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Bar-sur-Aube
Bar-sur-Aube
L’hôtel de ville.
Blason de Bar-sur-Aube
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Aube
(sous-préfecture)
Arrondissement Bar-sur-Aube
(chef-lieu)
Intercommunalité Communauté de communes de la Région de Bar-sur-Aube
(siège)
Maire
Mandat
Philippe Borde (LR)
2020-2026
Code postal 10200
Code commune 10033
Démographie
Gentilé Baralbins
Population
municipale
4 774 hab. (2020 en diminution de 4,79 % par rapport à 2014)
Densité 293 hab./km2
Population
agglomération
5 010 hab. (2020)
Géographie
Coordonnées 48° 13′ 54″ nord, 4° 42′ 28″ est
Altitude Min. 156 m
Max. 348 m
Superficie 16,27 km2
Unité urbaine Bar-sur-Aube
(ville-centre)
Aire d'attraction Bar-sur-Aube
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Bar-sur-Aube
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Bar-sur-Aube
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Bar-sur-Aube
Liens
Site web barsuraube.fr

    Bar-sur-Aube est une commune française, sous-préfecture du département de l'Aube en région Grand Est.

    Ses habitants s'appellent les Baralbins ou Bar-sur-Aubois.

    Géographie

    Localisation

    Située à 165 mètres d'altitude, la rivière Aube et la Bresse sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Bar-sur-Aube.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Communes limitrophes de Bar-sur-Aube
    Ailleville Ailleville Arrentières
    Proverville Bar-sur-Aube Fontaine
    Proverville Proverville Fontaine

    Géologie et relief

    Bar-sur-Aube est entourée de coteaux champenois et de collines. La ville est traversée par l'Aube, d'où son nom.

    Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
    Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
    Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

    Hydrographie et les eaux souterraines

    L'Aube[2],[3],
    • Fossé 01 du Val d'Ardenne[4],
    • La Bresse[5],
    • Bras de l'Aube[6],
    • Canal 02 de Mathaut[7],
    • Cours d'Eau 01 des Côtelles[8],
    • Canal 01 de la Source de la Dhuys[9],
    • Canal 01 de Mathaut[10].

    Climat

    La ville de Bar-sur-Aube bénéficie d'un climat océanique. Des averses s'abattent toute l'année sur Bar-sur-Aube. Même lors des mois les plus secs, les précipitations restent assez importantes. D'après Köppen et Geiger, le climat y est classé Cfb. Bar-sur-Aube affiche une température annuelle moyenne de 10,1 °C. Sur l'année, la précipitation moyenne est de 693 mm[11].

    Sismicité

    Commune située dans une zone de sismicité très faible[12].

    Voies de communications et transports

    Voies routières

    • A5 : Échangeur n°3 Colombey, Échangeur n°2 Bar-sur-Seine.
    • D 619 vers Ailleville, Lignol-le-Château[13].
    • D 46 vers Proverville.
    • D 73 vers Arrentières.
    Gare de Bar-sur-Aube.

    Transports en commun

    • Fluo Grand Est.
    SNCF
    • Gare de Bar-sur-Aube,
    • Gare de Vendeuvre.

    Urbanisme

    Typologie

    Selon la terminologie définie par l'Insee et le zonage publié en 2020, Bar-sur-Aube est une commune urbaine[Note 1]. Elle appartient en effet à l'unité urbaine de Bar-sur-Aube, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[14] et 5 010 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bar-sur-Aube, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 43 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,5 %), zones urbanisées (10,4 %), prairies (9,9 %), forêts (9,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,4 %), cultures permanentes (7,1 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Aménagement de l'espace

    En 2007-2008, le centre-ville est passé en sens unique, un élargissement a été effectué au niveau des trottoirs. Le tour de ville a été rénové en 2006 tout comme la place de l'Hôtel-de-Ville. La cité scolaire Gaston-Bachelard a été rénovée en 2011. Une piste cyclable a été tracée sur le tour de ville en 2011 et l'ouverture d'un camping à la Gravière donne un attrait touristique à la ville. Un terrain de football synthétique et la réfection des vestiaires du stade sont en projet.

    Toponymie

    Attestée sous les formes Segessera, Barrisiica, Barris ca, Baro castelli, castelli Baris (monnaies carolingiennes), Barrum super Albam (1061), Castrum Barris montis (1065), Barrense castrum, Barrense oppidum (1097), Barrenses (1102), Barrum castrum super Albam (1104), Vetus castrum, villa Barrensis (1149), Bar-sur-Aube (vers 1200)[20]. Le nom de la ville se trouve également sous la forme Barrum ad Albam dans les archives ecclésiastiques[21].

    Du gaulois barro- « tête, hauteur (topographie) , extrémité boisée »[22],[23], comme le montre d'ailleurs le pléonasme [castrum] Barris montis « château du Mont Barre » de 1065.

    Au cadastre de 1837 se trouvait : les faubourgs d'Arsonval, Saint-Nicolas, Notre-Dame et d'Aube, Beauvoir, la Bergerie, le Calvaire, le Cellier, la Chalet, Chauvelet, le moulin du Château, celui du Bas, du Haut ; Château-Gaillard, Châtelet, Chauffourt, Coquerillon, Coucelange, la Doué, la Folie, les Gravières, Heaume, Marcassel, Mathaux, Ormont, les ponts Rouge et aux Moines, Sainte-Germaine, Saint-Esprit, abbaye Saint-Nicolas, Temple, Val-de-Thors, Val-Richard, Vaudemont, Voie-Neuve.

    Histoire

    Antiquité

    L'existence de Bar-sur-Aube remonte à l’Antiquité. Un coin monétaire (type au cheval) au nom de Togirix (chef des Lingons) a été découvert sur la colline Sainte-Germaine. Il servait à battre des monnaies.

    À l'époque romaine la ville aurait d'après la Table de Peutinger été connue sous le vocable de Segessera (seges, moisson). Louis Chevalier cite également l’appellation Frumentaria (frumentum, blé)[21]. Ces dénominations pourraient provenir de la fertilité du territoire ou bien de l'utilisation de la ville comme entrepôt par les Romains[21]. Un certain nombre de vestiges du Ier au IVe siècle, dont des villas, a été découvert dans la ville et dans les environs. Vicus de la civitas des Lingons, Segessera faisait partie, pendant le Haut-Empire romain, de la province de Gaule Belgique. Elle aurait été rattachée au Bas-Empire romain à la province de Lyonnaise première.

    D'après la tradition orale, la ville aurait été dévastée par Attila dont l’action la plus connue fut la décapitation de sainte Germaine ; elle fut enterrée sur la colline qui porte désormais son nom et qui devint un lieu de culte ainsi qu'une communauté villageoise. Après le partage du royaume de Clovis par ses fils, la ville fit partie de l'Austrasie.

    Moyen Âge

    Sous Charles le Chauve, plusieurs variétés de monnaies furent émises avec au revers le nom de la ville.

    Les comtes

    Les comtes étaient chargés d'administrer le pagus Barrensis dont Bar-sur-Aube était le chef-lieu. Ce pagus était sous la suzeraineté de l'évêque de Langres. En 889, le roi Eudes avait confirmé, au comte, la possession du castellum, le droit de battre monnaie et de tenir foire[24].

    Les foires

    Grâce à la politique des comtes de Champagne, la ville prit une grande importance. Bar était le siège d'une des six foires de Champagne[25], où les commerçants des Flandres et d'Italie s'échangeaient épices d'Orient, soie, textiles et produits bruts venus du nord de l'Europe à la mi-février et à la mi-avril. C'est la période où les comtes abandonnèrent l'ancien château de la motte féodale pour faire bâtir leur résidence en ville[26].régulières dès 1114. En 1160 elle se déroulait sur deux semaines, de la troisième semaine de carême à la quatrième incluse. Devant l'importance qu'elle prenait elle s'étendirent sur une troisième semaine en 1170, puis à vingt-huit jours en 1250[27]. Les intervenants étaient présents de nombreux jours supplémentaires pour le règlement des démarches administratives et commerciales. De plus certaines corporations avaient investi financièrement dans la ville pour ces actions régulières : achats de halles, de maisons comme les drapiers de Châlons, des marchands d'Arras, Bâle, Besançon, Cambrais, Fribourg, Orange, Paris, Valenciennes, Ypres.

    Elles attiraient aussi des métiers dérivés comme des banquiers, les Anguissoli qui laissèrent leur nom à la rue des Angoisselles (actuelle rue Mailly), des changeurs...

    Le rattachement de Bar à la couronne

    Bar-sur-Aube et la Champagne furent réunies au domaine royal à la suite du mariage, le entre Jeanne de Navarre héritière du comté de Champagne et du roi de France Philippe le Bel. En 1318, Philippe V le Long ayant vendu la ville à Jacques de Croÿ, les habitants se rachetèrent et obtinrent que le roi ne puisse plus la vendre ni l'aliéner.

    Le Traité de Bar-sur-Aube

    Le traité de Bar-sur-Aube fut signé le entre le duc de Lorraine Ferry IV, le comte de Bar Édouard Ier, l'évêque de Metz Renaud de Bar et le sire de Blâmont Henri Ier de Blâmont[28].

    • Pont d'où fut jeté Alexandre, bâtard de Bourbon avec en son centre la chapelle expiatoire élevée à sa mémoire par ses partisans.
      Pont d'où fut jeté Alexandre, bâtard de Bourbon[29] avec en son centre la chapelle expiatoire élevée à sa mémoire par ses partisans.
    • Vestiges du Châtelet.
      Vestiges du Châtelet.
    Chapelle templière Saint-Jean.

    Les Templiers et les Hospitaliers

    La chapelle Saint-Jean est une possession des Templiers, puis lors de la dévolution des biens de l'ordre du Temple passe aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[30].

    Ancien Régime

    Lorsque Charles Quint assiégea la ville de Saint-Dizier, les habitants des villages voisins se mirent sous sa protection[31]. La ville souffrit d'une longue peste en 1636[32], qui provoqua l'arrêt de la foire.

    Élection (circonscription de l'Ancien Régime)

    Pendant l'Ancien Régime, Bar-sur-Aube était le siège d'une élection qui regroupait jusqu'à cent quatre-vingt communautés. Parmi ses présidents, on citera :

    • 1668-1678 : Jean-Baptiste de Coiffy ;
    • 1690 : Claude Chifflet ;
    • 1692 : Jean Bernodat ;
    • 1707-1708 : Charles Chifflet ;
    • 1732-1733 : Didier Mailly ;
    • 1740 -1748 : N. Mailly ;
    • 1776 : Louis-Marie Rétaux.

    Elle était aussi le siège d'un grenier à sel[33].

    Epoque contemporaine

    La Révolution française y fut bien accueillie, les couvents disparurent. Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1800.

    Vue de Bar-sur-Aube en 1838.
    Vue de Bar-sur-Aube en 1838.

    Bar-sur-Aube fut le théâtre d'une bataille à la fin de l'épopée napoléonienne (). En 1862 les fortifications furent démolies, le boulevard du tour de ville se trouve à leur emplacement.

    En 1911, la révolte des vignerons opposa les vignerons aubois aux négociants marnais pour maintenir le vignoble dans l'appellation contrôlée « Champagne ».

    Sept habitants ont été admis parmi les 4281 Justes parmi les nations de France[34] pour avoir sauvé des personnes juives persécutées par le régime nazi et le gouvernement de Vichy : Simone Daunet Martin[35]; Marcel Perrin[36]; Jacqueline Perrin[37]; Raymonde Perrin[38]; Anastase Schmitt[39]; Félicie Schmitt[40]; Isidore Schmitt[41].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires

    La ville a eu des institutions communales depuis le XIIe siècle. Cette première charte n'eut qu'une courte durée de vie. Une nouvelle charte fut donnée par Thibaut IV en 1230.

    Liste des maires successifs[43]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1789 1797 Claude-Laurent Bourgeois de Jessaint
    1943 Arthur Bureau
    1943 1947 Léon Chevillotte
    1947 1959 Maurice Véchin SFIO Conseiller général
    1959 1964 Henry Supper Imprimeur
    1964 1965 Roger Rubaud (par intérim) Retraité
    1965 1971 Claude Pertat Agent commercial
    1971 2001 Jean-Pierre Davot DVD Commerçant
    2001 mars 2008 Jean-François Leroux DVG
    mars 2008 2014 René Gaudot[44] PRG
    2014 en cours Philippe Borde LR Fonctionnaire, Président de la Communauté de communes depuis 2020

    Budget et fiscalité 2021

    Comptes et budgets de Bar-Sur-Aube : Données disponibles: 2012 à 2021.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 18 650 [45].

    Jumelages

    Jumelages et partenariats de Bar-sur-Aube.
    VillePays
    GernsheimAllemagne

    Le , la commune célèbre un « jumelage militaire » avec le 1er escadron du 5e régiment de dragons de Mailly-le-Camp[46].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[48].

    En 2020, la commune comptait 4 774 habitants[Note 3], en diminution de 4,79 % par rapport à 2014 (Aube : +1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 6523 6653 7073 5033 8903 9404 1694 1634 442
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4 7814 7274 8094 4534 5214 5794 6364 3424 548
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    4 5874 5074 5334 0744 3134 2644 0023 9214 387
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    4 8016 0087 2656 9436 7076 2615 5105 4925 345
    2014 2019 2020 - - - - - -
    5 0144 7874 774------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Bar-sur-Aube et alentour- Détail d'une carte d'état-major datant de Napoléon.
    • Foire aux fromages en juin.
    • Festival Eurythmies, fin juin.
    • Festival « JazzàBar », début septembre.
    • Marché tous les samedis matin sous les halles, sur la place de l'hôtel de ville et dans la rue Nationale.
    • Fête patronale aux Rameaux.
    • Foire annuelle, premier week-end de septembre.
    • Balade gourmande champenoise en mai.

    Cultes

    • Culte catholique, Paroisses de Bar-sur-Aube, Ville sous la Ferté, Ville sur Terre[51], Diocèse de Troyes.

    Enseignement

    Bar-sur-Aube accueille deux écoles maternelles : maternelle Gambetta et maternelle des Varennes, trois écoles primaires (Arthur-Bureau, Maurice-Véchin, Sainte-Thérèse, privée d'enseignement catholique), la cité scolaire Gaston-Bachelard située sur la colline Sainte-Germaine qui accueille environ 1 200 élèves venant de tout l'arrondissement. Elle comporte un collège, un lycée d'enseignement général et technologique et un lycée professionnel.

    Le collège[52], constitué de 19 classes réparties sur les quatre niveaux, propose aux élèves les options latin dès la 5e, grec en 3e. C'est le seul collège en France à proposer dès la 5e une option « cinéma-audiovisuel ». Une section football est disponible à partir de la 6e pour les collégiens et de la seconde pour les lycéens.

    Vue depuis la cour du lycée.

    Le lycée d'enseignement général et technologique[53], constitué de 14 classes réparties sur les trois niveaux, propose les spécialités suivantes pour les élèves en filière générale :

    • Arts : Cinéma-audiovisuel (CAV)
    • Histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques (HGGSP)
    • Humanité, littérature, philosophie (HLP)
    • Langues, littérature et culture étrangère (LLCE Anglais)
    • Mathématiques
    • Physique-chimie (PC)
    • Sciences économiques et sociales (SES)
    • Sciences de la vie et de la terre (SVT)

    Le lycée propose deux filières techniques : STMG (sciences et techniques du management et de la gestion) et STI2D (sciences et techniques de l'industrie et du développement durable). Il propose également l'option « cinéma-audiovisuel » de la seconde à la terminale. Les langues étrangères enseignées sont l'allemand, l'anglais et l'espagnol. Les cours se déroulent en groupes de compétences et non en classes entières. Chaque année, des voyages scolaires sont organisés en Allemagne, Écosse et Espagne. En 2013, un échange avec des lycéens d'Ashburn (États-Unis) a débuté. Les lycéens français sont partis en février, les lycéens américains seront accueillis en 2014.

    Le lycée d'enseignement professionnel constitué de huit classes réparties sur les trois niveaux, propose à ses élèves les filières Métiers du commerce et de la vente (Bac Pro MCV) et Métiers de l'électricité (Bac Pro MELEC), ainsi qu'un CAP Équipier polyvalent du commerce.

    Il existe, au sein de la cité scolaire, la section européenne accessible aux collégiens de la 5e à la 3e ainsi qu'aux lycéens en voie générale et technologique (Euro Anglais / histoire-géographie) et en voie professionnelle (Euro Anglais / commerce-vente)

    Santé

    Le centre hospitalier Saint-Nicolas de Bar-sur-Aube, ayant en 2018 une capacité de 190 lits et places, dont[54] :

    • Médecine : 8 ;
    • Moyen séjour : 22 ;
    • Long séjour : 30 ;
    • Hébergement : 130.

    Sports

    • Sports de la ville de Bar-sur-Aube[55].

    Économie

    • Antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de Troyes et de l'Aube.

    Industrie

    • L'industrie du chanvre est très développée à Bar-sur-Aube, et connaît une croissance soutenue depuis plusieurs années.
    • La fabrication de meubles : Aube Bedding (groupe Adova).
    • La transformation des métaux (forge, usinage) pour l'aéronautique, l'armement, les machines agricoles, la médecine (prothèses), etc. : Lisi Aerospace.

    Agriculture

    Halles.

    Bar-sur-Aube est le premier producteur français de paille de chanvre (125 tonnes/j), et de nombreux produits dérivés du chanvre y sont fabriqués.

    Autour de la ville se trouvent de nombreuses vignes, spécialisées dans le champagne.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le moulin des Marcasselles et les clochers de l'église Saint-Maclou.

    Des visites guidées de la ville sont organisées, sur demande à l'Office de tourisme.

    Bâtiments et lieux publics remarquables

    Sont classés monuments historiques :

    • un immeuble, 79 rue Nationale[56] ;
    • un immeuble, 4 rue Saint-Pierre[57].

    Sont inscrits sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques :

    • le Petit-Clairvaux, cellier du XIIe siècle[58] ;
    • la médiathèque Albert-Gabriel des XVIe et XVIIe siècles[59] ;
    • l'ancien couvent des Ursulines, devenu l'Hôtel de Ville[60] ;
    • un immeuble, 1 petite rue Saint-Pierre[61] ;
    • la maison des Trois Tours[62] ;
    • l'ancien « Hôtel du Grenier à sel » (Sous-Préfecture)[63] ;
    • deux maisons, 33[64] et 44[65] rue d'Aube.

    Autres monuments :

    • les Halles ;
    • l'ancien hôtel Clausse de Surmont (La Poste) ;
    • le moulin du Haut, dit des Marcasselles[66].

    Bâtiments religieux

    Église Saint-Pierre.
    Église Saint-Maclou.

    Sont classés comme monuments historiques :

    • Église Saint-Pierre (XIIe siècle) avec son halloy, une galerie en bois qui servait aux marchands au temps des foires[67],[68].
    Orgues de l'église Saint-Pierre :
    * Orgue au sol dans le croisillon sud du transept[69].
    * Le buffet d'orgue en tribune provient de l'église abbatiale Saint-Pierre des Chanoinesses de Remiremont (Vosges) et a été acheté par Bar-sur-Aube en 1845[70].
    • Église Saint-Maclou (XIIe et XIVe siècles) dont le clocher est le seul vestige du château des comtes de Champagne, détruit après la Ligue sur ordre d'Henri IV. Fermée au public[71], elle est en cours de restauration.
    • Un ancien prieuré du XVIe siècle[72].
    • Hôtel de sous-préfecture de Bar-sur-Aube.
    • Hôtel des comtes de Brienne (Médiathèque Albert-Gabriel)

    Autres monuments :

    • Chapelle des Sœurs du Bon secours.
    • Aux environs : abbaye de Clairvaux, églises à pans de bois du Pays du Der.

    Institutions

    Bar-sur-Aube dépendait du diocèse de Langres. Elle était le siège de l'archidiaconé du Barrois, qui comprenait les diaconnés de Bar, de Châteauvillain et de Clermont. Le doyenné de la Chrétienté était le plus étendu du diocèse, avant la refonte de 1737.

    Anciens prieurés

    Bar-sur-Aube comptait quatre prieurés :

    • le prieuré Saint-Maclou ;
    • l'abbaye Saint-Nicolas, qui abritait un hôpital au début du XIIe siècle. Son cimetière avait été consacré par Guillenc, évêque de Langres, à la demande du pape Innocent II. De retour d'un voyage à Worms et Spire, Bernard de Clairvaux y célébrait la messe le . Mais le comte Thibaut IV de Champagne et l'évêque de Langres Robert de Thourotte relevèrent son proviseur Robert et y nommèrent Alix, sœur de Thibaut : Saint-Nicolas devenait ainsi une abbaye féminine. En 1436, l'évêque Philippe de Vienne la transforma en prieuré masculin placé sous la tutelle du Val-des-Écoliers de Laon. Le , le prieuré fut réuni aux bâtiments qui faisaient office de maladrerie ou de léproserie. Sa fonction d'hospice, qui s'était poursuivie, fut supprimé en 1734 et le prieuré fut peu à peu démantelé ;
    • le prieuré Sainte-Germaine, qui dépendait de l'abbaye de Saint-Claude, nommé pour la première fois en 1407 dans une donation de feue Adélaïde, comtesse de Bar-sur-Aube, comme prioratus santi Stephani, santi Stephani et sancte Germane, montis Bari, montis sancte Germane, cella sancte Marie de Monte super Albam[73]. Son siège se situait dans l'église Sainte-Germaine. Il percevait plusieurs bénéfices : celui de la sacristie, indépendante jusqu'en 1772 ; celui de la chapelle de Vaudrémont ; le droit de pêcher dans l'Aube sur tout le finage de Bar-sur-Aube ; l'exclusivité sur les moulins à blé et à drap. Parmi ses prieurs, on retient :
      • ~1033 : Étienne, aussi prieur de Bar-sur-Seine puis abbé de Bèze,
      • 1072-1075 : Robert de Bourgoigne, archidiacre, futur évêque de Langres,
      • ~1704-1728 : Olivier-Cernin Ninon de la Forêt, prieur de Saint-Pierre,
      • 1728-1729 : Henri de Carbonnière, archidiacre et prieur de Saint-Pierre,
      • 1729-1737 : Jean de Carbonnière,
      • 1737-1791 : Louis de Carbonnière, prieur de Saint-Pierre ;
    • le prieuré Saint-Pierre, qui dépendait de l'abbaye de Saint-Claude.

    Musées

    Aux environs :

    Autres

    La chapelle Sainte-Germaine.

    Environs

    • Château de Cirey-sur-Blaise (Voltaire) ;
    • Lacs : Lac du Der-Chantecoq et Lac d'Orient (voile, sports nautiques et loisirs de famille) - Lacs Amance et du Temple (parc naturel et pêche, motonautisme et vitesse)) ;
    • Forêts et bois : Forêt de Clairvaux - Parc naturel régional de la forêt d'Orient - Rivière Aube - Route touristique du Champagne.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-François Armand[75] ( - Bar-sur-Aube † - Gravières (Aube)), polytechnicien (X 1808), ingénieur des Ponts-et-Chaussées, député de l'Aube (1837-1848).
    • Bertrand de Bar-sur-Aube, trouvère du XIIIe siècle.
    • Gaston Bachelard naquit le 27 juin 1884 à Bar-sur-Aube au numéro 59 de la rue nationale[76]. Il est l’un des plus grands philosophes français du XXe siècle. Sa fille Suzanne qu'il éleva seul après le décès prématuré de son épouse fut une philosophe et mathématicienne renommée. Elle le rejoindra en 2007.
    • Armand Beauvais, peintre rural (1840-1911).
    • le comte d'Empire Jacques Claude Beugnot (1761-1835).
    • Gaston Cheq, sauveur du vignoble aubois, né le 14 janvier 1866 à Bar-sur-Aube.
    • Alexandre Du Sommerard, archéologue né à Bar-sur-Aube en 1779, mort à Saint Cloud le 19 août 1842, créateur du musée de Cluny (Paris).
    • Maurice Emmanuel, musicologue et compositeur français né à Bar-sur-Aube en 1862 et mort à Paris en 1938.
    • Albert Gabriel, architecte, spécialiste d'Anatolie, professeur au Collège de France et à l'université d'Istanbul (1883-1972).
    • Tina Jolas, traductrice et ethnologue française (1929-1999), née à Bar-sur-Aube, qui fut l'épouse d'André du Bouchet puis la compagne de René Char.
    • Adine Joliveau de Ségrais (1756-1830), née à Bar-sur-Aube, poétesse et fabuliste française.
    • Franceschi Louis-Julien dit Jules, sculpteur français par naturalisation (né à Bar-sur-Aube le 11 janvier 1825, décédé à Paris le 1er septembre 1893).
    • Charlemagne de Maupas, préfet de police de Paris, un des artisans du coup d'État du 2 décembre 1851.
    • Nicolas Métru, compositeur natif de Bar-sur-Aube et actif à Paris au milieu du XVIIe siècle.
    • comtesse de La Motte, instigatrice de l'affaire du collier de la reine.
    • Marinette Pichon, née le 26 novembre 1975 à Bar-sur-Aube, ancienne footballeuse française qui a joué pour le F.C.F. Juvisy et en équipe de France de football (jus. 2006, 112 sélections et 82 buts).Manque de notoriété, pa
    • Louis Marc Antoine Rétaux de Villette, faussaire impliqué dans l'affaire du collier de la reine.
    • Jacques Sevestre (1908-1940), Commandant en second du sous-marin Narval, Mort pour la France le 15 décembre 1940 au large de Sfax, Compagnon de la Libération
    • René Bondoux (1905-2001), champion olympique d'escrime et résistant.

    Héraldique

    Blason de Bar-sur-Aube Blason
    D'azur à une bande d'argent accompagnée de deux doubles cotices d'or potencées et contre-potencées[77].
    Détails
    Ce blason est en fait celui du comté de Champagne[78]. Le site La banque du blason donne le blasonnement suivant : Parti : au 1er de gueules au bar d'argent, au 2e d'azur à la bande d'argent accostée de deux cotices potencées et contre-potencées d'or, au chef d'azur chargé de trois abeilles volant d'or.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes

    1. Une commune rurale est une commune n'appartenant pas à une unité urbaine. Les autres communes sont dites urbaines.
    2. La notion d'aire d'attraction d'une ville a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. L'Aube
    2. L'Aube
    3. « Écluse sur l’Aube », notice no AP10HN0010, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    4. Fossé 01 du Val d'Ardenne
    5. La Bresse
    6. Bras de l'Aube
    7. Canal 02 de Mathaut
    8. Cours d'Eau 01 des Côtelles
    9. Canal 01 de la Source de la Dhuys
    10. Canal 01 de Mathaut
    11. « Climat Bar-sur-Aube: Température moyenne Bar-sur-Aube, diagramme climatique pour Bar-sur-Aube - Climate-Data.org », sur fr.climate-data.org (consulté le ).
    12. décrets n°2010-1254 et n°2010-1255 du 22 octobre 2010 relatifs à la prévention du risque sismique et à la délimitation des zones de sismicité
    13. Voies routières
    14. « Unité urbaine 2020 de Bar-sur-Aube », sur insee.fr (consulté le ).
    15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc, Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    20. Théophile Boutiot et Émile Socard, Dictionnaire topographique du département de l'Aube, Paris, Imprimerie Nationale, , 230 p., p. 10.
    21. 1 2 3 Louis Chevalier, Histoire de Bar-sur-Aube, Bar-sur-Aube, (lire en ligne).
    22. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, Errance, Paris, 2003, p. 68.
    23. Michel Morvan, « La racine toponymique pré-celtique *bar », Lapurdum. Euskal ikerketen aldizkaria | Revue d'études basques | Revista de estudios vascos | Basque studies review, no 1, , p. 11–20 (ISSN 1273-3830, DOI 10.4000/lapurdum.1848, lire en ligne, consulté le )
    24. A. Roserot, Diplômes carolingiens, p. 26, 56 et n° 16.
    25. Futura, « Moyen Âge : pourquoi les foires de Champagne étaient-elles importantes ? », sur Futura (consulté le ).
    26. « Bar sur Aube au Moyen Age »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur hgkbachelard.e-monsite.com (consulté le ).
    27. Henri d'Arbois de Jubainville, Histoire des comtes de Champagne, IV, 740.
    28. Hubert Collin, « Un important document historique entre aux Archives de Meurthe-et-Moselle », dans Le Pays lorrain, 61e année, 1980, p. 159-162 (lire en ligne).
    29. Alexandre, bâtard de Bourbon qui a formé une bande d'écorcheurs.
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    31. « L'Histoire de Saint-Dizier », sur www.saint-dizier.fr (consulté le ).
    32. Ernest Badin, Géographie départementale, classique et administrative de la France... suivie d'un dictionnaire descriptif de toutes les communes et localités remarquables du département et accompagnée d'une carte spéciale..., J.J. Dubochet, Le Chevalier et Cie, (lire en ligne).
    33. Recueil des édits, déclarations, arrests, et reglemens, concernans la Ferme Générale des Domaines de France, (lire en ligne).
    34. Bar-sur-Aube en 1939-1945
    35. Simone Daunet Martin
    36. Marcel Perrin
    37. Jacqueline Perrin
    38. Raymonde Perrin
    39. Anastase Schmitt
    40. Félicie Schmitt
    41. Isidore Schmitt
    42. Arch. Nat., Inventaire Lenain, f° 127.
    43. L'Est-Eclair,Sept maires depuis 1947 .
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    50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    51. Paroisse du Barsuraubois
    52. Collège et lycée Gaston Bachelard
    53. Cité Bachelard
    54. « Centre hospitalier Saint Nicolas (Bar-sur-Aube) – Fédération Hospitalière de France (FHF) », sur etablissements.fhf.fr (consulté le ).
    55. Liste des 31 associations sportives
    56. Notice no PA00078034, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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    62. Notice no PA00078037, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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    64. Notice no PA00078038, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    65. Notice no PA00078039, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    66. Aux pays de mes ancêtres
    67. Notice no PA00078031, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    68. L'église Saint Pierre de Bar sur Aube
    69. Orgue de l'église Saint-Pierre
    70. « orgue de tribune : buffet d'orgue de l'église paroissiale Saint-Pierre », notice no PM10000170, base Palissy, ministère français de la Culture.
    71. Notice no PA00078030, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    72. Notice no PA00078041, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    73. Archives départementales de la Côte-d'Or, H541.
    74. Notice no PA00078040, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    75. « Armand (Jean-François) », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition] [texte sur Sycomore].
    76. Jean-Michel Wavelet, Gaston Bachelard, l'inattendu, l'Harmattan, 2019.
    77. Victor Adolphe Malte-Brun, La France illustrée, 1882.
    78. Blason - Bar-sur-Aube

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes