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Tournehem-sur-la-Hem
Tournehem-sur-la-Hem
La mairie.
Blason de Tournehem-sur-la-Hem
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Saint-Omer
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer
Maire
Mandat
Jean-Paul Vasseur
2020-2026
Code postal 62890
Code commune 62827
Démographie
Gentilé Sarrazins
Population
municipale
1 391 hab. (2020 en diminution de 4,2 % par rapport à 2014)
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 48′ nord, 2° 02′ est
Altitude Min. 22 m
Max. 174 m
Superficie 18,14 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Calais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Omer
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Tournehem-sur-la-Hem
Liens
Site web mairie-tournehem.fr

    Tournehem-sur-la-Hem est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

    La commune fait partie de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer qui regroupe 53 communes et compte 105 142 habitants en 2019.

    Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.

    Géographie

    Localisation

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de dix communes :

    Communes limitrophes de Tournehem-sur-la-Hem
    Louches Zutkerque,
    Zouafques
    Nordausques
    Clerques Tournehem-sur-la-Hem Nort-Leulinghem
    Bonningues-lès-Ardres Quercamps,
    Acquin-Westbécourt
    Mentque-Nortbécourt

    Hydrographie

    La commune est traversée par la Hem ou Tiret, un cours d'eau naturel non navigable de 27,92 km, qui prend sa source dans la commune d'Escœuilles et rejoint l'Aa dans la commune de Sainte-Marie-Kerque[1].

    Milieux naturels et biodiversité

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[2].

    Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé : le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[3].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal comprend cinq ZNIEFF de type 1[Note 1] :

    • la forêt domaniale de Tournehem et ses lisières. Cette ZNIEFF marque le rebord oriental du pays de Licques[4] ;
    • le mont de Bonningues. Cette ZNIEFF s’étend le long du bois du Carnoy[5] ;
    • la haute vallée de la Hem entre Audenfort et Nordausques[6] ;
    • le mont Gasart. « Le coteau du Mont Gasart s’étend en lisière du bois du Camp Bréhout et du bois de Clerques. Ce versant en exposition sud-sud-est, légèrement festonné, domine la vallée de la Hem, petite rivière sinueuse s’écoulant au milieu de prairies bocagères pâturées. »[7] ;
    • la couronne boisée au nord de Licques. Cette ZNIEFF boisée marque la partie nord de la cuesta du pays de Licques, dernier contrefort des collines crayeuses de l’Artois avant la plaine maritime flamande[8].

    et une ZNIEFF de type 2[Note 2] : la boutonnière de pays de Licques. Cette ZNIEFF, de 17 830 hectares, s'étend sur 43 communes[9].

    Site Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce réseau est constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[10].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les pelouses et bois neutrocalcicoles des cuestas du Boulonnais et du Pays de Licques et la forêt de Guines[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Tournehem-sur-la-Hem est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[12],[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Calais, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,2 %), forêts (41,8 %), prairies (4,6 %), zones urbanisées (4,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Turringahem en 877 ; Tornchem, lire : Tornehem en 1084 ; Turnehem en 1105 ; Turnahem en 1107 ; Tornheem en 1127 ; Torneham en 1170 ; Thornehem de 1170 à 1191 ; Tornehen en 1282 ; Tourneham en 1298 ; Tournahem en 1300 ; Tournehem en 1306 ; Torhem en 1313 ; Tournehen en 1349 ; Tourneheem en 1355 ; Tournehan au XVe siècle ; Turnhen en 1699[18] ; Tournehan en 1793 ; Tournehem en 1801 ; Tournehem-sur-la-Hem depuis 1964 [19].

    L'élément -hem est une variante, caractéristique du nord de la France, de ham ou heim « village », qui a donné hameau en français[20]. Maurits Gysseling préfère citer la forme hypothétique du proto-germanique *þurnu- *haima, composé de *þurnu- « épine » et *haima « habitation »[21], dans la mesure où l'on ignore à quelle date a été formé ce toponyme. En outre, il ne tient pas compte de la forme Turringahem de 877 citée par le Dictionnaire topographique[21].

    La Hem est une rivière française du département du Pas-de-Calais, dans la région des Hauts-de-France.

    Doornem en flamand[22].

    Guemy, ancienne commune, est un hameau de Tournehem-sur-la-Hem[23] : Gimmeke en flamand.

    Histoire

    L'existence de Tournehem est attestée dès l'Antiquité, lorsque les légions romaines pénétrèrent dans la Morinie et que César prit cette place en l'an 57 avant notre ère. En l'an 218, l'empereur Septime Sévère, en campagne contre la Grande-Bretagne, fit camper une partie de son armée sur la montagne de Saint-Louis, près de Tournehem[24].

    Tournehem était située sur la voie romaine reliant Boulogne-sur-Mer à Cassel, via Le Wast, Alembon, Licques, Clerques, Tournehem, Watten, Wulverdinghe, Lederzelle, Wemaers-Cappel[25].

    Au Moyen Âge, la ville de Tournehem était le chef-lieu de l'une des quatre châtellenies du comté de Guînes, en Artois. Lambert de Tournehem assiste vers 1084 à l'enterrement d'Adèle Chrétienne de Hollande, épouse du comte de Guînes Baudouin Ier de Guînes, dans l'abbaye Saint-Médard d'Andres[26]. En 1117, cette châtellenie fut donnée en fief par Manassès Ier de Guînes, comte de Guînes, à son neveu Arnould de Gand, qui deviendra à son tour comte de Guînes sous le nom d'Arnould Ier de Guînes[24]. Manassès possédait un château à Tournehem[27]. En 1145-1150, Manassès de Tornehem et son fils Manassès font partie de l'entourage d'Arnould Ier lorsque celui-ci établit des chartes en faveur d'abbayes[28].

    Vers 1170, Baudouin II de Guînes, fils d'Arnould Ier, fait réparer le château de Tournehem qui tombait en ruines, fortifie la ville en l'entourant d'un profond fossé, renouvelle ses murailles, et creuse un grand étang à côté[29].

    En 1346, Gui de Nesle s'empara de Tournehem et tua six-cents soldats anglais qui s'y étaient réfugiés[24].

    En 1350, après la mort du dernier comte de Guînes, Tournehem fut réuni au domaine de la couronne[24].

    Les Anglais s'emparèrent de Tournehem en 1352, avant que les Français ne reprennent cette place en 1377. Le roi Louis XI l'a ensuite donnée en 1479 à Antoine de Bourgogne, fils naturel de Philippe le Bon, duc de Bourgogne[24].

    Le jeune Erasme y séjourne en 1499 et 1501 chez son ami Jacques Batt, précepteur d'Adolphe de Bourgogne.

    Par le traité de Cambrai (1529), Tournehem fut cédé par la France à l'empereur Charles Quint, mais la guerre ayant de nouveau éclaté entre les deux couronnes, le duc de Vendôme mit le siège devant Tournehem (1542), qui céda après avoir essuyé pendant cinq jours le feu des assiégeants, et le château fut détruit[24].

    La paix de Crépy (1544) restitua Tournehem aux Espagnols, qui réédifièrent les fortifications, mais ils perdirent à nouveau cette place en 1595 (prise par le maréchal d'Humières) et la forteresse fut définitivement rasée[24].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais.

    Commune et intercommunalités

    Tournehem jusqu'alors membre de la communauté de communes de la région d'Ardres et de la vallée de la Hem, dissoute le , a intégré le la communauté d'agglomération de Saint-Omer (CASO)[30].

    Circonscriptions administratives

    La commune est rattachée au canton de Saint-Omer.

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

    Élections municipales et communautaires

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Léon Leclercq[31]
    mars 2008 2020 Jean-Claude Hiraut Réélu pour le mandat 2014-2020[30] - [32] - [33]
    3 juillet 2020 En cours
    (au 8 avril 2022)
    Jean Paul Vasseur Ancien cadre[34] - [35]

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

    En 2020, la commune comptait 1 391 habitants[Note 5], en diminution de 4,2 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    603591657812896938963944850
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8108809259391 0311 0331 0441 010988
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    939944954888864824798847781
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    7798359651 0181 0691 2191 2261 2291 335
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 4521 4001 391------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 707 hommes pour 711 femmes, soit un taux de 50,14 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1
    90 ou +
    0,4
    4,7
    75-89 ans
    7,1
    16,5
    60-74 ans
    16,5
    17,9
    45-59 ans
    19,4
    19,9
    30-44 ans
    18,5
    18,2
    15-29 ans
    18,8
    22,6
    0-14 ans
    19,2
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,6
    5,5
    75-89 ans
    8,9
    16,4
    60-74 ans
    17,8
    20,3
    45-59 ans
    19,3
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,1
    15-29 ans
    16,2
    20,2
    0-14 ans
    18,1

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Site classé

    Un site classé ou inscrit est un espace (naturel, artistique, historique…) profitant d'une conservation en l'état (entretien, restauration, mise en valeur...) ainsi que d'une préservation de toutes atteintes graves (destruction, altération, banalisation...) en raison de son caractère remarquable au plan paysager. Un tel site justifie un suivi qualitatif, notamment effectué via une autorisation préalable pour tous travaux susceptibles de modifier l'état ou l'apparence du territoire protégé[41].

    Dans ce cadre, la commune présente un site classé par arrêté du  : les ruines de la chapelle Saint-Louis, à Guémy, situées sur un plateau, qui offre un panorama sur le Calaisis, où subsistent l'intégralité des murs en calcaire tendre de la chapelle, fondée au XIIIe siècle[42].

    • La chapelle Saint-Louis à Guémy.
      La chapelle Saint-Louis à Guémy.
    • La chapelle Saint-Louis.
      La chapelle Saint-Louis.

    Patrimoine religieux

    Monument historique
    • L'église Saint-Médard des XVe, XVIIe et XVIIIe siècle, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [43]. Les boiseries des stalles, de la chaire, du buffet d'orgues, ainsi que quelques statues et tableaux sont classés à titre d'objets.
    • L'église Saint-Médard.
      L'église Saint-Médard.
    • L'intérieur de l'église Saint-Médard.
      L'intérieur de l'église Saint-Médard.
    Autres monuments
    • La chapelle de la Vierge dans le bâtiment du moulin à eau, rue de l'Étang.
    • La chapelle Notre-Dame-de-la-Forêt dans la forêt de Tournehem.

    Patrimoine civil

    • Les fortifications de Tournehem. De ces fortifications part un réseau complexe de passages souterrains. Certains de ceux-ci rallient la chapelle Saint-Louis, d'autres se terminent à Ardres, le chef-lieu de canton. En raison de leur dangerosité, les souterrains sont interdits au public et les visites ne sont plus autorisées.
    • Trois moulins à eau: rue de l'Étang, route de Guémy et chemin de la Leulenne.
    • Le moulin à vent Bacquet.
    • Les fortifications de Tournehem.
      Les fortifications de Tournehem.
    • Moulin à eau sur la Hem au centre de Tournehem.
      Moulin à eau sur la Hem au centre de Tournehem.
    • Moulin à vent Bacquet.
      Moulin à vent Bacquet.

    Patrimoine commémoratif

    • Le monument aux morts au pied du cimetière, commémorant les guerres de 1914-1918 et 1939-1945
    • Plaquettes dans l'église commémorant les guerres de 1914-1918, 1939-1945 et d'Algérie.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Plaquettes commémoratives dans l'église.
      Plaquettes commémoratives dans l'église.

    Personnalités liées à la commune

    • Antoine bâtard de Bourgogne (v. 1421-1504) y est inhumé.

    Héraldique

    Armes de Tournehem-sur-la-Hem

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :
    de gueules à la porte de ville à galerie crénelée (et donjonnée) d'argent, ouverte et ajourée du champ[44].

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Hem ou Tiret (E4100600 ) » (consulté le )
    2. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    3. « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    4. « ZNIEFF 310007259 - La Forêt domaniale de Tournehem et ses lisières », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    5. « ZNIEFF 310007260 - mont de Bonningues », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. « ZNIEFF 310007272 - Haute vallée de la Hem entre Audenfort et Nordausques », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    7. « ZNIEFF 310013680 - Mont Gasart », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    8. « ZNIEFF 310013719 - La couronne boisée au nord de Licques », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « ZNIEFF 310013274 - La Boutonnière de Pays de Licques », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le )
    11. « Natura 2000 FR3100485 - Pelouses et bois neutrocalcicoles des cuestas du Boulonnais et du Pays de Licques et forêt de Guines », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Calais », sur insee.fr (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 372.
    19. 1 2 Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Jules-Albert de Foucault, L’élément -hem dans la toponymie du Pas-de-Calais, vol. 3, coll. « Revue internationale d'onomastique », (lire en ligne), p. 188.
    21. 1 2 Maurits Gysseling, Toponymisch woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Noord-Frankrijk en West-Duitsland vóór 1226, 1960, p. 974 (lire en ligne)
    22. « proussel.voila.net/pages/noms_… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
    23. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 178.
    24. 1 2 3 4 5 6 7 Pierre Jean M. Collet, Notice historique de saint-Omer, suivie de celles de Thérouane et Tournehem, (lire en ligne), p. 194.
    25. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Année 1858, p. 81-83, lire en ligne
    26. André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632,p. 22, lire en ligne
    27. Du Chesne, op. cit., p. 28.
    28. A. du Chesne, op. cit., p. 60.
    29. A. Du Chesne, option cité, p. 69.
    30. 1 2 Éric Dauchart, « Tournehem, bilan du maire Jean-Claude Hiraut: « Je ne veux pas endetter la commune » : À quelques mois des élections municipales, prévues les 23 et 30 mars 2014, l’heure est au bilan pour les maires. Jean-Claude Hiraut, maire de Tournehem, répond à nos questions », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    31. M. D.-L. (CLP), « Tournehem-sur-la-Hem : le retour de l’ancien maire Léon Leclercq : Pour ce premier tour des élections municipales, les Sarrazins avaient le choix entre la liste « Ensemble dans l’intérêt commun de notre village » de Jean-Claude Hiraut, maire sortant, composée de deux adjoints et de deux conseillers sortants ; la liste « Tournehem, vivre et agir ensemble » de Jean-Claude Vasseur, conseiller sortant de la majorité entré en dissidence, accompagné de deux autres conseillers sortants de la majorité ; et la liste « Tournehem autrement » de Léon Leclercq, ancien maire de 2001 à 2008 et conseiller sortant de l’opposition, entouré de Catherine Roder, conseillère sortante de l’opposition », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
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