    Nombre et capacité des hôtels au

    Nombre et capacité des hôtels au [75]
    Hôtels Chambres
    Ensemble 4 81
    1 étoile 1 8
    2 étoiles 1 21
    3 étoiles 2 52
    4 étoiles 0 0
    5 étoiles 0 0
    Non classé 0

    Nombre et capacité des campings au

    Nombre et capacité des campings au [75]
    Terrains Emplacements
    Ensemble 3 410
    1 étoile 1 60
    2 étoiles 0 0
    3 étoiles 2 350
    4 étoiles 0 0
    5 étoiles 0 0
    Non classé 0

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le fort troglodytique du XIIe siècle dont une partie de la voûte s'est effondrée en 2010. La commune a sécurisé les lieux en 2015[81]. Jean-Max Touron, déjà responsable de plusieurs autres sites touristiques du département, en est devenu propriétaire et a fait effectuer des travaux importants permettant sa réouverture au public à l'été 2020[82].
    • L'église paroissiale Notre-Dame de La Roque-Gageac, église romane construite en 1330.
    • Les ruines du château des Évêques de Sarlat.
    • Le manoir de Tarde (ou château de Tarde), XVe siècle, classé depuis 1951 au titre des monuments historiques[83].
    • Le Jardin exotique et sa bambouseraie[84].
    • Bien qu'attenant au bourg de La Roque-Gageac, le château de la Malartrie qui surplombe la Dordogne est implanté sur la commune de Vézac.
    • Le manoir de Tarde.
      Le manoir de Tarde.
    • Jardin exotique sur les hauteurs du village.
      Jardin exotique sur les hauteurs du village.
    • Le manoir de Tarde. Septembre 2017.
      Le manoir de Tarde. .

    Personnalités liées à la commune

    • Jean Tarde (1562-1636), né à La Roque-Gageac, historien, géographe, astronome, théologien et philosophe[85], il fit la connaissance de Galilée lors d'un voyage en Italie en 1614[86].
    • Gabriel Tarde (1843-1904), juriste, sociologue et philosophe
    • Alfred de Tarde (1880-1925), écrivain, économiste et journaliste français, fils du sociologue Gabriel Tarde, mort à La Roque-Gageac.
    • Fernand Valette (1911-1997), né à La Roque-Gageac, instituteur à La Roque-Gageac, résistant, membre du Parti communiste français[87] et président de la Libre Pensée.
    • Guy Georgy (1918-2003), diplomate, ambassadeur de France, écrivain, auteur de La Folle Avoine sur son enfance en Périgord.
    • Jérôme Peyrat (1962-), haut fonctionnaire et homme politique, est maire de la commune depuis 1995.

    Cinéma

    • La Roque-Gageac, tout comme le proche château de Beynac, ont servi de décor pour des films ou des séries télévisées, notamment :
    • Camping 2, de Fabien Onteniente (été 2009)
    • Les Duellistes, de Ridley Scott (1977)[88]
    • Capitaine Marleau, saison 2, épisode 3, intitulé Sang et lumière[89] (2017)

    Bande dessinée

    Le village est cité dans le manga Flying Witch de Chihiro Ishizuka[90].

    Ouvrages traitant de La Roque-Gageac

    • Les secrets de Sarlat, Beynac et la Roque-Gageac, Collectif, La petite boite / La France racontée aux enfants, (ISBN 9782361522193)
    • La Roque-Gageac, de Romain Bondonneau, Michael Jacobson, éditions du ruisseau, 06/2007, 36 p. (ISBN 9782952976503)
    • La Roque-Gageac, par Collectif, éditions J.P. Altmann, 1991. In-4, 30 p.[91]

    Ouvrages dont l’action se déroule à La Roque-Gageac

    • Tout l'amour de nos pères et La rivière espérance de Christian Signol
    • Le village est cité dans le livre Le Parchemin oublié de Béatrice Maré.
    • Malevil, de Robert Merle, Gallimard, 635 p., 03/1983 (ISBN 9782070374441)
    • L'île du point Némo, de Jean-Marie Blas de Roblès, éditions Zulma et Seuil, 464 p. (ISBN 9782757848913)
    • Le pendu de La Roque-Gageac, François Auberoche, 147 p. (ISBN 979-1092138122)
    • Le Pont de la Roque de François Lequiller, éditions Humussaire, 2016, 424 p. (ISBN 9782913982895)
    • La belle endormie, La dame de La Roque Gageac de Paul Placet, édition La Lauze, 2005, 136 p. (ISBN 978-2-912032-34-8)

    Héraldique

    Blason de Roque-Gageac (La) Blason
    D’azur à la bande d’or grillagée de sable, accompagnée de deux fleurs de lys aussi d’or
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[14],[15]
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    7. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[56].
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    Références

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