AccueilFrChercher

Barlin
Barlin
La mairie, l'église et le monument aux morts.
Blason de Barlin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Julien Dagbert
2020-2026
Code postal 62620
Code commune 62083
Démographie
Gentilé Barlinois
Population
municipale
7 456 hab. (2020 en diminution de 2,82 % par rapport à 2014)
Densité 1 206 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 27′ 21″ nord, 2° 37′ 10″ est
Altitude Min. 51 m
Max. 131 m
Superficie 6,18 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction Nœux-les-Mines
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Nœux-les-Mines
Législatives 10e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Barlin
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Barlin
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Barlin
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Barlin
Liens
Site web https://www.barlin.fr/

    Barlin est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

    Ses habitants sont appelés les Barlinois.

    La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.

    Géographie

    Localisation

    Barlin est une commune du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais dans le Pas-de-Calais située à km au sud-est de Bruay-la-Buissière, km au sud-ouest de Béthune, 32 km au sud-ouest de Lille et à 24 km de la frontière entre la Belgique et la France.

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

    Communes limitrophes de Barlin
    Ruitz Houchin Nœux-les-Mines
    Barlin
    Maisnil-lès-Ruitz Fresnicourt-le-Dolmen Hersin-Coupigny

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 618 hectares ; l'altitude varie entre 51 et 131 mètres[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré de type 4 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2].

    Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[2].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 945 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,9 j

    Milieux naturels et biodiversité

    Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : le coteau et la forêt domaniale d'Olhain, d’une superficie de 614 hectares et d'une altitude variant de 103 à 180 mètres. Cette ZNIEFF est située au niveau de la première ligne de crête de la partie nord des collines de l'Artois[3].

    Carte de la ZNIEFF sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Barlin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[4],[5],[6]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[7] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nœux-les-Mines, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (48,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (42,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,3 %), zones urbanisées (44,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4 %), forêts (3,3 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 3 391, alors qu'il était de 3 166 en 1999[a 1].

    Parmi ces logements, 94,4 % étaient des résidences principales, 0,2 % des résidences secondaires et 5,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 89,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 10,6 % des appartements[a 2].

    La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 38,5 %, en légère hausse par rapport à 1999 (36,5 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 46,3 % contre 26,8 % en 1999[a 3].

    Voies de communication et transports

    Voies de communication

    La commune est traversée par la RD 179 et est tangentée au sud par la RD 301 (Rocade minière).

    Transport ferroviaire

    La commune est desservie par le bus à haut niveau de service (BHNS) du réseau d'autobus de Lens-Béthune appelé Tadao.

    Un projet de réouverture de la ligne ferroviaire Bruay-Lens est défendu, qui placerait Barlin en connexion au nœud géographique régional en la reliant à Lille via Lens.

    La commune était située sur la ligne de Bully - Grenay à Brias, une ancienne ligne de chemin de fer qui reliait, de 1875 à 1990, Bully-les-Mines à Brias.

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2005[13].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ballin en 1141, Barling en 1253[14], Bellin en 1438 (archives du Nord, B. 1604) et Barlaing en 1556.

    Histoire

    Au XIIe siècle, le territoire de Barlin se divisait en plusieurs seigneuries qui dépendaient du château de Saint-Pol-sur-Ternoise, d'Arras ou de Béthune. .

    Le 7 septembre 1579, la ville d'Hénin-Liétard est érigée en comté, avec adjonction de la baillie et fief de Gouy-Servain, au bénéfice d'Oudard de Bournonville, chevalier, baron de Barlin et Houllefort, seigneur de Capres, Divion, Ranchicourt, Tournes, Bandas, du Maisnil, gentilhomme de la bouche du roi (maître d'hôtel du roi), chef d'une bande d'hommes d'armes, gouverneur et capitaine des ville et cité d'Arras, capitaine d'une compagnie de chevau-légers[15].

    Au milieu du XIXe siècle, l'activité charbonnière a commencé à Barlin et la ville a alors connu un essor démographique très important.

    La commune est desservie par une gare sur la ligne de Bully - Grenay à Brias, qui est déclarée d'utilité publique en 1876 et classée dans le réseau d'intérêt général par une loi de 1884. La gare n'accueille plus de trafic voyageur depuis 1958 et le trafic fret, qui permettait la desserte de la zone industrielle de Ruitz et des Ciments Français de la Loisne, cesse en 1990. La gare est démolie à la fin des années 1970[16]

    • Barlin au tout début du XXe siècle
    • Les Fosses n°5 et 5bis des Mines de Nœux
      Les Fosses n°5 et 5bis des Mines de Nœux
    • Les Fosses n°7 et 7bis des Mines de Nœux
      Les Fosses n°7 et 7bis des Mines de Nœux
    • Les Fosses n°7 et 7bis des Mines de Nœux
      Les Fosses n°7 et 7bis des Mines de Nœux

    Le 16 avril 1917, un coup de grisou à la fosse 9 de Barlin fait 42 morts[17].

    A la fin de la Première Guerre mondiale, la commune est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [18].

    En 1922, Désiré Hermary, ancien maire, critique la décision de son successeur d'ouvrir une maison de tolérance à Barlin[19].

    Politique et administration

    La mairie.

    Découpage territorial

    La commune se trouve, depuis 1926, dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais.

    Commune et intercommunalités

    Barlin était membre de la communauté d'agglomération de l'Artois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane dont est désormais membre la commune.

    Circonscriptions administratives

    La commune faisait partie de 1801 à 1962 du canton de Houdain , année où elle intègre le du canton de Bruay-en-Artois. Elle devient en 1984 le chef-lieu du canton de Barlin[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Nœux-les-Mines.

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la dixième circonscription du Pas-de-Calais.

    Élections municipales et communautaires

    Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans le Pas-de-Calais, la liste PS menée par le maire sortant Michel Dagbert obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 836 voix (52,56 %, 22 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par[21] :
    - Jean-Michel Cavigneaux (DVG, 964 voix, 27,59 %, 4 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
    - Philippe Reszel (DVG, 693 voix, 19,83 %, 3 conseillers municipaux élus).
    Lors de ce scrutin, 37,64 % des électeurs se sont abstenus.

    Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Pas-de-Calais, la liste PS menée par le maire sortant Julien Dagbert qui avait succédé à Gérard Paillard après sa démission en 2018, et qui lui-même avait succédé au maire réélu de 2014 Michel Dagbert obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 732 voix (65,71 %, 24 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par[22],[23] : - Rémy Majorczyk[24] (SE, 700 voix, 26,56 %, 4 conseillers municipaux élus) ;
    - Patricia Ricart (SE, 204 voix, 7,74 %, 1 conseiller municipal élu).
    Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France , 53,51 % des électeurs se sont abstenus.

    Liste des maires

    Michel Dagbert lors du départ de la 3e étape des Quatre Jours de Dunkerque 2015 à Barlin.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1947 Alfred Monsauret[25] PCF Marchand de meubles
    1947 1976 Raymond Derancy[27] - [28] SFIO
    puis PS
    Ouvrier, puis contrôleur des Houillères nationales
    Député du Pas-de-Calais (10e circ) (1959 → 1967)
    Conseiller général de Bruay-en-Artois (1964 → 1970)
    1976 2002 Joseph Brabant[29] PS Proviseur de lycée d'enseignement professionnel
    Conseiller général de Barlin (1985 → 2002)
    Président du district de l'Artois (1981 → 2002)
    Décédé en fonction
    2002 juillet 2014[30] Michel Dagbert PS[31] Conseiller général de Barlin (2002 → 2015)
    Président du conseil; général puis départemental (2014 → 2017)
    Démissionnaire après son élection comme président du conseil général[32].
    juillet 2014[33] janvier 2018[34] Gérard Paillard PS Agent de maîtrise retraité, beau-frère de Joseph Brabant
    Démissionnaire
    janvier 2018[35] En cours
    (au 12 juin 2021)
    Julien Dagbert PS Ancien secrétaire de la mairie d'Haillicourt
    Fils de Michel Dagbert
    Vice-président de la CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane (2020 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[36]

    Jumelages

    Jumelages et partenariats de Barlin.
    VillePaysPériode
    Marklowice[37]Polognedepuis

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Barlin est située dans l'académie de Lille.

    En 2013, elle administre quatre écoles maternelles et cinq écoles élémentaires communales[38].

    Toujours en 2013, le département gère un collège : le collège Jean-Moulin[39].

    Sports et loisirs

    Le cercle laïque de Barlin regroupe diverses activités sportives : le basketball, le tennis, le volley-ball, le cyclisme, le javelot tir sur cible, le football, le futsal, le handball. De plus, la commune possède une piscine municipale, Le Nautilud, dans laquelle il existe une école de natation.

    Le club de basket-ball est nommé C.L.B Basket-ball. Il a été fondé en 1948. Il est passé d'une dizaine de licenciés dans les années 1990 à près de 180 aujourd'hui.

    Les entraînements se déroulent au COSEC Joseph Brahant et à la Salle Jules Mercier.

    Durant l'année 2016-2017, le club contient une équipe de baby U7 (5/6ans), U9 (7/8ans), U11 (9/10ans), U13 garçons (11/12ans), U13 filles (11/12ans), U15 mixte ufolep (13/14/15ans), senior A (20ans et plus) et senior B (20ans et plus, -20ans possible avec surclassement).

    Au début des années 1970, sous l’impulsion de F. Wojtaszak, le club de basket du Cercle Laïque connut un nouvel essor grâce à l'arrivée de nombreux licenciés.

    La construction de la salle des sports Jules Mercier permit aux jeunes de pratiquer une activité sportive dans de meilleures conditions.

    Quelques années auparavant, les basketteurs jouaient dans la cour de l'école Pasteur où il fallait parfois balayer le terrain ou jeter du sel pour dégeler la surface de jeu.

    Les années suivantes, il y a eu encore pas mal de nouveautés comme l'ascension fulgurante de l'ancienne joueuse barlinoise Claire Stievenard, licenciée au club de 2000 à 2004.

    Beau parcours pour une ancienne « baby basketteuse » de Barlin qui doit être entraîneuse maintenant.

    La commune est traversée par un chemin de randonnée PR qui la relie au GR de Pays du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais.

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dépend du tribunal judiciaire de Béthune, du conseil de prud'hommes de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Béthune[41].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants sont appelés les Barlinois[42].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].

    En 2020, la commune comptait 7 456 habitants[Note 6], en diminution de 2,82 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    459440435513516506513493474
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4685065125246316729701 2002 536
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 0374 2155 6168 65610 01910 41010 0649 7789 186
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    9 5018 9078 0077 8317 9487 9257 7547 6547 549
    2014 2019 2020 - - - - - -
    7 6727 5447 456------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,8 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 3 612 hommes pour 3 991 femmes, soit un taux de 52,49 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[46]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2
    90 ou +
    1,3
    4,7
    75-89 ans
    9,4
    16,1
    60-74 ans
    17,7
    19,5
    45-59 ans
    18,7
    19,2
    30-44 ans
    17,1
    19,6
    15-29 ans
    17,2
    20,7
    0-14 ans
    18,6
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[47]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,6
    5,5
    75-89 ans
    8,9
    16,4
    60-74 ans
    17,8
    20,3
    45-59 ans
    19,3
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,1
    15-29 ans
    16,2
    20,2
    0-14 ans
    18,1

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 20 816 , ce qui plaçait Barlin au 29 413e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[48].

    Emploi

    En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 4 874 personnes, parmi lesquelles on comptait 63,1 % d'actifs dont 52,5 % ayant un emploi et 10,6 % de chômeurs[a 4].

    On comptait 11 241 emplois dans la zone d'emploi, contre 1 319 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 2 569, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 7] est de 48,3 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre un peu moins d'un emploi pour deux habitants actifs[a 5].

    Entreprises et commerces

    Au 31 décembre 2010, Barlin comptait 229 établissements : 8 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 8 dans l'industrie, 20 dans la construction, 142 dans le commerce-transports-services divers et 51 étaient relatifs au secteur administratif[a 6].

    En 2011, 29 entreprises ont été créées à Barlin[a 7], dont 14 par des autoentrepreneurs[a 8].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine mondial

    Depuis le , la valeur universelle et historique du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais est reconnue et inscrite sur la liste du patrimoine mondial l’UNESCO. Parmi les 353 sites, répartis sur 109 lieux inclus dans le périmètre du bassin minier, le site no 89 est constitué de la cité-jardin Jeanne d'Arc et de son école, d'un cavalier minier, à Barlin, et de la cité pavillonnaire de la Loisne et de la cité-jardin no 9 à Barlin et Hersin-Coupigny, ces éléments ont été bâtis pour la fosse no 9 - 9 bis des mines de Nœux ; le site no 91 est constitué de la fosse no 7 - 7 bis des mines de Nœux à Barlin et de sa cité pavillonnaire no 7, à Barlin et Maisnil-lès-Ruitz[49],[50].

    • La cité Jeanne d'Arc.
      La cité Jeanne d'Arc.
    • La cité no 9.
      La cité no 9.
    • La cité no 9.
      La cité no 9.
    • La fosse no 7 - 7 bis.
      La fosse no 7 - 7 bis.
    • La fosse no 7 - 7 bis.
      La fosse no 7 - 7 bis.
    • La cité pavillonnaire no 7.
      La cité pavillonnaire no 7.
    • La cité pavillonnaire no 7.
      La cité pavillonnaire no 7.

    Autres lieux et monuments

    Monument historique

    La Fosse n° 7 - 7 bis des mines de Nœux, en partie, soit l'ancien bâtiment des pendus-bains-douches, en totalité et les façades et toitures des anciens ateliers font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [51].

    Autres monuments
    • L'église Saint-Pierre.
    • Le monument aux morts, rue Ferrer[52].
    • Le monument aux morts, au cimetière.
    • Barlin Communal Cemetery Extension, cimetière de la Commonwealth War Graves Commission, au hameau de Saint-Bertin.
    • La stèle à Léopold Gourdin (1923-1945), mort au camp de Kochendorf le (localisation : cité no 5)[52].
    • Tour de l'église Saint-Pierre.
      Tour de l'église Saint-Pierre.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Le dos du monument aux morts.
      Le dos du monument aux morts.
    • Le cimetière militaire britannique.
      Le cimetière militaire britannique.
    • Le lac de la Fossette.
      Le lac de la Fossette.
    • Corons de la cité des Roulettes.
      Corons de la cité des Roulettes.

    Personnalités liées à la commune

    • Raymond Derancy (1906-1983), homme politique, maire de Barlin, mort à Barlin.
    • Émile Genevois (1918-1962), acteur, né à Barlin
    • Marcel Barrois (1926-2012), syndicaliste et mineur, a vécu son enfance à Barlin. Une rue de la ville porte son nom.
    • Jean Mankowski (1927-1966), footballeur, né à Barlin.
    • Henri Lewandowicz (1936-), footballeur, né à Barlin.
    • Jean Boin (1949-2020), footballeur, né à Barlin.
    • Didier Dufour (1952-), footballeur français, né à Barlin.
    • Michel Dagbert (1962-), homme politique, maire de Barlin, né à Barlin.

    Héraldique

    Blason de Barlin Blason
    Écartelé: aux 1er et 4e de gueules à la frette d'or, aux 2e et 3e fascé d'argent et de gueules de huit pièces au sautoir de sable brochant sur le tout[53].
    Ornements extérieurs
    Croix de guerre 1914-1918
    Détails
    Ce sont celles de la famille de Gosson.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le climat océanique altéré de type 4 apparaît comme une transition entre l'océanique franc (type 5) et l’océanique dégradé (type 3). Entre le Nord-Pas-de-Calais et la Normandie il s'agit d’une fine bande tandis qu'à l’Ouest, cette transition s'élargit jusqu'à atteindre plus de 150 km. Elle affecte également le sud-ouest du Massif central, de la Dordogne à l'Aveyron et le nord des Pyrénées. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5°C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8/an) et chauds soutenu (entre 15 et 23/an). L'amplitude thermique annuelle (juillet-janvier) est proche du minimum et la variabilité interannuelle moyenne. Les précipitations, moyennes en cumul annuel (800-900 mm) tombent surtout l'hiver, l’été étant assez sec. (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    7. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
    1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
    2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
    4. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    5. EMP T5 - Emploi et activité.
    6. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
    7. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
    8. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    2. 1 2 Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « ZNIEFF 310013736 - Coteau et forêt domaniale d'Olhain », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur insee.fr (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noeux-les-Mines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    13. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Barlin, consultée le 25 octobre 2017
    14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume 2 : Formations non-romanes, Librairie Droz, Genève, 1990
    15. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 160, lire en ligne
    16. « La gare de Barlin », Barlin souvenirs, (consulté le ).
    17. Cent ans de vie dans la région, Tome II : 1914-1939, La Voix du Nord éditions, n° hors série du 17 février 1999, p. 39
    18. Journal officiel du 28 septembre 1920, p. 14314.
    19. (Source : réglementation de la prostitution durant l'entre-deux guerres. L'exemple du Nord de la France, de Hélène Duffuler-Vialle, 2015 - https://www.geneanet.org/archives/ouvrages/?action=detail&book_type=livre&livre_id=6851366&page=289&name=HERMARY&with_variantes=0&tk=2df5b86b9bd5cf48
    20. 1 2 Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Résultats officiels pour la commune Barlin
    22. « Pas-de-Calais (62) - Barlin », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
    23. Jean-Pierre Glorian, « À Barlin, le maire Julien Dagbert fait mieux que son père en 2014 : Pas de second tour à Barlin, le maire sortant Julien Dagbert a été élu dès le premier tour avec plus de 65 % des voix. Un opposant va déposer un recours en annulation en raison du coronavirus », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    24. « Barlin: Rémy Majorczyk, campagne d’un… « petit maire » ? », sur L'Avenir de l'Artois, .
    25. 1 2 Y. Le Maner, « MONSAURET Alfred », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
    26. « CAPIAUX Auguste : Né le 16 décembre 1893 ; docteur en médecine ; militant socialiste SFIO du Pas-de-Calais ; maire de Barlin (Pas-de-Calais) », Le Maitron en ligne, 25/10/2008 mis à jour=9/4/2017 (consulté le ).
    27. « Raymond Derancy (1906-1983) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
    28. Gilles Morin, « DERANCY Raymond : Né le 8 avril 1906 à Hersin-Coupigny (Pas-de-Calais), mort le 26 avril 1983 à Barlin (Pas-de-Calais) ; ouvrier, puis contrôleur des Houillères nationales ; militant et élu socialiste du Pas-de-Calais ; maire de Barlin (1947-1976) ; conseiller général de Bruay-en-Artois (1964-1970) ; député (1959-1967) », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
    29. « Hommage à Joseph Brabant, maire de Barlin de 1976 à 2002 : Un hommage à Joseph Brabant a été rendu jeudi, au columbarium du cimetière », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ) « Son fils unique Marc, Michel Dagbert, maire, Serge Janquin, député, ont tour à tour pris la parole à la mémoire de celui qui a été « au service de la population barloinoise » durant 49 ans, 23 ans comme premier adjoint (de 1953 à 1976), et 26 ans comme maire (de 1976 à 2002) ».
    30. « Barlin : Michel Dagbert passe la main, Gérard Paillard élu maire : Moi, je viens toujours une demi-heure à l’avance pour avoir une bonne place… » Mardi soir, il fait beau et il y a match mais, à l’heure de la « volta », les Barlinois préfèrent se poser en famille au conseil municipal plutôt qu’en terrasse », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ) « Pour la première fois depuis douze ans, il ne préside pas la séance : élu président du conseil général du Pas-de-Calais lundi 23 juin, il a de fait démissionné de son mandat de maire ».
    31. « M. Michel Dagbert : Aide-soignant
      Sénateur du Pas-de-Calais (Hauts-de-France)
       »
      , sur senat.fr (consulté le )
      .
    32. « Michel Dagbert élu président du Conseil Général du Pas-de-Calais : Le maire PS de Barlin a été élu avec 60 voix contre 13 pour l'UMP Michel Petit. Quatre conseillers généraux ont voté blanc », France 3 Hauts-de-France, 23/6/2014 mis à jour le 10/6/2020 (lire en ligne, consulté le ).
    33. Ruben Muller, « Gérard Paillard, maire de Barlin : « Pas un cheveu de ma tête n’aurait pensé que j’aurais pu être maire » : Quand il a ceint l’écharpe de premier adjoint en mars, « il n’était pas prévu que je sois maire ». Trois mois plus tard, Gérard Paillard, 68 ans, adjoint aux travaux pendant près de vingt ans, a pourtant succédé à Michel Dagbert, promu président du conseil général du Pas-de-Calais. Il enfile ainsi un costume longtemps porté par son beau-frère, un certain Joseph Brabant. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    34. « Barlin: le maire Gérard Paillard annonce sa démission à la cérémonie des vœux : Après le traditionnel discours, le maire Gérard Paillard a annoncé sa démission pour des raisons « personnelles et familiales », L'Avenir de l'Artois, (lire en ligne, consulté le ) « Il est élu à Barlin depuis 1989 et est maire depuis 2014 ».
    35. Ruben Muller, « Élu maire, Julien Dagbert, fils de Michel, a deux ans pour se faire un prénom : l y a dix jours, Gérard Paillard a annoncé sa démission lors de la cérémonie des vœux. Dimanche, les conseillers municipaux ont élu maire un des leurs, Julien Dagbert. Le candidat du groupe majoritaire a recueilli 21 voix contre 4 à David Carton (Dynamisme et démocratie) et 3 à Jean-Paul Courchelle (D’abord l’humain). », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    36. Benoît Fauconnier, « Julien Dagbert installé dans ses fonctions de maire de Barlin avec masques, visières et quelques invités : La première réunion du conseil municipal, celle de l’installation, s’est déroulée dans une ambiance inédite, propre à celle d’une crise sanitaire sans précédent. Le décor ? L’espace culturel, à Actigreen, de bonne dimension pour respecter les distances », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    37. Ru. Mu., « Barlin : Un week-end franco-polonais pour inaugurer une année en blanc et rouge », La Voix du Nord,  : « Le comité de jumelage avec Marklowice va également être réactivé. »
    38. « Pas-de-Calais (62), Barlin, écoles »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    39. « Pas-de-Calais (62), Barlin, collège »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    40. « Basket Ball Barlin », sur quodomo.com, (consulté le ).
    41. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
    42. Il fait bon vivre à Barlin
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    46. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Barlin (62083) », (consulté le ).
    47. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    48. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    49. « Bassin minier du Nord-Pas de Calais », sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
    50. « Liste des 109 lieux et des 353 sites qui les composent » [PDF] (217 Mo), sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
    51. « Fosse n° 7 de la compagnie des mines de Vicoigne-Nœux-Drocourt et du groupe de Béthune des Houillères du Bassin du Nord et du Pas-de-Calais », notice no PA62000111, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    52. 1 2 « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
    53. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).