Ensisheim
Ansa | |
La mairie, façade ouest. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Haut-Rhin |
Arrondissement | Thann-Guebwiller |
Intercommunalité | Communauté de communes du Centre Haut-Rhin (siège) |
Maire Mandat |
Michel Habig 2020-2026 |
Code postal | 68190 |
Code commune | 68082 |
Démographie | |
Gentilé | Ensisheimois |
Population municipale |
7 475 hab. (2020 ) |
Densité | 204 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 51′ 59″ nord, 7° 21′ 11″ est |
Altitude | Min. 213 m Max. 231 m |
Superficie | 36,59 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Ensisheim (ville-centre) |
Aire d'attraction | Mulhouse (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Ensisheim (bureau centralisateur) |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | ensisheim.net |
Ensisheim prononcé [ɛnsisaim] , en alsacien Ansa, est une commune du bassin potassique, située dans l'aire d'attraction de Mulhouse et faisant partie de la Collectivité européenne d'Alsace (circonscription administrative du Haut-Rhin), en région Grand Est (France).
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Géographie
Ensisheim est située entre Mulhouse et Colmar, la ville borde l'autoroute A35. Ensisheim est située dans un bassin potassique, la potasse ayant été exploitée dans la région jusqu'en 2002. Ensisheim fait partie de la Communauté de communes du Centre Haut-Rhin et du pays Rhin-Vignoble-Grand Ballon.
Urbanisme
Typologie
Ensisheim est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ensisheim, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[4] et 9 849 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,2 %), forêts (33,5 %), zones urbanisées (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %), mines, décharges et chantiers (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %)[9]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Un tumulus de l'époque de Hallstatt, typique de la culture tumulaire de l'Europe médiane, est mis au jour en 1881, s'il ne comporte apparemment aucun vestige de char de parade, il a livré de l'or ouvragé, notamment un beau torque, un bracelet, un annelet et surtout du ruban fin, qui servaient probablement de placage d'or sur diverses surfaces métallique, textile, céramique ou bois[10].
Ces objets sont aujourd'hui exposés au musée Unterlinden de Colmar[11].
Le nom Ensisheim apparaît en 765 sous Enghisehaim, puis en 768 sous Engehisehaim, pour ensuite devenir Ensigesheim en 823, ces noms figuraient dans des donations de terrains. Quant à l'origine du nom, « heim » signifie foyer fiscal, demeure ou chez-soi en langue alémanique, et est associé à une racine plus ancienne Enghise ou Engehise, où certains toponymistes entrevoient un anthroponyme « Enghise »[12] ; toutefois, d'autres explications ont été proposées, par exemple une expression gauloise désignant une simple levée de terre ou hauteur étroite ou anguleuse, où se situe l'habitat construit. Quant à l'étymologie faisant dériver le nom du latin « Ensis » signifiant glaive, c'est un jeu de mots des Humanistes du XVIe siècle, qui n'explique pas les formes anciennes du nom.
Ensisheim n'était qu'une petite agglomération composée de quelques cours colongères propriétés des seigneurs laïcs ou ecclésiastiques dont les tenanciers formaient un « ding », un tribunal, et géraient leurs affaires selon leurs coutumes.
Rodolphe de Habsbourg, le plus connu, construit un château fort : le Koenigsbourg. On peut encore apercevoir des restes de fondation dans le parc de la maison de retraite actuelle. Le rabbin Meïr de Rothenburg y était incarcéré vers la fin du 13ème siècle.
La ville d'Ensisheim devient en 1431 la capitale de l'Autriche antérieure[13], entité constituée des dépendances des Habsbourg à l'ouest de l'Arlberg. La paix d'Ensisheim y est signée le .
Le , une météorite tomba dans un champ de blé près du village, dans l'actuel Quartier des Octrois. Elle s'enfonça à plus d'un mètre sous terre. Une fois ramassée, la météorite d'Ensisheim présentait un poids d'environ 127 kg. Elle fut divisée en morceaux, dont un de 55 kg qui resta à la commune ; elle est exposée actuellement au Musée de la Régence[14].
Le , ouverture d'un collège jésuite à Ensisheim.
En 1658, Ensisheim, devenue française à la suite des traités de Westphalie, fut choisie comme siège du Conseil souverain d'Alsace. En 1674, Ensisheim perdit ce siège au profit de Vieux-Brisach (Breisach-am-Rhein). À la suite du traité de Nimègue (1679), le Conseil souverain d'Alsace fut transféré à Colmar.
Le , Ferdinand Jean Altmeyer, condamné à mort par la Cour d'Assises du Haut-Rhin pour avoir égorgé un codétenu de la maison centrale d'Ensisheim, est guillotiné sur une place publique d’Ensisheim.
Après la prise de Mulhouse, le , Ensisheim fut exposée au feu de l'artillerie et aux bombardements jusqu'au , date de sa libération par le 21e régiment d'infanterie colonial. Il en est résulté de graves dommages à deux beaux édifices, l'hôtel de la Couronne et l'Hôtel de ville, qui ont été restaurés depuis.
La commune a été décorée, le , de la croix de guerre 1939-1945[15] avec étoile de bronze.
Héraldique
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Les armes d'Ensisheim se blasonnent ainsi : |
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Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Finances locales
En 2015, les finances communales était constituées ainsi[28] :
- total des produits de fonctionnement : 7 581 000 €, soit 1 019 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 6 169 000 €, soit 830 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 2 504 000 €, soit 337 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 2 734 000 €, soit 368 € par habitant ;
- endettement : 3 283 000 €, soit 441 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 11,66 % ;
- taxe foncière sur le bâti : 13,79 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 43,61 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,19 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 20,89 %.
Démographie
Ensisheim s'agrandit d'année en année, grâce à de nouvelles constructions (lotissements, résidences, logements locatifs…).
Selon le dernier recensement en 2017, la population compte 7 491 habitants.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].
En 2020, la commune comptait 7 475 habitants[Note 3], en augmentation de 1,44 % par rapport à 2014 (Haut-Rhin : +1,01 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Un collège public d'enseignement secondaire (le collège Victor-Schœlcher), deux écoles élémentaires (Jean-Rasser et Mines les prés fleuris) ainsi que trois écoles maternelles (Oréades, Saint-Martin et Mines les pâquerettes) sont installés à Ensisheim.
Économie
Exploitation minière
Logistique
Lieux et monuments
Le Palais de la Régence, construit à la Renaissance, abrite aujourd'hui un musée. L'église néo-gothique. Les vitraux de l’église Saint-Martin. Auberge de la Couronne. Maison, 4 rue de l'Église. La chapelle Saint-Jean.
Torque en fine tôle d'or. Détail des motifs estampés du torque. Bracelet lisse à extrémités emboîtées. Rubans en tôle d'or servant d'éléments décoratifs.
- Ensisheim dispose du musée de la Régence qui rassemble au sein du Palais de la Régence, qui fut un temps l'hôtel de ville d'Ensisheim[33],[34] (édifice datant du XVIe siècle) un espace archéologique, un espace néolithique et un espace consacré à l'histoire minière.
- l'espace archéologique présente une collection archéologique qui évoque l’arrivée en Alsace des premières communautés rurales de la civilisation dite de la Céramique rubanée. Originaires d’Europe centrale, elles se sont sédentarisées au sud d’Ensisheim au cours du Ve millénaire av. J.-C. ;
- l'espace du Néolithique abrite aujourd'hui de nombreux trésors, mais l'un d'eux ne doit rien aux hommes : la formidable météorite, tombée sur le ban de la ville en 1492. Cet astéroïde est le plus ancien dont la chute a été observée, qui est conservé dans le monde occidental. On y trouve également de nombreux objets retraçant l'histoire riche de la ville. Ainsi, du XIIIe au XVIIe siècle, Ensisheim a vu son destin lié à celui des Habsbourg qui en firent la capitale de leurs possessions rhénanes ;
- l'espace du mineur présente, dans une vaste salle, des documents, des outils et des objets variés qui permettent de découvrir la grande page d’histoire minière qu’Ensisheim a vécue au cours du XXe siècle. Les trois puits, creusés à partir de 1912, permirent la difficile exploitation des couches profondes du gisement de potasse d’Alsace par plus de 1 000 mètres de fond et 50 °C. Les collections présentées, telle que celle des lampes de mineurs, aident à comprendre l’évolution des techniques d’exploitation et illustrent la vie courageuse des hommes qui les mirent en œuvre. Un buste de mineur animé (par mapping) relate son expérience de l'exploitation de la potasse.
- des tablettes mise à disposition des visiteurs ainsi que des carnets de découverte pour les enfants permettent de compléter et de mieux appréhender la découverte des collections. Des visites guidées sont organisées ponctuellement (et également sur demande).
- La nécropole néolithique d’Ensisheim est l’une des plus importantes de France[35],[36] : 45 sépultures mises au jour, dont une reconstituée au musée, ont livré leurs secrets et permis de mieux connaître la vie quotidienne et les rites funéraires de cette surprenante civilisation. Les plus anciennes céramiques connues en Alsace ont été retrouvées à Ensisheim, ainsi que le crâne d’un homme ayant survécu, il y a 7 000 ans, à une double trépanation. Une prouesse technique à l’époque du silex.
- Le Palais de la Régence[37] accueille tout au long de l'année des manifestations variées et est notamment le lieu d'une bourse mondiale de vente et de rencontre des chasseurs et collectionneurs de météorites.
- L'ancien hôtel de l'Intendant d'Alsace, dit ancienne École des Filles construite au début du XVIIe siècle et résidence du bailli impérial de l'Autriche antérieure. Les façades, toitures et tour d'escalier avec ses portes palières ont été inscrites sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 19 novembre 1990[38]. Le bâtiment abrite aujourd'hui l'hôtel de ville.
- L'église paroissiale Saint-Martin[39],[40]. Construite de 1857 à 1869, sur l'emplacement de l'ancienne[41],
- et son orgue[46].
- Monuments commémoratifs et cimetière Saint-Martin[47],[48],[49],[50].
- L'auberge de la Couronne[51], construite en 1609-1610 pour loger les officiers de la Maison d'Autriche en poste à Ensisheim[52],[53].
- La Maison Peschery, 4 rue de l'Église, datée du XVIIe siècle[54],[55],[56].
- Au centre-ville, une promenade balisée (avec contenus multimédias) permet de découvrir de nombreuses bâtisses et restes de fortifications[57],[58],[59] et ainsi de plonger dans l'histoire de la ville[60],[61],[62],[63].
- En pleine ville se trouve la maison centrale d'Ensisheim[64],[65], l'une des six maisons centrales de France (205 places).
Personnalités liées à la commune
- Meïr de Rothenburg (c. 1215 - 1293), surnommé le Maharam (Morenou HaRav Meïr) de Rothenburg, rabbin et talmudiste, mort dans la prison d'Ensisheim le 2 mai 1293 après une longue captivité.
- Jacques Balde (1603-1668), jésuite et poète latin.
- Auguste Baldensperger (1891-1986), biologiste, océanographe, écologue et apiculteur[66] y est né.
- Léon Boëllmann (1862-1897), organiste et compositeur.
- Charles François de Virot de Sombreuil (1725-1794), gouverneur des Invalides.
- Jean Rasser (1535-1594), prédicateur renommé, fondateur d'un collège jésuite à Ensisheim (l'actuelle Maison Centrale de détention).
- Frédéric Johansen (1972-1992), jeune joueur de football, y est décédé lors d'un accident de voiture.
- Famille de Cointet.
- Katia (1942-1991) et Maurice Krafft (1946-1991), volcanologues.
Jumelages
- Markdorf (Allemagne) depuis 1974 ;
- Castroville, Texas (États-Unis) depuis 2009 ;
- Otjiwarongo (Namibie) depuis 2011.
Honneurs
L'astéroïde (548032) Ensisheim (it) a été nommé en son honneur[67].
Voir aussi
Bibliographie
- François-Joseph Merklen Ensisheim, jadis ville libre-impériale et ancien siège de la régence archiducale des Pays antérieurs d'Autriche, ou Histoire de la ville d'Ensisheim, avec un précis des événements les plus mémorables qui se sont passés en Alsace, 1840; Colmar, C.-H. Hoffmann, 2 tomes, lire en ligne sur Gallica
- Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck, Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace, Strasbourg, La Nuée Bleue, , 663 p. (ISBN 2-7165-0250-1)Ensisheim, pp. 124 à 128
- Charles-Laurent Salch, Nouveau Dictionnaire des Châteaux Forts d’Alsace, Ittlenheim, éditions alsatia. Conception et réalisation Lettrimage, , 384 p. (ISBN 978-2-7032-0193-9)
- Louis Schlaefli, « Les Tiercelines du couvent de la Sainte-Trinité d'Ensisheim », in Archives de l'Église d'Alsace, 1997, no 52, p. 281-290
- Ensisheim, Franciscaines (Tiercelines)
- L'orgue de l’église protestante d’Ensisheim, par Heinrich Koulen
- Orgue et vitraux de l’église Saint-Martin
- Ensisheim, chapelle catholique de la maison d'arrêt
- INSEE, « Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet », sur insee.fr (consulté le ).
- INPN, « Inventaire du patrimoine naturel de la commune », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
Articles connexes
- Ensisheim, paroisse luthérienne[68]
- Liste des communes du Haut-Rhin
Liens externes
- Sites officiels : ensisheim.net et www.ville-ensisheim.fr
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Ensisheim sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)
Notes et références
Notes
- ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- ↑ « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- ↑ « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Unité urbaine 2020 d'Ensisheim », sur insee.fr (consulté le ).
- ↑ « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Mulhouse », sur insee.fr (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- ↑ S. Plouin, « Le tumulus princier d'Ensisheim (Haut-Rhin) », in Revue archéologique de l'Est et du Centre-est, 1988, vol. 39, no 1-2, p. 87-106.
- ↑ « Les bijoux en or d’une sépulture princière », Musée Unterlinden.
- ↑ R. Oberlé & Sittler L., 1980. Dictionnaire du Haut-Rhin, tome 1, Ed. Alsatia
- ↑ Ensisheim, capitale de l'Autriche antérieure. Citée comme Ville en 1277…
- ↑ Charles-Laurent Salch, Imagiers des châteaux et remparts d’Alsace, vol. 1, Strasbourg, Châteaux-forts d'Europe-Castrum Europe, , 160 p. (ISSN 1253-6008)N°53/54/55 2010. TOME 1 : A – F : Ensisheim, gravure sur bois, de Sébastien Brant, 1492, chute d’une météorite, p. 67.
- ↑ Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945 .
- 1 2 Jean-Marie Schmitt, « Notice NetBDA DERNOIS François Pierre Joseph Ignace », sur Fédération des Sociétés d'Histoire et d'Archéologie d'Alsace, .
- ↑ Fiche généalogique Eugène Charles de COINTET de FILLAIN, sur Geneanet
- ↑ Fiche généalogique Jean-Baptiste, Désiré, Alexandre de Watrigant, sur Geneanet
- ↑ Fiche généalogique Frédéric-Auguste Titot, sur Geneanet
- ↑ « Notice NetBDA SELMERSHEIM Fernand », sur Fédération des Sociétés d'Histoire et d'Archéologie d'Alsace.
- ↑ « Nécrologie : Le décès de Pierre Rapp », Dernières Nouvelles d'Alsace, (lire en ligne)
- ↑ « Notice NetBDA RAPP Pierre », sur Fédération des Sociétés d'Histoire et d'Archéologie d'Alsace, .
- ↑ « Décès du maire d'Ensisheim (Haut-Rhin) », Le Monde, (lire en ligne)
- ↑ Robert Berna, « Notice NetBDA EGLOFF Louis », sur Fédération des Sociétés d'Histoire et d'Archéologie d'Alsace.
- ↑ Jean-Marie Schreiber, « Le décès de Guy Paris, ancien maire : C'est avec stupeur que la population d'Ensisheim a appris la disparition de l'un de ses anciens maires, Guy Paris, décédé dimanche 7 juillet à l'aube de ses 76 ans. », L'Alsace, (lire en ligne)
- ↑ Jean-Pierre Kintz, « Notice NetBDA BIRR Vincent », sur Fédération des Sociétés d'Histoire et d'Archéologie d'Alsace, .
- ↑ « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- ↑ « Les comptes de la commune », sur alize2.finances.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- ↑ Notice no PA00085421, base Mérimée, ministère français de la Culture Hôtel de Ville classé par arrêté du 6 décembre 1898
- ↑ Notice no IA00074214, base Mérimée, ministère français de la Culture Établissement Administratif dit Hôtel de la Régence, classé MH en 1898
- ↑ Illustration des pratiques funéraires au Bronze final en Alsace - Volume 1
- ↑ La nécropole d’Ensisheim/Reguisheimerfeld (Haut-Rhin) : illustration des pratiques funéraires au Bronze final en Alsace - Volume 2
- ↑ « Hôtel de la Couronne, dit aussi Palais de la Régence », notice no PA00085422, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Notice no PA00085758, base Mérimée, ministère français de la Culture Ancien hôtel de l'Intendant d'Alsace, dit ancienne École des Filles. Façades, toitures et tour d'escalier avec ses portes palières inscrites sur l’inventaire supplémentaire par arrêté du 19 novembre 1990
- ↑ L'église Saint-Martin
- ↑ Les vitraux de l'église Saint-Martin
- ↑ Notice no IA00074211, base Mérimée, ministère français de la Culture Église Paroissiale Saint-Martin
- ↑ Inventaire de l'orgue
- ↑ Notice no IM68001763, base Palissy, ministère français de la Culture orgue, style néo-gothique
- ↑ « Chapelle Saint-Jean-Baptiste », notice no IA00074243, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ La chapelle Saint-Erhard, actuel temple protestant
- ↑ Notice no IM68001779, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue du collège de jésuites, puis prison
- ↑ Monument aux Morts, Stèle commémorative A.F.N.
- ↑ Le monument aux morts
- ↑ Stèle commémorative : Sergent Maurice Vincent
- ↑ « Cimetière Saint-Martin », notice no PA00085419, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ L'Auberge de la Couronne
- ↑ Auberge de la Couronne
- ↑ Notice no IA00074237, base Mérimée, ministère français de la Culture Auberge dite « Auberge de la couronne », Édifice inscrit partiellement à l’inventaire supplémentaire des MH en 1935
- ↑ Notice no PA00085425, base Mérimée, ministère français de la Culture Façade sur rue avec oriel : inscription par arrêté du 15 février 1935
- ↑ Notice no IA00074225, base Mérimée, ministère français de la Culture Maison Peschery. La date 1618 était inscrite sur la tourelle d'escalier
- ↑ La Maison Peschery
- ↑ « château des Habsbourg », notice no IA00074220, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Ancien système fortifié urbain », notice no PA68000002, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Fortification d'agglomération », notice no IA00074210, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Couvent de Capucins », notice no IA00074212, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Moulin à farine », notice no IA00074238, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Moulin à farine, Ferme », notice no IA00074242, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Le cheval de trait
- ↑ « cité des gardiens de prison dite Cité Maison Centrale », notice no IA00074208, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ La Maison Centrale
- ↑
- ↑ https://saf-astronomie.fr/chassigny-ensisheim-rochechouart/
- ↑ Ensisheim, paroisse luthérienne