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Sospel
Sospel
Vue sur Sospel. La Bévéra sous le Pont Vieux.
Blason de Sospel
Blason
Sospel
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Nice
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Riviera française
Maire
Mandat
Jean-Mario Lorenzi
2020-2026
Code postal 06380
Code commune 06136
Démographie
Gentilé Sospellois
Population
municipale
3 792 hab. (2020 en augmentation de 2,24 % par rapport à 2014)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 52′ 41″ nord, 7° 26′ 57″ est
Altitude Min. 257 m
Max. 1 778 m
Superficie 62,39 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Monaco - Menton (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Contes
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web sospel.fr

    Sospel est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

    Ses habitants sont appelés les Sospellois. En alpin sospellois, on dit Sospèr (prononcé Souspèr) et E Sospelencs pour ses habitants[1].

    Jusqu'en 1860, le nom officiel était en italien : Sospello.

    Géographie

    Localisation

    Sospel est située à 20 km de Menton, à environ 350 m d'altitude, aux portes du parc national du Mercantour.

    Le village occupe le bassin central formé de trois vallées :

    • la Bévéra, au nord-ouest et au sud ;
    • le Merlanson, à l'est.

    Géologie et relief

    Sospel, panorama.

    La commune de Sospel est encaissée par un relief montagneux et repose sur des terrains exclusivement sédimentaires, ayant subi de nombreuses déformations[2].

    Elle est soumise à de nombreux risques naturels. On y recense les risques de mouvements de terrain, de feux de forêts, d’inondations et de séismes. Le territoire communal est soumis à un Plan de prévention des risques naturels prévisibles, concernant les mouvements de terrain. Le PPR a été approuvé le .

    Reliefs environnants :

    • Cime du Ters,
    • Le Mangiabo,
    • Col de Braus.

    Catastrophes naturelles - Sismicité

    Le , de nombreux villages des diverses vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, Roquebillière, St-Martin-Vésubie, Tende...) sont fortement impactés par un "épisode méditerranéen" de grande ampleur[3]. Certains hameaux sont restés inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le . L'Arrêté du portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a identifié 54 communes, dont Sospel, au titre des "Inondations et coulées de boue du 2 au "[4].

    L’ensemble du territoire de Sospel est classé en zone 4 au titre du risque sismique, par le décret n°2010-1255 du . Il s’agit d’une zone de « Sismicité moyenne »[5].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval :

    • Avec son célèbre Pont vieux à péage, un pont fortifié datant du XIIIe siècle, un des derniers d'Europe, Sospel est un bourg médiéval tranquille sur le bord de la Bévéra.
    • 9 ruisseaux : Boretta, de Cuous, le Merlanson, de l'Albaréa, de Cuore...,
    • torrent la Bévéra.

    La commune dispose :

    • de 2 forages et 8 sources[6],
    • d'une station d'épuration d'une capacité de 5 200 Équivalent-habitants[7].

    Urbanisme

    La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[8].

    Le périmètre du Schéma de cohérence territoriale (SCoT) de la Riviera Française et de la Roya comprend 15 communes : Breil sur Roya, Sospel, la Turbie, Moulinet, Saorge, Tende, Beausoleil, Menton, Sainte Agnès, Fontan, Roquebrune cap Martin, Gorbio, Castellar, la Brigue, Castillon[9].

    Typologie

    Sospel est une commune rurale[Note 1],[10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sospel, une unité urbaine monocommunale[13] de 3 831 habitants en 2017, constituant une ville isolée[14],[15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Monaco - Menton (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

    Voies de communications et transports

    Voies routières

    La route départementale D 2566A, ou RD 2566A, est une route départementale qui relie Sospel à Castillon et à Menton par le tunnel de Castillon[18].

    Depuis l'écroulement d’un pan de montagne en , les habitants des hameaux de Béroulf et de Sainte-Sabine vivent coupés du reste du village, sans accès routier[19].

    Transports en commun

    • Gare de Sospel sur la ligne de Nice à Breil-sur-Roya
    • Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
    • Tramway de Menton à Sospel
    • Bus[20].
    • Cars de ramassage scolaire[21].

    Communauté d'agglomération

    La Communauté d'agglomération de la Riviera Française est composée, depuis le , de 15 communes : Beausoleil, Breil sur Roya, La Brigue, Castellar, Castillon, Fontan, Gorbio, Menton, Moulinet, Roquebrune Cap Martin, Sainte Agnès, Saorge, Sospel, Tende, La Turbie.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Sospel
    Moulinet Moulinet, Breil-sur-Roya Breil-sur-Roya
    Lucéram Sospel Olivetta San Michele(Drapeau de l'Italie Italie)
    Peille Peille, Castillon Castellar

    Toponymie

    Attesté en in loco Cespedelli en 1095, Cespeel en 1157, Sospitello en 1474, d'après Albert Dauzat et Charles Rostaing, ce toponyme provient du mot latin Caespes, cespes : motte de gazon ou (plus précisément en ce sens) chaumière, et du suffixe ellium[22].

    Histoire

    Du comté de Vintimille au comté de Provence

    Commune sous la tutelle des comtes de Vintimille au Moyen Âge, Sospel affirme très tôt son indépendance face aux revendications des comtes, contraints de faire acte d'allégeance à la république de Gênes qui avait des visées sur la région. Sospel cherche donc la protection du comte de Provence, seul contrepoids à l'hégémonie génoise.

    Le , la cession de Sospel à la Provence est effective. Chef-lieu de viguerie, Sospel gagne en importance sur le plan administratif. Il existait en 1258 seulement 6 vigueries dans le comté de Provence : Marseille, Hyères, Draguignan, Nice, Grasse, Sospel (viguerie de Vintimille - Val de Lantosque) et 4 bailliages : Toulon, Saint-Maximin, Brignoles, Puget-Théniers. Il suffit de constater l'étendue de cette viguerie pour juger de l'importance de cette cité médiévale.

    Le grand Schisme d'Occident permet à Sospel de devenir évêché dès 1378, en faisant pression sur le nouvel évêque de Vintimille, qui s'établit définitivement à Sospel. En représailles, le pape romain Urbain VI nomme un autre évêque à Vintimille. Un nouvel évêque, Pierre Marinaco, est nommé à Sospel en 1384 (ou 1392), et ce dernier ayant été promu, en 1409, archevêque à Famagouste (Chypre) laisse le poste vacant[23]. À la suite de l'élection d'un troisième souverain pontife en 1409 au concile de Pise (Alexandre V), l'église catholique romaine, en plein chaos, ne se soucie guère de trouver un remplaçant à Pierre Marinaco, et Sospel se retrouve donc sans évêque. Il faut attendre la fin de l'année 1411 pour que l'évêque de Vintimille pardonne à Sospel ses infidélités épiscopales pendant le schisme.

    L'Acte de dédition à la Savoie

    Face à la guerre de succession pour la couronne provençale, déclenchée par l'assassinat de la reine Jeanne, Sospel, tout comme l'ensemble du comté de Nice, fait acte de dédition à la Savoie en 1388. S'ensuit pour Sospel une longue période de prospérité entrecoupée par de terribles épidémies de peste. L'allégeance des comtes de Tende (les célèbres Lascaris) au comte de Savoie permet enfin la libre circulation des marchandises entre Nice et Turin, pour le plus grand bénéfice de la communauté de Sospel. À partir de la seconde moitié du XVe siècle, l'hérésie vaudoise commence à s'implanter dans les vallées et de grands bûchers sont organisés, ce qui n'entrave nullement le commerce florissant. Mais un fait majeur remet tout en question à long terme : en , la Provence est rattachée à la France. Le comté de Piémont-Savoie fait connaissance avec un nouveau voisin : le puissant royaume de France.

    Dès 1614 et jusqu'en 1796, Sospel est le siège de l'une des quatre préfectures du ressort du Sénat de Nice.

    Sospel fut un village très important au Moyen Âge avec le passage de la route du Sel (existence d'un château dont il reste encore quelques ruines). Présence également de nombreux alchimistes à l'époque.

    Sospel pendant la Révolution française et le Premier Empire

    De la Restauration de 1815 au rattachement à la France

    Période contemporaine

    Depuis 1928, la ville dispose d'une gare sur la ligne de Nice à Breil-sur-Roya dont le tunnel du col de Braus long de 5 938 m débouche sur la commune à l'ouest du bourg.

    Sospel était lors de la Seconde Guerre mondiale dans la zone libre. Un camp d'internement pour juifs italiens fut ouvert à Sospel[24] fin 1942 et fermé en .

    Sospel aujourd'hui

    Sospel possède depuis 2000 une des seules sociétés bigophoniques encore en activité en France : les cougourdons sospellois[25].

    Il en existait des centaines en Belgique et en France depuis le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1930.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Circonscriptions de rattachement

    Sospel appartient à l'arrondissement de Nice et au canton de Contes depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette datte, la commune était le chef-lieu du canton de Sospel, créé en 1861 après le rattachement du comté de Nice à la France.

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription des Alpes-Maritimes, représentée depuis par Alexandra Masson (RN). Auparavant, elle a successivement appartenu à la première circonscription des Alpes-Maritimes (1860-1870), la 2e circonscription de Nice (1876-1885 et 1889-1910), la 3e circonscription de Nice (1910-1919) et la 4e circonscription de Nice (1928-1940).

    Intercommunalité

    Depuis le , date de sa fondation, la commune appartient à la communauté d'agglomération de la Riviera française (CARF) et en est la quatrième ville en termes de population. Le conseil municipal du 11 décembre 2000 a entériné la création de la CARF et le rattachement de Sospel à celle-ci.

    Élections Circonscription électorale Élu de la circonscription
    Niveau Type Titre Nom Début de mandat Fin de mandat
    Commune /
    Intercommunalité
    Municipales et communautaires Sospel Maire Jean-Mario Lorenzi 2020 2026
    Communauté d'agglomération de la Riviera française Président de l'intercommunalité Yves Juhel 2021[Note 3] 2026
    Département DépartementalesCanton de ContesConseillère départementaleCéline Duquesne20212028[Note 4]
    Conseiller départementalSébastien Olharan
    Région Régionales Région Provence-Alpes-Côte d’Azur Président du conseil régional Renaud Muselier 2021 2028
    Pays LégislativesQuatrième circonscriptionDéputéeAlexandra Masson20222027

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 3 500 et 4 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 27[27].

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[28]
    Période Identité Étiquette Qualité
    octobre 1944 octobre 1947 Vincent Comiti Ind. Militaire retraité (ancien officier)
    Président de la délégation spéciale
    octobre 1947 mars 1971 Paul Tardivo SFIO Ingénieur des services agricoles
    Conseiller général de Sospel (1946 → 1947)
    mars 1971 août 1979
    (démission)
    Pierre Gianotti
    (1923-2005)
    RI puis RPR Hôtelier
    Conseiller général de Sospel (1970 → 1994)
    août 1979 septembre 1979 Auguste Fulconis Premier adjoint du précédent
    septembre 1979 décembre 1992 Pierre Gianotti
    (1923-2005)
    RPR puis FN Hôtelier
    Conseiller régional (1986 → 1998)
    Conseiller général de Sospel (1970 → 1994)
    Mandat écourté suite à la démission de plus d'un tiers
    des membres du conseil municipal
    [29]
    décembre 1992 janvier 1993 Claude Girod Sous-préfet
    Président de la délégation spéciale
    janvier 1993[30] mars 2014 Jean-Mario Lorenzi DVD puis RPR
    puis UMP
    Cadre EDF
    Conseiller général de Sospel (1994 → 2015)
    Élu à la suite d'une élection partielle
    mars 2014 juillet 2020 Marie-Christine Thouret SE Fonctionnaire
    juillet 2020 En cours Jean-Mario Lorenzi LR[31] Retraité, maire honoraire


    Conseil municipal de Sospel (mandature 2020-2026)[32].
    Liste Tendance Président Effectif Statut
    « Sospel, une famille » LR[31] Jean-Mario Lorenzi 21 Majorité
    « Sospel notre pays » SE Marie-Christine Thouret 6 Opposition

    Finances locales

    En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[33] :

    • total des produits de fonctionnement : 3 373 000 , soit 864  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 2 891 000 , soit 741  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 1 552 000 , soit 398  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 721 000 , soit 185  par habitant ;
    • endettement : 2 223 000 , soit 570  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants[34] :

    • taxe d'habitation : 15,50 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 14,50 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 33,58 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 420 [35].

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

    En 2020, la commune comptait 3 792 habitants[Note 5], en augmentation de 2,24 % par rapport à 2014 (Alpes-Maritimes : +1,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    2 4532 9903 3073 6204 3944 4373 8183 9363 912
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    3 5473 4653 4253 6953 8873 7563 5703 7683 529
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    3 3613 0703 7053 8152 1562 1812 3212 5821 828
    1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 -
    2 1712 5922 8853 3943 4403 5273 7823 792-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[40] :

    • Écoles maternelles et primaires[41],
    • Collège,
    • Lycées à Menton.

    Santé

    • Professionnels de santé : Médecins, Kinésithérapeutes, Infirmiers[42].
    • Hôpitaux, centres de santé à Sospel, Breil-sur-Roya, Gorbio[43].

    Cultes

    • Culte catholique, Paroisse : Saint-Étienne de la Bevera, Diocèse de Nice[44].

    Économie

    Entreprises et commerces

    Agriculture

    • Apiculteur[45].
    • Agriculteurs-éleveurs.
    • Terrasses d'oliviers à flanc de montagne.

    Tourisme

    • Restaurants.
    • Station Verte de Vacances et station Climatique d’été[46].

    Commerces, services, artisanat

    • Commerces et services de proximité[47] à Sospel, Breil-sur-Royat, Peille.
    • Ancienne devanture de mercerie-bonneterie à Sospel[48].

    Culture locale et patrimoine

    Les langues des Alpes-Maritimes avec Sospel dans la zone mentonasque.
    • Occitan vivaro-alpin (mentonnais)
    • Occitan vivaro-alpin (alpin)
    • Occitan vivaro-alpin (intermédiaire)
    • Occitan provençal (niçois)
    • Occitan provençal (maritime)
    • † Figoun (remplacé par le provençal)
    • Royasque, dont
    • Tendasque (Royasque)
    • Brigasque (Royasque)

    Le parler de Sospel (Susper, en occitan) est généralement classé avec le mentonnais ou mentonasque[49], un parler vivaro-alpin. Des textes en parler de Sospel sont présentés dans la revue Ou Cahegne du Cercle d'Études du Patrimoine et de l'Histoire de Sospel[50].

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux [51]:

    • Co-cathédrale Saint-Michel, place Saint-Michel[52] : située sur une place bordée de maisons aux arcades du Moyen Âge, elle est de style baroque, seul le clocher du XIe siècle est de l'époque lombarde[53]. La partie supérieure de la façade est de l'époque pré-baroque roman. Les deux statues à l'intérieur des niches représentent les protecteurs de la ville de Sospel « Saint-Hippolyte et Saint-Absende ». Sur la gauche, à l'intérieur de la cathédrale, se dresse la « Vierge Immaculée de Sospel ». Ce retable à trois volets a été réalisé par François Bréa membre d'une famille de peintres niçois des XVe et début du XVIe siècles, et sur la droite le retable de la vierge de pitié en bois sculpté.
    • Chapelle de l'Immaculée-Conception des Pénitents gris, place Saint-Michel[54].
    • Chapelle Sainte-Croix ou des Pénitents Blancs, place Sainte-Croix[55].
    • Chapelle Saint-Éloi, des Pénitents noirs, place Saint-François[56].
    • Chapelle des Pénitents rouges, place Saint-Michel[57].
    • Couvent des carmélites[58].

    Chapelles rurales

    • Chapelle du Calvaire[59], route du Calvaire.
    • Chapelle Saint-Antoine[60], route de Breil (la Niéya).
    • Chapelle Saint-Charles[61], route de Moulinet (aujourd'hui habitation).
    • Chapelle Saint-Christophe, route de Roccas (ruines).
    • Chapelle Saint-Étienne (Saint-Étienne) (aujourd'hui habitation).
    • Chapelle Saint-Gervais[62], Saint-Gervais (la Niéya).
    • Chapelle Saint-Hyacinthe (la Vasta).
    • Chapelle Saint-Jean, col Saint-Jean.
    • Chapelle Saint-Jean-Baptiste[63], route du col de Saint-Jean.
    • Chapelle Saint-Joseph[64], (Berrins).
    • Chapelle Saint-Julien (ruines).
    • Chapelle Saint-Michel, col de Brouis.
    • Chapelle Saint-Pancrace[65], (Saint-Pancrace).
    • Chapelle Saint-Paul (Saint-Paul) (aujourd'hui grange).
    • Chapelle Saint-Philippe, route du col Saint-Jean (aujourd'hui habitation).
    • Chapelle Saint-Pierre[66], chemin Casoni.
    • Chapelle Saint-Roch[67], (Borriglione).
    • Chapelle Saint-Sébastien[68], boulevard de Verdun.
    • Chapelle Saint-Vincent, route de Moulinet (ruines).
    • Chapelle Notre-Dame de la Commenda[69], route de Moulinet.
    • Chapelle Sainte-Anne[70], boulevard de l'Égalité (cimetière).
    • Chapelle Sainte-Madeleine[71], route de Moulinet.
    • Chapelle Sainte-Marie (Sainte-Marie) (aujourd'hui habitation).
    • Chapelle Sainte-Sabine, (Sainte-Sabine)[72].
    • Chapelle du Sacré Cœur[73].
    • Chapelle Sainte-Ursule, (Piaon) (ruines).
    • Monuments commémoratifs[74] :
    Monument aux morts[75],
    Plaques commémoratives.

    Autres patrimoines

    • Pont-Vieux, certainement le symbole et l’endroit le plus romantique de la ville[76]. Ce pont fortifié enjambe la Bévéra qui coupe en deux parties la ville. Il fut bâti au début du XIIIe siècle sans doute en bois puis reconstruit en pierre en 1522[77]. Les deux arcs ont apparemment été remplacés en 1823 sur lesquelles la reconstruction a été basée. Selon la tradition sa tour centrale aurait servi de poste de péage[78] entre le Piémont et la Méditerranée sur la fameuse Route royale du Sel entre Nice et Turin. Ses deux arches asymétriques permettaient à un système de canalisation d'acheminer l'eau vers les quartiers de la rive gauche[77]. Faisant le lien entre les deux rives de la Bévéra, sa tour servit d'habitation et abrita divers commerces jusqu'en 1960[77]. Il fut entièrement restauré par les Beaux-Arts en 1953 avec des matériaux utilisés sur place, après les dommages causés en octobre 1944 lors des combats pour la libération de la vallée. Il abrite actuellement dans sa tour le Cercle d’Étude du Patrimoine et de l'Histoire de Sospel[79].
    Pont-Vieux.
    • Place Saint-Nicolas[80],[48] : ses maisons anciennes sur arcades, sa fontaine médiévale et son pavement de galets colorés. Elle mène par la rue de la République à la chapelle baroque Sainte-Croix (lieu de concerts de musique baroque en été), place Sainte-Croix. Au XVIIIe siècle, le palais communal, au centre de la place, dite aussi place du Saint-Esprit, accueillait les réunions des syndics de communautés de la Viguerie et du Conseil de Sospel. Au rez-de-chaussée, sous la loggia, se rassemblait le parlement des hommes de la cité. Autrefois propriété de la confrérie du Saint-Esprit, la bâtisse devient l’hôtel de ville en 1793. Le bas relief de la façade symbolise la protection divine. La fontaine située sous l’arcade centrale date de 1788.
    • Remparts[81].
    • Place Garibaldi et son lavoir aux murs peints de fresques colorées[82]. Foires et marchés avaient lieu sur cette place du temps où l’élevage et l’agriculture dominaient l’économie sospelloise. Au XIXe siècle, on y percevait l’octroi sur les marchandises importées. La place, avec son lavoir toujours en activité, est bordée d’arcades construites au XVIIIe siècle pour protéger les riverains contre les crues de la Bévéra.
    • Place Sainte-Croix : Sur cette place s’élève la chapelle Sainte-Croix des Pénitents blancs, construite au XVIe siècle sur l’emplacement d’une église romane dédiée à Saint-Nicolas. De cet ancien prieuré de Saint-Pons seule subsiste l’abside du XIe siècle. A noter le clocher triangulaire d’inspiration baroque. Un important mobilier liturgique, possession des Pénitents, est conservé à l’intérieur de la chapelle au décor en trompe-l’œil typiquement baroque.
    • Place de la Cabraïa : Sur cette place, on regroupait au XVIe siècle les troupeaux de chèvres (« cabraïa » en sospellois) avant de les mener sur leur lieu de pâture. Les deux parties de la fontaine avaient deux fonctions bien séparées : la partie inférieure servait d’abreuvoir et la partie haute aux besoins ménagers. Aux alentours se tenaient les entrepôts de sel sur la voie muletière.
    • Place Saint-Michel : La place est dominée par la façade de l’église à deux niveaux surmontés d’un fronton triangulaire. Le clocher lombard du XIIIe siècle est le seul témoignage de l’église romane qui se situait à cet endroit avant sa reconstruction au XVIIe siècle. Ce magnifique ensemble scénique typique de l’époque baroque est composé de demeures médiévales sur arcades, dont le palais Ricci des Ferres est un parfait exemple, des chapelles de pénitents rouges et blancs et d’un sinueux parvis qui descend vers la place pavée d’une calade de galets gris et blancs.
    • Hôtel du Golf, construit par l'architecte danois Hans-Georg Tersling.
    • Ligne Maginot : à un kilomètre du centre du village, sur la route de Nice, le fort Saint-Roch[83] est une véritable ville souterraine à 50 m de profondeur. Le fort faisait partie de la ligne Maginot des Alpes construite pendant les années 1930 dans la région. Cet ouvrage militaire a été conçu pour verrouiller la vallée de la Bévéra, couvrir le col de Brouis et la sortie du tunnel ferroviaire de Breil-sur-Roya. Un funiculaire transportant les munitions menait aux postes de tir et aux salles d'artillerie. Des périscopes permettent d'avoir une vue intéressante des environs. Au-dessus de Sospel se visitent aussi l'ouvrage de l'Agaisen et le fort du Barbonnet.
    • Lavoir aux fresques peintes[82].
    • Rives de la Bévéra : Des maisons aux façades peintes en trompe-l’œil, art décoratif de la fin XIXe début XXe siècle, bordent la Bévéra. Ces décors peu onéreux où la couleur se substitue à la sculpture, ont été réalisés par des artisans italiens et restaurés pour la plupart par le fresquiste G. Ceppa dans les années 1990.

    Personnalités liées à la commune

    • Le théologien jésuite Théophile Raynaud (1584-1663) est né à Sospel.
    • L'artiste peintre figurative Georgette Piccon (1920-2004), héritière du fauvisme, est née à Sospel.
    • À gauche, en sortant de l’église, une maison sur arcades, le palais Ricci, porte une plaque de marbre rappelant que le pape Pie VII y logea le lorsque, sur les ordres de Napoléon Ier, il fut éloigné des États pontificaux et amené en France.
    • Alfred Borriglione, maire de Nice, député et sénateur des Alpes-Maritimes.
    • Antoine Thomas Gianotti (1870-1948), conseiller général du canton, sénateur des Alpes-Maritimes.

    Cinéma

    • La place Saint-Michel a fourni souvent le cadre de films en costumes (Un sac de billes, Le Masque de fer et le Fanfan la Tulipe avec Gérard Philipe, La proie etc.).

    Vie militaire

    Unités ayant été cantonnées à Sospel :

    • 3e régiment d’infanterie alpine, 1939 - 1940.

    Héraldique

    Blason de Sospel Blason
    De gueules à saint Georges contourné de carnation, vêtu d'azur, casqué d'or, sur un cheval d'argent, terrassant un dragon couché de sinople[84].
    Détails

    Activités

    Randonnée pédestre

    La commune de Sospel est le point de départ de nombreux sentiers de randonnée vers les sommets environnants (Mangiabo, Tête de la Lavina, Tête de Cuore, Grand Mont, etc.). Elle constitue également le point de passage de sentiers de grande randonnée (GR52, GR52A, GR510), Grande Traversée du Mercantour (GTM), Grande Traversée des Alpes (GTA) avec la variante d'arrivée à Menton, etc.

    Golf

    De 1909 à 1931, le golf est pratiqué à proximité de Sospel, quartier de Saint-Gervais, sur un terrain de 50 hectares présentant un parcours très technique de 18 trous. Afin d'y accueillir la clientèle, majoritairement anglo-saxonne, un hôtel, le « Golf-Hotel », y est construit. Le tramway Menton-Sospel permet d'acheminer les amateurs de golf depuis le littoral. La fermeture du tramway en 1932 participe largement à celle du terrain de golf. Aujourd'hui, le terrain a disparu et la nature a repris ses droits. Seul subsiste le bâtiment de l'hôtel, visible depuis Sospel et transformé en immeuble d'habitations[85].

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Remplace Jean-Claude Guibal, maire de Menton, décédé en fonction.
    4. Pour éviter une trop forte concentration des scrutins, la loi du 22 février 2021 a reporté les élections régionales et départementales de juin 2027 à mars 2028[26].
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. André Rolland de Denus indique dans son Dictionnaire (1889) Sospellitain pour seul gentilé mais à l'époque on appréciait avant tout les composés d'allure savante. La réédition (2004) du Petit Larousse 1906 indique encore Sospellitains. Le Petit Larousse 1985 n'indique aucun gentilé pour Sospel.
    2. PLU I.3. Géologie, p.147 (Source : BRGM, DDTM06)
    3. Alex : Épisode méditerranéen en Provence en octobre 2020
    4. Communes reconnues en état de catastrophe naturelle - Alpes-Maritimes et Côtes-d'Armor
    5. Didacticiel de la règlementation parasismique
    6. L'eau dans la commune
    7. Description de la station
    8. Plan local d'urbanisme
    9. SCOT de la Riviera-Roya
    10. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Unité urbaine 2020 de Sospel », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    14. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Route départementale française D2566a
    19. À Sospel, la vie sans l’ombre d’une route
    20. Sospel - Careï - Menton Gare Routière
    21. Cars de ramassage scolaire
    22. Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud,1979 (ISBN 2-85023-076-6), p. 662
    23. « Bishop Pietro [Catholic-Hierarchy] », sur www.catholic-hierarchy.org (consulté le )
    24. fin 1942, le camp de Sospel est ouvert, en réalité un hôtel et une caserne. Il fut fermé en mai et ses détenus furent transférés à Embrun et Modane. D’autres furent assignés à résidence à Digne, Vence, Guagno (en Corse), Saint-Martin de Vésubie, Barcelonnette, Moustier Sainte-Marie, Castellane, Enchastrayes et Château de Chavance, voir le paragraphe La France et la zone d’occupation italienne .
    25. Déclaration au Journal Officiel le 1er juillet 2000 des cougourdons sospellois. Cette association est toujours active en 2011, voir son nom dans la liste des associations de la commune sur le site Internet officiel de Sospel.
    26. Loi du 22 février 2021 portant report, de mars à juin 2021, du renouvellement général des conseils départementaux, des conseils régionaux et des assemblées de Corse, de Guyane et de Martinique.
    27. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    28. Les maires de Sospel, sur le site Geneawiki.
    29. « Onze conseillers municipaux de Sospel, dans les Alpes-Maritimes, ont présenté lundi soir leur démission », L'Humanité, (lire en ligne).
    30. « Dans les Alpes-Maritimes : M. Lorenzi est élu maire de Sospel », Le Monde, (lire en ligne). « M. Jean-Mario Lorenzi a été élu, dimanche 24 janvier, maire de Sospel (Alpes-Maritimes), par 22 voix et un bulletin blanc, en remplacement de M. Pierre Gianotti (RPR). »
    31. 1 2 « Éric Ciotti "salue la belle victoire de Christian Estrosi à Nice" », Nice-Matin, (lire en ligne, consulté le ).
    32. Ministère de l'Intérieur, « Elections municipales 2014 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
    33. https://www.impots.gouv.fr/cll/zf1/communegfp/flux.ex?_flowExecutionKey=e4s4&_eventId=chiffrescles&critereDeSelection.nomCol=SOSPEL
    34. « Taxe d'habitation et foncière à Sospel (06380) - Impôts locaux à Sospel, Alpes-Maritimes 06 », sur Calcul et simulation d'impôts : revenus, locaux, salaires (consulté le )
    35. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. Établissements d'enseignements
    41. École élémentaire
    42. Professionnels de santé
    43. Hôpitaux, centres de santé
    44. Saint Michel
    45. Sospel L'apiculteur Marc Lavoriero chevalier de l'ordre du Mérite agricole
    46. Activités dans la nature
    47. Commerces artisans et services
    48. 1 2 « Ancienne devanture de mercerie-bonneterie », sur petit-patrimoine.com.
    49. « Les parlers de Menton et de Sospel représentent donc le stade 0 des dialectes occitans, où il n'y a pas de clitique sujet. » Michèle Olivieri, Frontières linguistiques
    50. Archives de Ou Cahegne
    51. « Lieux de culte de la commune », sur sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR) (consulté le ).
    52. Cathédrale Saint Michel
    53. « Église Saint-Michel de Sospel », sur petit-patrimoine.com.
    54. Chapelle de Pénitents Gris
    55. « Chapelle Sainte-Croix ou des Pénitents Blancs », notice no PA00080862, base Mérimée, ministère français de la Culture
    56. Chapelle du Couvent des Franciscains
    57. Chapelle des Pénitents Rouges
    58. Couvent des carmélites
    59. Chapelle du Calvaire
    60. Chapelle Saint Antoine
    61. Chapelle Saint Charles
    62. Prieuré Saint-Gervais
    63. Chapelle Saint Jean Baptiste
    64. Chapelle Saint Joseph
    65. Chapelle Saint Pancrace
    66. Chapelle Saint Pierre
    67. Chapelle Saint Roch
    68. Chapelle Saint Sébastien
    69. Chapelle du prieuré de Verx Sospel
    70. Chapelle Sainte Anne
    71. Chapelle Sainte Madeleine
    72. Chapelle Sainte Sabine Sospel
    73. Chapelle du Sacré Cœur
    74. Monument aux morts
    75. Monument aux morts, Conflits commémorés 1914-1918 et 1939-1945
    76. « Le pont vieux de Sospel et sa tour de péage », sur petit-patrimoine.com.
    77. 1 2 3 Panneau d'information sur le pont
    78. Cependant aucun document historique officiel atteste la fonction de péage du pont
    79. Sospel, patrimoine, Cercle d'études du patrimoine et d'histoire
    80. « Fontaine de la Place Saint-Nicolas », sur petit-patrimoine.com.
    81. Remparts
    82. 1 2 « Lavoir aux fresques peintes », sur petit-patrimoine.com.
    83. Ouvrages fortifiés
    84. Dominique Cureau, « Riviéra Française : Sospel », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
    85. Quand le golf de Menton-Sospel était l'un des plus beaux de France, www.nicematin.com, 11 mai 2019

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-Pierre Domérégo, Sospel, l'histoire d'une communauté, Éditions Serre.
    • Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Menton à Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)
      Canton de Sospel : pp. 909 à 925 : Sospel
    • Sospel, sur montnice.fr/, par JPB
    • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
      Sospel, p. 1146
    • Coordination générale : René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP) : Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée - IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide : Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 978-2-906035-00-3 et 2-906035-00-9)
      Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Sospel, pp. 76-77
    • Association Saint Jean le Vieux, Peintures murales décors peints, Vallées de la Bévéra et de la Roya, Alpes-Maritimes, Association Saint Jean le Vieux, 18 p.
      * Sospel; *Breil-sur-Roya; *Saorge; *La Brigue; *Tende; *Les peintures murales et les décors peints dans les vallées de la Roya et de la Bévéra; *Technique de la peinture murale
    • Bernard Cousin, « Une bibliothèque de couvent à l'époque moderne : les livres des Franciscains de Sospel », dans Annales du Midi, 1971, tome 83, no 102, p. 173-189 (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes