Vendin-le-Vieil | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Lens | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Lens-Liévin | ||||
Maire Mandat |
Ludovic Gambiez 2020-2026 |
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Code postal | 62880 | ||||
Code commune | 62842 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vendinois, Vendinoises | ||||
Population municipale |
8 419 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 789 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 28′ 29″ nord, 2° 52′ 00″ est | ||||
Altitude | Min. 20 m Max. 66 m |
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Superficie | 10,67 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lens - Liévin (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Wingles | ||||
Législatives | Douzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | vendin-le-vieil.fr | ||||
Vendin-le-Vieil est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Elle est membre de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin qui regroupe 36 communes et compte 241 268 habitants en 2019.
Géographie
Localisation
Vendin-le-Vieil est située à 30 minutes de Lille, une heure de la Côte d'Opale, une heure de la Belgique et à deux heures de Paris.
Les communes limitrophes sont Annay, Bénifontaine, Lens, Loison-sous-Lens, Loos-en-Gohelle, Meurchin, Pont-à-Vendin et Wingles.
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par le canal navigable de la Deûle, d'une longueur de 58,75 km, qui prend sa source dans la commune de Douai et se jette dans la Lys au niveau de la commune de Deûlémont[1].
Milieux naturels et biodiversité
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] : le terril et le marais de Wingles. Ce site se localise dans la dépression alluviale du Flot de Wingles, au nord de la ville de Lens, ancienne friche industrielle réaménagée en espace de loisirs, celui-ci est traversé par la RD 165 E et une voie ferrée[2].
Urbanisme
Typologie
Vendin-le-Vieil est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[6] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (26,4 %), zones urbanisées (22,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,5 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Wendinium (966) ; Uuendinium (955-981) ; Wendin le Viez (1183) ; Wending (1202) ; Vetus Wendinium (1235) ; Li Vies Wendin (1269) ; Vies-Vendin (1294) ; Wanding (1347) ; Li Viez Vendinc (XIVe siècle) ; Vetus Wendinum (1423) ; Le Vieu-Vendin (1430) ; Vuandinum, Vendinicus pagus (1561) ; Viel Wendin (XVIIIe siècle)[12].
Histoire
Le nom de Wendinium est cité, en 996, dans les annales de l'abbaye Saint-Pierre de Gand. C'est donc un village au passé très lointain qui a vu, avant même cette date, l'invasion des Vandales, des Francs, puis, pendant plus de cent ans, des Anglais.
Vendin-le-Vieil est située dans le comté d'Artois, dont les contours ont varié au cours des siècles, en fonction des aléas de l'histoire et des rattachements ou séparations d'avec les comtés voisins, comté de Boulogne, comté de Flandre, etc., le village s'est toujours trouvé au cœur de toutes les guerres.
L'Artois correspond à peu près au pays du peuple gaulois des Atrébates, dont la capitale Nemetocenna est devenue Arras. Compris par les Romains dans la province romaine de 2e Belgique, ce pays fut conquis au Ve siècle par les Francs et donné en 863 par Charles le Chauve à Judith, sa fille, qui épousa Baudouin Bras de Fer, comte de Flandre.
Après avoir été longtemps possédé par les comtes de Flandre, sous la suzeraineté de la France, il fut réuni à la couronne par Philippe Auguste en 1180, et donné en 1237, avec titre de comté, par Saint Louis à Robert, son frère puîné.
En 1382, le comté d'Artois fut réuni à celui de Flandre, puis à la suite des mariages « princiers » au duché de Bourgogne, enfin par le mariage de Marie de Bourgogne avec l'archiduc Maximilien, l'Artois fut porté, avec la Flandre et la Franche-Comté, dans la maison d'Autriche.
À cela, il faut ajouter, en 1437 et 1438, la peste, puis la famine due à des hivers très rigoureux : Vendin-le-Vieil voit sa population baisser, comme tout le comté d'Artois qui a perdu près de la moitié de ses habitants entre 1300 et 1469.
Le village compte alors 44 feux en cette année 1469.
Mais, pour les paysans, de 1515 à 1559, la guerre est presque permanente en Artois entre la France et Charles Quint.
L'Artois ne connaît une ère de paix et de prospérité que pendant le gouvernement des archiducs Albert (neveu de Charles Quint) et Isabelle (fille de Philippe II), la période espagnole.
En 1569, Philippe II ordonne l'application d'un impôt sur le capital, l'impôt du centième denier ; grâce à cela, nous savons que le nombre de feux à Vendin-le-Vieil est passé à 82 (soit environ 250 habitants).
Cette paix se termine à la reconquête de l'Artois par la France. Tout le pays est de nouveau ravagé par la guerre (de 1635 à 1659), et même si les guerres de Louis XIV se déroulent principalement en Flandre, l'Artois est gravement touché en 1676 et en 1710 par les opérations militaires. Pour preuve, la population de Vendin-le-Vieil en 1698 est de 31 feux, 181 habitants.
Le , Roland Blondel, seigneur d'Aubers, achète la moitié de la terre de Vendin-le-Vieil. Son petit-fils, Eugène-Roland-Joseph Blondel d'Aubers, premier président du Parlement de Flandres, achète l'autre moitié en 1759 avec le titre seigneurial. La seigneurie consiste en un château avec jardin, potager, ... ,une centaine de mesures (environ 45 hectares de terre), des rentes[13]...
À la fin du XVIIIe - début du XIXe siècles, le château de Vendin-le-Vieil, devient le lieu de résidence de la famille Blondel d'Aubers et de leurs alliés, qui ont un caveau de famille au cimetière : après la mort d'Eugène-Roland-Joseph Blondel d'Aubers en 1767, sa femme Marie-Anne de Calonne établit sa résidence au château de Vendin, avant d'émigrer en 1792 et de mourir en Angleterre en 1800[13]; Isabelle-Ernestine-Joseph le Maistre d'Anstaing, épouse de Charles-Louis-Philippe du Chambge de Liessart (1746-1801), chevalier, seigneur de Liessart, Frévillers belle-mère de Louis-Marie-Joseph Blondel d'Aubers, fils d'Eugène-Roland, seigneur d'Aubers et de Vendin, décède au château de Vendin en 1821[14]; Isabelle-Charlotte du Chambge de Liessart (1770-1853), fille de Charles-Louis-Philippe du Chambge de Liessart, veuve de Antoine-Laurent de Bergerand, chevalier, seigneur de Gosselies, meurt à Lille le , à l'âge de 82 ans, est inhumée dans le caveau de famille de Vendin-le-Vieil[15].
Les Blondel d'Aubers vont marquer la commune : le fils de Louis-Marie-Joseph Blondel d'Aubers, Émile-Louis-Marie Blondel d'Aubers va être maire de la commune[16].
Il faut attendre le traité d'Utrecht, le 11 avril 1713, qui met fin à la guerre de succession d'Espagne, pour que Vendin-le-Vieil, ainsi que tout l'Artois, retrouvent enfin la prospérité.
Lorsque la révolution éclate, le village compte 745 habitants, et voit le premier maire élu en février 1790, Célestin Deleruelle, remplacer le bailli, Jean-Baptiste-Hyacinthe Dubois.
Le charbon
Vendin-le-Vieil possédait deux sièges d'extraction, la fosse no 8 - 8 bis dite Saint-Auguste ou Auguste Descamps et la fosse no 10 - 10 bis dite Saint-Valentin ou Valentin Cazeneuve de la compagnie des mines de Lens qui est un ancien charbonnage du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à Vendin-le-Vieil[17].
D'importantes usines de valorisation du charbon existaient également, une cokerie fermée en 1978, un lavoir central fermé début 1983, un rivage pour l'expédition du charbon en péniche, une centrale électrique, d'importants parcs à stocks, et enfin une station pour l'entretien des locomotives[18].
La fosse n° 8 était située à côté de l'usine HGD (Huiles, Goudrons et Dérivés) ; rasée peu avant octobre 2006, elle possédait deux puits. Elle fut fermée en 1958, cependant les puits servirent quelque temps encore pour le service[18].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement de Lens du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
La commune est membre de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin.
Circonscriptions administratives
La commune est rattachée au canton de Wingles.
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la douzième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
Élections municipales 2020
- Maire sortant : Didier Hiel (PS)
- 29 sièges à pourvoir au conseil municipal (population légale 2017 : 8 608 habitants)
- 3 sièges à pourvoir au conseil communautaire (CA de Lens-Liévin)
Liste des maires
Émile-Louis-Marie Blondel d'Aubers, maire après 1830, sous-préfet de Douai en 1815, sous-préfet de Mortagne-au-Perche en 1817, préfet de l'Ardèche en 1828, préfet du Gers en 1829, membre du conseil général du Pas-de-calais[21], chevalier puis officier de la Légion d'honneur, chevalier de l'Ordre de l'Éperon d'or[22].
Équipements et services publics
Justice, sécurité, secours et défense
Le centre pénitentiaire de Vendin-le-Vieil, ouvert en 2014.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].
En 2020, la commune comptait 8 419 habitants[Note 4], en augmentation de 4,92 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 4 204 hommes pour 4 339 femmes, soit un taux de 50,79 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Vendin-le-Vieil compte trois écoles maternelles : école Jean-Jaurès (centre), école Suzanne-Lacore (centre), école Jules-Ferry (cité 8) ; deux écoles primaires : école Jean-Jaurès (centre), école Jules-Ferry (cité 8) ; un collège : collège Bracke-Desrousseaux (centre).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Léger, centre-ville.
- Église Saint-Auguste, cité no 8, dépendant de la paroisse Saint-François-d'Assise de Lens, construite de 1921 à 1925.
- En outre, Vendin-le-Vieil compte un monument aux morts dans le centre et un monument aux morts à la cité no 8. Les maisons des mines de Vendin sont classées au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Personnalités liées à la commune
- Cesare Luccarini membre FTP-MOI du groupe Manouchian[31]
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- ↑ Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - canal de la Deûle ( E3--021-) » (consulté le )
- ↑ « ZNIEFF 310013760 - terril et marais de Wingles », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- ↑ « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- ↑ « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- ↑ « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- ↑ Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lens - Liévin », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- ↑ Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 381.
- 1 2 Sébastien Bocquillon, « Fortune d'un premier président au Parlement de Flandre, Eugène-Roland-Joseph Blondel d'Aubers (1714-1767) », Revue du Nord 2007/3 (n° 371), pages 507 à 529, sur Cairn info.
- ↑ Éléonore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la généralité de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 53-57.
- ↑ Éléonore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la généralité de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 55-58..
- ↑ Raoul d' Auteur du texte Entragues, Notice biographique sur M. de Blondel-d'Aubers,... (Signé : Raoul d' Entragues.), (lire en ligne)
- ↑ Note_opportunitéPPRM_LENS_ARRAS_22_janvier_2015 page104/110
- 1 2 http://www.histoires-de-chtis.com/index-news-8887-mines-de-vendin-le-vieil.php
- ↑ « - Vendin-le-Vieil: Ludovic Gambiez veut incarner le changement dans la continuité », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
- ↑ « - Vendin-le-Vieil : Jean-Noël Godart se (re-)présente sans étiquette », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
- ↑ Raoul d'Entragues, « Notice biographique sur M. de Blondel d'Aubers. »
- ↑ « Recherche - Base de données Léonore », sur www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le ), Notice LH//260/21.
- 1 2 J.V., « Vendin-le-Vieil : Ludovic Gambiez succède à Didier Hiel, maire depuis 1989 : Ce dimanche matin, à l’Espace du 8, s’est tenu, à huis clos*, le conseil municipal d’installation de Vendin-le-Vieil. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Compte-rendu du conseil municipal de Vendin-le-Vieil » [PDF], sur http://www.vendin-le-vieil.fr (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vendin-le-Vieil (62842) », (consulté le ).
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- ↑ « Le groupe Manouchian », sur ivry94.fr (consulté le ).