Fondation |
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Type | |
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Forme juridique |
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d) |
Membre de |
Association des universités européennes, Réseau national de télécommunications pour la technologie, l'enseignement et la recherche, Ligue européenne des universités de recherche |
Site web |
Étudiants |
55 600 () |
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Effectif |
10 000 () |
Budget |
1 000 000 000 d’euros () |
Rang national |
2e/85 ARWU (2022) 2e/85 THE (2022) |
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Rang international |
35e/1 000 ARWU (2022) 88e/1 600 THE (2022) |
Pays |
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Sorbonne Université est une université française située à Paris. Elle est créée le en regroupant deux universités, Paris-Sorbonne (Paris-IV) et Pierre-et-Marie-Curie (Paris-VI).
Elle est organisée en trois facultés, réparties sur plusieurs sites, principalement dans le quartier latin. Elle possède également un campus à Abou Dabi. En 2019, Sorbonne Université compte 55 600 étudiants, dont 10 200 étudiants internationaux, 4 500 doctorants, et 6 700 chercheurs et enseignants-chercheurs. Ses 55 composantes (unités de formation et recherche, écoles doctorales, et écoles internes) offrent 53 licences et 33 masters. Elle héberge 137 unités de recherche[1].
Historique
Origines
Robert de Sorbon (1201-1274), chapelain du roi Louis IX (Saint Louis), observe les difficultés qu'éprouvent les « écoliers » sans fortune pour parvenir au grade de docteur. En , il fait établir de façon officielle[2] une maison (domus) qu'il destine à un certain nombre d'ecclésiastiques séculiers qui, vivant en commun et sans souci pour leur existence matérielle, seraient entièrement occupés à l'étude et l'enseignement. Cette maison est nommée collège de Sorbonne.
L'ancien slogan de l'établissement, « Sorbonne Université, créateurs de futurs depuis 1257 », fait référence à cette date. Le collège de Sorbonne est fermé en 1793 avec l'ensemble des autres collèges de l'ancienne université de Paris.
Le collège de Sorbonne est situé à l'emplacement de l'actuel bâtiment de la Sorbonne, partagé entre la Chancellerie, Sorbonne Université et les universités Paris I Panthéon-Sorbonne et Sorbonne-Nouvelle.
La loi du donnant la personnalité civile aux corps formés par la réunion de plusieurs facultés d’une académie et celle du donnant le nom d’université aux corps de facultés, la nouvelle université de Paris est créée en 1896 comme groupement de la faculté des sciences, de la faculté des lettres, de la faculté de droit, de la faculté de médecine, de la faculté de théologie protestante (créée en 1877, transformée en faculté libre en 1905) et de l’École supérieure de pharmacie.
Elle est inaugurée le par le président de la République Félix Faure.
1968 : scission de l'université de Paris
En 1968, l'Université de Paris est démantelée et les universités de Paris-Sorbonne et de Pierre-et-Marie-Curie sont créées (réforme Edgar Faure)[3]. L'université de Paris, qui était divisée en cinq facultés, est fractionnée en plusieurs universités interdisciplinaires. Certaines, dont l'université Paris-Sorbonne, conservent le nom de « Sorbonne » et des locaux au centre historique de l'université de Paris, essentiellement dévolus jusqu’alors aux facultés des lettres et des sciences.
1971 : création des universités Paris-IV et Paris-VI
Les professeurs de l'université de Paris étant libres de se répartir comme ils l'entendent, beaucoup se réunissent dans un premier temps selon leur couleur politique, notamment face aux événements de Mai 1968. L'université Paris-Sorbonne regroupe ainsi les professeurs « de droite » par opposition à Paris-I « Panthéon-Sorbonne », qui est marquée « à gauche ». Cela explique les orientations scientifiques divergentes. Pour prendre l'exemple de l'histoire des sociétés, Paris-Sorbonne s'illustre ainsi par une historiographie suivant les thèses de Roland Mousnier, et conserve toujours une distance à l'égard de l'analyse marxiste de Boris Porchnev, davantage à l'honneur à Paris-I Panthéon-Sorbonne.
À la suite de l'entrée en vigueur de la loi du 12 novembre 1968 sur l'enseignement supérieur, la faculté des Sciences de l'université de Paris est scindée en plusieurs unités d'enseignement et de recherche dont une majorité rejoint l'université Paris-VI. En physique, on compte quatre UER : « Application de la physique » ; « Optique et physique moléculaire », qui devient l'UER no 52 « Optique, physique atomique, moléculaire et cristalline » ; « Physique des solides », qui devient l'UER no 53 « Physique des matériaux condensés » ; « Physique théorique », qui devient l'UER no 54 « Physique théorique et corpusculaire ».
En 1974, l'université de Paris-VI prend le nom d'Université Pierre-et-Marie-Curie[4].
En 1989, en application de la loi du 26 janvier 1984 sur l'enseignement supérieur, une unité de formation et de recherche de physique (UFR no 925) est créée par fusion des UER no 52, 53 et 54. L'UER « Application de la physique » rejoint elle l'unité de formation et de recherche d'« Électronique, électrotechnique, automatique et applications de la physique » (UFR no 924). Cette dernière est dissoute en 2008 et une partie de ses anciens membres rejoignent l'UFR de physique, les autres constituant deux nouvelles unités, l'UFR d'ingénierie et l'UFR terre, environnement, biodiversité. À cette occasion, l'UFR de physique est dotée de nouveaux statuts.
L'université Pierre-et-Marie-Curie est créée à partir de la majorité des unités d'enseignement et de recherche de la faculté des sciences de Paris (les autres rejoignant les universités Paris-Diderot, Paris-Sud à Orsay, Paris-Est-Créteil, et Sorbonne-Paris-Nord à Villetaneuse) et une partie des unités de la faculté de médecine de Paris (les autres rejoignant les universités Paris-Descartes, Paris-Diderot et Paris-Nord).
En dépit du renouvellement des générations de professeurs et d'étudiants, l'université Paris-Sorbonne conserve sa réputation que la dureté des grèves du printemps 2009 dans cette université n'écorne pas.
En 2010, Paris-Panthéon-Assas, Paris-Sorbonne» et Pierre-et-Marie-Curie créent Sorbonne Universités[5], qui existe jusqu'en 2017. L'anglicisme du nouveau nom est dénoncé par de nombreux intellectuels dont l'académicien Frédéric Vitoux[6]. En 2015, l'Université Panthéon-Assas fait retraite, pensant s'allier à d'autres grandes écoles dans un partenariat public-privé et devenir un Grand établissement.
2018 : fusion des universités Paris-Sorbonne et Pierre-et-Marie-Curie
L'établissement Sorbonne Université est créé le [7],[8] de la fusion des universités Paris-Sorbonne (19 000 étudiants, 1 200 membres du personnel) et Pierre-et-Marie-Curie (35 000 étudiants, 1 500 membres du personnel). On trouve la trace de cette histoire dans la structure de la nouvelle entité, la faculté des lettres recoupant les activités de Paris-IV, la faculté des sciences et la faculté de médecine reprenant les activités de Paris-VI.
En , Sorbonne-Université est distingué par un jury international réuni dans le cadre d'une Initiative d'excellence (IDEX). Le projet SUPER (« Sorbonne-Université à Paris pour l'enseignement et la recherche ») reçoit l'appui du programme d’Investissements d'avenir sans limitation de durée : environ 27 millions d'euros annuels supplémentaires, octroyés par l'État et issus du revenu du placement à la Caisse des dépôts et consignations d’une dotation non consommable de 900 millions d'euros (soit 3 %). C'est le premier établissement d'enseignement supérieur francilien à obtenir cet accord définitif[9].
L'Université est présidée par Nathalie Drach-Temam depuis le 14 décembre 2021[10],[11].
Organisation
Sorbonne-Université représente plus de 8 000 salariés, pour moitié du personnel de l'enseignement et de la recherche et pour moitié du personnel administratif[12],[13].
2018 | 2019 | 2020 | 2021 | ||
Enseignants-chercheurs, enseignants, chercheurs | 3 311 | 3 319 | 3 283 | 3 299 | 39 % |
Doctorants | 1 268 | 1 218 | 1 364 | 1 483 | 18 % |
Personnel administratif | 3 013 | 3 021 | 3 031 | 3 021 | 36 % |
Contrats étudiants | 579 | 581 | 757 | 630 | 7 % |
Total | 8 171 | 8 139 | 8 435 | 8 433 |
Sorbonne-Université est la fusion de trois entités (nommées « facultés »[14]) structurées en unités de formation et de recherche et instituts[15] : la faculté des lettres (ancienne université de Paris-IV), la faculté des sciences et ingénierie (ancienne université de Paris-VI) et la faculté de médecine (ancienne université de Paris-VI). Elle représente plus de 60 000 étudiants, répartis de manière à peu près égale entre les trois facultés[16].
2018 | ||
Faculté des lettres | 20 651 | 34 % |
Faculté des sciences et ingénierie | 22 702 | 38 % |
Faculté de médecine | 17 174 | 28 % |
Nombre total d’étudiants inscrits | 60 527 |
- La faculté des lettres (ancien Paris-IV) comprend :
- l'UFR en « Arts » (Archéologie ; Histoire de l’art ; Musicologie)
- l'UFR en « Langues » (Allemand ; Anglais ; Arabe ; Bosniaque ; Catalan ; Chinois ; Croate ; Danois ; Espagnol ; Français langue étrangère (FLE) ; Finnois ; Hébreu ; Hongrois ; Islandais ; Italien ; Monténégrin ; Néerlandais ; Norvégien ; Polonais ; Portugais ; Russe ; Serbe ; Suédois ; Tchèque ; Yiddish)
- l'UFR en « Lettres » (Grec ancien et moderne ; Langue française ; Latin ; Littérature française et comparée ; Sciences du langage)
- l'UFR en « Sciences humaines et sociales » (Aménagement ; Environnement ; Géographie ; Histoire ; Informatique pour les sciences humaines ; Philosophie ; Sociologie ; Urbanisme)
- l'École des hautes études en sciences de l'information et de la communication – CELSA ;
- l’Institut national supérieur du professorat et de l'éducation (INSPÉ) de l’académie de Paris.
- La faculté des sciences et ingénierie (ancien Paris-VI) comprend :
-
- six unités de formation et de recherche, les instituts et les écoles relevant du domaine de l'ingénierie et des sciences biologiques, chimiques, environnementales, mathématiques et physiques ;
- l'UFR d'ingénierie ;
- l'UFR de physique de Sorbonne-Université : L'UFR de physique de Sorbonne Université est une unité de formation et de recherche de Sorbonne Université, au sein de la faculté des sciences et ingénierie ; elle est également connue sous le nom d'« UFR de physique » ou d'« UFR 925 ». Jusqu'en 2018, elle est connue sous le nom de faculté de physique Pierre-et-Marie-Curie, composante de l'université Pierre-et-Marie-Curie (Paris-VI).
- l'UFR des « Sciences de la vie » ;
- l'UFR de « Mathématiques » ;
- l'UFR « Terre, environnement et biodiversité » ;
- l'UFR de « Chimie » ;
- les trois stations marines de l'université, à Roscoff, Banyuls et Villefranche-sur-Mer - regroupées en tant qu'observatoire des sciences de l'univers (OSU) « Stations Marines Sorbonne Université », école interne de l'université ;
- l'École polytechnique universitaire de Sorbonne Université ;
- l'Institut des systèmes intelligents et de robotique de Paris ;
- l'Institut d'astrophysique de Paris ;
- l'Institut de statistique de Sorbonne Université ;
- l'Institut Henri-Poincaré ;
- six unités de formation et de recherche, les instituts et les écoles relevant du domaine de l'ingénierie et des sciences biologiques, chimiques, environnementales, mathématiques et physiques ;
- La faculté de médecine (ancienne Paris-VI) affiliée au groupe hospitalo-universitaire (GHU) « AP-HP Sorbonne Université »[17] comprend :
-
- l'hôpital universitaire Pitié-Salpêtrière
- l'hôpital universitaire Charles-Foix
- l'hôpital universitaire Saint-Antoine
- l'hôpital universitaire Tenon
- l'hôpital universitaire Trousseau
- l'hôpital universitaire Quinze-Vingts
- l'hôpital universitaire Rothschild
Les deux dernières facultés sont issues de l'Université Pierre-et-Marie-Curie, tandis que la première est issue de la transformation de l'ancienne Université Paris-Sorbonne.
Implantations et moyens
- Siège : 21, rue de l'École-de-Médecine. La présidence de l'université se trouve sur le site des Cordeliers, dans l'ancien couvent des Cordeliers.
Sorbonne Université possède cinq campus principaux : la Sorbonne, le campus Pierre-et-Marie-Curie, la Pitié-Salpêtrière (2 500 étudiants), Saint-Antoine, le Centre Clignancourt et Malesherbes, ainsi que 26 autres sites, à Paris, en Ile-de-France et sur le littoral français[18].
Le budget de l'université est évalué à 656 millions d'euros annuels (2017)[19], dont 489 millions de subvention pour charges de service public (2018)[20].
Enseignement et recherche
Sorbonne Université compte, en 2019, 55 600 étudiants dont 10 200 internationaux et 4 500 doctorants[21] répartis dans 24 écoles doctorales[22]. Ses 6 700 chercheurs et enseignants-chercheurs sont répartis dans 137 structures de recherche dans ses trois facultés. De manière anecdotique, on relève que plus d'un quart des membres des académies des Sciences et de Médecine est issu de Sorbonne Université et 40 % des « Immortels » de l'Académie française y ont suivi tout ou une partie de leur cursus universitaire.
Sorbonne Université propose 53 licences, dont 19 parcours bi-disciplinaires et 33 masters avec plus de 30 spécialisations à l'international. Près de 10 000 étudiants sont diplômés chaque année et environ 1 000 doctorats y sont décernés.
Sorbonne Université abrite sur le campus Pierre-et-Marie-Curie à Paris le siège européen du Centre national de ressources biologiques marines (EMBRC) regroupant 14 stations de biologie marine dans 9 pays européens. Parmi ces 14 stations, trois font partie de Sorbonne Université : la Station biologique de Roscoff, l'Observatoire océanologique de Villefranche-sur-Mer et l'Observatoire océanologique de Banyuls-sur-Mer.
Six instituts thématiques pluridisciplinaires de recherche sont créés par Sorbonne Université afin de répondre à des enjeux sociaux contemporains : l'Institut des sciences du calcul et des données (ISCSD), l'Institut universitaire d'ingénierie en santé (IUIS), l'Institut de la transition environnementale (ITE), l'Institut du patrimoine, le Collegium Musicae[23], ainsi que le Sorbonne Center for Artificial Intelligence (SCAI)[24].
Partenariats
Sorbonne-Université était membre de l'association Sorbonne Universités[25], et est depuis 2018 membre de l'Alliance Sorbonne Université[26] qui comprend le Muséum national d’Histoire naturelle, l’université de technologie de Compiègne, l’Insead, le pôle supérieur d’enseignement artistique Paris Boulogne-Billancourt et France Éducation international. Au niveau européen, elle est membre de la Ligue européenne des universités de recherche et de l'alliance 4EU+[27],[28] avec les universités Charles de Prague (République Tchèque), de Heidelberg (Allemagne), de Varsovie (Pologne), de Milan (Italie) et de Copenhague (Danemark). Elle est membre de Udice depuis sa création[29].
Classements internationaux
Sorbonne Université apparaît dans plusieurs classements internationaux :
- dans le Academic Ranking of World Universities (ARWU, dit classement de Shanghai): en 2021, 2e en France et 35e dans le monde[30] (en 2021, 3e mondiale en mathématiques et en océanographie) ;
- dans le Center for World University Rankings (CWUR) : en 2022-2023, 3e en France et 38e dans le monde[31] ;
- dans le classement QS World University : en 2023, 3e en France et 60e dans le monde[32] ;
- dans le classement du Times Higher Education : en 2022, 2e en France et 88e au monde[33] ;
- dans le classement du U.S. News Best Global Universities Rankings : en 2022, 1re en France et 46e dans le monde, 3e mondiale en mathématiques[34] ;
- dans le classement du NTU World University Rankings : en 2021, 2e en France et 30e dans le monde, 7e mondiale en mathématiques[35].
Personnalités liées
- Anciens étudiants et enseignants (Paris-IV Sorbonne et Paris-VI Pierre-et-Marie-Curie)
Sorbonne Université compte notamment parmi les anciens étudiants et enseignants des établissements qui l'ont constituée des personnalités scientifiques comme :
- Alain Connes (Médaille Fields 1982)
- Claude Cohen-Tannoudji (Prix Nobel de physique 1997)
- Emmanuelle Charpentier (Prix Nobel de chimie 2020)
- Françoise Barré-Sinoussi (Prix Nobel de physiologie ou médecine 2008)
- Ngô Bảo Châu (Médaille Fields 2010)
- Wendelin Werner (Médaille Fields 2006)
- Pierre-Louis Lions (Médaille Fields 1994)
- Serge Haroche (Prix Nobel de physique 2012, Médaille d'or du CNRS 2009)
- Yann Le Cun (Prix Turing 2018, pionnier du Deep Learning)
- Gérard Mourou (Prix Nobel de physique 2018)
- Cédric Villani (Médaille Fields 2010, directeur de l'Institut Henri-Poincaré de 2009 à 2017, député depuis 2017)
Elle compte aussi des personnalités politiques, écrivains, journalistes, hommes d'affaires, parmi lesquels :
- Julia Ducournau (réalisatrice et scénariste française)
- Taha Hussein (écrivain et universitaire égyptien, ministre de l'éducation nationale)
- Claude Bartolone (président de l'Assemblée nationale de 2012 à 2017)
- Alain Fuchs (président du CNRS de 2007 à 2017)
- Laurent Gbagbo (président de la République de Côte d'Ivoire de 2000 à 2011)
- Luc Ferry (homme politique, philosophe)
- Xavier de Moulins (journaliste, présentateur à la télévision)
- Michel Sapin (ministre de l'Économie et des Finances de 2014 à 2017)
- Mounir Mahjoubi (homme politique, secrétaire d'État de 2017 à 2019)
- Dominique Strauss-Kahn (directeur du Fonds monétaire international de 2007 à 2011)
- Alexander Stubb (Premier ministre de Finlande de 2014 à 2015)
- Christiane Taubira (ministre de la justice de 2012 à 2016)
- Charlotte et Laura Tremble (nageuses synchronisées françaises)[36]
- Laurent Wauquiez (homme politique, ministre)[37]
- David Castello-Lopes (journaliste et humoriste)[38]
- Aurélie Jean, spécialiste des algorithmes et de la modélisation numérique
Notes et références
- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Campus Pitié-Salpêtrière » (voir la liste des auteurs).
- ↑ « Sorbonne Université en chiffres », sur Sorbonne Université (consulté le )
- ↑ « La fondation du Collège de Sorbonne » par Jacques Verger, Archives de France, document d'autorité, en ligne.
- ↑ « Décret du 23 décembre 1970 portant érection d’universités et instituts nationaux polytechniques en établissements publics à caractère scientifique et culturel », sur www.legifrance.gouv.fr
- ↑ Université Pierre et Marie Curie - UPMC, « 900 ans de formation supérieure et de quête intellectuelle au cœur de Paris », sur www.upmc.fr (consulté le )
- ↑ Décret du 22 juin 2010 portant approbation des statuts de la fondation de coopération scientifique « Sorbonne Universités » et décret no 2015-664 du 10 juin 2015 portant création de la communauté d'universités et établissements « Sorbonne Universités » et approbation de ses statuts
- ↑ Le Figaro, «La France doit résister à l’invasion du franglais», F. Vitoux, 1er décembre 2019, en ligne.
- ↑ Camille Stromboni, « « Sorbonne université » : Pierre-et-Marie-Curie et Paris-Sorbonne en route vers la fusion », Le Monde, (lire en ligne)
- ↑ Décret no 2017-596 du 21 avril 2017 portant création de l'université Sorbonne Université
- ↑ « L’université de Paris-Saclay conserve le label IDEX, et le projet toulousain recalé », sur Le Monde,
- ↑ « Nathalie Drach-Temam élue présidente de Sorbonne Université », sur Sorbonne Université, (consulté le )
- ↑ Shahinez Benabed, « Nathalie Drach-Temam, nouvelle présidente de Sorbonne Université enseignement supérieur », sur acteurspublics.fr, (consulté le )
- 1 2 Direction de l'aide au pilotage, Bilan social 2020, Paris, Sorbonne Université, , 91 p. (lire en ligne), p. 9
- ↑ Direction de l'aide au pilotage, Bilan social unique 2021, Paris, Sorbonne Université, , 91 p.
- ↑ [PDF]Statuts de la nouvelle université votés par l’assemblée constitutive provisoire de Sorbonne Université le 13 juin 2017
- ↑ Arrêté du 4 août 2017 portant création de regroupements de composantes à l'université Sorbonne Université
- 1 2 Direction de l'aide au pilotage, Bilan social 2018, Paris, Sorbonne Université, , 109 p. (lire en ligne), p. 7.
- ↑ « Création d’AP-HP.Sorbonne Université », sur Sorbonne Université - Faculté de Médecine, (consulté le )
- ↑ « Campus et sites », sur sorbonne-universite.fr, (consulté le )
- ↑ « Sorbonne Université en chiffres », sur Sorbonne Université (consulté le )
- ↑ CNESER, « Annexe - répartition des moyens 2019 par établissement »,
- ↑ « Sorbonne Université en chiffres », sur sorbonne-universite.fr, (consulté le )
- ↑ « Faire son doctorat à Sorbonne Université », sur Sorbonne Université
- ↑ Nicolas Gutierrez C., « Un institut interdisciplinaire pour écouter le passé, le présent et le futur de la musique », sur sciencesetavenir.fr,
- ↑ Remy Demichelis, « Sorbonne Université lance son centre d'intelligence artificielle », sur lesechos.fr,
- ↑ « Les membres de l'association Sorbonne Université », sur sorbonne-universites.fr via Internet Archive (consulté le ).
- ↑ « Alliance Sorbonne Université », sur sorbonne-universite.fr, (consulté le )
- ↑ « Alliance 4EU+ », sur sorbonne-universite.fr via Wikiwix (consulté le ).
- ↑ « 4EU+ : Jean Chambaz président pour un an de l’alliance européenne, les premières actions lancées », News Tank Higher Ed and Research, (lire en ligne)
- ↑ René-Luc Benichou, « Udice, une nouvelle association pour porter la voix des universités de recherche »
- ↑ (en) « ARWU World University Rankings 2019 »
- ↑ https://cwur.org/2019-2020/Sorbonne-University.php Center for World University Rankings (CWUR)
- ↑ (en) « Sorbonne University | Top Universities » (consulté le )
- ↑ , (en) « World Reputation Rankings », Times Higher Education (THE), (lire en ligne, consulté le )
- ↑ (en) « Sorbonne Universite in France - US News Best Global Universities » (consulté le )
- ↑ (en) « Sorbonne University » (consulté le )
- ↑ (en-US) Christina Marmet, « Rencontre avec Charlotte et Laura Tremble », sur Inside Synchro, (consulté le )
- ↑ François Wenz-Dumas, « Laurent Wauquiez : retour à la fac», Libération, 30 juin 2011 (https://www.liberation.fr/france/2011/06/30/laurent-wauquiez-retour-a-la-fac_746182/) consulté en octobre 2021
- ↑ « Portrait de David Castello-Lopes – Depuis quand se moque-t-on des Suisses à la télé? », sur 24 heures (consulté le )
Voir aussi
Liens externes
- Site officiel
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- Ressource relative à la santé :
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