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Romainville
Romainville
La mairie.
Blason de Romainville
Blason
Romainville
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-Saint-Denis
Arrondissement Bobigny
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Est Ensemble
Maire
Mandat
François Dechy (DVG)
2020-2026
Code postal 93230
Code commune 93063
Démographie
Gentilé Romainvillois
Population
municipale
31 469 hab. (2020 en augmentation de 22,78 % par rapport à 2014)
Densité 9 148 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 53′ 01″ nord, 2° 26′ 10″ est
Altitude Min. 54 m
Max. 123 m
Superficie 3,44 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Bagnolet
Législatives 9e circonscription de la Seine-Saint-Denis
Localisation
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Liens
Site web https://www.ville-romainville.fr/

    Romainville est une commune française située dans le département de la Seine-Saint-Denis, en région Île-de-France.

    Ses habitants sont appelés les Romainvilloises et les Romainvillois.

    Géographie

    Localisation

    La commune se situe à km à l'est de Paris, à l'extrémité orientale de la colline de Belleville.

    Communes limitrophes

    Romainville est limitrophe des Lilas, de Montreuil, Bagnolet, Noisy-le-Sec, Pantin et Bobigny

    Communes limitrophes de Romainville
    Pantin Bobigny
    Les Lilas Romainville Noisy-le-Sec
    Bagnolet Montreuil

    Urbanisme

    Typologie

    Romainville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[4] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[7],[8].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 12 387, alors qu'il était de 10 922 en 2013 et de 10 736 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 92,2 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 7,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 20,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 78,4 % des appartements[I 1].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Romainville en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Saint-Denis et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,7 %) inférieure à celle du département (1,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 36,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (38,9 % en 2013), contre 38,8 % pour la Seine-Saint-Denis et 57,5 % pour la France entière[I 2].

    Le logement à Romainville en 2018.
    Typologie Romainville[I 1] Seine-Saint-Denis[I 3] France entière[I 4]
    Résidences principales (en %) 92,2 93 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,7 1,1 9,7
    Logements vacants (en %) 7,2 5,9 8,2

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par l'échangeur Sortie 02 de l'autoroute A3.

    L'autoroute A3 en travaux en 2021.

    Transports en commun

    La commune de Romainville est desservie par ces lignes de bus de la RATP :

    • 105 (Mairie, Place Carnot, Cinéma le Trianon)
    • 129 (Mairie, Place Carnot, Cinéma le Trianon Fort de Noisy)
    • 145 (Zone industrielle Roussel UCLAF, Cité Parat)
    • 147 (Zone industrielle)
    • 301 (Fort de Noisy)
    • 318 (Cité Cachin, Place Carnot, Mairie, Fort de Romainville, Cité Parat)
    • 322 (Parc communal, Mairie, Fort de Noisy, Complexe sportif Jean-Guimet, Place Carnot)
    • 330 (par les arrêts Jules Jaslin et Raymond Queneau - Anatole France à la limite de Pantin)
    • 545

    Romainville ne dispose pas de gare SNCF ni de station de métro pour le moment , cependant, la station Raymond Queneau de la ligne (M)(5) du métro de Paris, qui se trouve à Pantin, est néanmoins située à proximité immédiate de la limite communale de Romainville, et permet aux habitants du nord de la ville de s'y rendre.

    Prolongement de la Ligne 11
    Chantier de construction de la ligne 11 en 2019.

    La ville sera prochainement desservie par la ligne 11 du métro de Paris prolongée jusqu'à la gare RER de Rosny - Bois-Perrier puis à terme à celle de Noisy - Champs). Après celui de la RATP, en , le Conseil d’Administration du STIF a adopté en la convention de financement relative aux études de projet du prolongement de la ligne 11 à Rosny - Bois-Perrier, pour un montant de 60 millions d'euros. Les travaux préparatoires pour le prolongement de la ligne ont démarré en à Romainville. Les travaux de construction à proprement parler doivent débuter en 2016. Le 21 février 2023, la RATP annonce un retard de livraison. L'inauguration est donc repoussée au printemps 2024[9].

    Deux stations concerneront Romainville :

    • La station Serge Gainsbourg se trouvera à proximité de la limite communale avec Les Lilas, sous le boulevard du Général Leclerc, entre les squares Henri Dunant et Giraud. Elle assurera la desserte du cœur de ville, du quartier Cachin, et de la future place des commerces.
    • Quant à la station Romainville - Carnot, où se situe le cinéma Le Trianon, elle permettra une connexion avec la ligne de tramway T1.
    • La station Montreuil - Hopital sera située à proximité de la limite communale avec Montreuil, sous le boulevard de la Boissière, où se trouve Le Centre hospitalier intercommunal André-Grégoire , cette station desservira le quartier des Trois Communes.

    Projet d'une nouvelle sortie du métro sur le territoire de Romainville

    • la RATP étudie une nouvelle sortie de la station Raymond Queneau du (M)(5) sur l'avenue Gaston-Roussel dans le cadre du réaménagement du quartier Raymond Queneau.
    Projet de tramway
    Chantier de préparation de l'extension de la ligne 1 du tramway d'Île-de-France le long de la rue Albert Thomas, Romainville en 2019. Le pont était celui de l'autoroute A186 fermée à la circulation en 2019 pour accueillir la ligne 1 du tramway.

    Par ailleurs, la ligne 1 du tramway d'Île-de-France devait desservir Romainville à l'horizon 2023. Le prolongement est en effet acté et prévoit la desserte des communes de Bobigny, Noisy-le-Sec, Romainville, Montreuil, Rosny-sous-Bois et Fontenay-sous-Bois. Le tramway T1 de Bobigny à Val de Fontenay constituera le transport en commun en rocade le plus long autour de Paris (près de 25 km). Un double terminus sera réalisé à la station Bobigny - Pablo Picasso. Il permettra d'assurer un fonctionnement en deux arcs jusqu'à Asnières-Gennevilliers (Hauts-de-Seine) d’une part et Val de Fontenay d’autre part.

    Trois stations seront situées sur le territoire de Romainville :

    • la station Romainville - Carnot, située au sud de la place entièrement requalifiée avec pour objectif d’accorder une priorité aux piétons. Un pôle intermodal verra le jour, renforcé par l’arrivée de la ligne 11 du métro ;
    • la station Collège Courbet sera installée devant le collège, à 500 mètres du lieu de l’interconnexion avec la ligne 11 du métro et à 400 mètres de la station « Libre Pensée » ;
    • la station Libre-Pensée se situera après le franchissement de l'autoroute A3 avec la création d'un nouveau pont pour ne pas générer de problèmes de circulation.

    Cette nouvelle infrastructure permet à l'intercomunalité Est ensemble et des villes adjacentes (Montreuil (Seine-Saint-Denis),Noisy-le-Sec et Romainville) de repenser l'aménagement des abords du Tramway[10].

    Toponymie

    Panneau d'entrée depuis Les Lilas.

    Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Romanavilla au XIIIe siècle[11].

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural » (cf. villa), précédé du nom de personne Romain (cf. saint Romain Ce lien renvoie vers une page d'homonymie, nom de plusieurs évêques et saints du Moyen Âge, dont Romain, évêque de Meaux au VIIIe siècle), d'où le sens global de « domaine de Romain »[11].

    Histoire

    Préhistoire

    Le site est occupé depuis le Néolithique. En témoigne la découverte du squelette d'un homme de cette époque dans la carrière des Molibous en 1845[12]. Des vestiges gallo-romains sont aussi présents.

    Moyen Âge

    L'existence de Romainville est attestée au VIIe siècle grâce au testament d'Ermenthrude, propriétaire du lieu à cette époque. Cette source témoigne aussi de la richesse du domaine.

    Les vignes de Romainville que le commandeur du prieuré hospitalier de Saint-Jean de Latran faisait cultiver rapportaient comme à Fontenay, en 1190, 12 deniers et, en 1418, 10 livres et 8 sols[13].

    En 1326, les habitants obtiennent la suppression des « garennes royales », qui dégradaient leurs cultures. En 1351, il est fait mention d'une léproserie.

    Pendant la guerre de Cent Ans, Henri VI d'Angleterre confisqua certaines terres pour les donner à quelques-uns de ses fidèles.

    Temps modernes

    En 1630, le seigneur Nicolas de Quélen fait construire le château (détruit en 2017[14]), qui devient en 1723 la propriété de la famille de Ségur.

    Époque contemporaine

    Le , les troupes alliées s'emparèrent des hauteurs de Romainville qui, après des combats acharnés, reste au pouvoir des troupes françaises, de Marmont jusqu'au moment où les Alliés déploient des forces si imposantes que les Français sont contraints d'abandonner le village. Le de la même année, après la capitulation de Paris, les Russes y établissent leur quartier général.

    Le fort de Romainville (actuellement sur la commune des Lilas, mais qui n'existait pas encore lors de la construction du fort) et le fort de Noisy (qui se trouve sur le territoire de Romainville) ont été construits sur les instructions de Thiers afin de participer à une ligne de défense avancée de Paris.

    Territoire des Lilas pris sur les communes voisines en 1867, notamment Romainville.

    En 1867 est créée la commune des Lilas, par démembrement des communes de Romainville, Pantin et Bagnolet[15].

    La nouvelle commune absorbe la partie du territoire de Romainville qui s'étendait à l'est jusqu’à la voie de la Déportation, les rues Henri Barbusse, Jean Moulin (anciennes limites avec la commune de Pantin), au sud jusqu’aux rues Romain Rolland, du Maréchal juin et Floréal entre la rue Sadi-Carnot et le croisement avec les rues Jeanne Hornet et Saint-Germain (ancienne limite avec la commune de Bagnolet), soit le tiers de la surface communale (77 hectares peuplé de 2 000 habitants), comprenant le fort de Romainville qui a conservé son nom, l'actuel parc municipal des Sports au nord et le lotissement en étoile autour de la place du Général-de-Gaulle de l'ancien bois des Bouleaux comprenant à cette date environ 300 habitations construites à partir des années 1840.

    Trois années après, lors de la guerre franco-prussienne de 1870, la ville est occupée par les Prussiens.

    La commune est desservie dès 1896 par les tramways de la Compagnie du tramway de Paris à Romainville qui aboutissent place de la République. La compagnie est absorbée en 1900 par la Compagnie des tramways de l'Est parisien, elle-même intégrée en 1921 dans la STCRP, ancêtre de la RATP. Le dernier tramway à desservir Romainville, le 95A (place de la République — gare de Gargan), cesse de fonctionner le [16].

    En 1890, un auteur indique : « Au point de vue des cultures, la commune de Romainville est en décroissance. Malgré son voisinage de Paris, on peut dire que rien ne progresse à Romainville.
    Les jardins comprennent environ 10 à 12 hectares plantés à peu près comme ceux de Montreuil. Pourtant, les cultures diverses (vignes, légumes variés, etc.) y sont plus abondantes; celle des groseilliers à maquereaux par exemple, et il en est de même des pruniers de plein vent qui, sur divers points, forment des sortes d'oasis ou de petites forêts fruitières qui donnent à certaines localités un caractère tout particulier. Quant aux arbres d'espalier, ce sont les mêmes espèces que l'on rencontre dans les communes environnantes : Pêchers, cerisiers, pommiers Calville blanc et Api, ainsi que certaines sortes reconnues avantageuses pour l'exploitation
    .
    Les principaux cultivateurs de Romainville sont au nombre d’une trentaine environ, dont les principaux sont : MM. Dargent Louis-Alexandre, Dargent Pierre-Germain, Eve Hubert, Trotin Henry, Eve Louis, Chaussez, Lecouteux, Volant, Vassout, , etc.[17]. »

    • Romainville au tout début du XXe siècle
    • L'église.
      L'église.
    • Entrée de Romainville et tramway pour Opéra.
      Entrée de Romainville et tramway pour Opéra.
    • Casernement du 401e DDA au fort de Noisy.
      Casernement du 401e DDA au fort de Noisy.
    • La place Carnot.
      La place Carnot.
    • La rue de Bagnolet, aujourd'hui la rue de la République.
      La rue de Bagnolet, aujourd'hui la rue de la République.
    • Rue Carnot.
      Rue Carnot.
    • La rue Carnot et l'église.
      La rue Carnot et l'église.
    • Square Paul-de-Kock.
      Square Paul-de-Kock.
    • Château de Ségur (dit « de Romainville »).
      Château de Ségur (dit « de Romainville »).

    Au XXe siècle, la commune s'industrialise, avec le développement de la pharmacie dans le quartier des bas pays. En effet, la Compagnie générale des omnibus avait installé d'importantes écuries aux Limites de Pantin, toutes proches, et le Docteur Gaston Roussel (1877-1947) utilisait dès 1909 le sérum de ces chevaux pour fabriquer un fortifiant contre l'anémie, l'Hémostyl. Ce site de production et l'usine UCLAF I de 7 hectares et près de 2 000 employés en 1928 sont le berceau de l'entreprise Roussel-UCLAF, reprise par Sanofi, en 2004 avec le rachat d'Aventis[18].

    Durant l'Occupation, le fort de Romainville sert de camp d'internement nazi. 3 900 femmes, à l'instar de Nelly Huri, et 3 100 hommes y sont internés avant d’être déportés. En avril et juin 1944, des bombardements ont lieu sur le territoire.

    Durant la guerre d'Algérie, le fort de Noisy (situé sur la commune) sert de casernement à la force de police auxiliaire créée spécialement pour la répression, en-dehors du cadre légal si nécessaire, des activités du Front de libération nationale en France[19]

    En 1953, le cinéma Le Trianon est construit par l'architecte Charles Genêtre sur l'emplacement d'un premier café/cinéma le Trianon, détruit pendant la guerre. Ce cinéma n'a quasiment pas changé depuis l'époque de sa construction. L'émission La Dernière Séance y a été souvent enregistrée[20]. Il sert aujourd'hui de studio d'enregistrement pour des émissions télévisées. Il appartient depuis 1984 aux communes de Romainville et Noisy-le-Sec qui se sont associées pour le maintenir comme lieu vivant du septième art. Protégé comme cinéma représentatif des années 1950, il a été classé en à l'inventaire des Monuments Historiques.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    Jusqu’à la loi du [21], la commune faisait partie du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais à la Seine-Saint-Denis après un transfert administratif effectif le .

    Elle faisait partie de 1793 à 1893 du canton de Pantin, année où elle intègre le canton de Noisy-le-Sec de la Seine. Lors de la mise en place de la Seine-Saint-Denis, elle devient en 1967 le chef-lieu du canton de Romainville[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Bagnolet

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuvième circonscription de la Seine-Saint-Denis.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté d'agglomération Est Ensemble, créée le . Elle regroupait les villes de Bagnolet, Bobigny, Bondy, Les Lilas, Le Pré Saint-Gervais, Montreuil, Noisy-le-Sec, Pantin et Romainville.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune a été intégrée[23].

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (loi NOTRe) prévoit également la création le d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale, et exerçant également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées

    La commune fait donc partie depuis le de l'établissement public territorial Est Ensemble, créé par un décret du [24] et qui regroupe l'ensemble des communes qui faisaient partie de l'ancienne communauté d'agglomération..

    Tendances politiques et résultats

    Lors du second tour des élections municipales de 2014 dans la Seine-Saint-Denis, la liste PS-EELV menée par la maire sortante Corinne Valls obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 3 045 voix (49,00 %, 27 conseillers municipaux élus dont 6 communautaires), devançant largement les listes menées respectivement par[25] :
    - Sofia Dauvergne (FG, 1 885 voix, 30,33 %, 5 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
    - Florian Favier Wagenaar (UMP-UDI, 1 284 voix, 20,66 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
    Lors de ce scrutin, 52,71 % des électeurs se sont abstenus.

    Au second tour des élections municipales de 2020 dans la Seine-Saint-Denis[26],[27], la liste DVG menée par François Dechy qui bénéficiait de la fusion de la liste du premier tour ÉCO - EÉLV - PCF - LFI - G·s - RDG - ND - NPA menée par Vincent Pruvost obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 2 902 voix (53,26 %, 27 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), devançant celle PS - LREM - PRG - GÉ - UDE menée par Philippe Guglielmi[28] soutenue par la maire sortante qui ne se représentait pas qui a obtenu 2 546 voix (46,73 %, 8 conseillers municipaux élus).
    Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 63,45 % des électeurs se sont abstenus[29].

    Liste des maires

    Plaque sur l'Hôtel de Ville rappelant la destitution en 1944 de la délégation spéciale nommée par le Gouvernement de Vichy.
    Liste des maires successifs de Romainville[30] - [31]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 Jean-Pierre André
    Houel de La Chasserie
    1791 Simon Trotin
    1792 Claude François Léon
    1800 Louis Henri Lecouteux
    1808 1824 Jean-Bernard Cardon
    1824 1832 Mathurin Pavageau
    1831 André Charles Nicolas
    Lecouteux
    1832 1835 Romain Germain Lecouteux
    1835 Louis Jean Keller
    1835 1835 Jean-Baptiste (Fils) Aubin
    1836 André Antoine Bernard
    1838 1843 Élie Halphen
    1843 1849 Jean-Baptiste Péronaux
    1849 1853 Jean-Louis Cornu
    1853 1860 Jean Alphonse Hersent
    1860 1863 Félix Vasnier
    1863 1867 Victor François Xavier
    Guérin-Delaroche
    1867 François Émile Genevoix
    1888 1889 Noël Barthélémy Gourdon
    1889 1900 Gabriel Nicolas Husson
    1900 1909 Victor Auguste Cousinet
    1909 Louis Frédéric Aubin
    1909 1934 Louis Victor Dargent PRRRS Démissionne à la suite de l'Affaire Stavisky[32]
    juillet 1934 mai 1935 Alphonse Dory
    mai 1935 octobre 1939[33] Pierre Kérautret[Note 3] - [34] - [32] PCF Forgeron à la Compagnie du gaz de Paris, syndicaliste CGTU
    Suspendu par le Gouvernement Daladier à la suite de la signature du Pacte germano-soviétique
    Interné, résistant, déporté par l'occupant Nazi
    octobre 1939[33] août 1944 Félix Dargent Nommé président de la délégation spéciale par le Gouvernement Daladier puis maire par le Gouvernement de Vichy[35]
    août 1944 septembre 1944[32] Alphonse Tessier[36] Président du comité local de Libération
    septembre 1944 octobre 1966 Pierre Kérautret[Note 3] - [34] - [32] PCF Conseiller général de la Seine (1945 → 1967)
    Administrateur de GDF après la nationalisation de 1946
    Démissionnaire
    octobre 1966 mars 1980 Gérard Machelart[37] PCF Ajusteur
    Démissionnaire
    mars 1980[38] mai 1998 Robert Clément[39] PCF Ouvrier, puis technicien de l’industrie chimique
    Conseiller général de Romainville (1987 → 2004)
    Président du Conseil général de la Seine-Saint-Denis (1993[40] → 2004)
    Chevalier de la Légion d’honneur
    Démissionnaire à la suite de sa réélection comme président du conseil général
    mai 1998[41] - [42] juillet 2020 Corinne Valls[43] - [44] - [45] - [46] - [47] PCF puis DVG[48]
    (Mvt de la gauche citoyenne)
    Ancienne directrice de cabinet de Robert Clément
    Conseillère générale de Romainville (2004 →2015)
    Conseillère départementale de Bagnolet (2015 → 2021)
    Vice-présidente du conseil général puis départemental (2008 → 2021)
    Présidente de l'ÉPARECA (2015[49] → 2018)
    juillet 2020[50] En cours
    (au 4 mars 2021)
    François Dechy DVG Entrepreneur social[51]
    Conseiller métropolitain délégué au developpement de l’offre d’Insertion

    Jumelages

    • Drapeau de l'Italie Casalecchio di Reno (Italie) depuis 1962

    Équipements et services publics

    Enseignement

    École maternelle Danielle Casanova.

    Écoles maternelles

    • École Marcel-Cachin
    • École Danielle-Casanova
    • École Charlie-Chaplin
    • École Jean-Charcot
    • École Jeanne-Gallèpe
    • École Véronique-et-Florestan
    • École Maryse-Bastié

    Les écoles élémentaires

    • École Henri-Barbusse
    • École Marcel-Cachin
    • École Jean-Charcot
    • École Fraternité
    • École Paul-Langevin
    • École Gabriel-Péri
    • École Paul-Vaillant-Couturier
    • École Maryse-Bastié

    Les collèges publics

    Le lycée

    • Lycée professionnel Liberté

    Équipements culturels

    • Conservatoire de musique à rayonnement départemental Nina-Simone
    • Médiathèque Romain-Rolland, 4 rue Albert-Giry
    • Le Pavillon
    • Cinéma Le Trianon

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[52] - [Note 4].

    En 2020, la commune comptait 31 469 habitants[Note 5], en augmentation de 22,78 % par rapport à 2014 (Seine-Saint-Denis : +5,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0119081 0358391 0121 2221 6721 5971 499
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0834 2894 9072 0442 0251 8542 1062 1062 408
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 9614 4725 6768 08712 82118 44918 42217 02219 217
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    23 49424 09126 26025 36323 56323 77925 19925 51226 510
    2020 - - - - - - - -
    31 469--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[53].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Cultes

    Mosquée de l'Association pour la Fraternité et la Tolérance.
    • Paroisse Saint-Germain, paroisse catholique.
    • Mosquée de l'Association pour la Fraternité et la Tolérance.
    • Mosquée Al Niya
    • Église protestante évangélique de Romainville.
    • Association israélite de Romainville - Menachem Mendel.
    • Association israélite - Beth El.

    La commune dispose de deux lieux de sépultures :

    • Cimetière ancien de Romainville, situé rue Paul-de-Kock[54], créé en 1833[55] ;
    • Cimetière nouveau de Romainville, situé chemin des Pothuys[56].

    Économie

    Autrefois marqué par l’industrie, notamment pharmaceutique, le tissu économique romainvillois est composé en 2012 pour l’essentiel d’activités de services (67,7 % hors commerce), de construction (11,7 %), de commerce (8,9 %), tandis que l'industrie ne fournit plus que 11,6 % des emplois en 2012[57].

    L'Insee recense plus de 1 300 entreprises présentes sur le territoire de Romainville au et recense 2 061 établissements actifs au [58], pour un total d’environ 6 200 emplois (services administratifs compris). Le tissu économique est composé en majorité de TPE, on recense également un certain nombre de grandes entreprises : Acticall (centre d’appel), Bureau Veritas (bureau de contrôle), UTB (construction), Cop’Copine (prêt à porter), Fareva (industrie pharmaceutique), Galapagos (biotechnologies) ou la RATP (centre de régulation des bus).

    La présence sur le territoire de Biocitech, lieu spécialisé dans les domaines des biotechnologies, des industries de la santé et de l’environnement, permet à Romainville d’accueillir 30 entreprises innovantes de la filière santé et sciences du vivant.

    La ville de Romainville souhaite également favoriser l’émergence de projets d’économie sociale et solidaire. Elle a ainsi permis l’installation de l’entreprise d’insertion Baluchon – à table citoyens,  spécialisée dans la fabrication de plats cuisinés à partir de produits frais et de saison.

    La mairie de Romainville s’est également lancée dans un projet de cité maraichère qui doit voir le jour à la fin de l'année 2019[59]. Érigé au cœur du quartier Marcel Cachin, le bâtiment, composé de deux tours, accueillera une ferme urbaine de 1 000 m2 capable de produire 12 tonnes de fruits et légumes et 4 tonnes de champignons par an, soit la consommation de 200 personnes, et employant à terme 12 personnes.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Luc-des-Grands-Champs.
    Le château, avant sa démolition en 2017.

    L'église Saint-Germain-l'Auxerrois de Romainville, de style néoclassique construite par l'architecte Brongniart, classée Monument historique[60].

    • L'église Saint-Germain-l'Auxerrois
    • La nef.
      La nef.
    • Détail de la façade.
      Détail de la façade.

    La mairie, construite en 1873 par Lequeux, agrandie en 1905 et 1993. De style Louis XIII mais remanié au XIXe siècle, le pavillon est ce qui subsistait du château de Romainville, construit en 1630 par Nicolas de Quelen. Il fut le château de la famille de Ségur de 1723 à 1791. Le grand parc du château, qui du temps de sa splendeur comprenait une orangerie et un pavillon de la musique, a été utilisé comme carrière de gypse, et les excavations atteignent 60 m de profondeur. Après la mort du marquis de Noailles en 1838, le château est vendu par son fils à une société anglaise d'exploitation de gypse, et une partie est rasée dès 1840. Le reste devient « le bureau de la direction des carrières »[61],[62].Le bâtiment, après avoir été acquis par la ville en 1988, a été racheté par la Région pour y faire un lieu de loisirs. Très délabré, il a malheureusement encore subi un incendie au mois d' et ses ruines ont été rasées début 2017. Un square devant l'ancien château a ouvert au public. La Ville espère « la reconstruction d’un site symbolique de mémoire et d’exposition » à la place de l’ancienne demeure[63].

    • La mairie
    • Devise républicaine et détail du fronton.
      Devise républicaine et détail du fronton.

    L'église Saint-Luc-des-Grands-Champs de Romainville, construite en 1933 par l'Œuvre des Chantiers du Cardinal sur les plans de A. Monestès, en béton armé et parement de brique. Elle est restée inachevée, les plans d'origine prévoyant la création d'une troisième travée et d'un clocher[64].

    La chapelle Sainte-Solange, rue Louise-Dory, conçue par l'architecte Venner[65].

    Le cinéma Le Trianon, de style « paquebot », ouvert en 1929 et reconstruit en 1953 par l'architecte Charles Genetre.

    Le mur anti-bruit de Romainville, œuvre architecturale de Garry Faif (sculpteur, architecte et urbaniste né en 1942 et décédé en 2002), créé en 1992 pour atténuer sur 200 mètres de long la pollution sonore de l'autoroute A3 mais qui a été partiellement détruit pour recouvrir en aval de la partie d'autoroute mitoyenne.

    L'île de loisirs de la Corniche des Forts sera la douzième île de loisirs de la région Île-de-France. Anciennement « base de plein air et de loisirs » inscrit au contrat de plan 2000-2006, elle est située sur les communes de Pantin, Les Lilas, Noisy-le-Sec et Romainville. Situé sur d'anciennes carrières de gypse, ce projet consiste à créer de nouveaux espaces de loisirs avec parcours sportifs, mur d'escalade, poney club, jeux pour enfants, zones de détente et de promenade, zone d'écopâturage. Seule une zone de 4,5 hectares sera concerné par les travaux. Un boisement de 20 hectares restera fermée au public afin d'y préserver la biodiversité. Cet aménagement a fait l'objet d'une contestation en [66]. Son ouverture au public est prévue en 2021. Une fois réalisé par la Région, l'île de loisirs sera géré par un syndicat mixte regroupant le conseil départemental, et les villes concernées[67].

    Cinéma Le Trianon.
    • Cinéma Le Trianon

    Mémoriaux

    • Mémorial des victimes de la guerre d'Algérie et des conflits du Maroc et de Tunisie
      Mémorial des victimes de la guerre d'Algérie et des conflits du Maroc et de Tunisie
    • Monument aux morts
      Monument aux morts
    • Monument aux bienfaiteurs de la ville.
      Monument aux bienfaiteurs de la ville.
    • Monument à Henri Barbusse.
      Monument à Henri Barbusse.

    Personnalités liées à la commune

    Monument au maire de Romainville Pierre Kérautret.
    • Berthe Kolochine-Erber, biologiste de renommée mondiale pour ses recherches inlassables sur la leptospirose, est née à Romainville en 1890 et y fut inhumée en 1968.
    • Gilbert Chevillot (1908-1944), Compagnon de la Libération, est né à Romainville.
    • Philippe Henri de Ségur, seigneur de Romainville.
    • Alfred de Musset aimait se rendre au bal champêtre.
    • Un acteur du XVIIe siècle a pris le nom de Romainville.
    • Contraint à l'exil hors de son île par l'ordonnance Debré, Boris Gamaleya, poète réunionnais, habite Romainville durant plusieurs années. Il y écrit son chef-d'œuvre, Vali pour une reine morte.
    • Paul de Kock, écrivain français, a vécu à Romainville. Une rue y porte son nom.
    • Dadju, rappeur et chanteur, membre du groupe. The Shin Sekai (Wati B), a grandi à Romainville.
    • Richard Clayderman, interprète et pianiste français, a grandi à Romainville.
    • Basile Boli, footballeur français, y a été licencié en 1980-1982.
    • Louis Boulanger (1806-1867), peintre, graveur, lithographe et illustrateur romantique français.
    • Vitaa (1983-), auteure-compositrice-interprète française, a vécu à Romainville.
    • Patrick Tort (1952-), linguiste, philosophe, historien des sciences et théoricien de la connaissance français et lauréat de l’Académie des sciences, réside à Romainville depuis 1974.
    • Émilien Devic (1888-1944), international français de football, y est né.
    • Jean-Laurent Cochet (1935-2020), ancien pensionnaire de la Comédie-Française, metteur en scène et créateur d'une école de théâtre, y est né et y a passé sa jeunesse.
    • Raymond Mondet, dit Nicolas le Jardinier (1928-2018). journaliste, animateur de télévision et de radio et chroniqueur français y est né. Ancien rédacteur en chef du magazine Rustica, il a animé plusieurs émissions sur le jardinage sur la chaîne TF1 dans les années 1980.
    • Warren Zaïre-Emery (2006-), footballeur français, a grandi à Romainville et a étudié au collège Gustave Courbet de la ville.

    Héraldique

    Blason de Romainville Blason
    Coupé d'azur au château fortifié d'argent ouvert ajouré et maçonné de sable et d'or à l'arbre arraché de sinople.
    Devise
    La devise de la commune était "Romainville, bois perdu cité parue" pour être ensuite remplacée par "quand une ville est aussi Village"
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Fernand Bournon (dir.), Romainville : notice historique et renseignements administratifs, Montévrain, Imprimerie typographique de l'École d'Alembert, coll. « État des communes à la fin du XIXe siècle », , 73 p. (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica
    • Gabriel Husson, Histoire de Romainville des temps antiques à la fin du XIXe siècle, Plon-Nourrit et Cie, Paris, 1905, réimpression Jeanne Lafite
    • Collectif, plaquette De Gaston Roussel à SANOFI-AVENTIS [PDF], collection Patrimoine en Seine-Saint-Denis no 15, éditions du Conseil Général, Bobigny 2006.
    • Collectif, Le patrimoine des communes de la Seine-Saint-Denis, éditions Flohic, 1994, (ISBN 2-908958-77-5).
    • Julie Faure, Romainville : Seine-Saint-Denis, Paris, Région Ile-de-France / Somogy éditions d'Art, , 80 p. (ISBN 978-2-7572-0517-4, lire en ligne).
    • Julie Faure, Marion Audoly, Les écoles de Romainville : un patrimoine pour demain, Région Île-de-France (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. 1 2 Une avenue de la commune porte le nom de ce maire.
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
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    9. « Prolongement de la ligne 11 du métro : l’inauguration repoussée au printemps 2024 », sur France 3 Paris Ile-de-France (consulté le )
    10. « A quoi ressembleront les abords du T1 ? | Est Ensemble », sur www.est-ensemble.fr (consulté le )
    11. 1 2 Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz, 1996, p. 1001.
    12. Romainville, « Histoire de Romainville », sur www.ville-romainville.fr (consulté le ).
    13. Mannier (1872) p. 36
    14. Par Elsa Marnette Le 13 avril 2017 à 11h52, « Il ne reste rien du château de Romainville », sur leparisien.fr, (consulté le ).
    15. « Loi du 24 juillet 1867 qui distrait trois territoires des communes de Pantin, de Romainville, et de Bagnolet (Seine), pour en former une commune distincte, qui prendra le nom de Les Lilas. », Bulletin des lois, , p. 111-12 (lire en ligne, consulté le ).
    16. Jean Robert, Les tramways parisiens, ed. Jean Robert, 3e édition 1992.
    17. Élie-Abel Carrière, Montreuil-aux-Pêches historique et pratique, : et quelques communes de sa banlieue, Bagnolet, Rosny-sous-Bois, Fontenay-sous-Bois, Vincennes, Romainville, etc, Librairie agricole de la Maison rustique, , 334 p. (lire en ligne), p. 101-102, lire en ligne sur Gallica.
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    20. « http://www.cinematrianon.fr/historique/le-trianon/2-historique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
    21. Journal Officiel, Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne.
    22. 1 2 Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance.
    24. Décret n° 2015-1661 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Romainville sur Légifrance.
    25. Résultats officiels pour la commune Romainville
    26. Maxime François, « Municipales à Romainville : les promoteurs immobiliers dans le viseur des candidats à la succession de Corinne Valls : Alors que la maire sortante (DVG) ne se représente pas, chaque candidat a des propositions chocs face à l’arrivée en force des promoteurs », Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis, (lire en ligne, consulté le ).
    27. Rachid Laïreche, « A Romainville, une union à gauche rêve de stopper la marche du PS : Une semaine en Seine-Saint-Denis (6/6) », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
    28. Elsa Marnette avec S.T., « Romainville : l’ancien premier adjoint lance la campagne des municipales : Alors que la maire sortante Corinne Valls n’a pas encore rendu public ses intentions, le socialiste Philippe Guglielmi déclare sa candidature ce samedi », Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis, (lire en ligne, consulté le ).
    29. « Elections municipales 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
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    41. « Corinne Valls-Bautista succède à Robert Clément : Le maire a démissionné après dix-huit ans de mandat », Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis, (lire en ligne).
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    44. Alain Beuve-Méry, « En Ile-de-France, la petite couronne reste l'un des derniers bastions du PCF », Le Monde, (lire en ligne) « Enfin, à Romainville, dans le fief de Robert Clément, ancien maire et président du conseil général, Corrine Valls, maire communiste sortante, mais désavouée par son parti et soutenue par les Verts, bat de 62 voix, au premier tour, Jean-Marie Doussin, le candidat officiel du PCF ».
    45. Émile Josselin, « La maire de Romainville en sursis sans parti : Derrière son cas se poursuit la bataille PC-PS pour le contrôle de la Seine-Saint-Denis », Libération, (lire en ligne).
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    49. « Corinne Valls, maire de Romainville, élue présidente du conseil d’administration d’Epareca », Nominations, Collectivités locales.fr, (consulté le ).
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    51. É.T., « Les « bons petits plats » de Baluchon », Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis, (lire en ligne, consulté le ) « L'entreprise Baluchon créée en 2013 par François Dechy, « passionné de bonne bouffe », a misé sur l'ultra frais et un concept plutôt malin : proposer aux bourreaux de travail des grandes entreprises françaises, souvent installées à La Défense (Hauts-de-Seine), de bons petits plats préparés dans les cuisines de Romainville (Seine-Saint-Denis) et livrés au bureau ».
    52. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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    55. ROMAINVILLE (93) : ancien cimetière - Cimetières de France.
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