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Commentry
Commentry
L'hôtel de ville.
Blason de Commentry
Blason
Commentry
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Allier
Arrondissement Montluçon
Intercommunalité Communauté de communes Commentry Montmarault Néris Communauté
(siège)
Maire
Mandat
Sylvain Bourdier
2020-2026
Code postal 03600
Code commune 03082
Démographie
Gentilé Commentryens [1]
Population
municipale
6 100 hab. (2020 en diminution de 4,61 % par rapport à 2014)
Densité 291 hab./km2
Population
agglomération
6 876 hab. (2020)
Géographie
Coordonnées 46° 17′ 23″ nord, 2° 44′ 32″ est
Altitude Min. 332 m
Max. 462 m
Superficie 20,96 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Commentry
(ville-centre)
Aire d'attraction Montluçon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Commentry
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Commentry
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Commentry
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Commentry
Liens
Site web ville-commentry.fr

    Commentry est une commune française située dans le département de l'Allier, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Ses habitants, au nombre de 6 100 en 2020, sont appelés les Commentryens. Cette ville minière a connu une forte croissance au XIXe siècle grâce à sa mine de charbon à ciel ouvert[2],[3].

    Géographie

    Localisation

    À l'ouest des terres bourbonnaises, en limite des derniers contreforts des Combrailles, Commentry appartient au département de l’Allier. Sa place de ville-centre, au cœur du bassin de Montluçon, lui donne un poids économique indéniable.

    Les communes limitrophes sont La Celle, Colombier, Durdat-Larequille, Malicorne et Néris-les-Bains.

    Communes limitrophes de Commentry[4]
    Néris-les-Bains Malicorne Malicorne
    Néris-les-Bains Commentry Colombier
    Durdat-Larequille La Celle La Celle

    Urbanisme

    Typologie

    Commentry est une commune rurale[Note 1],[5]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Commentry, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[8] et 6 876 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[9],[10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montluçon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 58 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (37,7 %), zones agricoles hétérogènes (23,8 %), zones urbanisées (16,9 %), forêts (9,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,9 %), terres arables (2,4 %), eaux continentales[Note 3] (1,3 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    L'un des premiers chemins de fer industriels en France reliait Commentry à Montluçon dès 1842, avec une traction hippomobile jusqu'en 1854.

    La commune bénéficie d'une bonne desserte routière, par l'A71 via l'A714 en direction de Paris, ainsi que par les routes départementales 37 (vers Chamblet et Montluçon), 69 (vers Doyet et Montmarault au nord-est et Durdat-Larequille au sud-ouest) et 998 (vers Colombier, Lapeyrouse et Gannat au sud-est et Néris-les-Bains à l'ouest)[4].

    La gare de Commentry fut desservie jusqu'en 2012 par les trains reliant Lyon à Bordeaux. Sa desserte se limite aux TER Auvergne reliant Montluçon à Clermont-Ferrand via Gannat.

    Toponymie

    Attestée sous la forme Commentriacus en 1097[14].

    Son nom est Comentric en marchois, dialecte qui est traditionnellement parlé dans la région de Montluçon[15]. La commune fait, en effet, partie du Croissant[16], zone où se rejoignent et se mélangent la langue occitane et la langue d'oïl (berrichon)[17].

    Histoire

    Époque contemporaine

    La mine de charbon, aujourd'hui inondée.

    Un symbole du socialisme

    En 1882, Commentry élit, pour la première fois en France, un maire socialiste : Christophe Thivrier.

    En , se tient à Commentry le congrès qui donne naissance au Parti socialiste de France par fusion du Parti ouvrier français (POF), « marxiste », de Jules Guesde, du Parti socialiste révolutionnaire (PSR), « blanquiste », d'Édouard Vaillant, et de l'Alliance communiste révolutionnaire. Ce congrès fédère les socialistes opposés à la politique de Bloc républicain incarnée par Alexandre Millerand alors ministre socialiste du gouvernement Waldeck-Rousseau et soutenue par Jean Jaurès[18].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Aux élections municipales de 2014, quatre candidats se sont représentés. Le premier tour n'a pas donné d'issue définitive, la liste de Claude Riboulet n'arrivant en tête qu'avec 47,05 % des voix. Le taux de participation au 1er tour est de 68,50 %. Au second tour, les deux listes de tête (celle de Claude Riboulet et celle de Sylvain Bourdier) se sont départagées et la liste de Claude Riboulet l'emporte avec 58,11 % des voix. Le taux de participation au second tour est de 68,41 %[19].

    29 sièges étaient pourvus au conseil municipal, dont cinq au conseil communautaire de l'ancienne communauté de communes de Commentry - Néris-les-Bains à l'issue de ces élections. La majorité de ces sièges est détenue par Claude Riboulet (23 sièges dont 4), l'opposition obtient les six sièges restants dont un au conseil communautaire[19].

    Le , Sylvain Bourdier a été élu maire, à la suite des élections municipales de 2020, faisant basculer la ville à gauche. Le conseil municipal, réuni exceptionnellement dans la salle de l'Agora afin d'élire le maire[Note 4], a désigné huit adjoints[20].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 Henry Cluzel
    1947 mars 1989 Georges Rougeron SFIO puis PS
    1989 mars 2001 Guy Formet PS
    mars 2001 avril 2014 Jean-Louis Gaby UMP Pharmacien
    avril 2014 septembre 2017 Claude Riboulet UDI Conseiller départemental (2015-)[21]
    Président du conseil départemental de l'Allier depuis le 25 septembre 2017[22]
    octobre 2017[Note 5] Fernand Spaccaferri[23] UDI Ancien conseiller municipal (2001-2014)
    Adjoint au maire (2014-2017)
    En cours
    (au 29 mai 2020)
    Sylvain Bourdier[20] DVG
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Commentry est jumelée avec Drapeau de la Pologne Chojnow (Pologne) depuis 2006.

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

    En 2020, la commune comptait 6 100 habitants[Note 6], en diminution de 4,61 % par rapport à 2014 (Allier : −2,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6004985656011 2771 1261 4243 0155 465
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8 4848 5829 97811 69812 97812 41612 51512 61812 632
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    11 16910 20510 11210 25610 08910 1368 8279 1199 259
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    9 71110 02610 0439 1958 0217 2046 8576 5806 262
    2020 - - - - - - - -
    6 100--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 38,3 % la même année, alors qu'il est de 34,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 2 901 hommes pour 3 258 femmes, soit un taux de 52,9 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (52,05 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    2,5
    10,9
    75-89 ans
    16,3
    21,9
    60-74 ans
    23,5
    21,9
    45-59 ans
    20,3
    15,8
    30-44 ans
    13,3
    13,7
    15-29 ans
    12,0
    14,7
    0-14 ans
    11,9
    Pyramide des âges du département de l'Allier en 2020 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,1
    90 ou +
    2,8
    9,8
    75-89 ans
    13,5
    21
    60-74 ans
    21,7
    20,9
    45-59 ans
    19,8
    15,8
    30-44 ans
    15,1
    15,5
    15-29 ans
    12,9
    15,9
    0-14 ans
    14,1

    Enseignement

    Commentry dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère les écoles maternelles du Bois et Bourbonnais, ainsi que les écoles élémentaires Édith-Busseron, Pourcheroux et Vieux Bourg[Note 7][30].

    Les élèves poursuivent leur scolarité au collège Émile-Mâle, situé dans la commune[30], puis dans les lycées de Montluçon[31]. Il existe aussi un lycée professionnel (Geneviève-Vincent)[30].

    Manifestations culturelles et festivités

    • Semaine du développement durable.
    • Festival de musique de variété "Les mineurs de sons".
    • Fête communale du Vijon.
    • Rencontres de théâtre amateur.
    • Le Carnaval organisé chaque année.
    • Festival bikers et de rock "Les Bayoux"

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Hôtel de ville de 1897. Présence de fresques de Marc Saint-Saëns et du triptyque de Charles Duvent, La Joie au travail, ainsi que de La Liberté guidant le Peuple, de Lucien Pénat, copie d’Eugène Delacroix commandée par la municipalité à l'artiste pour orner la salle d'honneur.
    • Halle couverte XIXe siècle.
    • Église Saint-Front du XIIe siècle au Vieux Bourg.
    • Église du Sacré-Cœur du XIXe siècle. Église néo-classique avec campanile. Première église de France à avoir été consacrée au Sacré-Cœur. Orgue Merklin de 1876.
    • Portail de la Glacerie.
    • Le Forgeron de Paul Silvestre érigé (1939).
    • Le monument aux morts de Commentry réalisé par le sculpteur Félix-Alexandre Desruelles, représente un paysan découvrant dans son champ la tombe d’un soldat. L'homme se recueille, appuyé sur une faux. Il est inscrit sur le monument « La ville de Commentry à ses enfants victimes de la guerre »[32].

    Musée

    Salle du patrimoine Émile-Mâle.

    Personnalités liées à la commune

    • Nicolas Rambourg (1751-1827) Maître de forges de la forêt de Tronçais, devient concessionnaire des mines de Commentry en 1821 et déclenche l'industrialisation de la ville.
    • Paul Rambourg (1799-1873), fils du précédent Maire de 1830 à 1864, député de 1857 à 1863, maire de Néris-les-Bains en 1871. Industriel, associé-gérant de Rambourg Frères & Cie (Houillères de Commentry, Forges de Montluçon, Manufacture de Glaces et Verreries de Commentry…).
    • Stéphane Mony (1800-1884) Ingénieur, directeur des Houillères de Commentry de 1840 à 1854, directeur général de la Société de Fourchambault-Commentry de 1854 à 1883, il évince les familles Rambourg et Boigues de la société. Maire de 1865 à 1870, député de 1868 à 1871.
    • Louis Coulon (1826-1916), ouvrier et syndicaliste connu pour avoir eu la deuxième plus grande barbe au monde (plus de 3m30) à la fin du XIXe siècle et avoir été le doyen de la métallurgie en France.
    • Charles-Auguste Martenot (1827-1900) Ingénieur, directeur général des Forges de Châtillon-Commentry, puis des Houillères de Commentry. Maire de 1870 à 1875, député de 1871 à 1876, sénateur de 1876 à 1885.
    • Christophe Thivrier (1841-1895) Maire et député sous la IIIe République, premier maire socialiste élu au monde (le )[33].
    • Henri Fayol (1841-1925) Ingénieur, successeur de Stéphane Mony à la tête des Houillères, puis de la Société. Il procède à la fusion avec les Mines de Decazeville et à plusieurs extensions d'activité dans les bassins houillers lorrains. Il est célèbre par sa doctrine de management, le fayolisme, qui sera la « norme » enseignée par les Business Schools américaines pendant toute la seconde moitié du XXe siècle.
    • Émile Mâle (1862-1954) Historien d'art et académicien français.
    • Victor Auclair (1866-1928) Architecte, né à Commentry.
    • Alfred Beneyton (1869-1947), ingénieur, photographe et explorateur, né et mort à Commentry.
    • Georges Champavert (1870-après 1930) Auteur dramatique et metteur en scène né à Commentry.
    • Jean Beaumont (1870-1966) Sénateur de l'Allier (1920-1940), né et mort à Commentry.
    • Isidore Thivrier (1874-1944, Député français, maire de Commentry 1936-1943, né à Commentry.
    • Jean Bayet (1882-1969) Latiniste et historien de la religion romaine, membre de l'Institut, directeur de l'École française de Rome, dont le grand-père paternel, Gilbert Bayet, fut maire de Commentry de 1871 à 1873.
    • Jacques Hillairet (1886-1984) Historien, spécialiste de l'histoire de Paris, natif de Commentry.
    • Abel Gance (1889-1981) Réalisateur et producteur de cinéma. Il passa une partie de son enfance chez ses grands-parents maternels à Commentry.
    • Émile Baligean (1891-1964) Dirigeant syndical français, décédé à Commentry.
    • Georges Rougeron (1911-2003) Maire, président du Conseil général et sénateur de l'Allier.
    • Henri Laville (1915-1958), instituteur, journaliste et écrivain ; il passe la plus grande partie de son enfance à Commentry. Son premier roman, Petite Frontière, publié en 1944 chez Julliard, est aussi un témoignage de la vie à Commentry à cette époque[34]. Une rue de Commentry porte son nom.

    Héraldique et symboles

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    De gueules à l'enclume de sable surmonté d'un marteau et d'un pic de mineur du même posés en sautoir, surmontés d'une lampe de mineur du même allumée d'argent.


    * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives.

    Trouvée dans les houillères vers 1880, la célèbre Meganeura Monyi[35] a acquis ses lettres de noblesse en se révélant être la plus grande libellule fossile découverte au monde à cette époque. Le fossile qui a servi à la description de cet insecte en 1885 vient de Commentry ; il est conservé au Muséum national d'histoire naturelle[36].

    Héritage du passé local et symbole de la préservation de l’environnement, la libellule est devenue au XXIe siècle l’emblème de la ville de Commentry, remplaçant la lampe et le pic de mineur du blason devenus obsolètes[37]. Elle figure, de manière stylisée, sur le logo de la ville et, en 2007, a été inaugurée une statue, due à Alain Bourgeon, qui représente la libellule géante ; installée au milieu du rond-point de l'avenue du Président-Allende, sur la route de Néris, elle mesure 3 m de long et 4,25 m d'envergure[38].

    Annexes

    Bibliographie

    • Alain Auclair et Pierre Couderc, La Sidérurgie en Bourbonnais. Essor industriel et croissance urbaine de 1840 à 1990, Aurillac, Gerbert, , 478 p. (ISBN 2-85579-019-0)
      L'ouvrage concerne en fait la Compagnie des forges de Châtillon-Commentry et Neuves-Maisons.
      Chapitre III : « Première création de Châtillon-Commentry à proximité du charbon. La forge de Commentry », p. 387-465.

    Articles connexes

    • Liste des communes de l'Allier
    • Liste des anciennes communes de l'Allier
    • Gare de Commentry
    • Chemin de fer de Commentry à Montluçon
    • Compagnie des forges de Châtillon-Commentry et Neuves-Maisons

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Les réunions du conseil municipal se tiennent habituellement, et depuis 1897, dans la salle du conseil de l'hôtel de ville[20].
    5. Maire par intérim depuis le [23].
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    7. Non nommée dans l'annuaire[30].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Allier – Gentilé : Bourbonnais, Bourbonnaises », sur Habitants.fr.
    2. Louis Henri Brévière, « La mine de charbon de Commentry », Le Magasin Pittoresque,
    3. (en) « Coal mines, Commentry, Montluçon », sur MINDAT.
    4. 1 2 Géoportail (consulté le 26 avril 2017).
    5. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Unité urbaine 2020 de Commentry », sur insee.fr (consulté le ).
    9. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1, p. 551 (lire en ligne).
    15. Jeanine Berducat, Christophe Matho, Guylaine Brun-Trigaud, Jean-Pierre Baldit, Gérard Guillaume (collectif), Patois et chansons de nos grands-pères Marchois (Haute-Vienne, Creuse, pays de Montluçon), Paris, Éditions CPE, 2010.
    16. Philippe Boula de Mareüil, Gilles Adda, Lori Lamel, « Comparaison dialectométriques de parlers du Croissant avec d’autres parlers d’oc et d’oïl », Le Croissant linguistique entre oc, oïl et francoprovençal : des mots à la grammaire, des parlers aux aires, (lire en ligne).
    17. « Atlas sonore des langues régionales de France - Zone du Croissant », sur atlas.limsi.fr ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, .
    18. Rosa Luxemburg, Le Socialisme en France (1898-1912), dans Œuvres complètes, co-éditions Agone-Smolny, t.  III, p.  228 à 232.
    19. 1 2 Résultats des élections municipales de 2014 sur le site du Ministère de l'Intérieur.
    20. 1 2 3 « Municipales 2020 : Sylvain Bourdier élu maire de Commentry (Allier) lors d'un conseil déjà animé », La Montagne, (consulté le ).
    21. « [Mr Claude Riboulet] : COMMENTRY », sur le site du conseil départemental de l'Allier (consulté le ).
    22. Antoine Delacou, « Claude Riboulet succède à Gérard Dériot à la présidence du conseil départemental de l'Allier », sur lamontagne.fr, (consulté le ).
    23. 1 2 Michaël Nicolas, « Le nouveau maire est élu à Commentry depuis 2001 et premier adjoint depuis 2014 », sur lamontagne.fr, (consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Commentry (03082) », (consulté le ).
    29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Allier (03) », (consulté le ).
    30. 1 2 3 4 « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    31. « Sectorisation des lycées - 2GT - Allier »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) [PDF], sur le site de l'académie de Clermont-Ferrand, Inspection académique de l'Allier, (consulté le ).
    32. Le monument aux morts de Commentry
    33. http://centenaire.parti-socialiste.fr/article.php3%3Fid_article=264.html
    34. Georges Rougeron, Notes biographiques, Charroux, éd. des Cahiers bourbonnais, , 285 p., p. 274.
    35. Elle doit son nom à Stéphane Mony, alors directeur général de la Société de Fourchambault-Commentry.
    36. Site du Muséum.
    37. Jean-Guy Michard, « Histoire locale et collections nationales : exposer pour mieux conserver », Lettre de l’OCIM, no 137, , p. 12 (DOI 10.4000/ocim.958).
    38. Site de la commune.