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Phalsbourg
Phalsbourg
La place d'Armes, avec, au fond, la mairie.
À droite, la statue de Georges Mouton,
maréchal-comte de Lobau.
Blason de Phalsbourg
Blason
Phalsbourg
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Sarrebourg-Château-Salins
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Phalsbourg
Maire
Mandat
Jean-Louis Madelaine
2020-2026
Code postal 57370
Code commune 57540
Démographie
Gentilé Phalsbourgeois
Population
municipale
4 700 hab. (2020 en diminution de 0,95 % par rapport à 2014)
Densité 357 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 46′ 07″ nord, 7° 15′ 33″ est
Altitude Min. 200 m
Max. 384 m
Superficie 13,15 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Phalsbourg
(ville-centre)
Aire d'attraction Phalsbourg
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Phalsbourg
(bureau centralisateur)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Phalsbourg
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Phalsbourg
Liens
Site web phalsbourg.fr

    Phalsbourg (allemand : Pfalzburg) est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est.

    Cette commune se trouve dans la région historique de Lorraine et fait partie du pays de Sarrebourg.

    Ses habitants sont appelés les Phalsbourgeois.

    Géographie

    Bourg d'environ 4 800 habitants, fondée en 1570 par le comte palatin Georges-Jean de Palatinat-Veldenz à qui elle doit son nom, cédée au duc de Lorraine en 1590 puis, à l'époque de l'occupation Française, fortifiée par Vauban, Phalsbourg, annexée par la France en 1661, se situe à la frontière de la Lorraine et de l'Alsace.

    Linguistiquement la commune est coupée en deux : étant à l'ouest en zone francique et à l'est en zone alémanique.

    Localisation

    Phalsbourg est distante de 42 km de Strasbourg, de 80 km de Nancy, de 88 km de Metz et de 360 km de Paris (distance orthodromique)[1].

    Géologie et relief

    Phalsbourg fait partie du parc naturel régional des Vosges du Nord et de la réserve de biosphère transfrontalière des Vosges du Nord-Pfälzerwald.

    Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
    Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
    Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

    Écarts et lieux-dits

    • Buchelberg au nord,
    • Les Maisons Rouges (Rothhäuser) à l’ouest,
    • La Roulette (Rollweiler) à l’est,
    • Bois de Chênes (Eichwälder ou Eichbaracken),
    • Trois-Maisons (Dreihäuser) au sud.

    Sismicité

    Commune située dans une zone de sismicité 3 modérée[2].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte topographique

    Hydrographie et les eaux souterraines

    La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Nesselbach, le ruisseau Charbonnerie, le ruisseau de Brunnenthal, le ruisseau Fond de Fouquet et le ruisseau Hesselgraben[Carte 1].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Phalsbourg.

    Communes limitrophes

    Rose des vents Vilsberg Rose des vents
    Mittelbronn N Danne-et-Quatre-Vents
    O Phalsbourg E
    S
    Dannelbourg Lutzelbourg

    Urbanisme

    Typologie

    Phalsbourg est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].

    Elle appartient à l'unité urbaine de Phalsbourg, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[6] et 5 773 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Phalsbourg, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 3 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (57,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (27,7 %), zones agricoles hétérogènes (23,2 %), zones urbanisées (22,2 %), forêts (18 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,6 %), terres arables (3,3 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Voies de communication et transports

    Entrée de la ville par la route de Sarrebourg (ancienne RN4).

    La communauté de communes est devenue Autorité organisatrice de la mobilité (AOM).

    • Fluo Grand Est.

    Voies routières

    Phalsbourg est traversée par la route nationale 4 (qui devient la route départementale 604 entre l'entrée ouest de la commune et la limite entre les départements de la Moselle et du Bas-Rhin), l'autoroute A4 et la route départementale 38 ; elle constitue également l'origine de la route départementale 661 (ancienne route nationale 61).

    Voies ferrées

    Affiche des Chemins de fer d'Alsace et de Lorraine, la porte de France à Phalsbourg.

    La gare de Phalsbourg était située sur l'ancienne ligne à voie métrique de Lutzelbourg à Drulingen aujourd'hui déclassée et déposée. Une autre gare se trouvait à l'ouest de la commune au lieu-dit Maisons-Rouges. Le quartier La Horie disposait d'un embranchement ferroviaire qui le reliait à la ligne de Réding à Drulingen.

    La gare ouverte au service voyageurs la plus proche est celle de Lutzelbourg.

    La commune est traversée, au nord, par la ligne à grande vitesse Est européenne.

    Toponymie

    • Phalsbourg : du germanique Pfalz « palais / dignité de comte palatin » et Burg « place-forte du prince palatin »[12]: Pfalzburg (1576), Pfaltzbourg (1591), Pfalzburgum et Pfalzburg (1751), Pfalzburg (1871-1918) ;
    • Buchelberg : Spiegelberge (XVe siècle), Buchel (1719), Pigelberg (Cassini). Bichelberj en francique lorrain[14] ;
    • Les Trois-Maisons : Drej Hiser en francique lorrain[14].
    • Les Baraques du Bois de Chênes : Eich-Baracken (1845)[15]. Eich-Baraques en francique lorrain[14].

    Sobriquet

    • Surnoms à propos des Phalsbourgeois : Les Ramp-pis / Les Ramp-chis[16]. Ramp est une abréviation de rempart, Pis et Chis sont des abréviations évoquant une besogne dégoûtante.

    Histoire

    Pfalzburg 1690.

    Époque moderne

    Porte fortifiée. — Les portes des villes fortifiées sont munies de ponts-levis jetés sur les fossés qui entourent les remparts ; quand on lève les ponts et qu’on ferme les portes, nul ennemi ne peut entrer dans la ville. — Phalsbourg a été fortifiée par Vauban et démantelée par les Allemands. Traversée par la route de Paris à Strasbourg, elle n’a que deux portes : la porte de France à l’ouest et la porte d’Allemagne au sud-est, qui sont des modèles d’architecture militaire.
    G. Bruno : Le Tour de la France par deux enfants, première illustration de l'édition de 1904.
    Phalsbourg 1850

    La ville de Phalsbourg est créée en 1570 par le comte palatin Georges-Jean de Veldenz, prince protestant, grâce à la dot de son épouse Anna-Maria, fille du roi de Suède Gustave Ier Vasa. La fondation est motivée par l’accueil des réformés et huguenots persécutés en France, alors indésirables dans le très catholique duché de Lorraine. Le comte palatin possède déjà le château d'Einartzhausen dans son comté de la Petite-Pierre, enclavé en Lorraine. Il fait tracer à proximité de ce château le plan d’une ville nouvelle, en damier, symbole alors d’ordre et de modernité, et accorde des franchises aux nouveaux habitants qui viennent peupler la ville. La création de Phalsbourg est reconnue le par l’empereur Maximilien II du Saint-Empire. La ville prend le nom de Pfalzburg, « Pfalz » signifiant Palatinat et « Burg », forteresse.

    Toutefois, par manque d’argent, la ville est cédée au duc de Lorraine dès 1590 et les tentatives d’expulsion des réformés se multiplient, non sans se heurter à une farouche résistance de la population. Le comte palatin Georges-Gustave, fils aîné et héritier de Georges-Jean, fonde alors Lixheim en 1608, qui connaît le même sort que Phalsbourg en 1623.

    Phalsbourg et Lixheim forment une éphémère principauté de 1629 à 1660, au profit de Henriette de Lorraine, sœur du duc Charles IV de Lorraine, et de ses maris successifs, au premier rang desquels Louis de Guise, baron d'Ancerville.

    De 1634 à 1697, la Lorraine est occupée presque sans discontinuer par les troupes françaises. Les fortifications de la ville sont remaniées et complétées par Vauban qui fait reconstruire la ville en partie détruite lors de la guerre de Trente Ans[Note 3]. La commune est annexée au royaume de France en 1661 via le traité de Vincennes. Par la suite, le bailliage et la prévôté de Phalsbourg dépendent de la généralité de Metz. À la suite de la Révolution française, la ville est intégrée au département de la Meurthe en 1790 et devient alors chef-lieu de canton[17].

    XIXe siècle

    Au XIXe siècle, Phalsbourg voit la naissance du maréchal Mouton, comte de Lobau, ainsi que la rencontre entre les deux auteurs régionalistes Émile Erckmann et Alexandre Chatrian.

    La ville subit trois sièges (1814, 1815 et 1870), lui valant le surnom de « Pépinière des Braves ».

    De 1870 à 1945

    Le , lors de la guerre franco-prussienne, Phalsbourg est défendue par le 63e régiment d'infanterie de ligne et le 1er bataillon de la garde nationale mobile de la Meurthe sous le commandement de Pierre Taillant. Elle est assiégée jusqu'au 12 décembre, date à laquelle les défenseurs succombent sous le nombre.

    Après le traité de Francfort le , la ville est annexée à l’Empire allemand. Rebaptisée Pfalzburg, elle est alors rattachée à l'arrondissement de Sarrebourg, nouvel arrondissement du Reichsland Elsass-Lothringen. Durant la période allemande, une première ligne de chemin de fer est mise en service le avec l'ouverture de la section Lutzelbourg - Phalsbourg de la ligne de Lutzelbourg à Drulingen. En 1914, les conscrits phalsbourgeois, comme la plupart des Alsaciens-Lorrains, se battent sous les couleurs de l'Empire.

    En 1918, après la fin de la Première Guerre mondiale et la signature du traité de Versailles, Phalsbourg redevient française comme le reste de l'Alsace-Lorraine, et fait désormais partie du nouveau département de la Moselle. Le , le président de la République Raymond Poincaré vient décerner à Phalsbourg la croix de chevalier de la Légion d’honneur pour son comportement héroïque lors du siège de 1870.

    Durant la Seconde Guerre mondiale, la ville est de nouveau annexée, cette fois par le IIIe Reich allemand. Son nom redevient Pfalzburg et elle est rattachée au Gau Westmark.

    Le [18], malgré la combativité des troupes allemandes qui s'accrochent en Lorraine depuis septembre, la ville est prise par la 7e armée américaine. Un odonyme local (rue du 23-Novembre) rappelle cet évènement.

    Depuis 1945

    En 1953, l’United States Air Forces in Europe entreprend la construction de la base aérienne de Phalsbourg-Bourscheid à trois kilomètres à l'ouest de la commune. Une cité comportant une quarantaine de pavillons est construite route de Trois-Maisons pour loger une partie des militaires américains et leurs familles. En 1959, elle prend le nom de cité Clark en mémoire du colonel Walter E. Clark mort en service aérien le 30 avril 1958.

    La base de Phalsbourg est utilisée par les Américains jusqu’en 1967, date du retrait de la France du commandement intégré de l’OTAN. Le site est alors renommé quartier La Horie et devient une base d'hélicoptères de l'Aviation légère de l'Armée de terre.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Premier Empire Charles-Joseph Parmentier
    XIXe siècle Désiré Parmentier Fils de Charles-Joseph Parmentier
    1860 1867 M. Germain Gendre du précédent
    Avant 1870 François Alexandre Bender[19]
    Les données manquantes sont à compléter.
    Auguste Heitz
    (1904-1998)
    Professeur de lycée
    Les données manquantes sont à compléter.
    Oscar Gérard
    (1923-2019)
    DVD puis UDF Professeur d’histoire-géographie, maire honoraire
    Conseiller général du canton de Phalsbourg (1972 → 1982)

    (démission)
    Jean Riehl
    (1930-2001)
    Ancien directeur des services techniques de la ville de Sarrebourg
    Dany Kocher
    (1960- )
    UDF puis MoDem Président de la CC du Pays de Phalsbourg (2014 → 2020)
    [20] En cours Jean-Louis Madelaine
    (1954- )
    DVC Cadre de la fonction publique

    Budget et fiscalité 2021

    En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[21] :

    • total des produits de fonctionnement : 5 683 000 , soit 1 142 par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 4 984 000 , soit 1 001 par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 5 786 000 , soit 1 162 par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 3 203 000 , soit 644 par habitant ;
    • endettement : 444 000 , soit 892 par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 18,74 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 25,48 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 53,70 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 200 [22].

    Sécurité

    La commune dispose d'une brigade de gendarmerie.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[23] :

    • Médecins à Phalsbourg, Dannelbourg, Saverne, Monswiller, Gottenhouse, Arzviller,
    • Pharmacies à Phalsbourg, Lutzelbourg, Garrebourg, Saverne,
    • Hôpitaux à Phalsbourg, Saverne, Niderviller, Reutenbourg, Sarrebourg.

    L'ancien hôpital de Phalsbourg a fermé fin 1991. Il est transformé en centre soins-études pour adolescents géré par la Fondation Vincent de Paul.

    Garnison

    Le groupe d'aviation légère du 1er corps d'armée (GALCA 1) est formé au quartier La Horie le . Il devient le 1er régiment d’hélicoptères de combat (1er RHC) le .

    La base accueille aussi le groupement de soutien de la base de défense de Phalsbourg (GSBdD), l'unité de soutien de l'infrastructure de la Défense de Phalsbourg (USID), la 42e antenne médicale, une antenne du Service industriel de l'aéronautique (SIAé) et un dépôt des essences (DEALAT).

    Autres unités ayant tenu garnison à Phalsbourg :

    • 1er régiment de chasseurs, 1969-1976 ;
    • 68e régiment d'artillerie, 1976-1984 ;
    • 6e régiment d'artillerie, 1984-1993 ;
    • 2e et 3e escadrilles du 4e régiment d'hélicoptères de commandement et de manœuvre, 1985-1999 ;
    • 9e régiment de soutien aéromobile, 1987-1999 ;
    • 6e régiment du matériel, 1999-2005 ;
    • 15e base de soutien du matériel, 2005-2014.

    Économie

    Entreprises et commerces

    Agriculture et élevage

    • Élevage de vaches laitières[24].
    • Élevage d'autres bovins et de buffles.
    • Culture et élevage associés.
    • Élevage d'autres animaux.
    • Élevage d'ovins et de caprins.
    • Aquaculture en eau douce.

    Tourisme

    • Hôtels.
    • Restaurants.
    • Gîtes de France.

    Commerces

    Commerces et services de proximité[25].

    Depuis 1976, Phalsbourg accueille le siège du groupe FM Logistic et ses 300 employés[26].

    L'usine de fabrication de panneaux de particules Depalor, qui comptait une centaine de salariés, a été détruite par un incendie le . En novembre de la même année, le groupe Swiss Krono, propriétaire de l'usine, décide de fermer définitivement le site[27].

    La zone d'activité Maisons-Rouges, à l'entrée ouest de la commune, regroupe une trentaine entreprises et plus de 500 emplois[28].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

    En 2020, la commune comptait 4 700 habitants[Note 4], en diminution de 0,95 % par rapport à 2014 (Moselle : +0,38 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 9343 2003 5653 4673 6113 7223 5403 6343 675
    1856 1861 1871 1875 1880 1885 1890 1895 1900
    4 1253 6854 1453 8573 3793 6354 4143 8443 733
    1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    3 7213 1543 0732 4762 6023 0523 0933 4383 343
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
    3 3793 9053 8484 1894 4994 6304 6084 7534 745
    2019 2020 - - - - - - -
    4 7294 700-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[31]. |recens-prem=2004 |.)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[32] :

    • École primaire du centre ;
    • Collège et lycée Erckmann-Chatrian, fondé en 1803 et connaissant diverses dénominations au cours de son histoire ;
    • Collège et lycée privés Saint-Antoine, fondé en 1933.

    Cultes

    • Culte catholique, Archiprêtré de Phalsbourg Communauté St Jean Baptiste des Portes d'Alsace[33] Communauté St Jean Baptiste des Portes d'Alsace, Diocèse de Metz.
    • Culte protestant[34],[35].
    • Culte israélite[36] .

    Culture locale et patrimoine

    En 2017, Cédric Jung a créé l'application mobile « Découvrir Phalsbourg » permettant de faire découvrir la commune à ses visiteurs[37].

    Vie culturelle

    Le théâtre et la littérature ont droit de cité à Phalsbourg. La commune accueille en effet depuis plus de trente ans un festival consacré au théâtre[38]. La ville a également un lien privilégié avec la littérature. Le Tour de la France par deux enfants, livre de lecture pour l'école primaire, première édition en 1877, par G. Bruno, commence à Phalsbourg, dans la province perdue cédée à l'Empire allemand en 1870. Les romans d’Erckmann-Chatrian mettent parfois en scène Phalsbourg : c’est entre autres la ville natale du soldat de l'Histoire d’un conscrit de 1813.

    Lieux et monuments

    Édifices civils

    • Musée historique et Erckmann-Chatrian[39] ;
    • Les portes de France [40] et d’Allemagne[41] (les fortifications ont été complétées par Vauban[42] à partir de 1679)[43] ;
    • Château d'Einartzhausen[44], le premier château fondé en 1390 par le comte Henri de Lutzelstein fut construit afin de commander le passage des cols vosgiens. En 1568, le comte Georges-Jean de Veldenz fit reconstruire le château dans le style Renaissance. Vendu en 1588 au duc de Lorraine Charles III de Lorraine (ISMH) ;
    • Hôtel de Ville - ancien corps de garde (ISMH)[45],[46] ;
    • Ensemble des maisons de la place d’Armes (ISMH)[47],[48],[49],[50],[51],[52],[53],[54],[55],[56],[57],[58],[59],[60],[61],[62],[63] ;
    • Maison - 2 rue du Collège ;
    • Maison - 1 rue du Général-Micheler ;
    • La place d’Armes (Site inscrit du "Sol de la Place d'Armes", par arrêté ministériel du 26.02.1936) ;
    • Immeuble - 2 rue Lobau (ISMH)[64] ;
    • Immeuble - 202 rue Castelnau[65] ;
    • Immeuble - 201 rue du Maréchal-Foch[66] ;
    • Caserne Lobau ;
    • Ancien cimetière militaire, créé vers 1750 ;
    • Le char Bourg-la-Reine, situé à l'entrée ouest de la commune[67], ce char Sherman faisait partie de la 2e division blindée. Il a été touché par plusieurs tirs d'obus de 88 mm le lors de la libération de l'Alsace-Moselle, le premier tir causant la mort de son pilote le brigadier-chef Lucien Barrau[68].
    • Le monument des 3 sièges[69].
    • Le Grognard dit Soldat de l'An 2[70].
    • La Fée de la Forêt[71].
    • Lavoirs[72].
    • La mairie (ancien corps de garde).
      La mairie (ancien corps de garde).
    • La statue Lobau (Maréchal Mouton) sur la place d’Armes.
      La statue Lobau (Maréchal Mouton) sur la place d’Armes[73].
    • Monument Erckmann-Chatrian.
      Monument Erckmann-Chatrian.
    • Porte de France.
      Porte de France.
    • Porte d'Allemagne.
      Porte d'Allemagne.
    • Ancienne caserne Lobau.
      Ancienne caserne Lobau.
    • Nid de cigognes à Phalsbourg.
      Nid de cigognes à Phalsbourg.
    • L'ancienne gare de Phalsbourg.
      L'ancienne gare de Phalsbourg.
    • Ancien cimetière militaire.
      Ancien cimetière militaire.
    • Le char Bourg-la-Reine.
      Le char Bourg-la-Reine.

    Édifices religieux

    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption, 1876, néo-gothique. La façade sur la place d'Armes est inscrite sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques[74],[75],[76],[77],[78] ;
    • Église de l'Immaculée-Conception, à Trois-Maisons ;
    Orgue de tribune[79],[80],[81].
    • Chapelle Saint-Jean[82],[83] ;
    • Chapelle du collège Saint-Antoine ;
    • Chapelle moderne de l'hôpital ;
    • Église luthérienne[84], rue du Collège, ancienne salle de danse désaffectée qui servit de salle de prière, construction du XVIIe siècle. Celle-ci fut transformée en lieu de culte en 1822, clocheton avec deux cloches en 1835, un orgue en 1844, l'autel en 1857 ;
    • Église néo-apostolique, rue de la Gare ;
    • Synagogue[85], rue Alexandre-Weill, reconstruite en 1857 sur l'emplacement d'une ancienne datant de 1772, désaffectée en 2008[86],[87] ;
    • Vieux cimetière israélite, lieu-dit Schlossbrunnen. Présence d'une communauté juive dès la fin du XVIIe siècle[88]. Important rabbinat pendant le XIXe siècle. Le cimetière, créé en 1796, agrandi entre 1867 et 1871, également utilisé par les juifs de Mittelbronn (auparavant, le secteur dépendait de Saverne). Comporte plus de 500 tombes, ainsi que des rangées de stèles du XIXe siècle et de la première moitié du XXe siècle[89].
    • Monuments aux morts[90] : Conflits commémorés : 1870-1871- 1914-1918[91] - 1939-1945.
    • Grotte de Lourdes[92],[93].
    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption.
      Église Notre-Dame-de-l'Assomption.
    • Orgues sur tribune.
      Orgues sur tribune.
    • Église de l'Immaculée-Conception de Trois-Maisons.
      Église de l'Immaculée-Conception de Trois-Maisons.
    • Église luthérienne.
      Église luthérienne.
    • Synagogue (désaffectée).
      Synagogue (désaffectée).
    • Chapelle du collège Saint-Antoine.
      Chapelle du collège Saint-Antoine.
    • Chapelle de l'hôpital.
      Chapelle de l'hôpital.
    • Chapelle Saint-Jean.
      Chapelle Saint-Jean.
    • Église néo-apostolique.
      Église néo-apostolique.
    • Grotte de Lourdes.
      Grotte de Lourdes.
    • Monument aux morts de 14-18 et 39-45.
      Monument aux morts de 14-18 et 39-45.

    Espaces verts

    Le sentier botanique du Brunnenthal[94],[95], d'une longueur d'environ 4 kilomètres, compte une trentaine de panneaux permettant de découvrir les principales essences des Vosges du Nord.

    Personnalités de la commune

    Personnalités nées à Phalsbourg

    Personnalités liées à Phalsbourg

    • Alexandre Chatrian (1826-1890), écrivain.
    • Augustin Schoeffler (1822-1851), prêtre missionnaire des Missions étrangères de Paris, a étudié à Phalsbourg.
    • Charles-Joseph Parmentier (1765-1843), homme politique français, maire de Phalsbourg.
    • David David-Weill (1871-1952), banquier.
    • Georges-Jean de Palatinat-Veldenz (1568-1590), fondateur de Phalsbourg.
    • Henriette de Lorraine (1605-1660) (1606-1660), princesse de Saint-Avold, Lixheim et Phalsbourg.
    • Joseph Victorin Nevinger (1736-1808), général français de la Révolution et de l’Empire.
    • Lazare Isidor (1813-1888), rabbin de Phalsbourg, grand rabbin de France.
    • Mathilde Salomon (1837-1909), pédagogue et pionnière de l’éducation féminine.
    • Nicolas Krick (1819-1854), prêtre de Phalsbourg, puis missionnaire des Missions étrangères de Paris.
    • Sébastien Le Prestre de Vauban.

    Héraldique

    Blason de Phalsbourg Blason
    Parti : au 1er de sable à la croix d'argent, au 2e d'azur à la fleur de lis d'or.
    Devise
    Pépinière des braves[Note 5] (c'est Napoléon Ier qui se plaisait à appeler Phalsbourg ainsi)[96].
    Détails
    La ville de Phalsbourg utilise ces armoiries depuis le début du XVIIIe siècle. Elle adopta par erreur ce blason qui figurait dans l'armorial de la généralité d'Alsace de 1696 sous le nom de Philisbourg alors qu'il s'agissait en réalité de Philippsbourg, dans le pays de Bade[97].
    Alias
    Blason à dessiner
    Blason à dessiner
    D'azur, à la forteresse donjonnée d'argent, sur le sommet de laquelle flotte un panonceau d'or, chargé d'un alérion de gueules.
    Les anciennes armoiries de Phalsbourg, c'est-à-dire les armes de 1608, sont un écu sur lequel on voit un château donjonné, surmonté d'un drapeau chargé d'un alérion. Les couleurs font défaut, mais il semble possible de les rétablir de cette manière[96].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Phalsbourg est parfois présentée comme une ville créée par Vauban, ce qui est faux au sens strict du mot.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    5. Pour avoir été le berceau d’un nombre impressionnant de généraux.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Phalsbourg » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
    2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. Distances mesurées grâce à Google Earth.
    2. Didacticiel de la réglementation parasismique
    3. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Phalsbourg », sur insee.fr (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Phalsbourg », sur insee.fr (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le )
    12. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France 2, volume 2, p. 725.
    13. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, 1862.
    14. 1 2 3 4 Geoplatt
    15. Administration générale des postes, Dictionnaire des postes aux lettres, Paris, Imprimerie Royale, 1845.
    16. Passé-Présent : La Moselle dévoilée, n° 4, novembre-décembre 2011.
    17. 1 2 Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. 1944-1945, Les années Liberté, Le Républicain Lorrain, Metz, 1994, p. 15.
    19. Recherches de Robert Depardieu
    20. Marie Gall, « Jean-Louis Madelaine officiellement maire : "L'heure est à l’action" », Le Républicain Lorrain, (lire en ligne)
      « Jean-Louis Madelaine, tête de la liste victorieuse au soir du 2e tour des municipales, a été élu maire de Phalsbourg lors de la séance d’installation du conseil municipal. »
    21. Les comptes de la commune
    22. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    23. Professionnels et établissements de santé
    24. Annuaire
    25. Commerces et services de proximité
    26. « FM Group se déploie », article des DNA du 29 septembre 2015.
    27. « Les Depalor saisissent les Prud’hommes », article Le Républicain Lorrain du 22 juillet 2015.
    28. Les zones d’activités sur le site de la commune (consulté le 10 octobre 2017).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Établissements d'enseignements
    33. Archiprêtré de Phalsbourg
    34. Cultes à Phalsbourg
    35. Paroisse luthérienne de Phalsbourg
    36. Les Juifs à Phalsbourg
    37. « Cédric Jung fait découvrir la place d’Armes de Phalsbourg au monde avec son appli », Le Républicain Lorrain, (lire en ligne, consulté le ).
    38. Le festival de théâtre sur phalsbourg.fr.
    39. Monument Erckmann-Chatrian
    40. Porte de France
    41. Porte d'Allemagne
    42. « Plan des fortifications de Vauban », notice no AP71P00314, base Mémoire, ministère français de la Culture
    43. « Porte de France, façade ouest », notice no MHR44_20225700031, base Mémoire, ministère français de la Culture
    44. « Château d'Einartzhausen (ancien). Façade sud, vue générale », notice no MHR44_20215700035, base Mémoire, ministère français de la Culture
    45. « Hôtel de ville », notice no PA00106937, base Mérimée, ministère français de la Culture
    46. L'Hôtel de ville, ancien corps de garde
    47. « Immeuble 52 place d'Arme », notice no PA00106938, base Mérimée, ministère français de la Culture
    48. « Immeuble 54 place d'Armes », notice no PA00106940, base Mérimée, ministère français de la Culture
    49. « Immeuble 55 place d'Armes », notice no PA00106941, base Mérimée, ministère français de la Culture
    50. « Immeuble 56 place d'Armes », notice no PA00106942, base Mérimée, ministère français de la Culture
    51. « Immeuble 57 place d'Armes », notice no PA00106943, base Mérimée, ministère français de la Culture
    52. « Immeuble 58 place d'Armes », notice no PA00106944, base Mérimée, ministère français de la Culture
    53. « Immeuble 61 place d'Armes », notice no PA00106946, base Mérimée, ministère français de la Culture
    54. « Immeuble 62 place d'Armes », notice no PA00106947, base Mérimée, ministère français de la Culture
    55. « Immeuble 77 place d'Armes », notice no PA00106948, base Mérimée, ministère français de la Culture
    56. « Immeuble 81 place d'Armes », notice no PA00106952, base Mérimée, ministère français de la Culture
    57. « Immeuble 117 place d'Armes », notice no PA00106953, base Mérimée, ministère français de la Culture
    58. « Immeuble 118 place d'Armes », notice no PA00106954, base Mérimée, ministère français de la Culture
    59. « Immeuble 119 place d'Armes », notice no PA00106955, base Mérimée, ministère français de la Culture
    60. « Immeuble 120a place d'Armes », notice no PA00106956, base Mérimée, ministère français de la Culture
    61. « Immeuble 121 place d'Armes », notice no PA00106957, base Mérimée, ministère français de la Culture
    62. « Immeuble 122 place d'Armes », notice no PA00106958, base Mérimée, ministère français de la Culture
    63. « Immeuble 123 place d'Armes », notice no PA00106959, base Mérimée, ministère français de la Culture
    64. « Immeuble 129 rue Lobau », notice no PA00106965, base Mérimée, ministère français de la Culture
    65. « Immeuble - 202 rue Castelnau », notice no PA00106963, base Mérimée, ministère français de la Culture
    66. « Immeuble - 201 rue du Maréchal-Foch », notice no PA00106968, base Mérimée, ministère français de la Culture
    67. Le char "Bourg la Reine"
    68. Phalsbourg : Sherman "Bourg-la-Reine" sur le site Matériels Terrestres 39/45 (consulté le 24 novembre 2017).
    69. Le monument des 3 sièges
    70. Le Grognard dit Soldat de l'An 2
    71. La Fée de la Forêt
    72. Circulaire des Lavoirs - Phalsbourg
    73. Le général Mouton, Comte de Lobau
    74. « Église », notice no PA00106934, base Mérimée, ministère français de la Culture
    75. L'église Notre Dame de L'Assomption de Phalsbourg (extérieur)
    76. Eglise de Phalsbourg (intérieur)
    77. L'église aux 26 rosaces
    78. Les vitraux du chœur de l'église
    79. « Orgue de tribune, vue partielle », notice no AP57W02168, base Mémoire, ministère français de la Culture
    80. Notice no PM57000750, base Palissy, ministère français de la CultureOrgue de tribune
    81. Orgue Andreas Müller (1719) - Charles Wetzel (1879) - François Delangue (1988)
    82. La chapelle Saint-Jean
    83. La Chapelle St Jean Baptiste de Phalsbourg
    84. Le temple protestant
    85. « Synagogue. Façade sur rue, vue générale », notice no MHR44_20215700040, base Mémoire, ministère français de la Culture
    86. La Communauté de Phalsbourg
    87. La Synagogue
    88. « Vieux cimetière israélite. Vue générale du cimetière », notice no MHR44_20215700036, base Mémoire, ministère français de la Culture
    89. Histoire du judaïsme en Alsace-Lorraine.
    90. Monuments aux morts
    91. Monument aux morts de 14-18
    92. Liste de répliques de la grotte de Lourdes
    93. La grotte de Lourdes
    94. Sentier botanique du Brunnenthal
    95. Érigé en 1796, le cimetière juif de Phalsbourg est le point de départ de ce sentier circulaire
    96. 1 2 Constant Lapaix, Armorial des villes, bourgs et villages de la Lorraine, du Barrois et des Trois-Évêchés, Nancy, Chez l'auteur
    97. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.

    Annexes

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/