Saint-Quirin | |
Église Saint-Quirin. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Moselle |
Arrondissement | Sarrebourg-Château-Salins |
Intercommunalité | Communauté de communes Sarrebourg Moselle Sud |
Maire Mandat |
Karine Collingro 2020-2026 |
Code postal | 57560 |
Code commune | 57623 |
Démographie | |
Population municipale |
705 hab. (2020 ) |
Densité | 13 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 36′ 39″ nord, 7° 03′ 55″ est |
Altitude | Min. 282 m Max. 897 m |
Superficie | 53,34 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Sarrebourg (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Phalsbourg |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://saintquirin.fr |
Saint-Quirin est une commune française située dans le département de la Moselle, en Lorraine, dans la région administrative Grand Est.
Le village de Saint-Quirin, dont le nom dérive du nom latin Quirinus, appartenant à un tribun et saint martyr romain du IIe siècle, Quirin de Neuss, est cité pour la première fois dans un document en 966, bien que le site ait été occupé bien antérieurement, des vestiges gallo-romains (nécropole et divers objets) ayant en effet été mis au jour sur le territoire de la commune. Le village, qui fut pendant longtemps un important centre de pèlerinage, s’est développé autour d’un prieuré qu’y possédait l’abbaye de Marmoutier, lequel prieuré fut détruit lors de la guerre de Trente Ans, mais en partie reconstruit au XVIIIe siècle.
Ancien lieu de pèlerinage, le village est certifié par « Les Plus Beaux Villages de France ».
Géographie
Cette commune se trouve dans la région historique de Lorraine et fait partie du pays de Sarrebourg.
Accès
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Sarre, la Sarre Rouge, le ruisseau de Saint-Quirin, le ruisseau Basse du Haut, le ruisseau Basse du Loup, le ruisseau Basse Langschiess, le ruisseau d'Abreschviller, le ruisseau de l'Engenthal et le ruisseau la Vieille Sarre[Carte 1].
La Sarre, d'une longueur totale de 129,2 km, est un affluent de la Moselle et donc un sous-affluent du Rhin, qui coule en Lorraine, en Alsace bossue et dans les Länder allemands de la Sarre (Saarland) et de Rhénanie-Palatinat (Rheinland-Pfalz)[1].
La Sarre rouge, d'une longueur totale de 26,8 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Sarre en limite de Hermelange et de Lorquin, après avoir traversé sept communes[2].
Le ruisseau de Saint-Quirin, d'une longueur totale de 12,1 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Sarre rouge à Vasperviller, après avoir traversé trois communes[3].
La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Sarre, de la Sarre Rouge et du ruisseau de Saint-Quirin, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Saint-Quirin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarrebourg, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 87 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (89,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,8 %), prairies (2,4 %), zones urbanisées (1 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[9]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
- Saint-Quirin : Godelsadis (966), S. Quirtnus et sanctus Quirinus (1120), Quirini (1179), Saint-Kurin et Saint-Quurin (1476), Saint-Curien (1483), Saint-Curin (1620), Cœurs-Francs/Vérité (noms révolutionnaires), Saint Quirin (1793). Sint-Quouryin en lorrain roman[10].
- Lettenbach : Letteboch en francique lorrain.
Histoire
Le site est mentionné pour la première fois en 966, il est vrai sous le nom de Godelsadis, nom d’un ermitage qui s’y trouvait alors. C’est cette année-là en effet que le comte Louis de Dagsburg (Dabo) fit don à l'abbaye de Marmoutier des terres sises entre les deux Sarres, au nord du Donon. En 1049, Gepa de Dagsburg, fille d'Hugues VIII, comte en Nordgau et d'Eguisheim et de sa femme Heilwig de Dagsburg, abbesse de Neuss, se vit offrir par son frère, le pape Léon IX, les reliques de saint Quirin, tribun militaire et martyr romain ; lorsqu’elle les rapporta ensuite de Rome pour les déposer dans la ville de Neuss, la mule qui transportait les reliques se serait arrêtée à l’emplacement de l’actuelle Chapelle-Haute, ce qui conduisit à changer la toponymie du lieu, auquel fut donné le nom du saint. L’on fonda un prieuré à proximité, et, sous le mandat du premier prieur de Saint-Quirin, Wolfram, nommé en 1122, l’église priorale fut consacrée en 1123 par l'évêque de Metz. Saint-Quirin devint rapidement par la suite un important lieu de pèlerinage.
La gare de Vasperviller - Saint-Quirin était située sur l'ancienne ligne de Sarrebourg à Abreschviller. La ligne, aujourd’hui déclassée et dont la voie a été déposée, a été réaménagée en piste cyclable.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[12].
En 2020, la commune comptait 705 habitants[Note 3], en diminution de 6,13 % par rapport à 2014 (Moselle : +0,38 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
On trouve dans la commune et dans celles avoisinantes les dénommées « Sept Roses », édifices religieux d'une beauté certaine, dont deux à Saint-Quirin : l'église baroque Saint-Quirin et la Chapelle-Haute, construite sur une colline en contrehaut du village.
- Alt-Teufelsloch, scieries disparues.
Site archéologique de la Croix-Guillaume
Ce site archéologique gallo-romain comporte des carrières et une nécropole[15].
Église et prieuré Saint-Quirin
Le prieuré de Saint-Quirin a été fondé en 966 par le comte de Dabo Louis de Dagsbourg[16]. L’église prieurale Saint-Quirin fut consacrée en 1123. Celui-ci ayant été détruit durant la Guerre de Trente Ans, et menaçant ruine au début du XVIIIe siècle, le chanoine Edmond Herb, constatant lors de sa visite canonique de 1714 l’état de délabrement avancé des bâtiments, décide de les faire reconstruire à neuf. Achevée en 1722, grâce en particulier aux contributions financières du prieur Herb lui-même, personnage nanti, la nouvelle église fut consacrée en , et son ameublement fut installé entre 1744 et 1746. En 1769, une lettre patente royale ordonna la suppression du prieuré, qui fut uni à l'abbaye royale et chapitre noble Saint-Louis de Metz[17] et à la Révolution, ce fut le tour à la paroisse d’être abrogée. La deuxième moitié du XIXe siècle voit l’église subir quelques remaniements intérieurs (entre autres le démontage des vitraux) et se faire adjoindre une chapelle funéraire contre le flanc Sud-Est du chœur. Enfin, une campagne de restauration fut menée de 1969 à 1973.
L’église Saint-Quirin, devenue entre-temps église paroissiale, est construite en grès rouge des Vosges, et se trouve, à l’exception de la façade occidentale, recouverte d’un crépi jaune pâle. Elle possède trois clochers à bulbe : d’une part deux tours carrées à l’ouest, à trois niveaux chacune, surmontées de trois bulbes superposés, et reliées entre elles par une passerelle, et d’autre part un clocheton (avec cloche de 1762), coiffé de deux bulbes, et incorporé dans la toiture du chœur. Dans l’espace entre les deux tours s’inscrit, au rez-de-chaussée de la façade occidentale, un portail dorique avec porte d'entrée en plein-cintre, encadré de deux colonnes engagées supportant un entablement à ressauts. Ce portail est surmonté par une autre travée dorique, comprise entre deux colonnes dégagées, laquelle renferme une niche avec voûte en coquille hébergeant une statue de saint Quirin de Neuss, et couronnée par un fronton triangulaire. La nef est à vaisseau unique et voûte plate, et se termine par un chevet à cinq pans. L’ensemble du mobilier, ainsi que les vitraux et l’orgue Silbermann (restauré en 1969), sont baroques et datent de la première moitié du XVIIIe siècle. Les baies sont toutes en plein-cintre. Le prieuré attenant[18], qui comporte un oriel d’angle et deux frontons sculptés, est adossé, par son aile orientale, à la dernière travée de la nef.
- Église Saint-Quirin.
- Vue du prieuré, avec son oriel d'angle.
- Portail de l'église Saint-Quirin, avec ses deux travées doriques superposées.
- Saint-Quirin : église prieurale avec à l'arrière-plan la Chapelle-Haute.
Chapelle-Haute
Selon la légende, cette chapelle[19], située sur un relief dominant le village de Saint-Quirin à l'ouest, aurait été construite à l'emplacement où aurait fait halte la mule qui, en l’an 1049, transportait les reliques de saint Quirin vers Neuss. Il se pourrait donc qu’une chapelle ait été construite là dès le XIe siècle. Souvent et profondément remaniée au fil des siècles, elle apparaît aujourd’hui très composite, le chœur et le clocher ayant seuls gardé quelque homogénéité. Cependant il subsiste dans l’édifice certains éléments remontant au XIIIe siècle. Les dernières restaurations datent de 1901 (millésime figurant d’ailleurs sur le pignon occidental) et dans les années 1960. Le bâtiment, tel qu’il se présente aujourd’hui, est une chapelle rectangulaire d’environ 15 mètres de long sur 5,6 mètres de large, en grès rose des Vosges, comprenant une nef unique couverte d’un plafond en bois datant de 1965 et dotée de six baies en plein-cintre, vraisemblablement pratiquées au début du XVIIIe siècle. La nef se prolonge à l’est par un chevet plat recouvert d’une voûte d’ogives et percé d’étroites fenêtres en lancette, et en est séparé par un arc triomphal de forme ogivale. Le clocher carré, un peu en hors-œuvre du chevet, s’achève par un comble pyramidal en pierre couronné d’une croix latine. La chapelle fut pendant de longs siècles un important but de pèlerinage.
- Raidillon conduisant à la Chapelle-Haute.
- Chapelle-Haute. Le chœur se trouve du côté du clocher.
- Intérieur : nef et chœur. Entre les deux baies du fond, soubassement du clocher.
- Chapelle de l'ancienne verrerie à (Lettenbach).
- Chapelle Sainte-Claire.
- Chapelle des Verriers à Lettenbach.
- Chapelle Sainte-Claire.
Ancienne verrerie de Saint-Quirin à Lettenbach
L’ancienne verrerie[20], sise dans le hameau de Lettenbach (lequel, bien que situé dans un vallon clos débouchant dans la vallée de la Sarre rouge, où se trouve le village d’Abreschviller, appartient néanmoins à la commune de Saint-Quirin), fut fondée au XVe siècle par l'abbaye de Marmoutier et resta en activité jusqu’à la fin du XIXe siècle. Y furent notamment fabriquées les glaces qui ornent le palais des ducs de Lorraine à Nancy. Élevée au statut de manufacture royale par Louis XV, elle culmina au XVIIIe siècle.
C’est au demeurant de cette même époque que datent les bâtiments parvenus jusqu’à nous, que sont les magasins (bâtiment à murs en pans de bois sur soubassement en grès), les bâtiments administratifs, des logements d’ouvriers, des galeries souterraines, et la chapelle dite des Verriers. Celle-ci est érigée sur les plans d'Antoine Marie Guaita, le copropriétaire de la verrerie, à l’usage du personnel à proximité de la manufacture, en 1756 (ainsi qu'en atteste une date au fronton du portail d’entrée). Elle comporte une nef unique à voûte plate et un chevet en cul-de-four ; la façade occidentale (en réalité orientée nord-est) présente une porte en plein-cintre inscrite dans une travée dorique en grès rose portant un fronton cintré surmonté d'une croix latine, et un pignon percé d'un oculus au sommet et de quatre fenêtres rondes, qui s’achève par un petit clocher à bulbe. Les vitraux proviennent de la manufacture elle-même.
Autres
- La fontaine miraculeuse serait, selon la croyance populaire, capable d'aider à soigner diverses afflictions, en particulier de la peau.
- La fontaine Saint-Jean.
Plusieurs dizaines de maisons et de fermes, de différentes époques, sont protégées au titre des monuments historiques.
- La fontaine miraculeuse.
- La fontaine Saint-Jean.
Personnalités liées à la commune
- Antoine Marie Guaita (1722-1808), banquier,
- Auguste Chevandier de Valdrome (1781-1865), président de Saint-Quirin, puis vice-président de Saint-Gobain, député.
- Eugène Chevandier de Valdrome (1810-1878), homme politique et industriel.
- Paul Chevandier de Valdrome (1817-1877), peintre.
- Jules Wolff (1878, Saint-Quirin - 1955, Paris), député, puis sénateur de la Moselle.
- Lucien Cambas (1916-1961), résistant français, Compagnon de la Libération.
Héraldique
Blason | D'azur à neuf besants d'or, posés 3, 3, 2 et 1 |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- ↑ « Réseau hydrographique de Saint-Quirin » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- ↑ « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- ↑ Sandre, « la Sarre »
- ↑ Sandre, « la Sarre Rouge »
- ↑ Sandre, « le ruisseau de Saint-Quirin »
- ↑ « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- ↑ « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sarrebourg », sur insee.fr (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- ↑ Léon Zéliqzon - Dictionnaire des patois romans de la Moselle.
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- ↑ Notice no PA57000027, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ HIMLY, Les sources de l'histoire d'Alsace conservées dans les archives lorraines XIIe-XVIIIe siècles., Strasbourg, .
- ↑ Archives départementales de Meurthe-et-Moselle, série H.303-313, chartes, baux et procès (1123-1790)
- ↑ Notice no PA00106991, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Notice no PA00106990, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Notice no PA00106992, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Voir aussi
Bibliographie
- Karine Bouchet, Dominique Heckenbenner, Nicolas Meyer, et al., Le site gallo-romain de la Croix-Guillaume à Saint-Quirin, Moselle, Sarrebourg, Association pour la recherche archéologique au pays de Sarrebourg, 2008, 44 p. (ISBN 978-2-9532946-0-6).
- François Clad, Lettenbach, commune de Saint-Quirin : des origines à nos jours, Sarrebourg, Imp. sarrebourgeoise, 1997, 141 p.
- Dagobert Fischer, Le prieuré de Saint-Quirin, Nancy, impr. de G. Crépin-Leblond, 1875, 51 p. (extrait des Mémoires de la Société d'archéologie lorraine).
- (de) « Lettenbach bei Metz, das Genesungsheim des 16. Armeekorps », Illustriertes Sonntagsblatt, no 12, 1900.
- Edmond Moppert, Lettenbach-St. Quirin : histoire mouvementée d'une verrerie, s. l., 1975, 22 p.
- Jean-Marie Schmitt, Le prieuré de Saint Quirin, Sarrebourg, Éd. du Musée régional de Sarrebourg, 1970, 10 p.
Articles connexes
- Liste des communes de la Moselle
- Liste des localités adhérant à l'association Les Plus Beaux Villages de France
- Liste des nécropoles militaires en Lorraine
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Saint-Quirin sur le site de l'Insee.
- Montée Historique de Saint-Quirin.