Sains-en-Gohelle | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Lens | ||||
Intercommunalité | CA de Lens-Liévin | ||||
Maire Mandat |
Alain Dubreucq 2020-2026 |
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Code postal | 62114 | ||||
Code commune | 62737 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
6 035 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 1 053 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 26′ 43″ nord, 2° 41′ 04″ est | ||||
Altitude | Min. 39 m Max. 90 m |
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Superficie | 5,73 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Béthune (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lens - Liévin (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bully-les-Mines | ||||
Législatives | 10e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | sains-en-gohelle.fr | ||||
Sains-en-Gohelle est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin qui regroupe 36 communes et compte 241 268 habitants en 2019.
Géographie
Localisation
Commune située en Gohelle, dans le pays minier. Elle se trouve au pied des collines de l'Artois qui sépare la Gohelle du Ternois.
Sains-en-Gohelle est située entre Lens, Arras et Béthune.
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par le ruisseau de la Fontaine de Bray, un cours d'eau naturel de 12 km, qui prend sa source dans la commune d'Hersin-Coupigny et se jette dans le Canal d'Aire à La Bassée au niveau de la commune de Festubert[1].
Urbanisme
Typologie
Sains-en-Gohelle est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[5] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8],[9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,6 %), zones urbanisées (41,1 %), mines, décharges et chantiers (4,3 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 2 723, alors qu'il était de 2 625 en 2013 et de 2 377 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 91,9 % étaient des résidences principales, 0,3 % des résidences secondaires et 7,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 87,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 12,4 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Sains-en-Gohelle en 2018 en comparaison avec celle du Pas-de-Calais et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,3 %) inférieure à celle du département (6,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 52,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (52,2 % en 2013), contre 57,8 % pour le Pas-de-Calais et 57,5 pour la France entière[I 3].
Voies de communication et transports
Transport ferroviaire
La commune était située sur la ligne de Bully - Grenay à Brias, une ancienne ligne de chemin de fer qui reliait, de 1875 à 1990, Bully-les-Mines à Brias.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Seins (1190) ; Sains (1226) ; Villa de Sanctis (1274) ; Sains en le Gohelle (1431) ; Sains-en-Goelle (XVIIIe siècle) ; Sains-en-Lens (1720)[11].
Toponyme venant du latin sanctus, « saint, sanctuaire ».
La Gohelle est un petit pays traditionnel du département du Pas-de-Calais faisant partie de l'Artois, la ville de Lens est considérée comme son point central[12]. Hypothétiquement, son nom pourrait être issu du vieil allemand « göll », qui signifie « stérile »[13], du mot, bas-latin, Gauharia signifiant « région couverte de taillis ».
Histoire
L'histoire de Sains-en-Gohelle est un mélange entre le passé rural de la ville et son passé minier.
Avant les mines
Sains-en-Gohelle n'est pas née avec les mines. De nombreuses traces attestent de son passé dont le château Bacon. Sains-en-Gohelle porta les noms de Seins en 1190, villa de Sanctis en 1274. Parmi les personnages historiques de la ville, nous pouvons compter Gérard de Sains au XIIe siècle. Ce seigneur a participé aux croisades féodales du seigneur de Carency.
Une commune minière
Les fosses no 10 et 10 bis ouvrent relativement tard, à partir de 1903.
En , lors de la grève des mineurs, le maire de Sains, l'abbé Georges Lorent, tente de faire lever le piquet de grève de la fosse 10 accompagné de non-grévistes. Il est repoussé à l'aide de lances à incendie et plusieurs personnes sont blessées. Après cet affrontement, il organise des milices d'autodéfense nocturnes[14].
La grille
Parmi les lieux importants de Sains-en-Gohelle, il y a le carrefour de la grille. Il marque l'emplacement historique de la grille donnant accès à la cité minière. Au début du siècle, la cité minière était, entièrement, entourée par un mur ; la grille donnait accès à cette cité. Elle était fermée lors des grèves des mineurs afin officiellement d'éviter les saccages par les manifestants des ouvriers qui travaillaient. Elle a également servi aux rafles pour le S.T.O. pendant la Seconde Guerre mondiale. La grille a été supprimée dans les années 1950, il reste quelques traces des murs.
L'ensemble minier
Les chevalets et les bâtiments industriels miniers ont aujourd'hui disparu. En revanche Sains-en-Gohelle a conservé un très bel ensemble architectural témoin de la vie des mineurs pour les fosses 10 et 10b (mines de Béthune). Cette cité minière s'organise autour d'une avenue (l'avenue Charles-de-Foucault). À l'ouest de cette artère se trouve la majeure partie des corons. Au sud de l'avenue trône l'église Sainte-Marguerite (aujourd'hui désacralisée) avec le dispensaire, les écoles, le presbytère. À l'opposé de cette avenue (aujourd'hui coupée) se trouvent les maisons des ingénieurs des mines.
Après les mines, une conversion difficile
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve depuis 1962 dans l'arrondissement de Lens du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
Sains-en-Gohelle est membre de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin (dite Communaupole), un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et qui succédait au district de l’agglomération de Lens-Liévin créé en 1968. La commune a transféré à son intercommunalité un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Circonscriptions administratives
La commune faisait partie de 1901 à 1962 du canton de Houdain, année où elle intègre le canton de Liévin-Nord-Ouest transféré en 1975 pour former le canton de Bully-les-Mines[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Bully-les-Mines.
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la dixième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
Lors du second tour des élections municipales de 2014 dans le Pas-de-Calaisn la liste DVF menée par Alain Dubreucq obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 1 363 voix, 46,00 %, 22 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires, devançant de 58 voix celle PS menée par le maire sortant (1 305 voix, 44,04 %, 6 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Une troisi-me liste, DVD, menée par Jean-Marc Warembourg obtient 295 voix (9,95 %, 9,95 % 1 conseiller municipal élu.
Lors de ce scrutin, 37,99 % des éjecteurs se sont abstenus[16],[17].
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Pas-de-Calais, la liste DVG menée par le maire sortant Alain Dubreucq[18] obtient la majorité absolue des suffrages exprimées, avec 1 240 [voix (59,70 %, 24 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), devançant celles menées respectivement par[19] :
- Jean-Jacques Capelle (DVD-RN[20] 433 voix, 20,84 %, 3 conseillers municipaux élus) ;
- Joël Grevet (PS, 257 voix, 12,37 %, 1 conseiller municipal élu) ;
- Michel Stackowiak (DIV, 147 voix, 7,07 % 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 55, 48 % des électeurs se sont abstenus.
Liste des maires
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].
En 2020, la commune comptait 6 035 habitants[Note 5], en diminution de 4,19 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 910 hommes pour 3 167 femmes, soit un taux de 52,11 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine mondial
Depuis le , la valeur universelle et historique du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais est reconnue et inscrite sur la liste du patrimoine mondial l’UNESCO. Parmi les 353 sites, répartis sur 109 lieux inclus dans le périmètre du bassin minier, le site no 87 de est constitué des écoles et de l'église Sainte-Marguerite de la cité no 10 de Sains-en-Gohelle est constitué de la fosse no 10 - 10 bis des mines de Béthune à Sains-en-Gohelle et, sur les territoires de Sains-en-Gohelle et de Bouvigny-Boyeffles, de la cité pavillonnaire no 10[41],[42].
- Les écoles.
- L'église Sainte-Marguerite.
- Les cités.
Autres lieux et monuments
- L'église Sainte-Marguerite de style Art déco pour le bâtiment et le mobilier ; l'église est désacralisée et devenue aujourd'hui l'« espace culturel Marguerite ».
- L'ensemble minier de la fosse 10 et 10bis des mines de Béthune : autour de l'axe de l'avenue Charles-de-Foucault (église, dispensaire, école, coron, maison des ingénieurs, puits de fosse...).Écoles des cités 10 et 10 bis.
- La chapelle Sainte-Appoline et le parc Bacon.
- L'église Saint-Vaast.
- Le carrefour de la tour Eiffel.
Personnalités liées à la commune
- Luc-Joseph Bacon (1737-1798), homme politique, membre du Conseil des Anciens, né à Sains-en-Gohelle.
- Jean-Claude Gautrand (1932-2019), photographe français, né à Sains-en-Gohelle.
- Fernand Lelong (1939-2002), est un tubiste français, né à Sains-en-Gohelle.
- Daniel Krawczyk (1961-), footballeur professionnel, ayant passé l'essentiel de sa carrière au Racing Club de Lens, né à Sains-en-Gohelle.
Héraldique
Blason | Taillé : au 1er d'argent à l'arbre arraché de sinople, au 2e d'azur à trois coquilles mal ordonnées d'or; à la barre d'or brochant sur la partition; au chef d'azur semé de fleurs de lis d'or surchargé d'un lambel de trois pendants de gueules, chaque pendant surchargé de trois châteaux d'or, l'un au-dessus de l'autre[43].
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Sains-en-Gohelle (62737) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Sains-en-Gohelle », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Sains-en-Gohelle » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Hugues François Bacon obtient en 1865 de Napoléon III, le droit pour lui-même et son fils, de porter le nom de Bacon de Sains : Bulletin des lois. Partie principale, Imprimerie nationale, (lire en ligne)
- ↑ Une rue de la commune porte le nom de ce maire.
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
Site de l'Insee
- 1 2 « Chiffres clés - Logement en 2018 à Sains-en-Gohelle » (consulté le ).
- ↑ « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Sains-en-Gohelle - Section LOG T2 » (consulté le ).
- ↑ « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Sains-en-Gohelle - Section LOG T7 » (consulté le ).
- ↑ « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Pas-de-Calais » (consulté le ).
- ↑ « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de la Fontaine de Bray (E3510650) » (consulté le )
- ↑ « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- ↑ « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- ↑ « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- ↑ Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lens - Liévin », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- ↑ Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 337.
- ↑ Mém. Arras 1889, p. 165.
- ↑ Mém. Arras 1889, p. 167.
- ↑ Philippe Roger, « Les grèves de 1947 et 1948 dans le Pas-de-Calais, déroulement, violence et maintien de l'ordre », Revue du Nord 2011/1 (no 389), p. 140.
- 1 2 Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Résultats officiels pour la commune Sains-en-Gohelle
- ↑ « Sains-en-Gohelle : Jean-Luc Wéry (PS) perd sa ville face à Alain Dubreucq avec un écart de 58 voix : Grosse surprise tout à l’heure à Sains où les électeurs avaient droit à une triangulaire. Au terme d’un suspense de 2 h 30, c’est Alain Dubreucq, ancien conseiller municipal de Jean-Luc Wéry, qui remporte l’élection avec 58 voix d’avance et fait tomber le maire socialiste qui briguait un 4e mandat », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Sains-en-Gohelle : Joël Grevet présente sa liste PS », sur L'Avenir de l'Artois, (consulté le ).
- ↑ « Pas-de-Calais (62) - Sains-en-Gohelle », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- ↑ « Sains-en-Gohelle : Jean-Jacques Capelle, tête de liste soutenue par le Rassemblement national », sur L'Avenir de l'Artois, .
- ↑ « Les maires de Sains-en-Gohelle », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- ↑ Hugues François BACON DE SAINS, sur la base Léonore, ministère français de la Culture
- ↑ Notice POLLION Michel , version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 30 novembre 2010
- ↑ « Mort du maire de Sains-en-Gohelle » [PDF], L'Égalité, .
- 1 2 Notice DUPUICH Gaston, version mise en ligne le 24 novembre 2010, dernière modification le 24 novembre 2010
- ↑ Notice DUPUICH Jules, version mise en ligne le 24 novembre 2010, dernière modification le 24 novembre 2010
- ↑ Guy Desbiens, « L'Abbé Laurent », sur http://abbelorent.online.fr/ (consulté le ).
- ↑ « Sains-en-Gohelle: une allée prend le nom de l’ancien maire Mirabeau-Happiette : Six ans après son décès, Mirabeau Happiette est à l’honneur. Celui qui a présidé aux destinées de la commune durant 18 ans, de 1971 à 1989, donne son nom à une allée, située à deux pas de la Place de la mairie », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Sains-en-Gohelle : Jean-Luc Wéry (PS) battu sur le fil par Alain Dubreucq : Coup de tonnerre à Sains-en-Gohelle ce soir. Pour 58 voix, celui qui avait à son actif d’ores et déjà 3 mandats de maire a été battu ce soir », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Steeven Demora, « Alain Dubreucq, premier président de la caisse d'allocations familiales du Pas-de-Calais », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Anna Morello, « Sains-en-Gohelle : Rencontre avec Alain Dubreucq, le nouveau maire : Les élections ont mis aux manettes quelques nouveaux élus que nous allons vous présenter un par un. On démarre avec Alain Dubreucq qui a pris la mairie de Sains à Jean-Luc Wéry (PS) dont il fut longtemps un collaborateur… », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- ↑ Noémie Lemire, « Sains-en-Gohelle: Alain Dubreucq de nouveau à la tête de la commune pour six ans », La Voix du Nord, .
- ↑ « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- ↑ « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sains-en-Gohelle (62737) », (consulté le ).
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- ↑ « Bassin minier du Nord-Pas de Calais », sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
- ↑ « Liste des 109 lieux et des 353 sites qui les composent » [PDF] (217 Mo), sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
- ↑ « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).