| ||||||||||||||
Primaire ouverte de la droite et du centre | ||||||||||||||
(1er tour) (2d tour) |
||||||||||||||
Type d’élection | Élection primaire ouverte | |||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Débat(s) | (1er tour) (1er tour) (1er tour) (2e tour) | |||||||||||||
Corps électoral et résultats | ||||||||||||||
Votants au 1er tour | 4 298 097 | |||||||||||||
Votes exprimés au 1er tour | 4 288 214 | |||||||||||||
Blancs et nuls au 1er tour | 9 883 | |||||||||||||
Votants au 2d tour | 4 404 812 | |||||||||||||
Votes exprimés au 2d tour | 4 391 772 | |||||||||||||
Blancs et nuls au 2d tour | 13 040 | |||||||||||||
François Fillon – LR | ||||||||||||||
Voix au 1er tour | 1 890 266 | |||||||||||||
44,08 % | ||||||||||||||
Voix au 2e tour | 2 919 874 | |||||||||||||
66,49 % | ||||||||||||||
Alain Juppé – LR | ||||||||||||||
Voix au 1er tour | 1 224 855 | |||||||||||||
28,56 % | ||||||||||||||
Voix au 2e tour | 1 471 898 | |||||||||||||
33,51 % | ||||||||||||||
Nicolas Sarkozy – LR | ||||||||||||||
Voix au 1er tour | 886 137 | |||||||||||||
20,67 % | ||||||||||||||
Résultats du premier tour par département et région | ||||||||||||||
Résultats du second tour par département et région | ||||||||||||||
Candidat à l'élection présidentielle | ||||||||||||||
Candidat en 2012 | Candidat en 2017 | |||||||||||||
Nicolas Sarkozy (UMP) |
François Fillon (LR) | |||||||||||||
www.primaire2016.org | ||||||||||||||
La primaire ouverte de la droite et du centre est une élection primaire organisée les et par Les Républicains (LR), le Parti chrétien-démocrate (PCD) et le Centre national des indépendants et paysans (CNIP) afin de désigner un candidat commun représentant la droite et le centre à l'élection présidentielle française de 2017.
Le , à l’issue du second tour auquel participent plus de 4,4 millions d’électeurs, François Fillon est reconnu vainqueur et devient le candidat de la droite et du centre pour l'élection présidentielle française de 2017.
Il s’agit de la première primaire ouverte nationale organisée par les partis politiques de droite en France.
Modalités du scrutin
La direction de l'Union pour un mouvement populaire (UMP), devenue par la suite Les Républicains, annonce en les règles de cette primaire[1].
Conditions de candidature
Chaque candidat des Républicains doit être parrainé par au moins 250 élus, parmi lesquels au moins vingt parlementaires, répartis sur au moins trente départements (sans que plus d’un dixième des signataires de la présentation puissent être issus d’un même département) et par au moins 2 500 adhérents (à jour de cotisation et répartis sur au moins quinze départements).
Pour les candidats issus des autres partis, les organes délibérants desdits partis doivent déterminer les conditions de présentation des candidatures[2].
Pour l’ensemble des candidats : « Les déclarations de candidature sont adressées à la Haute Autorité par lettre recommandée avec accusé de réception au plus tard le vendredi . ».
Déroulement
Le premier tour se déroule le , les bureaux de vote étant ouverts de 8 h à 19 h. Un second tour est prévu le , aux mêmes horaires, car aucun candidat n'a obtenu plus de 50 % des voix. Seuls les deux candidats ayant obtenu le plus grand nombre de voix peuvent se présenter au second tour[3].
L'ensemble des électeurs inscrits sur les listes électorales, ainsi que les mineurs qui auront 18 ans d'ici le peuvent participer au scrutin. 10 228 bureaux de vote sont installés, chaque électeur est rattaché à un bureau en fonction de son adresse d'inscription sur les listes électorales au .
Pour voter, chaque électeur doit donner deux euros par tour de scrutin et signer une charte de l'alternance dans laquelle il indique « partager les valeurs républicaines de la droite et du centre et s’engager pour l’alternance afin de réussir le redressement de la France »[2]. Pourtant certains témoignages montrent une participation d'un électorat se réclamant de gauche[4].
Cas du vote à l'étranger
Le mode de participation aux primaires des Français établis hors de France crée la polémique quand Nicolas Sarkozy prend la décision en mai 2016[5] de soumettre ces derniers à un vote papier et non électronique. Les partisans du vote électronique estiment que la nécessité de se déplacer vers des bureaux de vote centralisés dans quelques grandes villes pourrait inciter à l'abstention, au bénéfice de Nicolas Sarkozy[6] qui selon les sondages recevrait peu d'intentions de vote des Français de l'étranger.
En , la Haute Autorité de la primaire décide d'annuler cette décision du président des Républicains en autorisant le vote électronique[7].
Organisation
Un site web est consacré à l'organisation de cette primaire.
Trois structures hiérarchisées interviennent dans l'organisation de celle-ci :
- La Haute Autorité de la primaire (HAP), dont les missions sont de superviser, définir l'organisation, contrôler, examiner les réclamations, proclamer les résultats, ainsi que d'établir un guide électoral (calendrier, formulaires, droits et obligations, modalités). Elle est composée de cinq membres :
- Anne Levade (présidente), agrégée de droit public et professeur des universités.
- Anne Debet, agrégée de droit privé et professeur des universités, ancien membre de la CNIL.
- Jean-Claude Magendie, magistrat (ancien président des TGI de Créteil et de Paris, puis 1er président de la cour d'appel de Paris).
- Bertrand Mathieu, agrégé de droit public et professeur des universités, ancien membre du Conseil supérieur de la magistrature, vice-président de l’Association internationale de droit constitutionnel.
- Pierre Steinmetz, préfet de région, directeur général de la Gendarmerie, ancien membre du Conseil constitutionnel.
- La Commission nationale d'organisation, dont le rôle est d'établir la liste des bureaux et le matériel de vote. Elle est composée de quinze membres :
- Thierry Solère (président)
- Bernard Accoyer ; Luc Chatel ; Roger Karoutchi ; Daniel Fasquelle ; Philippe Gosselin ; Brice Hortefeux ; Christian Jacob ; Éric Woerth ; Gérard Larcher ; Damien Meslot ; Édouard Philippe ; Bruno Retailleau ; Antoine Rufenacht ; Laurent Wauquiez.
- Les commissions départementales et locales d’organisation : organisation locale des opérations de vote.
Partis concernés
Partis organisateurs
Trois partis sont officiellement partie prenante du processus :
- Les Républicains (LR), principal parti organisateur ;
- le Parti chrétien-démocrate (PCD), qui présente son président, le député Jean-Frédéric Poisson ;
- le Centre national des indépendants et paysans (CNIP) a d'abord vu son inscription rejetée avant d'être acceptée sous réserve de ne pas présenter de candidat[8].
Partis ne participant pas directement
- UDI
- Le 11 mars 2016, le président de l'UDI[9] Jean-Christophe Lagarde appelle les adhérents du parti à refuser de participer à la primaire. Cette décision est ratifiée par vote des adhérents à 66,56 % le 20 mars[10].
- Le 28 février 2016, l'Alliance centriste (composante de l’UDI) a annoncé par les voix de Jean Arthuis et Philippe Folliot l'intention de présenter son propre candidat. Le 3 septembre, le parti annonce qu'il renonce à cette candidature[11],[12].
- Le 12 octobre 2016, l'UDI se rallie à Alain Juppé dans une tribune du Monde[13],[14],[15].
- Le Parti radical (composante de l'UDI) se rallie à Alain Juppé le 12 octobre 2016[16].
- MoDem
Le MoDem a décidé de ne pas présenter de candidat à la primaire, mais son président François Bayrou soutient la candidature d'Alain Juppé jugé « plus modéré »[17] en n'excluant pas de se présenter si la primaire de la droite et du centre donne un résultat qu'il jugerait « décevant »[18].
Aspects économiques
L’organisation de la primaire engendre des coûts pour l'installation de 10 229 bureaux de vote, l'activité de 80 000 assesseurs bénévoles, la communication autour du scrutin, et l'impression de soixante-dix millions de bulletins, ainsi que des recettes de l'ordre de deux euros par entrée[19].
D'après la haute autorité de la primaire, les recettes ne sont prévues que pour couvrir les coûts prévus à huit millions d'euros pour l'ensemble des deux tours[19].
Par ailleurs, une convention de financement de cinq millions d’euros existe entre le parti Les Républicains et la haute autorité. Un microparti reçoit les fonds liés à l’organisation. Ces fonds doivent servir à rembourser au parti les Républicains l'argent avancé. D’après les organisateurs, deux millions d'entrées à deux euros par tour sont nécessaires pour atteindre l'équilibre économique et couvrir les huit millions d'euros de dépense[19].
Au premier tour, 4,27 millions d'entrées ont été vendues, ce qui a généré une recette de 8,5 millions d’euros, qui à elle seule suffit à couvrir les coûts de l’organisation des deux tours de la primaire[19].
Une telle manne est cependant à comparer aux emprunts et dettes du parti Les Républicains qui sont de l'ordre de 73 millions d’euros en 2014, dont 5,5 millions d’euros doivent être remboursés entre 2016 et en 2017[19].
Thierry Solère considère que les bénéfices de la primaire pourront être apportés au compte de campagne du vainqueur de la primaire en vue de l’élection présidentielle[19].
Pour la Commission nationale des comptes de campagnes et des financements politiques, les dépenses engagées dans le cadre d’une primaire n’ont pas à apparaître dans les comptes de campagne du vainqueur excepté les dépenses engagées pour obtenir le vote des électeurs lors de l’élection présidentielle[19],[20].
La primaire a dégagé un excédent de neuf millions d'euros que François Fillon souhaite utiliser pour sa campagne électorale[21].
François Fillon a dépensé 1 481 796 euros pour l’intégralité de sa campagne, contre 1 488 112 euros pour Alain Juppé. Nicolas Sarkozy, candidat éliminé au premier tour, a dépensé 1 301 528 euros[22]. Le plafond des dépenses était fixé à 1 500 000 euros.
Candidats
À la date limite des dépôts de candidature, la Haute Autorité à la primaire a reçu onze candidatures. Le , après examen de la charte, la Haute Autorité déclare recevables sept candidatures de membres des Républicains et la candidature du président du Parti chrétien démocrate[23],[24] ; les trois autres candidatures sont jugées irrecevables[25]. Le 21 septembre suivant, la Haute Autorité écarte la candidature d'Hervé Mariton en raison d'un nombre de parrainages d'adhérents insuffisant[26]. Sept personnes concourent donc à la primaire.
Candidat (nom et âge[27]) | Fonction(s) politique(s) exercée(s) avant la primaire | Campagne et ralliement | Détails | ||
---|---|---|---|---|---|
Jean-François Copé (52 ans) |
Député de Seine-et-Marne (1995–1997, 2002 et depuis 2007) Maire de Meaux (1995–2002 et 2005-2017) Autres fonctions
|
(Campagne • Positions) Élimination au 1er tour (rallie Alain Juppé) |
Il annonce sa candidature le 14 février 2016 au Journal de 20 heures de France 2 quelques semaines après la sortie de son livre Le Sursaut français. Après plus de 18 mois de silence médiatique, il dit être prêt à revenir sur le devant de la scène[28]. Éliminé au premier tour, il choisit Alain Juppé le 21 novembre[29]. | ||
François Fillon (62 ans) |
Député de Paris (2012-2017) Premier ministre (2007-2012) Autres fonctions
|
(Campagne • Positions) Vainqueur au 2d tour |
Il annonce sa candidature le 9 mai 2013[30],[31]. Il la confirme le en déclarant qu'il est « un candidat qui veut proposer un projet de rupture et de progrès avec l'ambition de faire de la France la première puissance européenne en 10 ans »[32]. Il annonce en qu'il quittera la politique s'il échoue à remporter la primaire[33]. Fillon déclare, tout comme Juppé, ne vouloir faire qu'un mandat s'il est élu en 2017[34] Il publie deux livres : Faire[35] détaillant son programme économique en septembre 2015 puis Vaincre le totalitarisme islamique[36] concernant la sécurité et la lutte contre le terrorisme en septembre 2016. | ||
Alain Juppé (71 ans) |
Maire de Bordeaux (1995-2004 et 2006-2019) Premier ministre (1995-1997) Autres fonctions
|
(Campagne • Positions) Élimination au 2d tour |
Il annonce sa candidature le 20 août 2014[37],[38]. Il a écrit quatre livres présentant et détaillant son programme : le premier en : Mes chemins pour l'école[39], le second en : Pour un État fort[40], le troisième en : Cinq ans pour l'emploi[41], le quatrième paru en : De vous à moi. | ||
Nathalie Kosciusko-Morizet (43 ans) |
Députée de l'Essonne (2002-2007 et 2012-2017) Autres fonctions
|
(Campagne • Positions) Élimination au 1er tour (rallie Alain Juppé) |
Le 8 mars 2016, à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes, elle se déclare candidate à la primaire présidentielle des Républicains de 2016 lors du journal télévisé de 20 h de TF1. Son livre programmatique intitulé Nous avons changé de monde paraît le lendemain[42]. Éliminée, elle choisit Alain Juppé au soir du premier tour[43]. | ||
Bruno Le Maire (47 ans) |
Député de l'Eure (2007-2009 et 2012-2017) Autres fonctions
|
(Campagne • Positions) Élimination au 1er tour (rallie François Fillon) |
Il déclare officiellement sa candidature lors d'une réunion publique à Vesoul le . « Ma décision est simple, solide, inébranlable. Oui, je suis candidat à la présidence », dit-il sur scène[44]. Il avait auparavant laissé peu de doute sur sa participation à la primaire. « Si je vous disais que je ne suis pas prêt pour le primaire, je vous mentirais. Et je ne veux pas mentir », avait-il dit sur RTL 4 en janvier. Dans le sillage de sa candidature, Bruno Le Maire publie un livre sur sa vision de la France intitulée Ne vous résignez pas, puis le 17 septembre, son programme détaillé Contrat présidentiel. Éliminé, il soutient François Fillon au soir du premier tour[45]. | ||
Jean-Frédéric Poisson (53 ans) |
Président du Parti chrétien-démocrate (depuis 2013) Député des Yvelines (2007–2010 et 2012-2017) |
(Campagne • Positions) Élimination au 1er tour (rallie François Fillon) |
Il se présente à la primaire le 14 septembre 2015 en tant que chef du Parti chrétien-démocrate[46], et en tant que tel est directement qualifié à la primaire, sans avoir à trouver les parrainages nécessaires. | ||
Nicolas Sarkozy (61 ans) |
Président des Républicains (2015-2016) Président de la République (2007-2012) Autres fonctions
|
(Campagne • Positions) Élimination au 1er tour (rallie François Fillon) |
Il se déclare candidat le 22 août 2016, quelques jours avant la date limite de dépôt des candidatures[47]. Trois jours après, il publie son livre programmatique Tout pour la France[48]. Il avait déjà publié le La France pour la vie[49]. Éliminé, il choisit François Fillon au soir du premier tour[50]. |
Personnalités non candidates
Candidatures non retenues
Pour plus de détails sur les personnes n'ayant pas atteint le niveau de validité requis, voir la page sur les candidats à la primaire ouverte de la droite et du centre en 2016.
Candidatures n'ayant pas obtenu les parrainages nécessaires
Six personnes se sont déclarées officiellement candidates, mais n'ont pas réussi à rassembler les parrainages nécessaires pour participer au scrutin :
Candidat (nom et âge) | Fonction(s) politique(s) exercée(s) avant la primaire | Campagne et ralliement | Détails | ||
---|---|---|---|---|---|
Geoffroy Didier (40 ans) |
Vice-président du conseil régional d'Île-de-France (depuis 2015) |
Abandon : 9 septembre 2016 (rallie Alain Juppé) |
Il annonce sa candidature le 29 mars 2016[51]. Il n'obtient pas les parrainages nécessaires pour pouvoir se présenter[52]. Le , il se rallie à Alain Juppé[53]. | ||
Henri Guaino (59 ans) |
Député des Yvelines (2012-2017) Autre fonction
|
Abandon : 9 septembre 2016 (dorénavant candidat à l'élection présidentielle) |
Ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, il annonce sa candidature le en déclarant qu'il a « quelque chose à dire. J'en ai assez de cette politique qui ne sait plus dire non ». N'étant pas parvenu à réunir les parrainages nécessaires pour concourir à la primaire, il entend se présenter directement à l'élection présidentielle[54]. | ||
Frédéric Lefebvre (53 ans) |
Député des Français établis hors de France (2013-2017) Autres fonctions
|
Abandon : 14 septembre 2016 (rallie Alain Juppé) |
Il se déclare candidat à la primaire le 20 janvier 2016[55]. Faute de parrainages suffisants, tente une demande au nom de son micro-parti[56],[57]. Débouté pour « recevabilité » le par la HAP. Il annonce son ralliement à Alain Juppé le [58]. | ||
Hervé Mariton (58 ans) |
Député de la Drôme (1993–1997 et depuis 2002) Maire de Crest (depuis 1995) Autre fonction
|
Abandon : 21 septembre 2016 (rallie Alain Juppé) |
Le 20 septembre 2015, il se déclare candidat à la primaire de la droite et du centre[59]. Pour appuyer sa candidature, il publie un livre intitulé Le Printemps des Libertés[60]. Le , il se prononce contre la candidature de Nicolas Sarkozy à la primaire, estimant que si l'ancien président de la République était le candidat de la droite et du centre lors de l'élection présidentielle française de 2017, cela favoriserait la réélection de François Hollande[61]. Le , la Haute Autorité annonce qu'il lui manque des parrainages d'adhérents LR pour pouvoir se présenter à la primaire[62]. Il rallie alors Alain Juppé le [63]. | ||
Nadine Morano (53 ans) |
Députée européenne (depuis 2014) Autres fonctions
|
Abandon : 9 septembre 2016 (rallie François Fillon) |
Elle déclare sa candidature le 4 septembre 2015[64]. | ||
Jacques Myard (69 ans) |
Député des Yvelines (1993-2017) Maire de Maisons-Laffitte (depuis 1989) |
Abandon : 9 septembre 2016 (rallie François Fillon) |
Le 5 avril 2016, il se déclare candidat[65]. |
Candidatures irrecevables
Candidat (nom et âge) | Fonction(s) politique(s) exercée(s) avant la primaire | Campagne et ralliement | Détails | ||
---|---|---|---|---|---|
Frédéric Lefebvre (53 ans) |
Député des Français établis hors de France (depuis 2013) Autres fonctions
|
Abandon : 14 septembre 2016 (rallie Alain Juppé) |
Il se déclare candidat à la primaire le 20 janvier 2016[55]. Faute de parrainages suffisants, tente une demande au nom de son micro-parti[56],[57]. Débouté pour « recevabilité » le par la HAP. Il annonce son ralliement à Alain Juppé le [58]. | ||
Mourad Ghazli (42 ans) |
NC | Il se présente au titre du parti Mouvement pour l’équité et le développement[66] | |||
Michel Guénaire (60 ans) |
NC | Il se présente au titre de son micro-parti SOCIETECIVILE2017 (SC17)[67] |
Candidatures retirées
Les personnes suivantes ont été un certain temps candidat, puis se sont retirés (avant le , la date de dépôt des parrainages) :
Candidat (nom et âge) | Fonction(s) politique(s) exercée(s) avant la primaire | Campagne et ralliement | Détails | ||
---|---|---|---|---|---|
Xavier Bertrand (51 ans) |
Président du conseil régional des Hauts-de-France (depuis 2016) Autres fonctions
|
Abandon : 14 décembre 2015 (rallie François Fillon) |
Il annonce sa candidature dès le 16 septembre 2012 sur Le Grand Rendez-vous[68]. Il se retire le après sa victoire lors des élections régionales de 2015 en Nord-Pas-de-Calais-Picardie[69]. | ||
Christian Estrosi (61 ans) |
Président du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur (2015-2017) Autres fonctions
|
Abandon : 16 décembre 2015 (rallie Nicolas Sarkozy, puis François Fillon) |
Il annonce sa candidature le 13 juin 2014 tout en déclarant qu'il renoncera si Nicolas Sarkozy est lui-même candidat[70],[71]. Il se retire le à la suite de sa victoire aux élections régionales en Provence-Alpes-Côte d'Azur[72] et apporte son soutien à Nicolas Sarkozy le [73]. | ||
Hassen Hammou (27 ans) |
— aucune — | Abandon : 5 septembre 2016 | Il annonce son intention de participer à la primaire le 23 janvier 2015 dans L'Express[74]. Il participe à l'interview du président François Hollande sur TF1 le [75],[76]. Candidat sur une liste divers gauche lors des élections municipales marseillaises de 2014, il rejoint l'UMP en [77]. Il a été testé lors d'une unique enquête d'opinion[78] et renonce finalement à se présenter le par déficit de parrainages[79],[80]. |
Chronologie
Tableau chronologique et dates clés
Tableau
Candidat élu | |
Candidats éliminés Campagnes abandonnées | |
Date limite de dépôt des candidatures | |
Annonce officielle des candidatures | |
Premier tour | |
Second tour | |
1er tour de la présidentielle |
Dates clés
- : dépôt des déclarations de candidature
- : déclaration de « recevabilité » par la HAP[24]
- : publication[81] par la Haute Autorité de la liste des candidats « validés ». Début de la campagne officielle.
- : limite de pré-inscription (français à l'étranger et mineurs).
- à minuit : fin de la campagne du premier tour
- : 1er tour
- à minuit : fin de la campagne du second tour
- : 2d tour
- : dépôt des comptes de campagne auprès de la Haute Autorité
- : 1er tour de la présidentielle
Débats et thèmes abordés
Avant le premier tour, les sept candidats participent à trois débats, répartis sur six semaines[82] :
L'échange a lieu dans le studio 130 de La Plaine Saint-Denis[83]. Le débat est arbitré par Gilles Bouleau, Élizabeth Martichoux et Alexis Brézet[84]. Ce premier débat évoque les questions économiques, de laïcité et d'identité[84]. Sur TF1, il réunit 5,6 millions de téléspectateurs, soit 26,3 % de part d'audience[85].
L'échange a lieu salle Wagram, à Paris, devant 300 personnes. Il est arbitré par Ruth Elkrief et Laurence Ferrari, accompagnées de Michaël Darmon et Apolline de Malherbe qui interviennent en deuxième et troisième parties d'émission pour interroger les candidats. Ce second débat permet aux candidats de s'exprimer cette fois sur leur ligne politique et l'exercice du pouvoir, la lutte contre le terrorisme, l’Europe, la lutte contre la délinquance et l'éducation[84]. Il réunit 2,9 millions de téléspectateurs sur BFM TV et I-Télé confondues, soit 12,2 % de part d'audience[86].
L'échange a lieu dans un studio de Saint-Cloud[87]. Pendant la première partie de l'émission, les candidats répondent aux questions de quatre journalistes : David Pujadas, Nathalie Saint-Cricq, Jean-Pierre Elkabbach et Hervé Favre. Les thèmes abordés ont été choisis lors d'un sondage Harris-Interactive. L'Europe, l'éducation, la jeunesse et la protection sociale sont évoqués. Dans une deuxième phase baptisée « le débat », les candidats échangent pendant vingt minutes, sous la houlette de David Pujadas et Jean-Pierre Elkabbach. Les internautes peuvent poser leurs questions en postant sur Facebook de courtes vidéos, qui sont diffusées sur le plateau. Enfin, chaque candidat a 90 secondes pour conclure son propos, et prononcer ses derniers mots avant le vote des militants[88]. Ce dernier débat avant le premier tour réunit 5,1 millions de téléspectateurs sur France 2, soit 23,1 % de part d'audience[89].
Entre les deux tours, les deux candidats restant prennent part à un dernier débat :
Le débat d'entre-deux tours a lieu le jeudi . Il est animé par Gilles Bouleau et David Pujadas accompagnés d'Alexandra Bensaid pour les questions économiques, et diffusé sur les deux premières chaînes de télévision françaises TF1 et France 2[90]. Ce débat réunit 8,4 millions de téléspectateurs (4,5 millions sur France 2, soit 18,1 % de part d'audience, et 3,9 millions sur TF1, soit 15,7 %)[91].
Sondages
Les sondages donnent durant longtemps une large avance pour le duo Juppé-Sarkozy, la remontée dans les intentions de vote pour François Fillon ne se manifestant qu'à partir de début novembre 2016. Le 18 novembre, celui-ci atteint son score le plus haut avec 30 % d'intentions de vote, ce qui reste 14,1 points en dessous de son résultat au premier tour[92],[93],[94],[95].
Résultats
Résultats nationaux
Candidat | Parti | Premier tour | Second tour | Résultats du premier tour par département et région Résultats du second tour par département et région | |||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||||
François Fillon | LR | 1 890 266 | 44,08 | 2 919 874 | 66,49 | ||
Alain Juppé | LR | 1 224 855 | 28,56 | 1 471 898 | 33,51 | ||
Nicolas Sarkozy | LR | 886 137 | 20,67 | ||||
Nathalie Kosciusko-Morizet | LR | 109 655 | 2,56 | ||||
Bruno Le Maire | LR | 102 168 | 2,38 | ||||
Jean-Frédéric Poisson | PCD | 62 346 | 1,45 | ||||
Jean-François Copé | LR | 12 787 | 0,30 | ||||
Votants | 4 298 097 | 100,00 | 4 404 812 | 100,00 | |||
Exprimés | 4 288 214 | 99,77 | 4 391 772 | 99,70 | |||
Blancs et nuls | 9 883 | 0,23 | 13 040 | 0,30 | |||
Gains de la primaire par tour | 8 596 194 euros | 8 809 624 euros | |||||
Gains de la primaire cumulés | 17 405 818 euros |
Résultats détaillés
Résultats du premier tour
Département | Fillon | Juppé | Sarkozy | Kosciusko-Morizet | Le Maire | Poisson | Copé | Exprimés | Blancs
et nuls |
Votants | |||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | Voix | % | Voix | % | Voix | % | Voix | % | Voix | % | ||||
Ain | 18 437 | 47,1 % | 8 744 | 22,4 % | 8 463 | 21,6 % | 974 | 2,5 % | 1 702 | 4,4 % | 683 | 1,7 % | 108 | 0,3 % | 39 111 | 76 | 39 187 |
Aisne | 9 537 | 46,8 % | 4 406 | 21,6 % | 5 156 | 25,3 % | 360 | 1,8 % | 607 | 3,0 % | 249 | 1,2 % | 67 | 0,3 % | 20 382 | 39 | 20 421 |
Allier | 8 475 | 45,1 % | 4 928 | 26,2 % | 4 195 | 22,3 % | 352 | 1,9 % | 518 | 2,8 % | 284 | 1,5 % | 52 | 0,3 % | 18 804 | 28 | 18 832 |
Alpes-de-Haute-Provence | 4 196 | 42,7 % | 2 290 | 23,3 % | 2 663 | 27,1 % | 232 | 2,4 % | 318 | 3,2 % | 104 | 1,1 % | 29 | 0,3 % | 9 832 | 22 | 9 854 |
Hautes-Alpes | 4 158 | 43,9 % | 2 510 | 26,5 % | 2 050 | 21,7 % | 285 | 3,0 % | 318 | 3,4 % | 119 | 1,3 % | 27 | 0,3 % | 9 467 | 31 | 9 498 |
Alpes-Maritimes | 45 634 | 40,9 % | 21 091 | 18,9 % | 37 967 | 34,0 % | 2 397 | 2,1 % | 2 406 | 2,2 % | 1 076 | 1,0 % | 1 038 | 0,9 % | 111 609 | 394 | 112 003 |
Ardèche | 7 797 | 45,7 % | 4 263 | 25,0 % | 3 767 | 22,1 % | 404 | 2,4 % | 471 | 2,8 % | 307 | 1,8 % | 35 | 0,2 % | 17 044 | 48 | 17 092 |
Ardennes | 4 768 | 43,0 % | 2 540 | 22,9 % | 2 932 | 26,4 % | 192 | 1,7 % | 509 | 4,6 % | 128 | 1,2 % | 26 | 0,2 % | 11 095 | 31 | 11 126 |
Ariège | 2 080 | 40,1 % | 1 374 | 26,5 % | 1 434 | 27,6 % | 94 | 1,8 % | 111 | 2,1 % | 89 | 1,7 % | 9 | 0,2 % | 5 191 | 11 | 5 202 |
Aube | 7 503 | 43,4 % | 3 574 | 20,7 % | 5 253 | 30,4 % | 290 | 1,7 % | 406 | 2,3 % | 205 | 1,2 % | 49 | 0,3 % | 17 280 | 51 | 17 331 |
Aude | 6 645 | 42,2 % | 3 642 | 23,1 % | 4 502 | 28,6 % | 301 | 1,9 % | 363 | 2,3 % | 253 | 1,6 % | 48 | 0,3 % | 15 754 | 45 | 15 799 |
Aveyron | 6 913 | 43,8 % | 4 952 | 31,4 % | 2 901 | 18,4 % | 305 | 1,9 % | 479 | 3,0 % | 196 | 1,2 % | 45 | 0,3 % | 15 791 | 47 | 15 838 |
Bouches-du-Rhône | 56 008 | 41,1 % | 31 301 | 23,0 % | 40 421 | 29,6 % | 3 401 | 2,5 % | 3 255 | 2,4 % | 1 548 | 1,1 % | 408 | 0,3 % | 136 342 | 411 | 136 753 |
Calvados | 21 477 | 46,9 % | 12 244 | 26,7 % | 9 354 | 20,4 % | 906 | 2,0 % | 1 241 | 2,7 % | 502 | 1,1 % | 107 | 0,2 % | 45 831 | 97 | 45 928 |
Cantal | 3 469 | 37,5 % | 3 178 | 34,4 % | 1 970 | 21,3 % | 153 | 1,7 % | 351 | 3,8 % | 94 | 1,0 % | 24 | 0,3 % | 9 239 | 33 | 9 272 |
Charente | 6 783 | 35,6 % | 7 848 | 41,2 % | 3 468 | 18,2 % | 312 | 1,6 % | 356 | 1,9 % | 234 | 1,2 % | 32 | 0,2 % | 19 033 | 24 | 19 057 |
Charente-Maritime | 19 316 | 40,8 % | 16 416 | 34,7 % | 9 194 | 19,4 % | 866 | 1,8 % | 1 067 | 2,3 % | 383 | 0,8 % | 115 | 0,2 % | 47 357 | 89 | 47 446 |
Cher | 7 378 | 46,4 % | 3 935 | 24,8 % | 3 521 | 22,2 % | 310 | 2,0 % | 432 | 2,7 % | 272 | 1,7 % | 36 | 0,2 % | 15 884 | 30 | 15 914 |
Corrèze | 4 620 | 30,5 % | 6 837 | 45,1 % | 2 554 | 16,9 % | 241 | 1,6 % | 707 | 4,7 % | 147 | 1,0 % | 50 | 0,3 % | 15 156 | 38 | 15 194 |
Corse-du-Sud | 3 191 | 26,7 % | 3 697 | 30,9 % | 4 671 | 39,0 % | 142 | 1,2 % | 106 | 0,9 % | 113 | 0,9 % | 42 | 0,4 % | 11 962 | 79 | 12 041 |
Haute-Corse | 2 313 | 23,2 % | 2 166 | 21,7 % | 4 904 | 49,2 % | 106 | 1,1 % | 368 | 3,7 % | 90 | 0,9 % | 30 | 0,3 % | 9 977 | 36 | 10 013 |
Côte-d'Or | 16 597 | 48,0 % | 8 279 | 24,0 % | 7 333 | 21,2 % | 748 | 2,2 % | 903 | 2,6 % | 598 | 1,7 % | 87 | 0,3 % | 34 545 | 81 | 34 626 |
Côtes-d'Armor | 18 544 | 50,4 % | 10 184 | 27,7 % | 5 880 | 16,0 % | 758 | 2,1 % | 791 | 2,2 % | 525 | 1,4 % | 96 | 0,3 % | 36 778 | 54 | 36 832 |
Creuse | 2 233 | 41.8 % | 1 675 | 31,3 % | 1 152 | 21,5 % | 88 | 1,6 % | 135 | 2,5 % | 46 | 0,9 % | 18 | 0,3 % | 5 347 | 9 | 5 356 |
Dordogne | 8 283 | 33,8 % | 10 238 | 41,7 % | 4 710 | 19,2 % | 411 | 1,7 % | 509 | 2,1 % | 330 | 1,3 % | 44 | 0,2 % | 24 525 | 59 | 24 584 |
Doubs | 14 194 | 47,1 % | 7 013 | 23,3 % | 6 843 | 22,7 % | 647 | 2,1 % | 1 013 | 3,4 % | 317 | 1,1 % | 81 | 0,3 % | 30 108 | 75 | 30 183 |
Drôme | 13 894 | 46,1 % | 7 374 | 24,5 % | 6 692 | 22,2 % | 735 | 2,4 % | 1 013 | 2,2 % | 721 | 2,4 % | 82 | 0,3 % | 30 159 | 83 | 30 242 |
Eure | 15 060 | 42,8 % | 7 604 | 21,6 % | 7 926 | 22,5 % | 599 | 1,7 % | 3 572 | 10,2 % | 344 | 1,0 % | 73 | 0,2 % | 35 178 | 92 | 35 270 |
Eure-et-Loir | 12 663 | 47,6 % | 6 431 | 24,2 % | 5 386 | 20,3 % | 515 | 1,9 % | 1 097 | 4,1 % | 415 | 1,6 % | 76 | 0,3 % | 26 583 | 59 | 26 642 |
Finistère | 28 596 | 47,8 % | 18 913 | 31,6 % | 8 769 | 14,7 % | 1 390 | 2,3 % | 1 299 | 2,2 % | 727 | 1,2 % | 119 | 0,2 % | 59 813 | 103 | 59 916 |
Gard | 19 059 | 43,3 % | 9 705 | 22,1 % | 12 621 | 28,7 % | 941 | 2,1 % | 1 071 | 2,4 % | 477 | 1,1 % | 115 | 0,3 % | 43 989 | 79 | 44 068 |
Haute-Garonne | 32 994 | 41,2 % | 25 400 | 31,7 % | 16 438 | 20,5 % | 2 465 | 3,1 % | 1 522 | 1,9 % | 1 109 | 1,4 % | 174 | 0,2 % | 80 102 | 129 | 80 231 |
Gers | 4 294 | 40,2 % | 3 222 | 30,2 % | 2 362 | 22,1 % | 222 | 2,1 % | 403 | 3,8 % | 151 | 1,4 % | 29 | 0,3 % | 10 683 | 22 | 10 705 |
Gironde | 35 826 | 27,1 % | 73 019 | 55,3 % | 18 112 | 13,7 % | 2 107 | 1,6 % | 1 552 | 1,2 % | 1 324 | 1,0 % | 154 | 0,1 % | 132 094 | 233 | 132 327 |
Hérault | 31 752 | 44,9 % | 16 607 | 23,5 % | 18 431 | 26,1 % | 1 587 | 2,2 % | 1 472 | 2,1 % | 726 | 1,0 % | 140 | 0,2 % | 70 715 | 140 | 70 855 |
Ille-et-Vilaine | 33 087 | 48,9 % | 20 466 | 30,2 % | 9 473 | 14,0 % | 1 843 | 2,7 % | 1 514 | 2,2 % | 1 165 | 1,7 % | 154 | 0,2 % | 67 702 | 128 | 67 830 |
Indre | 4 762 | 42,8 % | 2 857 | 25,7 % | 2 760 | 24,8 % | 169 | 1,5 % | 302 | 2,7 % | 249 | 2,2 % | 27 | 0,2 % | 11 126 | 33 | 11 159 |
Indre-et-Loire | 19 915 | 48,8 % | 11 133 | 27,3 % | 7 110 | 17,4 % | 894 | 2,2 % | 931 | 2,3 % | 744 | 1,8 % | 106 | 0,3 % | 40 833 | 87 | 40 920 |
Isère | 33 931 | 44,7 % | 21 073 | 27,7 % | 15 699 | 20,7 % | 2 414 | 3,2 % | 1 597 | 2,1 % | 1 053 | 1,4 % | 196 | 0,3 % | 75 963 | 152 | 76 115 |
Jura | 6 686 | 47,1 % | 3 262 | 23,0 % | 3 077 | 21,7 % | 289 | 2,0 % | 673 | 4,7 % | 169 | 1,2 % | 46 | 0,3 % | 14 202 | 36 | 14 238 |
Landes | 8 352 | 32,8 % | 11 357 | 44,7 % | 4 654 | 18,3 % | 365 | 1,4 % | 386 | 1,5 % | 280 | 1,1 % | 39 | 0,2 % | 25 433 | 37 | 25 470 |
Loir-et-Cher | 10 176 | 47,8 % | 5 275 | 24,8 % | 4 575 | 21,5 % | 405 | 1,9 % | 464 | 2,2 % | 356 | 1,7 % | 46 | 0,2 % | 21 297 | 48 | 21 345 |
Loire | 18 139 | 48,2 % | 8 887 | 23,6 % | 7 989 | 21,2 % | 831 | 2,2 % | 1 089 | 2,9 % | 626 | 1,7 % | 102 | 0,3 % | 37 663 | 63 | 37 726 |
Haute-Loire | 5 720 | 43,7 % | 3 357 | 25,7 % | 3 100 | 23,7 % | 279 | 2,1 % | 350 | 2,7 % | 234 | 1,8 % | 35 | 0,3 % | 13 075 | 33 | 13 108 |
Loire-Atlantique | 52 607 | 54,1 % | 25 321 | 26,0 % | 12 856 | 13,2 % | 2 465 | 2,5 % | 1 926 | 2,0 % | 1 907 | 2,0 % | 199 | 0,2 % | 97 281 | 178 | 97 459 |
Loiret | 20 543 | 48,5 % | 10 594 | 25,0 % | 8 332 | 19,7 % | 958 | 2,3 % | 1 147 | 2,7 % | 700 | 1,7 % | 103 | 0,2 % | 42 377 | 95 | 42 472 |
Lot | 3 558 | 39,9 % | 2 978 | 33,4 % | 1 833 | 20,6 % | 160 | 1,8 % | 229 | 2,6 % | 121 | 1,4 % | 30 | 0,3 % | 8 909 | 25 | 8 934 |
Lot-et-Garonne | 6 982 | 35,6 % | 7 098 | 36,2 % | 4 403 | 22,4 % | 310 | 1,6 % | 540 | 2,8 % | 232 | 1,2 % | 48 | 0,2 % | 19 613 | 46 | 19 659 |
Lozère | 1 820 | 42,0 % | 1 233 | 28,4 % | 958 | 22,1 % | 108 | 2,5 % | 163 | 3,8 % | 42 | 1,0 % | 13 | 0,3 % | 4 337 | 19 | 4 356 |
Maine-et-Loire | 29 182 | 56,2 % | 13 085 | 25,2 % | 6 486 | 12,5 % | 1 049 | 2,0 % | 931 | 1,8 % | 1 111 | 2,1 % | 104 | 0,2 % | 51 948 | 72 | 52 020 |
Manche | 14 721 | 46,4 % | 9 162 | 28,9 % | 5 961 | 18,8 % | 621 | 2,0 % | 847 | 2,7 % | 316 | 1,0 % | 75 | 0,2 % | 31 703 | 76 | 31 779 |
Marne | 14 676 | 43,6 % | 9 032 | 26,8 % | 7 793 | 23,2 % | 731 | 2,2 % | 964 | 2,9 % | 372 | 1,1 % | 78 | 0,2 % | 33 646 | 62 | 33 708 |
Haute-Marne | 3 475 | 42,0 % | 1 908 | 23,0 % | 2 353 | 28,4 % | 142 | 1,7 % | 285 | 3,4 % | 90 | 1,1 % | 27 | 0,3 % | 8 280 | 18 | 8 298 |
Mayenne | 11 847 | 63,6 % | 3 401 | 18,2 % | 2 175 | 11,7 % | 277 | 1,5 % | 372 | 2,0 % | 545 | 2,9 % | 24 | 0,1 % | 18 641 | 47 | 18 688 |
Meurthe-et-Moselle | 15 232 | 44,1 % | 9 525 | 27,6 % | 7 403 | 21,5 % | 838 | 2,4 % | 962 | 2,8 % | 452 | 1,3 % | 99 | 0,3 % | 34 511 | 50 | 34 561 |
Meuse | 3 819 | 46,6 % | 1 898 | 23,2 % | 1 931 | 23,6 % | 157 | 1,9 % | 288 | 3,5 % | 72 | 0,9 % | 22 | 0,3 % | 8 187 | 15 | 8 202 |
Morbihan | 27 158 | 49,8 % | 15 082 | 27,6 % | 8 541 | 15,6 % | 1 262 | 2,3 % | 1 413 | 2,6 % | 1 012 | 1,9 % | 115 | 0,2 % | 54 583 | 118 | 54 701 |
Moselle | 20 358 | 45,2 % | 11 037 | 24,5 % | 11 001 | 24,4 % | 943 | 2,1 % | 1 135 | 2,5 % | 468 | 1,0 % | 117 | 0,3 % | 45 059 | 89 | 45 148 |
Nièvre | 4 271 | 45,7 % | 2 338 | 25,0 % | 2 088 | 22,3 % | 196 | 2,1 % | 298 | 3,2 % | 129 | 1,4 % | 32 | 0,3 % | 9 352 | 22 | 9 374 |
Nord | 58 842 | 46,3 % | 31 840 | 25,1 % | 28 676 | 22,6 % | 3 284 | 2,6 % | 2 582 | 2,0 % | 1 479 | 1,2 % | 292 | 0,2 % | 126 995 | 246 | 127 241 |
Oise | 19 265 | 45,0 % | 9 786 | 22,9 % | 10 775 | 25,2 % | 977 | 2,3 % | 1 101 | 2,6 % | 694 | 1,6 % | 172 | 0,4 % | 42 770 | 107 | 42 877 |
Orne | 10 349 | 54,7 % | 4 085 | 21,6 % | 3 303 | 17,4 % | 320 | 1,7 % | 573 | 3,0 % | 252 | 1,3 % | 51 | 0,3 % | 18 933 | 49 | 18 982 |
Pas-de-Calais | 23 264 | 44,9 % | 11 129 | 21,5 % | 14 543 | 28,1 % | 881 | 1,7 % | 1 302 | 2,5 % | 552 | 1,1 % | 130 | 0,3 % | 51 801 | 90 | 51 891 |
Puy-de-Dôme | 15 548 | 43,5 % | 11 358 | 31,8 % | 6 462 | 18,1 % | 934 | 2,6 % | 866 | 2,4 % | 460 | 1,3 % | 75 | 0,2 % | 35 703 | 62 | 35 765 |
Pyrénées-Atlantiques | 18 642 | 39,7 % | 17 816 | 38,0 % | 8 266 | 17,6 % | 886 | 1,9 % | 759 | 1,6 % | 491 | 1,0 % | 72 | 0,2 % | 46 932 | 85 | 47 017 |
Hautes-Pyrénées | 4 305 | 37,8 % | 3 890 | 34,1 % | 2 550 | 22,4 % | 240 | 2,1 % | 206 | 1,8 % | 179 | 1,6 % | 23 | 0,2 % | 11 393 | 26 | 11 419 |
Pyrénées-Orientales | 10 989 | 40,0 % | 5 936 | 21,6 % | 8 728 | 31,8 % | 529 | 1,9 % | 875 | 3,2 % | 293 | 1,1 % | 123 | 0,4 % | 27 473 | 118 | 27 591 |
Bas-Rhin | 32 192 | 46,6 % | 17 854 | 25,9 % | 14 109 | 20,4 % | 1 902 | 2,8 % | 1 971 | 2,9 % | 838 | 1,2 % | 186 | 0,3 % | 69 052 | 145 | 69 197 |
Haut-Rhin | 20 652 | 48,0 % | 9 914 | 23,1 % | 9 067 | 21,1 % | 1 044 | 2,4 % | 1 638 | 3,8 % | 573 | 1,3 % | 114 | 0,3 % | 43 002 | 94 | 43 096 |
Rhône | 70 101 | 48,5 % | 36 964 | 25,6 % | 26 865 | 18,6 % | 4 500 | 3,1 % | 2 879 | 2,0 % | 2 749 | 1,9 % | 353 | 0,2 % | 144 411 | 205 | 144 616 |
Haute-Saône | 5 021 | 42,9 % | 2 128 | 18,2 % | 2 914 | 24,9 % | 165 | 1,4 % | 1 335 | 11,4 % | 104 | 0,9 % | 30 | 0,3 % | 11 697 | 31 | 11 728 |
Saône-et-Loire | 14 263 | 46,9 % | 7 324 | 24,1 % | 6 473 | 21,3 % | 623 | 2,0 % | 1 078 | 3,5 % | 593 | 1,9 % | 77 | 0,3 % | 30 431 | 71 | 30 502 |
Sarthe | 33 250 | 78,3 % | 4 725 | 11,1 % | 3 247 | 7,7 % | 475 | 1,1 % | 354 | 0,8 % | 347 | 0,8 % | 44 | 0,1 % | 42 442 | 74 | 42 516 |
Savoie | 14 390 | 46,8 % | 8 214 | 26,7 % | 5 957 | 19,4 % | 891 | 2,9 % | 822 | 2,7 % | 406 | 1,3 % | 81 | 0,3 % | 30 761 | 70 | 30 831 |
Haute-Savoie | 29 230 | 47,5 % | 15 743 | 25,6 % | 12 100 | 19,7 % | 1 871 | 3,0 % | 1 724 | 2,8 % | 710 | 1,2 % | 162 | 0,3 % | 61 540 | 126 | 61 666 |
Paris | 110 503 | 41,8 % | 97 410 | 36,9 % | 36 202 | 13,7 % | 11 510 | 4,4 % | 3 743 | 1,4 % | 4 063 | 1,5 % | 713 | 0,3 % | 264 144 | 341 | 264 485 |
Seine-Maritime | 28 453 | 43,8 % | 17 438 | 26,8 % | 14 444 | 22,2 % | 1 280 | 2,0 % | 2 544 | 3,9 % | 670 | 1,0 % | 128 | 0,2 % | 64 957 | 129 | 65 086 |
Seine-et-Marne | 32 103 | 41,2 % | 20 056 | 25,8 % | 18 698 | 24,0 % | 1 976 | 2,5 % | 2 465 | 3,2 % | 1 139 | 1,5 % | 1 448 | 1,9 % | 77 885 | 160 | 78 045 |
Yvelines | 79 708 | 48,7 % | 46 700 | 28,6 % | 23 335 | 14,3 % | 4 931 | 3,0 % | 2 886 | 1,8 % | 5 616 | 3,4 % | 356 | 0,2 % | 163 532 | 244 | 163 776 |
Deux-Sèvres | 7 539 | 44,9 % | 5 535 | 32,9 % | 2 642 | 15,7 % | 370 | 2,2 % | 429 | 2,6 % | 254 | 1,5 % | 34 | 0,2 % | 16 803 | 37 | 16 840 |
Somme | 10 880 | 44,5 % | 6 020 | 24,6 % | 5 972 | 24,4 % | 426 | 1,7 % | 827 | 3,4 % | 278 | 1,1 % | 47 | 0,2 % | 24 450 | 51 | 24 501 |
Tarn | 8 843 | 44,5 % | 5 363 | 27,0 % | 4 443 | 22,4 % | 470 | 2,4 % | 460 | 2,3 % | 244 | 1,2 % | 38 | 0,2 % | 19 861 | 43 | 19 904 |
Tarn-et-Garonne | 5 305 | 41,2 % | 3 256 | 25,3 % | 3 542 | 27,5 % | 267 | 2,1 % | 302 | 2,3 % | 177 | 1,4 % | 27 | 0,2 % | 12 876 | 28 | 12 904 |
Var | 41 088 | 43,9 % | 17 223 | 18,4 % | 30 160 | 32,2 % | 1 629 | 1,7 % | 2 043 | 2,2 % | 1 276 | 1,4 % | 262 | 0,3 % | 93 681 | 229 | 93 910 |
Vaucluse | 15 444 | 43,8 % | 7 886 | 22,4 % | 9 557 | 27,1 % | 816 | 2,3 % | 925 | 2,6 % | 490 | 1,4 % | 124 | 0,4 % | 35 242 | 98 | 35 340 |
Vendée | 25 950 | 56,3 % | 10 230 | 22,2 % | 7 287 | 15,8 % | 725 | 1,6 % | 1 088 | 2,4 % | 758 | 1,6 % | 76 | 0,2 % | 46 114 | 74 | 46 188 |
Vienne | 9 119 | 41,2 % | 7 574 | 34,2 % | 3 872 | 17,5 % | 455 | 2,1 % | 544 | 2,5 % | 479 | 2,2 % | 71 | 0,3 % | 22 114 | 42 | 22 156 |
Haute-Vienne | 6 828 | 39,3 % | 6 370 | 36,7 % | 3 235 | 18,6 % | 347 | 2,0 % | 385 | 2,2 % | 180 | 1,0 % | 28 | 0,2 % | 17 373 | 42 | 17 415 |
Vosges | 8 718 | 49,7 % | 3 790 | 21,6 % | 3 904 | 22,3 % | 342 | 1,9 % | 500 | 2,8 % | 199 | 1,1 % | 93 | 0,5 % | 17 546 | 50 | 17 596 |
Yonne | 8 019 | 44,5 % | 4 340 | 24,1 % | 4 528 | 25,1 % | 351 | 1,9 % | 519 | 2,9 % | 219 | 1,2 % | 57 | 0,3 % | 18 033 | 37 | 18 070 |
Territoire de Belfort | 2 798 | 41,7 % | 1 616 | 24,1 % | 1 875 | 27,9 % | 127 | 1,9 % | 177 | 2,6 % | 93 | 1,4 % | 25 | 0,4 % | 6 711 | 20 | 6 731 |
Essonne | 33 834 | 42,2 % | 24 460 | 30,5 % | 15 929 | 19,9 % | 3 050 | 3,8 % | 1 747 | 2,2 % | 952 | 1,2 % | 202 | 0,3 % | 80 174 | 141 | 80 315 |
Hauts-de-Seine | 91 909 | 46,2 % | 62 483 | 31,4 % | 29 973 | 15,1 % | 7 518 | 3,8 % | 3 188 | 1,6 % | 3 296 | 1,7 % | 454 | 0,2 % | 198 821 | 436 | 199 257 |
Seine-Saint-Denis | 13 913 | 31,9 % | 15 597 | 35,7 % | 11 104 | 25,4 % | 1 440 | 3,3 % | 836 | 1,9 % | 583 | 1,3 % | 192 | 0,4 % | 43 665 | 181 | 43 846 |
Val-de-Marne | 35 536 | 39,3 % | 29 686 | 32,8 % | 18 975 | 21,0 % | 3 201 | 3,5 % | 1 626 | 1,8 % | 1 075 | 1,2 % | 324 | 0,4 % | 90 423 | 195 | 90 618 |
Val d'Oise | 27 710 | 41,6 % | 18 655 | 28,0 % | 15 757 | 23,7 % | 1 816 | 2,7 % | 1 548 | 2,3 % | 847 | 1,3 % | 221 | 0,3 % | 66 554 | 133 | 66 687 |
Guadeloupe | 1 194 | 24,1 % | 2 152 | 43,4 % | 1 403 | 28,3 % | 65 | 1,3 % | 56 | 1,1 % | 72 | 1,5 % | 17 | 0,3 % | 4 959 | 41 | 5 000 |
Martinique | 1 403 | 31,2 % | 1 584 | 35,2 % | 1 304 | 29,0 % | 64 | 1,4 % | 72 | 1,6 % | 64 | 1,4 % | 5 | 0,1 % | 4 496 | 17 | 4 513 |
Guyane | 263 | 20,1 % | 622 | 47,5 % | 344 | 26,3 % | 31 | 2,4 % | 22 | 1,7 % | 17 | 1,3 % | 11 | 0,8 % | 1 310 | 1 | 1 311 |
La Réunion | 4 095 | 15,9 % | 8 472 | 33,0 % | 11 591 | 45,1 % | 482 | 1,9 % | 583 | 2,3 % | 326 | 1,3 % | 146 | 0,6 % | 25 695 | 744 | 26 439 |
Saint-Pierre-et-Miquelon | 19 | 21,3 % | 38 | 42,7 % | 18 | 20,2 % | 6 | 6,7 % | 4 | 4,5 % | 3 | 3,4 % | 1 | 1,1 % | 89 | - | 89 |
Mayotte | 67 | 1,4 % | 816 | 17,4 % | 3 708 | 79,2 % | 19 | 0,4 % | 51 | 1,1 % | 14 | 0,3 % | 8 | 0,2 % | 4 683 | 33 | 4 716 |
Saint-Barthélémy | 209 | 58,1 % | 62 | 17,2 % | 69 | 19,2 % | 9 | 2,5 % | 5 | 1,4 % | 6 | 1,7 % | - | 0,0 % | 360 | 1 | 361 |
Saint-Martin | 155 | 33,1 % | 128 | 27,4 % | 172 | 36,8 % | 4 | 0,9 % | 5 | 1,1 % | 4 | 0,9 % | - | 0,0 % | 468 | 3 | 471 |
Wallis-et-Futuna | 30 | 3,6 % | 640 | 76,4 % | 71 | 8,5 % | 9 | 1,1 % | 75 | 8,9 % | 3 | 0,4 % | 10 | 1,2 % | 838 | 5 | 843 |
Polynésie française | 629 | 6,1 % | 5 059 | 48,7 % | 4 083 | 39,3 % | 74 | 0,7 % | 399 | 3,8 % | 84 | 0,8 % | 56 | 0,5 % | 10 384 | 216 | 10 600 |
Nouvelle-Calédonie | 2 209 | 31,0 % | 1 800 | 25,3 % | 2 751 | 38,6 % | 137 | 1,9 % | 161 | 2,3 % | 45 | 0,6 % | 23 | 0,3 % | 7 126 | 31 | 7 157 |
Métropole et outre-mer | 1 870 480 | 44,2 % | 1 200 726 | 28,4 % | 881 529 | 20,8 % | 107 011 | 2,5 % | 101 177 | 2,4 % | 61 577 | 1,5 % | 12 684 | 0,3 % | 4 235 184 | 9 829 | 4 245 013 |
Circonscription | Fillon | Juppé | Sarkozy | Kosciusko-Morizet | Le Maire | Poisson | Copé | Exprimés | Blancs et nuls | Votants | |||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | Voix | % | Voix | % | Voix | % | Voix | % | Voix | % | ||||
1re (Amérique du Nord) | 2 623 | 33,4 % | 3 730 | 47,4 % | 720 | 9,2 % | 525 | 6,7 % | 156 | 2,0 % | 89 | 1,1 % | 19 | 0,2 % | 7 862 | 9 | 7 871 |
2e (Amérique latine) | 740 | 37,8 % | 867 | 44,3 % | 199 | 10,2 % | 86 | 4,4 % | 36 | 1,8 % | 26 | 1,3 % | 5 | 0,3 % | 1 959 | 6 | 1 965 |
3e (Europe du Nord) | 2 493 | 42,4 % | 2 519 | 42,9 % | 309 | 5,3 % | 331 | 5,6 % | 124 | 2,1 % | 87 | 1,5 % | 10 | 0,2 % | 5 873 | 4 | 5 877 |
4e (Benelux) | 2 542 | 35,6 % | 3 437 | 48,2 % | 509 | 7,1 % | 400 | 5,6 % | 114 | 1,6 % | 123 | 1,7 % | 13 | 0,2 % | 7 138 | 1 | 7 139 |
5e (Péninsule Ibérique) | 905 | 36,8 % | 1 017 | 41,4 % | 343 | 13,9 % | 111 | 4,5 % | 44 | 1,8 % | 29 | 1,2 % | 10 | 0,4 % | 2 459 | 3 | 2 462 |
6e (Suisse et Liechtenstein) | 2 762 | 42,5 % | 2 604 | 40,0 % | 565 | 8,7 % | 321 | 4,9 % | 144 | 2,2 % | 93 | 1,4 % | 14 | 0,2 % | 6 503 | 6 | 6 509 |
7e (Europe de l'Est) | 1 513 | 31,5 % | 2 518 | 52,4 % | 283 | 5,9 % | 315 | 6,6 % | 93 | 1,9 % | 76 | 1,6 % | 5 | 0,1 % | 4 803 | 7 | 4 810 |
8e (Europe du Sud) | 528 | 35,9 % | 603 | 41,0 % | 209 | 14,2 % | 74 | 5,0 % | 28 | 1,9 % | 25 | 1,7 % | 3 | 0,2 % | 1 470 | 0 | 1 470 |
9e (Afrique du Nord) | 1 033 | 32,0 % | 1 647 | 51,1 % | 408 | 12,6 % | 64 | 2,0 % | 36 | 1,1 % | 37 | 1,1 % | 1 | 0,0 % | 3 226 | 1 | 3 227 |
10e (Afrique et Moyen-Orient) | 1 653 | 36,2 % | 2 086 | 45,7 % | 515 | 11,3 % | 112 | 2,5 % | 118 | 2,6 % | 73 | 1,6 % | 11 | 0,2 % | 4 568 | 7 | 4 575 |
11e (Asie et Océanie) | 2 994 | 41,8 % | 3 101 | 43,3 % | 548 | 7,6 % | 305 | 4,3 % | 117 | 1,6 % | 92 | 1,3 % | 12 | 0,2 % | 7 169 | 10 | 7 179 |
Toutes | 19 786 | 37,3 % | 24 129 | 45,5 % | 4 608 | 8,7 % | 2 644 | 5,0 % | 1 010 | 1,9 % | 750 | 1,4 % | 103 | 0,2 % | 53 030 | 54 | 53 084 |
Résultats du second tour
Département | Fillon | Juppé | Exprimés | Blancs
et nuls |
Votants | ||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||||
Ain | 29 460 | 75,0 % | 9 842 | 25,0 % | 39 302 | 88 | 39 390 |
Aisne | 15 236 | 74,1 % | 5 336 | 25,9 % | 20 572 | 70 | 20 642 |
Allier | 13 632 | 71,0 % | 5 562 | 29,0 % | 19 194 | 52 | 19 246 |
Alpes-de-Haute-Provence | 7 524 | 74,9 % | 2 516 | 25,1 % | 10 040 | 41 | 10 081 |
Hautes-Alpes | 6 835 | 69,3 % | 3 027 | 30,7 % | 9 862 | 39 | 9 901 |
Alpes-Maritimes | 85 049 | 77,4 % | 24 777 | 22,6 % | 109 826 | 622 | 110 448 |
Ardèche | 12 595 | 73,1 % | 4 624 | 26,9 % | 17 219 | 47 | 17 266 |
Ardennes | 8 318 | 73,1 % | 3 067 | 26,9 % | 11 385 | 38 | 11 423 |
Ariège | 3 794 | 67,8 % | 1 798 | 32,2 % | 5 592 | 12 | 5 604 |
Aube | 12 907 | 76,1 % | 4 052 | 23,9 % | 16 959 | 50 | 17 009 |
Aude | 12 000 | 73,9 % | 4 247 | 26,1 % | 16 247 | 65 | 16 312 |
Aveyron | 10 781 | 66,0 % | 5 546 | 34,0 % | 16 327 | 47 | 16 374 |
Bouches-du-Rhône | 95 855 | 71,6 % | 38 102 | 28,4 % | 133 957 | 718 | 134 675 |
Calvados | 33 410 | 69,2 % | 14 899 | 30,8 % | 48 309 | 105 | 48 414 |
Cantal | 6 065 | 62,8 % | 3 600 | 37,2 % | 9 665 | 29 | 9 694 |
Charente | 10 894 | 55,1 % | 8 878 | 44,9 % | 19 772 | 34 | 19 806 |
Charente-Maritime | 31 281 | 62,5 % | 18 746 | 37,5 % | 50 027 | 119 | 50 146 |
Cher | 11 913 | 71,6 % | 4 720 | 28,4 % | 16 633 | 37 | 16 670 |
Corrèze | 7 774 | 49,2 % | 8 015 | 50,8 % | 15 789 | 70 | 15 859 |
Corse-du-Sud | 7 770 | 67,3 % | 3 771 | 32,7 % | 11 541 | 127 | 11 668 |
Haute-Corse | 7 028 | 75,4 % | 2 287 | 24,6 % | 9 315 | 42 | 9 357 |
Côte-d'Or | 26 305 | 72,4 % | 10 021 | 27,6 % | 36 326 | 66 | 36 392 |
Côtes-d'Armor | 27 300 | 69,0 % | 12 238 | 31,0 % | 39 538 | 83 | 39 621 |
Creuse | 3 738 | 67,9 % | 1 766 | 32,1 % | 5 504 | 11 | 5 515 |
Dordogne | 13 937 | 54,1 % | 11 824 | 45,9 % | 25 761 | 76 | 25 837 |
Doubs | 23 225 | 74,3 % | 8 016 | 25,7 % | 31 241 | 92 | 31 333 |
Drôme | 22 898 | 72,9 % | 8 515 | 27,1 % | 31 413 | 89 | 31 502 |
Eure | 25 803 | 73,2 % | 9 459 | 26,8 % | 35 262 | 83 | 35 345 |
Eure-et-Loir | 19 682 | 71,6 % | 7 801 | 28,4 % | 27 483 | 65 | 27 548 |
Finistère | 41 623 | 65,1 % | 22 351 | 34,9 % | 63 974 | 100 | 64 074 |
Gard | 33 077 | 74,4 % | 11 370 | 25,6 % | 44 447 | 170 | 44 617 |
Haute-Garonne | 50 840 | 61,5 % | 31 839 | 38,5 % | 82 679 | 183 | 82 862 |
Gers | 7 635 | 66,7 % | 3 814 | 33,3 % | 11 449 | 30 | 11 479 |
Gironde | 53 491 | 37,7 % | 88 417 | 62,3 % | 141 908 | 262 | 142 170 |
Hérault | 52 710 | 72,0 % | 20 514 | 28,0 % | 73 224 | 231 | 73 455 |
Ille-et-Vilaine | 45 957 | 64,5 % | 25 316 | 35,5 % | 71 273 | 108 | 71 381 |
Indre | 8 272 | 71,2 % | 3 352 | 28,8 % | 11 624 | 35 | 11 659 |
Indre-et-Loire | 29 646 | 69,4 % | 13 042 | 30,6 % | 42 688 | 91 | 42 779 |
Isère | 51 290 | 67,3 % | 24 933 | 32,7 % | 76 223 | 180 | 76 403 |
Jura | 10 977 | 75,3 % | 3 607 | 24,7 % | 14 584 | 50 | 14 634 |
Landes | 13 595 | 51,0 % | 13 079 | 49,0 % | 26 674 | 57 | 26 731 |
Loir-et-Cher | 16 569 | 73,5 % | 5 959 | 26,5 % | 22 528 | 56 | 22 584 |
Loire | 27 918 | 73,4 % | 10 094 | 26,6 % | 38 012 | 83 | 38 095 |
Haute-Loire | 9 260 | 71,0 % | 3 778 | 29,0 % | 13 038 | 52 | 13 090 |
Loire-Atlantique | 70 823 | 70,6 % | 29 425 | 29,4 % | 100 248 | 176 | 100 424 |
Loiret | 31 208 | 70,8 % | 12 846 | 29,2 % | 44 054 | 111 | 44 165 |
Lot | 5 877 | 63,0 % | 3 452 | 37,0 % | 9 329 | 21 | 9 350 |
Lot-et-Garonne | 12 417 | 59,5 % | 8 445 | 40,5 % | 20 862 | 67 | 20 929 |
Lozère | 3 255 | 71,2 % | 1 317 | 28,8 % | 4 572 | 6 | 4 578 |
Maine-et-Loire | 40 622 | 74,0 % | 14 303 | 26,0 % | 54 925 | 100 | 55 025 |
Manche | 22 695 | 67,9 % | 10 721 | 32,1 % | 33 416 | 71 | 33 487 |
Marne | 23 770 | 69,6 % | 10 369 | 30,4 % | 34 139 | 80 | 34 219 |
Haute-Marne | 6 278 | 74,0 % | 2 211 | 26,0 % | 8 489 | 34 | 8 523 |
Mayenne | 16 368 | 81,2 % | 3 787 | 18,8 % | 20 155 | 38 | 20 193 |
Meurthe-et-Moselle | 23 792 | 66,9 % | 11 776 | 33,1 % | 35 568 | 72 | 35 640 |
Meuse | 6 432 | 75,4 % | 2 104 | 24,6 % | 8 536 | 22 | 8 558 |
Morbihan | 40 192 | 68,9 % | 18 123 | 31,1 % | 58 315 | 136 | 58 451 |
Moselle | 31 774 | 70,4 % | 13 341 | 29,6 % | 45 115 | 142 | 45 257 |
Nièvre | 7 009 | 71,5 % | 2 794 | 28,5 % | 9 803 | 29 | 9 832 |
Nord | 84 250 | 67,7 % | 40 127 | 32,3 % | 124 377 | 301 | 124 678 |
Oise | 30 641 | 70,9 % | 12 577 | 29,1 % | 43 218 | 112 | 43 330 |
Orne | 15 485 | 77,1 % | 4 612 | 22,9 % | 20 097 | 63 | 20 160 |
Pas-de-Calais | 36 869 | 73,0 % | 13 669 | 27,0 % | 50 538 | 143 | 50 681 |
Puy-de-Dôme | 23 025 | 62,8 % | 13 650 | 37,2 % | 36 675 | 87 | 36 762 |
Pyrénées-Atlantiques | 28 927 | 58,5 % | 20 484 | 41,5 % | 49 411 | 119 | 49 530 |
Hautes-Pyrénées | 7 301 | 60,8 % | 4 709 | 39,2 % | 12 010 | 32 | 12 042 |
Pyrénées-Orientales | 20 898 | 75,2 % | 6 891 | 24,8 % | 27 789 | 183 | 27 972 |
Bas-Rhin | 48 062 | 70,2 % | 20 370 | 29,8 % | 68 432 | 151 | 68 583 |
Haut-Rhin | 31 923 | 74,7 % | 10 813 | 25,3 % | 42 736 | 130 | 42 866 |
Rhône | 100 624 | 70,4 % | 42 330 | 29,6 % | 142 954 | 249 | 143 203 |
Haute-Saône | 9 374 | 78,8 % | 2 515 | 21,2 % | 11 889 | 48 | 11 937 |
Saône-et-Loire | 23 400 | 74,1 % | 8 159 | 25,9 % | 31 559 | 85 | 31 644 |
Sarthe | 41 233 | 87,2 % | 6 026 | 12,8 % | 47 259 | 101 | 47 360 |
Savoie | 22 234 | 70,5 % | 9 325 | 29,5 % | 31 559 | 73 | 31 632 |
Haute-Savoie | 45 323 | 72,8 % | 16 956 | 27,2 % | 62 279 | 150 | 62 429 |
Paris | 146 583 | 54,8 % | 120 973 | 45,2 % | 267 556 | 475 | 268 031 |
Seine-Maritime | 44 832 | 67,6 % | 21 535 | 32,4 % | 66 367 | 161 | 66 528 |
Seine-et-Marne | 51 923 | 65,7 % | 27 048 | 34,3 % | 78 971 | 236 | 79 207 |
Yvelines | 109 227 | 65,9 % | 56 586 | 34,1 % | 165 813 | 309 | 166 122 |
Deux-Sèvres | 11 703 | 65,8 % | 6 075 | 34,2 % | 17 778 | 29 | 17 807 |
Somme | 17 479 | 70,9 % | 7 181 | 29,1 % | 24 660 | 59 | 24 719 |
Tarn | 14 917 | 70,9 % | 6 114 | 29,1 % | 21 031 | 37 | 21 068 |
Tarn-et-Garonne | 9 625 | 71,4 % | 3 851 | 28,6 % | 13 476 | 36 | 13 512 |
Var | 75 838 | 79,4 % | 19 731 | 20,6 % | 95 569 | 371 | 95 940 |
Vaucluse | 26 391 | 73,5 % | 9 519 | 26,5 % | 35 910 | 117 | 36 027 |
Vendée | 37 832 | 77,4 % | 11 040 | 22,6 % | 48 872 | 105 | 48 977 |
Vienne | 14 578 | 62,7 % | 8 672 | 37,3 % | 23 250 | 53 | 23 303 |
Haute-Vienne | 10 630 | 57,3 % | 7 921 | 42,7 % | 18 551 | 43 | 18 594 |
Vosges | 14 176 | 76,2 % | 4 416 | 23,8 % | 18 592 | 61 | 18 653 |
Yonne | 13 924 | 72,7 % | 5 216 | 27,3 % | 19 140 | 70 | 19 210 |
Territoire de Belfort | 5 362 | 70,9 % | 2 198 | 29,1 % | 7 560 | 40 | 7 600 |
Essonne | 50 980 | 60,9 % | 32 672 | 39,1 % | 83 652 | 183 | 83 835 |
Hauts-de-Seine | 121 650 | 61,3 % | 76 751 | 38,7 % | 198 401 | 548 | 198 949 |
Seine-Saint-Denis | 23 745 | 50,7 % | 23 083 | 49,3 % | 46 828 | 223 | 47 051 |
Val-de-Marne | 53 296 | 57,4 % | 39 594 | 42,6 % | 92 890 | 256 | 93 146 |
Val d'Oise | 42 793 | 62,6 % | 25 572 | 37,4 % | 68 365 | 171 | 68 536 |
Guadeloupe | 2 659 | 51,0 % | 2 556 | 49,0 % | 5 215 | 48 | 5 263 |
Martinique | 2 583 | 59,9 % | 1 729 | 40,1 % | 4 312 | 14 | 4 326 |
Guyane | 671 | 46,2 % | 782 | 53,8 % | 1 453 | - | 1 453 |
La Réunion | 16 229 | 64,2 % | 9 045 | 35,8 % | 25 274 | 1 144 | 26 418 |
Saint-Pierre-et-Miquelon | 66 | 63,5 % | 38 | 36,5 % | 104 | - | 104 |
Mayotte | 2 819 | 67,2 % | 1 374 | 32,8 % | 4 193 | 24 | 4 217 |
Saint-Barthélémy | 362 | 84,2 % | 68 | 15,8 % | 430 | 1 | 431 |
Saint-Martin | 324 | 75,2 % | 107 | 24,8 % | 431 | 2 | 433 |
Wallis-et-Futuna | 384 | 30,8 % | 862 | 69,2 % | 1 246 | 6 | 1 252 |
Polynésie française | 6 399 | 45,8 % | 7 566 | 54,2 % | 13 965 | 147 | 14 112 |
Nouvelle-Calédonie | 6 141 | 77,6 % | 1 773 | 22,4 % | 7 914 | 43 | 7 957 |
Métropole et outre-mer | 2 930 164 | 67,5 % | 1 412 299 | 32,5 % | 4 342 463 | 12 849 | 4 355 312 |
Circonscription | Fillon | Juppé | Exprimés | Blancs et nuls |
Votants | ||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||||
1re (Amérique du Nord) | 3 411 | 47,4 % | 3 789 | 52,6 % | 7 200 | 23 | 7 223 |
2e (Amérique latine) | 956 | 53,7 % | 823 | 46,3 % | 1 779 | 4 | 1 783 |
3e (Europe du Nord) | 2 979 | 55,0 % | 2 435 | 45,0 % | 5 414 | 23 | 5 437 |
4e (Benelux) | 3 233 | 48,2 % | 3 474 | 51,8 % | 6 707 | 21 | 6 728 |
5e (Péninsule Ibérique) | 1 301 | 56,2 % | 1 013 | 43,8 % | 2 314 | 18 | 2 332 |
6e (Suisse et Liechtenstein) | 3 643 | 59,1 % | 2 525 | 40,9 % | 6 168 | 19 | 6 187 |
7e (Europe de l'Est) | 1 956 | 44,2 % | 2 473 | 55,8 % | 4 429 | 23 | 4 452 |
8e (Europe du Sud) | 724 | 54,4 % | 607 | 45,6 % | 1 331 | 11 | 1 342 |
9e (Afrique du Nord) | 1 470 | 48,5 % | 1 562 | 51,5 % | 3 032 | 11 | 3 043 |
10e (Afrique et Moyen-Orient) | 2 378 | 56,5 % | 1 830 | 43,5 % | 4 208 | 14 | 4 222 |
11e (Asie et Océanie) | 3 752 | 55,8 % | 2 975 | 44,2 % | 6 727 | 24 | 6 751 |
Toutes | 25 803 | 52,3 % | 23 506 | 47,7 % | 49 309 | 191 | 49 500 |
Participation
Départements | 1er tour | 2d tour | Différence participation | Taux de variation |
---|---|---|---|---|
Ain | 39 187 | 39 390 | 203 | 0,5% |
Aisne | 20 421 | 20 642 | 221 | 1,1% |
Allier | 18 832 | 19 246 | 414 | 2,2% |
Alpes-de-Haute-Provence | 9 854 | 10 081 | 227 | 2,3% |
Hautes-Alpes | 9 498 | 9 901 | 403 | 4,2% |
Alpes-Maritimes | 112 003 | 110 448 | −1 555 | −1,4% |
Ardèche | 17 092 | 17 266 | 174 | 1,0% |
Ardennes | 11 126 | 11 423 | 297 | 2,7% |
Ariège | 5 202 | 5 604 | 402 | 7,7% |
Aube | 17 331 | 17 009 | −322 | −1,9% |
Aude | 15 799 | 16 312 | 513 | 3,2% |
Aveyron | 15 838 | 16 374 | 536 | 3,4% |
Bouches-du-Rhône | 136 753 | 134 675 | −2 078 | −1,5% |
Calvados | 45 928 | 48 414 | 2 486 | 5,4% |
Cantal | 9 272 | 9 694 | 422 | 4,6% |
Charente | 19 057 | 19 806 | 749 | 3,9% |
Charente-Maritime | 47 446 | 50 146 | 2 700 | 5,7% |
Cher | 15 914 | 16 670 | 756 | 4,8% |
Corrèze | 15 194 | 15 859 | 665 | 4,4% |
Corse-du-Sud | 12 041 | 11 668 | −373 | −3,1% |
Haute-Corse | 10 013 | 9 357 | −656 | −6,6% |
Côte-d'Or | 34 626 | 36 392 | 1 766 | 5,1% |
Côtes-d'Armor | 36 832 | 39 621 | 2 789 | 7,6% |
Creuse | 5 356 | 5 515 | 159 | 3,0% |
Dordogne | 24 584 | 25 837 | 1 253 | 5,1% |
Doubs | 30 183 | 31 333 | 1 150 | 3,8% |
Drôme | 30 242 | 31 502 | 1 260 | 4,2% |
Eure | 35 270 | 35 345 | 75 | 0,2% |
Eure-et-Loir | 26 642 | 27 548 | 906 | 3,4% |
Finistère | 59 916 | 64 074 | 4 158 | 6,9% |
Gard | 44 068 | 44 617 | 549 | 1,2% |
Haute-Garonne | 80 231 | 82 862 | 2 631 | 3,3% |
Gers | 10 705 | 11 479 | 774 | 7,2% |
Gironde | 132 327 | 142 170 | 9 843 | 7,4% |
Hérault | 70 855 | 73 455 | 2 600 | 3,7% |
Ille-et-Vilaine | 67 830 | 71 381 | 3 551 | 5,2% |
Indre | 11 159 | 11 659 | 500 | 4,5% |
Indre-et-Loire | 40 920 | 42 779 | 1 859 | 4,5% |
Isère | 76 115 | 76 403 | 288 | 0,4% |
Jura | 14 238 | 14 634 | 396 | 2,8% |
Landes | 25 470 | 26 731 | 1 261 | 5,0% |
Loir-et-Cher | 21 345 | 22 584 | 1 239 | 5,8% |
Loire | 37 726 | 38 095 | 369 | 1,0% |
Haute-Loire | 13 108 | 13 090 | −18 | −0,1% |
Loire-Atlantique | 97 459 | 100 424 | 2 965 | 3,0% |
Loiret | 42 472 | 44 165 | 1 693 | 4,0% |
Lot | 8 934 | 9 350 | 416 | 4,7% |
Lot-et-Garonne | 19 659 | 20 929 | 1 270 | 6,5% |
Lozère | 4 356 | 4 578 | 222 | 5,1% |
Maine-et-Loire | 52 020 | 55 025 | 3 005 | 5,8% |
Manche | 31 779 | 33 487 | 1 708 | 5,4% |
Marne | 33 708 | 34 219 | 511 | 1,5% |
Haute-Marne | 8 298 | 8 523 | 225 | 2,7% |
Mayenne | 18 688 | 20 193 | 1 505 | 8,1% |
Meurthe-et-Moselle | 34 561 | 35 640 | 1 079 | 3,1% |
Meuse | 8 202 | 8 558 | 356 | 4,3% |
Morbihan | 54 701 | 58 451 | 3 750 | 6,9% |
Moselle | 45 148 | 45 257 | 109 | 0,2% |
Nièvre | 9 374 | 9 832 | 458 | 4,9% |
Nord | 127 241 | 124 678 | −2 563 | −2,0% |
Oise | 42 877 | 43 330 | 453 | 1,1% |
Orne | 18 982 | 20 160 | 1 178 | 6,2% |
Pas-de-Calais | 51 891 | 50 681 | −1 210 | −2,3% |
Puy-de-Dôme | 35 765 | 36 762 | 997 | 2,8% |
Pyrénées-Atlantiques | 47 017 | 49 530 | 2 513 | 5,3% |
Hautes-Pyrénées | 11 419 | 12 042 | 623 | 5,5% |
Pyrénées-Orientales | 27 591 | 27 972 | 381 | 1,4% |
Bas-Rhin | 69 197 | 68 583 | −614 | −0,9% |
Haut-Rhin | 43 096 | 42 866 | −230 | −0,5% |
Rhône | 144 616 | 143 203 | −1 413 | −1,0% |
Haute-Saône | 11 728 | 11 937 | 209 | 1,8% |
Saône-et-Loire | 30 502 | 31 644 | 1 142 | 3,7% |
Sarthe | 42 516 | 47 360 | 4 844 | 11,4% |
Savoie | 30 831 | 31 632 | 801 | 2,6% |
Haute-Savoie | 61 666 | 62 429 | 763 | 1,2% |
Paris | 264 485 | 268 031 | 3 546 | 1,3% |
Seine-Maritime | 65 086 | 66 528 | 1 442 | 2,2% |
Seine-et-Marne | 78 045 | 79 207 | 1 162 | 1,5% |
Yvelines | 163 776 | 166 122 | 2 346 | 1,4% |
Deux-Sèvres | 16 840 | 17 807 | 967 | 5,7% |
Somme | 24 501 | 24 719 | 218 | 0,9% |
Tarn | 19 904 | 21 068 | 1 164 | 5,8% |
Tarn-et-Garonne | 12 904 | 13 512 | 608 | 4,7% |
Var | 93 910 | 95 940 | 2 030 | 2,2% |
Vaucluse | 35 340 | 36 027 | 687 | 1,9% |
Vendée | 46 188 | 48 977 | 2 789 | 6,0% |
Vienne | 22 156 | 23 303 | 1 147 | 5,2% |
Haute-Vienne | 17 415 | 18 594 | 1 179 | 6,8% |
Vosges | 17 596 | 18 653 | 1 057 | 6,0% |
Yonne | 18 070 | 19 210 | 1 140 | 6,3% |
Territoire de Belfort | 6 731 | 7 600 | 869 | 12,9% |
Essonne | 80 315 | 83 835 | 3 520 | 4,4% |
Hauts-de-Seine | 199 257 | 198 949 | −308 | −0,2% |
Seine-Saint-Denis | 43 846 | 47 051 | 3 205 | 7,3% |
Val-de-Marne | 90 618 | 93 146 | 2 528 | 2,8% |
Val d'Oise | 66 687 | 68 536 | 1 849 | 2,8% |
Guadeloupe | 5 000 | 5 263 | 263 | 5,3% |
Martinique | 4 513 | 4 326 | −187 | −4,1% |
Guyane | 1 311 | 1 453 | 142 | 10,8% |
La Réunion | 26 439 | 26 418 | −21 | −0,1% |
Saint-Pierre-et-Miquelon | 89 | 104 | 15 | 16,9% |
Mayotte | 4 716 | 4 217 | −499 | −10,6% |
Saint-Barthélémy | 361 | 431 | 70 | 19,4% |
Saint-Martin | 471 | 433 | −38 | −8,1% |
Wallis-et-Futuna | 843 | 1 252 | 409 | 48,5% |
Polynésie française | 10 600 | 14 112 | 3 512 | 33,1% |
Nouvelle-Calédonie | 7 157 | 7 957 | 800 | 11,2% |
Métropole et outre-mer | 4 245 013 | 4 355 312 | 110 299 | 2,6% |
1re (Amérique du Nord) | 7 871 | 7 223 | −648 | −8,2% |
2e (Amérique latine) | 1 965 | 1 783 | −182 | −9,3% |
3e (Europe du Nord) | 5 877 | 5 437 | −440 | −7,5% |
4e (Benelux) | 7 139 | 6 728 | −411 | −5,8% |
5e (Péninsule Ibérique) | 2 462 | 2 332 | −130 | −5,3% |
6e (Suisse et Liechtenstein) | 6 509 | 6 187 | −322 | −4,9% |
7e (Europe de l'Est) | 4 810 | 4 452 | −358 | −7,4% |
8e (Europe du Sud) | 1 470 | 1 342 | −128 | −8,7% |
9e (Afrique du Nord) | 3 227 | 3 043 | −184 | −5,7% |
10e (Afrique et Moyen-Orient) | 4 575 | 4 222 | −353 | −7,7% |
11e (Asie et Océanie) | 7 179 | 6 751 | −428 | −6,0% |
Circonscriptions étrangères | 53 084 | 49 500 | −3 584 | −6,8% |
Légende :
- Les plus hauts chiffres de participation
- Les plus bas chiffres de participation
Corps électoral
Selon un sondage Harris Interactive, 14 % des personnes ayant voté au premier tour de la primaire étaient de gauche[101]. D'après une étude Elabe, ils étaient 15 %[102].
Notes et références
- ↑ Matthieu Goar et Alexandre Lemarié, « Présidentielle de 2017 : l'UMP fixe les règles du jeu de la primaire à droite », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
- 1 2 Matthieu Goar, « Le projet de charte de la primaire UMP », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Charte de la Primaire | Chapitre 3 - Procédure électorale | Article 6 - Modalités du scrutin », sur primaire2016.org.
- ↑ Manon Rescan et Benoît Floc'h, « « Bref, j’ai un peu voté comme un électeur de droite », paroles d’électeurs de gauche », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Primaire à droite : Sarkozy ne veut pas du vote par internet pour les expatriés », sur frenchmorning.com, (consulté le ).
- ↑ « Primaire à droite : le refus du vote électronique, « c’est du bidouillage » lance un Français en Argentine », sur leparisien.fr, .
- ↑ « Les expatriés pourront voter par Internet à la primaire ouverte de la droite et du centre », sur rtl.fr, (consulté le ).
- ↑ « Les Républicains autorisent le CNIP à participer à la primaire », Le Lab d'Europe 1, , consulté le .
- ↑ 42 sénateurs, 30 députés.
- ↑ « Primaire à droite : les militants UDI refusent d'y participer », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- ↑ « afin de ne pas diviser l'UDI » et d'« opter pour un camp en risque de dérive droitière » dit M. Arthuis.
- ↑ « L'Alliance centriste ne participera pas à la primaire de la droite », Le Figaro, 3 septembre 2016.
- ↑ « L'UDI annonce son ralliement à Alain Juppé », L'Obs, 12 octobre 2016.
- ↑ « Primaire : L'UDI appelle à voter Alain Juppé », Le Figaro, 12 octobre 2016.
- ↑ « Primaire à droite : l'UDI recentre le débat politique », RadioVl, 12 octobre 2016.
- ↑ « Juppé engrange le soutien du parti radical… », Le Figaro, 12 octobre 2016.
- ↑ Le président du MoDem, François Bayrou, soutient toujours l'ancien Premier ministre Alain Juppé en vue de 2017 mais prévient que « les primaires risquent d'être un piège » dont il pourra se délier, dans un entretien au Journal du dimanche. Non seulement François Bayrou a pour le maire Les Républicains de Bordeaux « de l'amitié et de l'estime », mais il considère aussi « qu'il est le mieux placé dans le grand courant modéré dont la France a besoin ». « S'il est candidat, je travaillerai avec lui pour que la France aille mieux et un jour aille bien », affirme le maire de Pau.
- ↑ « Primaires de l’opposition », sur tempsreel.nouvelobs.com, .
- 1 2 3 4 5 6 7 Mathilde Damgé, « La primaire de la droite, une bonne opération financière pour Les Républicains », sur lemonde.fr,
- ↑ 8° Les dépenses de « précandidature » ou de primaire S'agissant des candidats à l'investiture de leur parti (« précandidats »), la commission estime que les dépenses engagées, dans le cadre de manifestations internes au parti aux fins de désigner son candidat, visent uniquement à obtenir les suffrages des militants, des adhérents et des personnes intéressées par le processus de vote. Elles ne présentent donc pas, en principe, le caractère de dépenses engagées en vue de recueillir le suffrage des électeurs et n'ont donc pas à figurer au compte de campagne du candidat investi par le parti. IV.8.
- ↑ Jean-Christophe Catalon, « Fillon commence sa campagne avec les millions de la primaire », La Tribune, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Primaire à droite: Fillon, deux fois plus dépensier en meetings que Sarkozy », LExpress.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ HAP-2015-2 conditions de candidatures.…est considéré comme « candidat issu d'un autre parti ou groupement politique concourant à la primaire », celui ou ceux qui, dans les conditions fixées par accord entre les organes délibérants des partis ou groupements politiques concourant à la primaire, a ou ont décidé de prendre part à la primaire. […] à condition qu'un accord ait été préalablement conclu entre l'organe délibérant du parti ou groupement politique dont il est issu et les organes délibérants des autres partis ou groupements politiques concourant à la primaire.
- 1 2 [HAP 2016-11 D].
- ↑ HAP Décision - 14 septembre 2016 : Art. 3 – Les candidatures de M. Michel Guenaire, déposée au titre du parti « Société Civile 2017 », de M. Frédéric Lefebvre, déposée au titre du parti « Nouveaux Horizons » et de M. Mourad Ghazli, déposée au titre du parti « Mouvement pour l'équité et le développement » sont irrecevables.
- ↑ Dominique Faget, « Primaire de la droite : Hervé Mariton recalé », sur SudOuest.fr, (consulté le ).
- ↑ Par convention, l'âge des candidats est calculé à la date de dépôt des candidatures.
- ↑ Alexandre Lemarié, « Jean-François Copé se porte candidat à la primaire à droite », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
- ↑ AFP, « Primaire de la droite : Copé choisit Juppé pour le second tour », sur Le Point, (consulté le ).
- ↑ « Candidature de Fillon : les réactions à droite », sur lemonde.fr, .
- ↑ « Primaire de l'UMP : Fillon sera candidat « quoi qu'il arrive », sur Le Monde, (consulté le ).
- ↑ « UMP : Fillon confirme sa candidature à la primaire pour 2017 », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- ↑ Arthur Berdah, « Fillon promet de quitter la politique s'il est battu à la primaire », sur Le Figaro, (consulté le ).
- ↑ Jules Pecnard, « Primaire : Fillon brandit à son tour l'argument du mandat unique », sur Le Figaro, (consulté le ).
- ↑ «Faire» de François Fillon, best-seller des livres politiques à droite, lefigaro.fr, le 2 octobre 2015.
- ↑ Fillon, son plan de bataille pour vaincre le totalitarisme islamique, parismatch.com, le 28 septembre 2016.
- ↑ (en) Inti Laundaro, « Alain Juppé Declares Intention to Seek French Presidency in 2017 », sur The Wall Street Journal, (consulté le ).
- ↑ « Alain Juppé annonce sa candidature à la primaire de l'UMP », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Laurent de Boissieu, « Les propositions d'Alain Juppé pour réformer l'école », sur la-croix.com, .
- ↑ « L'État fort », sur editions-jclattes.fr.
- ↑ « Cinq ans pour l'emploi », sur editions-jclattes.fr.
- ↑ Alexandre Lemarié, « « NKM », une solitaire dans la primaire », sur lemonde.fr, (consulté le ).
- ↑ AFP, « Primaire : Nathalie Kosciusko-Morizet soutiendra Alain Juppé au second tour », sur Le Point, (consulté le ).
- ↑ Jean-Baptiste Garat, « Bruno Le Maire se déclare candidat à la primaire de la droite et du centre », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- ↑ Delphine Legouté, « Second tour de la primaire : Bruno Le Maire vote Fillon, NKM mise sur Juppé », sur Marianne, (consulté le ).
- ↑ « Candidat à la primaire des Républicains, Jean-Frédéric Poisson ne veut pas être réduit à l'étiquette « Manif pour Tous » - France 3 Paris Île-de-France », sur France 3 Paris Île-de-France, (consulté le ).
- ↑ Cas particulier de limite de dépôt. Les statuts du parti prévoient que le président des Républicains doit démissionner « […] au plus tard quinze jours avant la date fixée pour le dépôt des déclarations de candidature » s'il souhaite participer à la primaire. (c'est-à-dire le au plus tard pour une date limite fixée au ).
- ↑ Olivier Pérou, « Présidentielle 2017 : Nicolas Sarkozy se lance », sur lepoint.fr, (consulté le ).
- ↑ Claire Bommelaer, « Tout pour la France, le livre de Nicolas Sarkozy va être réimprimé », sur Le Figaro, (consulté le ).
- ↑ Ariane Chemin et Raphaëlle Bacqué, « Primaire de la droite : Nicolas Sarkozy, le désaveu cinglant », sur Le Monde, (consulté le ).
- ↑ Philippe Goulliaud, « Geoffroy Didier se lance dans la primaire pour incarner « la relève », Le Figaro, 29 mars 2016.
- ↑ « Geoffroy Didier n’a pas ses parrainages pour la primaire (mais il est content quand même) », Le Lab Europe 1, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Geoffroy Didier, interviewé par Judith Waintraub, « Geoffroy Didier : « Alain Juppé est notre assurance victoire », lefigaro.fr, 15 novembre 2016.
- ↑ « Henri Guaino annonce sa candidature à l'élection présidentielle », sur bfmtv.com, (consulté le ).
- 1 2 « Primaire à droite : Frédéric Lefebvre vient gonfler la liste des candidats », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
- 1 2 « INFOGRAPHIE. Primaire de la droite : voici les huit candidats qui seront retenus », Le Journal du dimanche, .
- 1 2 « Primaire à droite : Frédéric Lefebvre tente un dernier coup de poker », Le Figaro.fr, (lire en ligne).
- 1 2 « Primaire de la droite : Frédéric Lefebvre annonce son ralliement à Alain Juppé », sur Le Monde, (consulté le ).
- ↑ « 2017 : Hervé Mariton se lance dans la course à la primaire de la droite », sur rtl.fr, (consulté le ).
- ↑ « Hervé Mariton : « Je suis le seul à assumer un discours libéral », sur Le Figaro, (consulté le ).
- ↑ « Primaire : Hervé Mariton demande à Nicolas Sarkozy de ne pas se présenter », sur Le Figaro, (consulté le ).
- ↑ Arthur Berdah, « Primaire : Mariton reconnaît sa disqualification et ne formera pas de recours », Le Figaro, (ISSN 0182-5852, lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Arthur Berdah, « Primaire à droite : Hervé Mariton rallie Alain Juppé », lefigaro.fr, 28 septembre 2016.
- ↑ Alexandre Lemarié, « Morano, « l’amoureuse éconduite » qui veut chiper des voix à Sarkozy lors de la primaire », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Jacques Myard candidat à la primaire de la droite », sur Le Monde, (consulté le ).
- ↑ « Incertitudes sur les candidatures à la primaire de droite », La Croix, .
- ↑ « Interview : Michel Guénaire, l'homme qui voulait être le neuvième candidat de la primaire LR », Marianne, .
- ↑ « UMP : Xavier Bertrand n'est pas candidat mais vise 2017 », sur Le Figaro, (consulté le ).
- ↑ « Xavier Bertrand ne sera finalement pas candidat à la primaire de la droite », sur Lemonde.fr, (consulté le ).
- ↑ Alexandre Lemarié, « Christian Estrosi : « J'ai décidé de me porter candidat à la primaire » », sur Le Monde, (consulté le ).
- ↑ « Christian Estrosi : « Je suis candidat aux primaires pour défendre mes idées » », sur Le Figaro, (consulté le ).
- ↑ « Christian Estrosi renonce à son tour à la primaire à droite », sur Lemonde.fr, (consulté le ).
- ↑ Christine Ollivier, « Estrosi au JDD : « Je choisis Sarkozy », sur lejdd.fr, (consulté le ).
- ↑ « Primaire UMP : il a interrogé Hollande et s'imagine l'affronter en 2017 », sur LExpress.fr, (consulté le ).
- ↑ Il fait partie d'un panel de « quatre Français censés incarner les problèmes brûlants du pays ». « Ce sont eux qui m’ont contacté, se souvient-il. Je correspondais au profil qu’il recherchait : un jeune diplômé, sans emploi et avec des engagements ».
- ↑ « Hollande face à quatre Français d'"en bas", à l'aise et presque "pro" », sur LExpress.fr, (consulté le ).
- ↑ « Primaire à droite. Hassen, 27 ans, veut défier Sarkozy, Juppé, Fillon », Ouest-France.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Odoxa 25 août 2016. 0 % d’intentions de vote.
- ↑ Selon les dires (non vérifiés) du candidat : Une centaine d'élus locaux, sur 250 requis ; 10/20 parlementaires ; 200/2 500 adhérents.
- ↑ « Marseille : Hassen Hammou ne participera pas à la primaire de la droite », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
- ↑ Date limite. Charte. art.4.1 : « […] rend publique au plus tard ».
- ↑ « Primaire à droite : les débats se tiendront du 13 octobre au 17 novembre », sur Le Parisien, (consulté le ).
- ↑ « Primaire à droite : un premier débat réglé au millimètre », sur Le Parisien, .
- 1 2 3 « Primaire de la droite : les contours du deuxième débat se précisent », sur tempsreel.nouvelobs.com, L'Obs, (consulté le ).
- ↑ Benjamin Lopes, « La primaire à droite : TF1 en tête des audiences avec 5,6 millions de téléspectateurs », sur toutelatele.com, .
- ↑ Julien Bellver, « Audiences : 2,9 millions de téléspectateurs pour le deuxième débat de la primaire » sur PureMédias, 4 novembre 2016.
- ↑ « Primaire à droite : le programme du troisième débat sur France 2 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur marianne.net, Marianne, (consulté le ).
- ↑ « Primaire de la droite : à quoi va ressembler le débat décisif du 17 novembre ? », sur europe1.fr, Europe 1, (consulté le ).
- ↑ Charles Decant, « Audiences : « Profilage » talonné par « Le débat décisif », flop pour M6, « Secret Story » finit bien », sur Ozap.com, .
- ↑ Julien Bellver, « Débat de l'entre-deux tours : Alexandra Bensaid d'Inter avec Bouleau et Pujadas », sur Ozap.com, .
- ↑ Eric Feferberg, « AUDIENCES TV. Le débat des primaires soulève les foules », sur www.leparisien.fr, Le Parisien, .
- ↑ Étienne Girard, « Résultat de la primaire à droite : les sondages encore à la ramasse », Marianne, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Primaire à droite : Pourquoi les sondages n’ont pas anticipé la volatilité des électeurs (et l’écrasante avance de Fillon) », 20minutes.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Adrien Sénécat, « Les résultats de la primaire soulignent (encore) les limites des sondages », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Primaire à droite : victoire de Fillon, participation, "vote caché"... A quel point les sondages se sont-ils trompés ? », Franceinfo, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Décision du 23 novembre 2016 de la Haute Autorité de la primaire portant proclamation des résultats du 1er tour, arrêtant la liste des deux candidats habilités à se présenter pour le second tour » [PDF], sur primaire2016.org, (consulté le ).
- ↑ « Résultats du 1er tour par département ».
- ↑ « Résultats du 1er tour à l'étranger ».
- ↑ « Résultats du 2nd tour par département ».
- ↑ « Résultats du 2nd tour à l'étranger ».
- ↑ Manon Rescan et Benoît Floc'h, « Primaire de la droite : « Ça va être très difficile pour Alain Juppé » », Le Monde.fr, (lire en ligne).
- ↑ Baptiste Legrand, « Qui a voté à la primaire de la droite ? 15% d'électeurs de gauche », sur L'Obs, .
Voir aussi
Articles connexes
- Élection présidentielle française de 2017
- Primaire citoyenne de 2017
- Primaire française de l'écologie de 2016
- La primaire ouverte pour 2017
- Candidats à la primaire ouverte de la droite et du centre en 2016
- Sondages sur la primaire ouverte de la droite et du centre de 2016
- Liste de sondages sur l'élection présidentielle française de 2017
- Candidats à l'élection présidentielle française de 2012
- Présentation des candidats à l'élection présidentielle française
Liens externes
- Site officiel
- Règles de la primaire sur le site officiel
- Chronologie de la primaire