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Pacy-sur-Eure
Pacy-sur-Eure
La mairie.
Blason de Pacy-sur-Eure
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Seine Normandie Agglomération
Maire
Mandat
Yves Leloutre
2020-2026
Code postal 27120
Code commune 27448
Démographie
Gentilé Pacéen
Population
municipale
5 042 hab. (2020)
Densité 229 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 01′ 00″ nord, 1° 22′ 58″ est
Altitude Min. 38 m
Max. 141 m
Superficie 22,03 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Pacy-sur-Eure
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pacy-sur-Eure
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Pacy-sur-Eure
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Pacy-sur-Eure
Liens
Site web http://www.ville-pacy-sur-eure.fr/

    Pacy-sur-Eure est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

    Géographie

    Localisation

    Pacy-sur-Eure est une commune de l'Est du département de l'Eure proche de celui des Yvelines. Son territoire, situé entre Évreux et Mantes-la-Jolie, s'étend au cœur de la vallée de l'Eure[1] et déborde très largement à l'est, au sein de la forêt de Pacy, sur le plateau de Madrie[2]. À vol d'oiseau, la commune se situe à 17 km à l'est d'Évreux[3], à 24 km à l'ouest de Mantes-la-Jolie[4], à 31,5 km au nord de Dreux[5], à 52 km au sud-est de Rouen[6] et à 90 km du cœur de Paris (1h15 via A13)[7].

    Communes limitrophes de Pacy-sur-Eure[8]
    Ménilles Ménilles Douains
    Saint-Aquilin-de-Pacy (comm. nouv. de Pacy-sur-Eure), Fains Pacy-sur-Eure Chaignes
    Saint-Aquilin-de-Pacy (comm. nouv. de Pacy-sur-Eure) Hécourt Aigleville

    Hydrographie

    La commune est adossée à l'Eure, affluent de la Seine.

    • L'Eure à Pacy.
      L'Eure à Pacy.
    • Depuis les jardins du Moulin.
      Depuis les jardins du Moulin.
    • L'Eure à Pacy.
      L'Eure à Pacy.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune relève du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 659 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968[16] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[17],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[18] à 10,8 °C pour 1981-2010[19], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Pacy-sur-Eure est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[21],[22],[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pacy-sur-Eure, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[24] et 7 276 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[25],[26].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[27],[28].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Paciacum entre 1050 et 1066, Paceium en 1135 (petit cartulaire de Saint-Taurin)[29], Pasci en 1153 (charte de Henri II), Paciacum en 1195 (traité entre Philippe Auguste et Richard Cœur de Lion), Paceyum en 1248 (cartulaire de Saint-Taurin), Pacyacum en 1277 (grand cartulaire de Saint-Taurin), Passy en 1356 (Froissart), Passi en 1588 (Bourgueville), Passey en 1611 (Desrues, Singularité des principales villes), Passey ou Pacey en 1668 (André Du Chesne, Antiq. et rech. des villes), Passy sur Eure en 1754 (Dict. des postes)[30].

    L'Eure est une rivière qui prend sa source dans la région naturelle du Perche et qui coule dans les départements de l'Orne, d'Eure-et-Loir, de l'Eure et de la Seine-Maritime.

    Histoire

    Il y avait dans la localité un château féodal, au moins depuis le milieu du XIIe siècle, qui était à l'époque du duc Henri la possession de Robert de Leicester ( 1168)[31], devenu château royal et où Philippe Auguste a résidé trois jours avant sa mort, survenue le [32].

    Pacy-sur-Eure était sous l'Ancien Régime un relais pour les diligences sur la route Caen-Paris[33].

    Saint-Aquilin-de-Pacy fusionne avec Pacy-sur-Eure le .

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    En cours Yves Leloutre DVD
    2017 2020 Jean-Jacques Cholet DVD
    mars 2001 2017
    (démission)
    Pascal Lehongre UMP-LR Permanent politique
    Conseiller général puis départemental
    Président du Conseil départemental depuis 2017
    Démissionnaire depuis son élection en tant que Président du Conseil départemental
    mars 1983 mars 2001 Jean-Luc Miraux UMP Sénateur (1998-2008)
    1979 mars 1983 Bernard Lecomte
    mars 1971 1979 Philippe Courtois
    mars 1959 mars 1971 Lucien Delaune
    mai 1953 mars 1959 Émile Wolff
    1946 mai 1953 Gaston Fournier
    mai 1945 1946 Maurice Kuborn
    1942 mai 1945 Henri Leclerc
    mai 1929 1942 Émile Wolff
    mai 1925 mai 1929 Camille Briquet radical Député, conseiller général
    décembre 1919 mai 1925 Auguste Lissot
    mai 1912 décembre 1919 Aimé Leconte
    mai 1904 mai 1912 Louis Bonnel
    1882 mai 1904 Édouard Isambard Républicain médecin
    Député, conseiller général
    1878 1882 Eugène Godefroy
    1874 1878 Hilaire Blanchard
    1871 1874 Jules Ducoudré
    1870 1871 Frémont Lépouzé
    1853 1870 Éléonor Besnard
    Les données manquantes sont à compléter.
    ca 1815 Louis-Philippe de Saint-Albin abbé
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique de développement durable

    En 2017, la commune a été labellisée « 3 fleurs » par le Conseil national de villes et villages fleuris de France[34].

    Population et société

    Évolution démographique de la commune déléguée

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36] - [Note 7].

    En 2014, la commune comptait 4 556 habitants, en diminution de −3,5 % par rapport à 2009 (Eure : 2,59 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6801 5101 4581 3641 3871 4601 4961 5441 597
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5241 7231 6431 7811 8101 8401 9451 9262 037
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 0212 0902 1821 8821 9941 8191 8412 0342 242
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2014
    2 7093 2133 4723 6504 2954 7514 8264 6374 556
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Évolution démographique de la commune nouvelle

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

    En 2020, la commune comptait 5 042 habitants[Note 8].

    Évolution de la population [modifier]
    2015 2020
    5 1175 042
    (Sources : Insee à partir de 2015[39].)

    Sports

    • Pacy Vallée-d'Eure Football.
    • Judo Club Pacy-sur-Eure.

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Aubin.

    La commune de Pacy-sur-Eure compte un édifice inscrit et un édifice classé au titre des monuments historiques :

    • l'église Saint-Aubin (XIIIe, XIVe, XVe, XIXe et XXe siècles) Logo monument historique Inscrit MH (1927)[40] ;
    • le château du Buisson de May (XIXe siècle) Logo monument historique Classé MH (1994)[41]. D'architecture néo-classique, ce château a été réalisé par l'architecte Denis Antoine de 1781 à 1783. Il a fait l'objet d'une campagne de restauration au XIXe siècle. L'édifice est situé sur le territoire de Saint-Aquilin-de-Pacy[41].

    Autres édifices :

    • les ponts : il s'agit de onze petits ponts construits sur les bras secondaires de l'Eure, visibles en arrivant d'Évreux. Un douzième est situé sur le bras principal de la rivière, en centre-ville ;
    • le chemin de fer de la vallée de l'Eure. Il s'agit d'un chemin de fer touristique exploité sur une section de 18 km de l'ancienne ligne de chemin de fer d'Orléans à Rouen. Cette section, qui relie d'un côté, Pacy-sur-Eure à Breuilpont et, de l'autre, Pacy-sur-Eure à Chambray, permet de parcourir la vallée de l'Eure dans des véhicules roulants dont certains sont classés au titre des monuments historiques ;
    • abbaye de l'Annonciation (non localisée) ; 1638[42] ; ayant reçu des bénédictines.
    • Jusqu'à mon dernier souffle, monument d'hommage à Aristide Briand, ancien président du Conseil. Réalisé par le sculpteur Émile Oscar Guillaume ami de longue date de l'homme politique, il fut inauguré le 11 novembre 1933 en présence d'Albert Sarraut, Édouard Daladier et Camille Chautemps[43].

    Patrimoine culturel

    • Serge Gainsbourg chanta une parodie de sa propre chanson Le Poinçonneur des Lilas dans laquelle le poinçonneur est devenu fossoyeur dans la ville de Pacy-sur-Eure[44].
    • Dans Manon Lescaut de l'abbé Prévost, le narrateur, qui s'appelle Renoncour, vient de Rouen. Il arrive pour dîner à Pacy-sur-Eure.
    • Julien Doré et Dick Rivers ont tourné le clip de leur reprise d’Africa, de Rose Laurens, au bar Le Duguesclin[45].

    Patrimoine naturel

    Natura 2000

    • Vallée de l'Eure[46].

    ZNIEFF de type 1

    • Les hauts prés à Pacy-sur-Eure[47].
    • Le coteau du val Morin[48].

    ZNIEFF de type 2

    • La vallée de l'Eure d'Acquigny à Ménilles, la basse vallée de l'Iton[49].

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-François Charles Leroy (1758 à Pacy-sur-Eure - 1810), homme politique.
    • Antoine Trutat (1781-1849), né à Pacy, conseiller général et député de l'Eure.
    • François-Charles Dulong (1792 à Pacy-sur-Eure - 1834), avocat et homme politique.
    • Michel Bordet né à Pacy-sur-Eure (1823-1892), acteur et auteur dramatique.
    • Édouard Isambard (né le à Pacy-sur-Eure, décédé dans cette même ville le ), médecin, maire de la ville, député.
    • Georges Heuyer (1884 à Pacy-sur-Eure - 1977)[50], médecin, professeur à la faculté de médecine de Paris, membre de l'Académie nationale de Médecine.
    • Monique Saint-Hélier (1895 - 1955 à Pacy-sur-Eure), écrivaine suisse romande.
    • Henri Gaudichon, dit Henri Gault (1929 à Pacy-sur-Eure - 2000)[51], journaliste, chroniqueur et critique gastronomique. Avec Christian Millau, il crée, en 1972, le guide gastronomique Gault et Millau.
    • Marc Dufumier (né en 1946 à Pacy-sur-Eure)[52], agronome et enseignant-chercheur.
    • Laurent Hatton (né en 1962 à Pacy-sur-Eure), entraîneur de football.
    • Denis Tristant (né en 1964 à Pacy-sur-Eure), handballeur.
    • Jacques Baudier (1921 - 2018 à Pacy-sur-Eure), athlète.

    Héraldique

    Blason de Pacy-sur-Eure Blason
    Parti : au 1er d'azur au senestrochère armé d'or, mouvant de dextre, tenant une épée d'argent garnie d'or et au dextrochère d'argent mouvant de senestre, paré d'or et tenant une crosse d'argent [Saint-Aquilin], au 2e d'argent à une rose de gueules [Pacy-sur-Eure] ; le tout sommé d'un chef de gueules chargé de deux léopards affrontés d’or armés et lampassés d'azur.
    Détails
    Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.
    Création Denis Joulain pour la commune nouvelle créée le 1er janvier 2017. Adopté le 28 février 2017.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    • Liste des communes de l'Eure
    • Bataille de Brécourt (hameau de Douains)
    • Chemin de fer de la vallée de l'Eure
    • Gare de Pacy-sur-Eure
    • Liste des communes nouvelles créées en 2017

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[13].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « La vallée de l’Eure de Saint-Georges-Motel à Acquigny », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
    2. « Le plateau de Madrie », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
    3. « Distance à vol d'oiseau entre Pacy-sur-Eure et Évreux », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    4. « Distance à vol d'oiseau entre Pacy-sur-Eure et Mantes-la-Jolie », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    5. « Distance à vol d'oiseau entre Pacy-sur-Eure et Dreux », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    6. « Distance à vol d'oiseau entre Pacy-sur-Eure et Rouen », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    7. « Mappy - Plans, comparateur d'itinéraires et cartes de France », sur Mappy (consulté le ).
    8. « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
    9. « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
    10. 1 2 Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    13. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    16. « Station météofrance Évreux-Huest - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    17. « Orthodromie entre Pacy-sur-Eure et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Unité urbaine 2020 de Pacy-sur-Eure », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    25. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    26. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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    30. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 161.
    31. Anne-Marie Flambard Héricher (préf. Vincent Juhel), Le château de Vatteville et son environnement, de la résidence comtale au manoir de chasse royal, XIe – XVIe siècle, vol. Mémoire de la Société des antiquaires de Normandie, t. XLVIII, Caen, Société des antiquaires de Normandie, , 393 p. (ISBN 978-2-919026-27-2), p. 49.
    32. « Médiévale... Remparts de Normandie : Les remparts de Pacy-sur-Eure (Eure) » (consulté le ).
    33. Bertrand Pâris, « Charlotte Corday », Patrimoine normand, no 119, octobre-novembre-décembre 2021, p. 18 (ISSN 1271-6006).
    34. Site des villes et villages fleuris, consulté le 9 février 2018.
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    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. « Église Saint-Aubin », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. 1 2 « Château du Buisson-de-Mai », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. Recueil historique, chronologique et topographique des archevêchez ..., Volume 2 .
    43. « L'inauguration du monument à Aristide Briand », Le Journal n° 15001, , p. 5/10.
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    45. « Pacy-sur-Eure : ville de tournages », sur Actu.fr (consulté le ).
    46. « Vallée de l'Eure », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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