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Clisson
Clisson
Vue nocturne du château de Clisson.
Blason de Clisson
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Nantes
Intercommunalité Clisson Sèvre et Maine Agglo
(siège)
Maire
Mandat
Xavier Bonnet
2020-2026
Code postal 44190
Code commune 44043
Démographie
Gentilé Clissonnais
Population
municipale
7 507 hab. (2020 en augmentation de 11,76 % par rapport à 2014)
Densité 664 hab./km2
Population
agglomération
19 373 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 05′ 16″ nord, 1° 16′ 57″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 71 m
Superficie 11,3 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Clisson
(ville-centre)
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Clisson
(bureau centralisateur)
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Clisson
Liens
Site web mairie-clisson.fr

    Clisson est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

    Clisson faisait partie du duché de Bretagne, et était la clé de voûte de la défense des Marches de Bretagne face au Poitou et à l'Anjou avec son château. La ville est aussi connue comme Clisson l'italienne en raison de son architecture de style italianisant inspirée de modèles ruraux d'Italie centrale : Ombrie, Latium et Toscane et de l'aspect paysager de la ville, recomposé par un grand artiste du XIX siècle François-Frédéric Lemot. Plus récemment, la ville est connue internationalement par le festival de musiques extrêmes Hellfest qui y est organisé annuellement depuis 2006.

    Clisson est située entre Nantes, Cholet et La Roche-sur-Yon, à la limite du Maine-et-Loire et de la Vendée. La commune comptait 7 507 habitants en 2020. Elle est au centre d'une unité urbaine (ou agglomération) comprenant aussi trois communes limitrophes et totalisant 18 138 habitants en 2014.

    Géographie

    Situation

    Situation de la commune de Clisson dans le département de la Loire-Atlantique.

    Située à la limite sud-est du pays du Vignoble nantais, Clisson se trouve dans la vallée de la Sèvre nantaise, à 25 km au sud-est de Nantes, 15 km au nord de Montaigu et 35 km à l'ouest de Cholet.

    Communes limitrophes

    Rose des vents Gorges
    Le Pallet
    Mouzillon - Vallet Sèvremoine Rose des vents
    Gorges
    Saint-Lumine-de-Clisson
    N Sèvremoine
    O Clisson E
    S
    Saint-Lumine-de-Clisson Cugand Gétigné

    Les communes limitrophes par département sont :

    Hydrographie

    La commune se trouvant à la confluence de la Sèvre nantaise et de la Moine, elle a été victime à plusieurs reprises de fortes crues tout d'abord en 1960 et surtout en 1983 qui a vu tout le bas de la ville submergé par la Sèvre.

    Climatologie

    Le climat de la Loire-Atlantique, est de type tempéré océanique. L'influence de ce climat est largement facilitée par l'estuaire de la Loire et l'absence de relief notable[1]. Les hivers sont doux (min −5 °C / max 10 °C) et pluvieux et les étés relativement beaux et doux également (min 17 °C / max 35 °C). Les pluies sont fréquentes mais peu intenses. Les précipitations annuelles sont d'environ 820 mm[2] et peuvent fortement varier d'une année à l'autre. Les chutes de neige y sont exceptionnelles.

    Urbanisme

    Typologie

    Clisson est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Clisson, une agglomération inter-départementale regroupant 4 communes[6] et 19 012 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9],[10].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (25 %), zones urbanisées (22,7 %), prairies (20,3 %), zones agricoles hétérogènes (17,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4 %), terres arables (2,8 %), forêts (0,6 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Toponymie

    Les formes attestées les plus anciennes sont Clizun en 1075 et Clicio en 1152[12].

    Le nom de Clisson serait issu :

    • soit du celtique (gaulois) [*cleta] (clôture) qui a donné clisse, éclisse en français (« claie d'osier tressée ») dans le sens de plessis[13] qui évoquerait un enclos entouré de haies entrelacées, suivi du suffixe gaulois et latin -onem, indiquant une présence. Cependant, ce mot n'est pas attesté en français avant le XIIe siècle[14] ;
    • soit du celtique (gaulois) *klesiodunon qui se traduit par « forteresse des glaives »[15]. Or, glaive se disait *cladio en gaulois, terme qui remonte, comme le breton kleze(ñv), au celtique commun *cladiio[16] ;
    • soit de Cliccius, nom latin porté par un personnage local, avec le suffixe -onem[17]. Le même anthroponyme se retrouverait dans Clécy (Calvados, Cliciacum IXe siècle)[17].

    Clisson, située sur la limite entre le gallo et le poitevin, possède un nom en gallo, écrit Cliczon selon l'écriture ELG[18], ou Cliçon et Qiisson selon l'écriture MOGA car deux prononciations ont été relevées : [klisɔ̃] ou [kjisɔ̃][19].

    Histoire

    Antiquité

    Pendant l'Antiquité, Clisson se situe dans le pays des Pictons dans l'Aquitaine seconde.

    Moyen Âge

    Intégration au Royaume de Bretagne

    Clisson intramuros au XVe siècle.

    La vallée de Clisson fait partie de l'ancien comté d'Herbauges. Elle est cédée en 942 par le comte de Poitiers Guillaume Tête d'Étoupe au profit du duc Alain Barbetorte. Clisson intègre la Marche de Bretagne. La vallée de Clisson se structure au cours du XIIe siècle autour du château de Clisson dont la construction est entamée sous Guillaume de Clisson, sur un éperon rocheux dominant la Sèvre, et se poursuit grâce à ses seigneurs successifs, dont le fameux Olivier V de Clisson, Connétable de France.

    Guerre de succession et guerre de Cent Ans

    L'épisode de la guerre de Succession de Bretagne voit Olivier IV de Clisson et son frère Amaury soutenir chacun leur prétendant pour la succession au trône ducal de Bretagne. Olivier IV sera décapité aux halles de Paris après avoir été accusé d'avoir intrigué avec Édouard III d'Angleterre. Pendant la guerre de Cent Ans, Son fils Olivier V de Clisson est un des personnages clés de ce conflit. Il est connu pour ses multiples retournements et sa bravoure militaire. Sa fille, Marguerite de Clisson, dite Margot, fut une grande intrigante, En mai 1420[20], l'ambitieuse comtesse de Penthièvre tendit un piège au duc Jean V et à son frère le comte d'Étampes et les fit prisonniers au château de Champtoceaux. À la suite d'un soulèvement elle fut obligée de rendre la liberté à son suzerain, ses biens furent confisqués et Clisson devint l'apanage de Richard d'Etampes passant ainsi sous le contrôle de la Maison de Bretagne.

    La vallée de Clisson est alors composée d’une quinzaine de paroisses, de petites seigneuries dont celles de Gétigné et de Monnières, et de nombreuses implantations religieuses (templiers, bénédictins, cordeliers). En 1433, Le duc François II de Bretagne (père de Anne de Bretagne) naît au château. La Vallée bénéficie à cette époque d’une position frontalière qui l’exempte des taxes sur les marchandises. La Vallée devient une région d’échange important. La force hydraulique des rivières de la Sèvre et de la Moine est un atout supplémentaire. On compte 14 tanneries pour le cuir, une petite manufacture d’amidon et 6 moulins à papier.

    Les seigneurs de Clisson

    • Vers 1038 : Guy de Clisson
    • Vers 1043 : Bernard de Clisson, sans doute apparenté au précédent
    • De 1061 à 1080 : Baudry de Clisson (????-1080), sans doute apparenté au précédent
    • De 1081 à 1112 : Gaudin Ier de Clisson (????-1112), fils du précédent
    • De 1125 à 1132 : Giraud de Clisson (????-1132), fils du précédent
    • De ???? à ???? : Gaudin II de Clisson, fils du précédent
    • Vers 1189 : Aimery de Clisson (????-????), frère du précédent
    • De 1180 à 1204 : Gaudin III de Clisson (????-1204), neveu du précédent, fils de Gaudin II de Clisson
    • De ???? à avant 1225 : Guillaume de Clisson « le Jeune » (1175-????), fils du précédent
    • De avant 1225 à 1262 : Olivier Ier de Clisson « le Vieil » (1205-1262), fils du précédent
    • De avant 1262 à 1307 : Olivier II de Clisson « le Jeune » (1236-1307), fils du précédent
    • De 1307 à 1320 : Olivier III de Clisson (1264-1343), fils du précédent
    • De 1320 à 1343 : Olivier IV de Clisson (1300-1343), fils du précédent
    • De 1343 à 1407 : Olivier V de Clisson (1336-1407), fils du précédent
    • De 1407 à 1420 : Marguerite de Clisson « l'Intrépide » (1366-1441), fille du précédent
    • De 1420 à 1438 : Richard de Montfort dit « Richard d'Étampes » (1395-1438), par apanage
    • De 1438 à 1481 : François de Montfort dit « François II de Bretagne » (1435-1488), fils du précédent
    • De 1481 à 1510 : François de Montfort dit « François Ier d'Avaugour » (1462-1510), fils du précédent
    • De 1510 à 1517 : François II d'Avaugour (1493-1517), fils du précédent
    • De 1517 à 1549 : François III d'Avaugour (????-1549), fils du précédent
    • De 1549 à 1598 : Odet d'Avaugour (????-1598), frère du précédent
    • De 1598 à 1608 : Charles d'Avaugour (????-1608), fils du précédent
    • De 1608 à 1637 : Claude Ier d'Avaugour (1581-1637), fils du précédent
    • De 1637 à 1669 : Louis d'Avaugour (????-1669), fils du précédent
    • De 1669 à 1699 : Claude II d'Avaugour (1629-1699), frère du précédent
    • De 1699 à 1734 : Armand-François d'Avaugour (1682-1734), fils du précédent
    • De 1734 à 1746 : Henri-François d'Avaugour (1685-1746), frère du précédent
    • De 1746 à 1787 : Charles de Rohan-Soubise (1715-1787), cousin éloigné du précédent, arrière-arrière-arrière-petit-fils de Claude Ier d'Avaugour
    • De 1787 à 1789 : Victoire de Rohan (1743-1807), fille du précédent, épouse Henri-Louis-Marie de Rohan (1745-1809), son cousin éloigné, arrière-arrière-arrière-arrière-petit-fils de Claude Ier d'Avaugour.

    XVIIIe siècle

    Jean-Baptiste Kléber.

    Le « Grand Hiver » de 1709 est terrible pour Clisson, il gèle la vigne et le blé. En 1710, la crue de la Sèvre provoque l'inondation des bas-quartiers. Une autre crue désastreuse eut lieu en 1770. L'eau monta à 25 pieds[21] (7,62 mètres) au-dessus de l’étiage de la rivière. Les épidémies de petite vérole et dysenterie firent aussi rage autour de 1780.

    Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.

    Pendant la Révolution française, lors des guerres de Vendée, la vallée de Clisson fut ravagée. Le , la Convention décide la levée en masse de trois cent mille hommes. Clisson, comme beaucoup d’autres paroisses de la région ne se soumettent pas au recrutement. Le , l’insurrection commence dans le district de Clisson. Les Vendéens occupent Clisson le 15 mars[22]. Le 18 mai, un détachement républicain entre dans la ville, commet un premier massacre et brûle des maisons. La comtesse de La Bouère évoque un soldat qui aurait fait fondre cent cinquante femme pour avoir leur graisse[23]. Le 16 septembre, les Mayençais de Jean-Baptiste Kléber entrent dans Clisson. En évacuant plus tard la ville, ils mettent le feu au château et à un bon nombre de maisons. Le , les colonnes infernales occupent Clisson, des massacres ont encore lieu. La ville est alors complètement détruite. Clisson resta déserte durant deux ans, ses habitants ayant fui ou ayant été massacrés[24].

    XIXe siècle

    Chassés d'Italie par les émeutiers anti-républicains, deux frères d'origine nantaise, Pierre et François Cacault (respectivement artiste peintre et diplomate) rentrent en France et décident de s'installer à Clisson en 1798, subjugués par le charme de sa vallée. Fortement marqués par la culture et l'art Italiens, ils entreprennent la construction d'un musée école dans un style architectural rural d'Italie centrale. Ami de François Cacault, François-Frédéric Lemot sculpteur officiel de Napoléon est invité à Clisson en 1805 pour l'inauguration du musée. Il acquiert tout d'abord la garenne du château (ancienne réserve de chasse des seigneurs de Clisson) juste après sa venue, puis le château lui-même en 1807. Il dit à propos de celui-ci :

    « Affligé depuis longtemps de la destruction de presque tous nos édifices gothiques, je m’empressai d’acheter celui-ci, dans l’unique intention de conserver avec soin ce monument [...][25] »

    Lemot le sculpteur est un artiste universel et il recompose comme un peintre dans son parc la Garenne une véritable peinture de paysage historique à l'échelle de la nature . Il va recomposer dans cet esprit tout le paysage de la ville alentour. Clisson et son paysage sont donc une réalisation artistique unique.

    Le sculpteur pose un premier modèle d'architecture rurale inspiré de l'Italie centrale, dans son parc "La Maison du Jardinier". Celle ci possède principalement un style Ombrien flanqué d'un pavillon Toscan. Ce type d'architecture rurale est celle qui sert de motif dans les paysages historiques que Lemot affectionne particulièrement , ceux de Nicolas Poussin, qu'il mentionne dans sa correspondance avec Joseph Gautret , son régisseur. C'est aussi l'architecture que l'on trouve dans les peintures de paysage historique codifiées au XIX par le traité de Pierre Henri de Valenciennes : Éléments de perspective pratique, a l'usage des artistes, suivis de réflexions et conseils à un élève sur la peinture, et particulièrement sur le genre du paysage, Paris, Victor Desenne, J.-B.-M. Duprat, Jules-Louis-Melchior Porthmann, 1799. Celui-ci a semble-t-il joué un rôle dans l'aménagement du parc de la Garenne Lemot. Le style Italien développé dans ce parc va être dénommé "Style Rustique à L'Italienne" et va se diffuser très rapidement dans le vignoble nantais. La ressource existe (petites briques faite d'argile locale) la mise en œuvre en est très facile. Le traité de François-Léonard Seheult Les Petites maisons d'Italie : recueil d'architecture dessiné et mesuré en Italie dans les années 1791 à 1793. Paris, Vincent Fréal, 1936 (1re éd. 1821) semble être la base de la reconstruction.

    Le vignoble nantais va donc l'adopter pour reconstruire les dépendances viticoles, les bâtiments industriels et les petites maisons . Pour les belles demeures des grands domaines viticoles, c'est le style Neo Palladien qui viendra en complément de la reconstruction.

    Courant XIXe, la vallée de Clisson compte de nombreuses tanneries, filatures, briqueteries, papeteries. Un viaduc est construit entre 1840 et 1841 pour enjamber la Moine sur l'axe Nantes - Poitiers[26]. Avant la création de celui-ci, seul le petit pont gothique Saint Antoine desservait cette route.

    • François Cacault.
      François Cacault.
    • François-Frédéric Lemot.
      François-Frédéric Lemot.

    XXe siècle

    Clisson subira d'importantes inondations en 1906, 1960 et 1983.

    Emblèmes

    Héraldique

    Blason stylé avec ornements extérieurs et devise.
    Blason Blasonnement :
    De gueules au lion d'argent, couronné, lampassé et armé d'or.
    Commentaires : D'après La France illustrée, 1882, de Victor Adolphe Malte-Brun. Brevet d'Hozier (1286).

    Devise

    La devise de Clisson : Pour ce qu’il me plest (devise d'Olivier Ier de Clisson, devise de la banderole sous le blason original d'Olivier IV de Clisson)[26].

    Politique et administration

    Administration territoriale

    Appartenant à l'arrondissement de Nantes, Clisson est le bureau centralisateur du canton homonyme.

    Tendances politiques et résultats

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29[27]. La mairie de Clisson se situe au 3, grande rue de la Trinité.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[28]
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1959 mars 1965 Émile Fromageau (1903-1985) Négociant et épicier en gros
    mars 1965 mars 1977 Pierre Delaroche[Note 3] Filateur, maire honoraire
    mars 1977 décembre 1993 Jacques Bertrand (1928-1993) DVD Notaire
    Décédé en fonction
    janvier 1994 juin 1995 Émile Lejeune (1944-2001) DVD Cadre bancaire
    Premier adjoint (1983 → 1993)
    juin 1995 mars 2001 Michel Merlet PS Professeur de collège retraité
    Conseiller général de Clisson (1998 → 2015)
    mars 2001 mars 2008 Bernard Bourmaud DVD Ancien receveur municipal
    mars 2008 avril 2014 Jean-Pierre Coudrais DVG Retraité de l'enseignement
    Adjoint au maire (1995 → 2001)
    Vice-président de la CC de la vallée de Clisson
    avril 2014[29] En cours Xavier Bonnet[Note 4] DVD Lieutenant-colonel des sapeurs-pompiers
    3e vice-président de la CC de la vallée de Clisson (2014 → 2016)
    2e vice-président de Clisson Sèvre et Maine Agglo (2017 → )

    Intercommunalité

    La commune fait partie de la communauté d'agglomération Clisson Sèvre et Maine Agglo, dont elle abrite le siège.

    Jumelages

    Clisson est jumelée avec :

    Population et société

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Clisson est une commune multipolarisée. Elle est le centre d'une unité urbaine et d'un bassin de vie. Elle fait partie de la zone d'emploi de Nantes[30]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « intermédiaire » : 82 % des habitants résidaient dans des zones « intermédiaires » et 18 % dans des zones « peu denses »[31].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

    En 2020, la commune comptait 7 507 habitants[Note 5], en augmentation de 11,76 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 1441 1782 2082 0662 4322 5632 7592 8522 748
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 8082 8292 8302 8122 8262 9002 9372 9162 904
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 8202 7902 7602 7652 7772 7703 0513 1853 447
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    3 7194 1794 5374 9595 4955 9326 6006 6916 633
    2017 2020 - - - - - - -
    7 1877 507-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,0 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 3 509 hommes pour 3 890 femmes, soit un taux de 52,57 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,42 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    7,7
    75-89 ans
    10,1
    15,8
    60-74 ans
    17,9
    20,9
    45-59 ans
    20,9
    19,5
    30-44 ans
    18,2
    16,2
    15-29 ans
    14,4
    19,3
    0-14 ans
    16,7
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2020 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,9
    75-89 ans
    8,5
    15
    60-74 ans
    16,3
    19,5
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,3
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    19,8
    0-14 ans
    17,8

    Économie

    Clisson fait partie de l'antenne de la chambre de commerce et d'industrie de Nantes et de Saint-Nazaire et de Clisson Sèvre et Maine Agglo.

    Clisson dispose de deux parcs d'activités :

    • parc d'activités de Câlin ;
    • parc d'activités de Tabari.

    On y trouve une activité viticole avec la production de Muscadet (Muscadet-sèvre-et-maine (AOC)).

    Transports

    Route

    Contournement de Clisson par la RD 149 - Franchissement de la Moine.

    Clisson est traversée dans le sens nord-sud par la route départementale RD 763 entre Gorges et Cugand. Une route de contournement de Clisson a été réalisée avec le franchissement de la Sèvre Nantaise par la RD 917 et de la Moine par la RD149.

    Chemin de fer

    La gare de Clisson.

    La gare de Clisson est l'une des premières gares régionales desservie par les TER Pays de la Loire. Elle se trouve sur la Ligne Nantes - Saintes, dont le tronçon jusqu'à La Roche-sur-Yon vient d'être électrifié. Ces travaux ont permis la mise en place le d'une liaison tram-train vers la « Cité des Ducs », qui était prévue depuis plusieurs années et qui a nécessité quelques aménagements supplémentaires (notamment la mise au gabarit des quais)[38].
    La gare est également le point de départ de la ligne en direction de Cholet. Un réaménagement de la gare de Clisson a lieu de 2011 à 2014 pour créer un pôle d'échanges multimodal.

    Vie locale

    Enseignement

    Écoles primaires

    • École publique élémentaire Jacques-Prévert
    • École privée Sainte-Famille

    Collèges et lycées

    • Collège public Cacault
    • Collège privé Immaculée-Conception
    • Collège public Rosa-Parks depuis 2015
    • Lycée public Aimé-Césaire depuis septembre 2013

    Santé

    Clisson possède un Pôle Santé regroupant cinq médecins généralistes et trois autres cabinets. On y trouve aussi la médecine du travail. Médecins spécialistes et professions paramédicales sont présents à Clisson (angiologue, chirurgiens dentistes, dermatologues, gynécologue, infirmières, masseurs-kinésithérapeutes, ophtalmologiste, orthophonistes, pédiatre, pédicures-podologues, psychiatres, radiologues, laboratoire d'analyses médicales). Clisson dispose de deux pharmacies.

    Cultes

    La paroisse catholique Sainte Marie Du Val De Sèvre regroupe les communautés de Boussay, Clisson, Gétigné, Gorges, Saint Hilaire de Clisson, Monnières et Saint Lumine de Clisson. Il existe, à Clisson, deux lieux de culte :

    • l'église Notre-Dame, principale église du bourg ;
    • l'église de la Trinité.

    Écologie et recyclage

    La commune possède une déchèterie. la station de traitement des eaux usées se trouve sur la commune de Gorges.

    Les associations à Clisson

    • Association intercommunale d'animations et de loisirs pour les jeunes[39]
    • Cercle celtique Olivier de Clisson
    • École de musique intercommunale Clisson - Maisdon-sur-Sèvre[40]

    Sports

    Les clubs et associations sportives de Clisson sont regroupés et fédérés par l'Office municipal des sports[41].

    Les infrastructures

    • Un centre aquatique « Aqua'val »
    • Complexe sportif du Val de Moine avec des terrains pour activités diverses (football, rugby, multi-sports), une piste d’athlétisme, un pas de tir à l’arc, deux courts de tennis et un skatepark. Quatre salles pour activités intérieures (handball, basket-ball, tennis, badminton, tennis de table)
    • Une base de canoë-kayak

    Les Clubs

    La vie culturelle

    Clisson dispose d'un cinéma Le Connétable et d'une médiathèque : la médiathèque Geneviève-Couteau

    Hellfest

    Le festival Hellfest.

    Clisson accueille depuis 2006 le Hellfest, un des plus gros festivals de musique metal d'Europe. C'est le rendez-vous annuel d'environ 180 000 personnes sur quatre jours au mois de juin[52].

    Il fait partie aujourd'hui des plus grosses manifestations d'Europe du genre et attire plus de 65 nationalités différentes[52]. Depuis sa création, de nombreuses formations musicales sont venues jouer au Hellfest comme : Metallica, Aerosmith, Black Sabbath, Deep Purple, Iron Maiden, Guns N' Roses, Slash, KISS, Alice Cooper, Judas Priest, Mötley Crüe, Heaven and Hell, Motörhead, Scorpions, Slayer, Lynyrd Skynyrd, Manowar, Europe, Twisted Sister, ZZ top, Avenged Sevenfold, Dream Theater, Deftones et des centaines d'autres groupes plus ou moins connus d'un public averti.

    Les Entretiens de la Garenne Lemot

    Depuis 1994, se tiennent les Entretiens de la Garenne Lemot. Cet événement célèbre le retour à l’Antique et la transmission de l’héritage gréco-latin.

    Festival : Les Italiennes de Clisson

    Depuis 1996 se tient un festival de musique, de danse, de théâtre de rue, et de photographie sur le thème de Clisson et la culture italianisante : « Les Italiennes de Clisson ».

    Festival : Montmartre à Clisson

    Depuis 1996, le festival artistique "Montmartre à Clisson" se tient le premier week- end de juin[53]. Organisé par l'office de tourisme du Vignoble de Nantes, il réunit un ensemble d'artistes (peintres, dessinateurs, modeleurs, photographes, etc.) qui réalisent leurs œuvres en plein air le samedi, et les exposent dans le centre historique de la ville le dimanche. Des prix sont décernés aux artistes du festival. En outre, de nombreuses animations sont organisées autour de cet évènement[54].

    Festival : Les ClisSonnantes

    Depuis 2020, le festival de musique classique "Les ClisSonnantes" se déroule sur un week-end au mois d'octobre[55]. Organisé par l'association "La Voie des Chœurs", le festival connait un thème différent à chaque édition, comme le thème « Baroque Classique[4] » lors de l’édition 2022[6]. L'édition 2023 "Classique - Romantique" a accueilli plus de 2000 festivaliers[56] avec notamement la première à Clisson du Requiem de W.A Mozart.

    Architecture

    L'architecture clissonnaise dénommée architecture rustique à l'Italienne est une architecture de bâtiments modestes inspirée des architectures rurales d'Italie centrale dans le cadre du projet artistique de Lemot dans son parc de la Garenne, celui de la recomposition d'une peinture de paysage historique. François-Frédéric Lemot et les frères Cacault au XIXe siècle, sont aidés en cela par les plans des architectes Mathurin Crucy (premier prix de Rome en 1764) et de François Léonard Seheult. Ils sont tombés sous le charme de Clisson et sont les premiers à reconstruire (Clisson fut durement touchée par la guerre de Vendée) selon le style italien d'abord avec le musée école des Cacault en 1805, puis, avec le modèle de la maison du jardinier de Lemot en 1815. Plusieurs personnalités des arts s'installent à Clisson, participant au courant de reconstruction et à l'émergence d'un foyer artistique important au XIXe siècle.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune de Clisson fait l'objet d'une zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager depuis le [57].

    Demeures et châteaux

    • Le château de Clisson dont la construction a débuté au XIe siècle et s'est poursuivie au cours du XIIIe siècle, est classé au titre des Monuments historiques par décret du 13 août 1924, complété par une inscription en 2004[58].
    • L'ancienne porte de ville, classée au titre des Monuments historiques par arrêté du [59].
    • Le domaine de la Garenne Lemot et sa villa (également sur les communes de Gétigné et Cugand), classé au titre des Monuments historiques en 1969 et 1986, puis inscrit au titre des Monuments historiques en 1988 et 2000[60].
    • Le parc Henri-IV (en face de la Garenne Lemot), dans lequel le sculpteur Lemot fait ériger une colonne surplombée du buste d'Henri IV.
    • Le château et l'église Notre-Dame.
      Le château et l'église Notre-Dame.
    • Le château de Clisson et le pont de la Vallée sur la Sèvre.
      Le château de Clisson et le pont de la Vallée sur la Sèvre.

    Lieux de culte

    • La chapelle des Templiers, église romane (fin du XIIe siècle) est un édifice templier. Aujourd'hui, le site accueille des expositions et des concerts. Elle est classée au titre des Monuments historiques par arrêté du [61].
    • L'église Saint-Jacques, du XIIe siècle, inscrite au titre des Monuments historiques par arrêté du [62].
    • L'église Notre-Dame, inscrite au titre des Monuments historiques par arrêté du [63].
    • L'église de la Trinité est à l'origine un prieuré bénédictin dépendant de l'abbaye Saint-Jouin de Marnes et de l'abbaye Saint-Martin de Vertou. Elle est inscrite au titre des Monuments historiques par arrêté du [64].
    • Le temple de l'Amitié, inspiré du style grec antique de par son fronton triangulaire surmontant quatre colonnes doriques. François-Frédéric Lemot y est enterré.
    • Le couvent des Cordeliers, fondé par les cordeliers au début du XVe siècle.
    • Église Notre-Dame.
      Église Notre-Dame.
    • Église de la Trinité.
      Église de la Trinité.
    • Temple de l'Amitié.
      Temple de l'Amitié.

    Autres patrimoines

    • Le pont de la Vallée, sur la Sèvre, datant du XVe siècle, est un pont en granit présentant six voies d’eau et cinq arches de dimensions inégales. Il est classé au titre des Monuments historiques par arrêté du [65].
    • Le pont Saint-Antoine, sur la Moine, datant du XVe siècle, est classé au titre des Monuments historiques par arrêté du [66].
    • Les halles de Clisson, datant du XIVe siècle, situées dans le centre, près du château. Elles sont parmi les plus vieilles de France. Elles accueillent le marché tous les vendredis, et le petit marché le mardi. Elles sont classées au titre des Monuments historiques par arrêté du [67].
    • Le moulin de Plessard (au fond du parc Henri-IV), abritant le club de canoë-kayak et une école de danse.
    • Le viaduc de Clisson achevé en 1841 pour permettre le franchissement de la Moine par la route stratégique reliant Torfou à Clisson. La décision a été prise en 1832 après le soulèvement provoqué par la duchesse de Berry.
    • Les vestiges des remparts de la ville avec notamment la porte Sud dite porte « Cabareau » ou « Cahareau » classée au titre des Monuments historiques par arrêté du [59].
    • Le patrimoine clissonnais compte également la découverte de l'un des plus importants dépôts monétaires français du XIXe siècle. Celui-ci a été mis au jour à la fin de l'année 2002. Il comprenait 1 645 écus d'argent, soit 45 kg du précieux métal, dissimulés vers 1836 dans un bâtiment annexe d'une ancienne exploitation viticole. Une partie de ce trésor est aujourd'hui conservée au musée Dobrée[68].
    • Le pin parasol penché, « élément de paysage emblématique », traversant la rue et reposant sur le mur de la maison d'en face ; il est étayé par l'artiste sculpteur Jean-François Buisson grâce à une œuvre métallique financée par Hellfest Productions[69].
    • Les halles de Clisson.
      Les halles de Clisson.
    • Pont de la Vallée.
      Pont de la Vallée.
    • Ancienne porte Sud de la ville.
      Ancienne porte Sud de la ville.
    • Clisson vue du ciel.
      Clisson vue du ciel.
    • Le pin penché, avant l'étayage.
      Le pin penché, avant l'étayage.

    Personnalités liées à la commune

    • La famille des seigneurs de Clisson dont le plus illustre représentant fut Olivier V (1336-1407), connétable de France, est né au château.
    • François Cacault (1743-1805), diplomate français.
    • Frédéric Lemot (1772-1827), sculpteur français.
    • Joseph Cheguillaume (1825-1897), manufacturier et homme politique.
    • Les Frères Jacques (actifs de 1946 à 1982), quatuor vocal, cachés à Clisson durant la Seconde Guerre mondiale.
    • Pierre Viansson-Ponté (1920-1979), journaliste politique.
    • Gaetano Di Martino (1922-2006), sculpteur italien installé en 1998 à Clisson alors qu'il expose à la Garenne-Valentin ; il y est mort et inhumé.
    • Geneviève Couteau (1924-2013), artiste peintre, dont le nom a été donné à la médiathèque de la ville.
    • Serge Danot (1931-1990), créateur du Manège Enchanté ; il produit ce programme à Cugand (commune voisine de Clisson) ; une rue porte son nom.
    • Benjamin Barbaud, né à Nantes en 1981, créateur du Furyfest et du Hellfest.

    Clisson dans la culture

    • La chanson La Blanche Hermine, composée et chantée par Gilles Servat, évoque la ville dans son refrain. Clisson est alors mentionnée avec la cité de Fougères, comme symbole des guerres féodales entre le duché de Bretagne et le royaume de France, ou bien comme références aux épisodes de chouannerie.
    • La chanson Buvons vin de Clisson sur l'album Le Pélégrin du groupe rock folk Tri Yann célèbre le vin de la ville ;
    • La chanson Louxor, j'adore sur l'album Robots après tout de Philippe Katerine fait référence à l'ancienne discothèque « Le Looksor », située en périphérie de la ville, sur le site du Hellfest[70], et actuellement fermée pour travaux afin de devenir un bar-brasserie sous l'enseigne Mélusine[71] ;
    • En 2017, le groupe Trust sort un album live enregistré au festival Hellfest.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • P. de Berthou - Clisson et ses monuments : étude historique et archéologique, Ed. Boutin et Cosso, Nantes, 1900 (rééd. Clisson, 1990), 223 p.
    • F. Cazaux - Le pays de Clisson, Ed. A. Sutton, Rennes, 1998, 128 p.
    • Forest - Histoire de Clisson, 1841, 121 p (rééd. Res Universis, 1990, 112 p.).
    • Auguste Amaury, Guide à Clisson, Librairie Libaros Nantes, Hachette éditeur Paris, 1868, 206 pages.
    • Jules Denis - Clisson et ses Monuments - Guide du Touriste sans date (ca 1910) Clisson, Ed. Jules Denis et Vve Brétin, sans pagination.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Réélu en 1971.
    4. Réélu en 2020.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. climat de la Loire-Atlantique
    2. nantes.fr Climat
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. 1 2 « https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/clisson-44190/les-clissonnantes-du-baroque-et-du-classique-a5202a38-3757-11ed-9b2e-d8a78265620b »
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. 1 2 https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/clisson-44190/succes-du-festival-de-musique-clissonnantes-6c628188-d7b4-4b43-a7ba-c4d5aba5e9c9
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
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    13. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Paris, Editions Jean-paul Gisserot, , 126 p. (ISBN 978-2-87747-482-5 et 2-87747-482-8, lire en ligne), p. 63.
    14. Site du CNRTL : étymologie de "clisse"
    15. Magazine de la communauté de communes Vallée de Clisson, no 35 – Printemps 2009, p. 22.
    16. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions errance, 2003, p. 117.
    17. 1 2 Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
    18. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    19. « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
    20. P. de Berthou - Clisson et ses monuments : étude historique et archéologique, Ed. Boutin et Cosso, Nantes, 1900 (rééd. Clisson, 1990), 367 p..
    21. « Clisson : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune chef lieu de canton) », sur infobretagne.com (consulté le ).
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    26. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
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    40. Site officiel de l'Office Municipal des Sports de Clisson
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    42. Site officiel du Badminton Club Clissonnais
    43. Site officiel du Canoë-Kayak de Clisson
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    45. L'étoile de Clisson Basket
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    47. La Marche Nordique au RCN
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    58. 1 2 Notice no PA00108594, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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    63. Notice no PA44000005, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    64. Notice no PA00108593, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    65. Notice no PA00108592, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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