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Aix-Noulette
Aix-Noulette
La place Saint-Germain, l'église
et le monument aux morts.
Blason de Aix-Noulette
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Lens
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Lens-Liévin
Maire
Mandat
Alain Lefebvre
2020-2026
Code postal 62160
Code commune 62019
Démographie
Gentilé Aixois
Population
municipale
3 917 hab. (2020 en diminution de 0,63 % par rapport à 2014)
Densité 375 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 25′ 36″ nord, 2° 42′ 38″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 172 m
Superficie 10,44 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Douai-Lens
(banlieue)
Aire d'attraction Lens - Liévin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bully-les-Mines
Législatives 10e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Liens
Site web aix-noulette.fr/

    Aix-Noulette [ɛks nulɛt] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

    Les habitants de la commune sont appelés les Aixois.

    La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin qui regroupe 36 communes et compte 241 268 habitants en 2019.

    Géographie

    Localisation

    Aix-Noulette se situe près de Liévin, sur la route départementale D 937 Béthune-Arras, portion de l'ancienne route nationale 37.

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    La commune est traversée par deux cours d'eau :

    • le Surgeon, un cours d'eau naturel non navigable de 14 km, qui prend sa source dans la commune de Bouvigny-Boyeffles et se jette dans le canal d'Aire à La Bassée, au niveau de la commune de Cuinchy[1].
    • le fossé des quatre Hallots, cours d'eau naturel de km, qui prend sa source dans la commune Bouvigny-Boyeffles, et se jette dans le Surgeon au niveau de la commune de Bully-les-Mines[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré de type 4 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3].

    Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[3].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 798 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Milieux naturels et biodiversité

    Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : le coteau d'Ablain-St-Nazaire à Bouvigny-Boyeffles et bois de la Haie. Ce site est composé d’une mosaïque de végétations neutrophiles à calcicoles sur un relief fortement marqué par la présence de vastes coteaux crayeux du Sénonien et du Turonien au nord d’Ablain-St-Nazaire[4].

    Carte de la ZNIEFF sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Aix-Noulette est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[8] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[9],[10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,8 %), zones urbanisées (17,1 %), forêts (14,8 %), zones agricoles hétérogènes (6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ais en 1104[14], Aisse en 1122[15], Aisc au XIIe siècle[14], Haiz en 1180, Hais en 1202, Ais en 1217, Ez en 1255, Eis au XIIIe siècle, Ays en 1272, Ays-en-le-Gohelle en 1343, Ays versus Bethuniam au XIVesiècle, Aiz en 1425, Ays-en-Gohelles en 1507, Aix en 1663, Ex en 1679, Aix-en-Noulette en 1759, Aix-en-Gohelle au XVIIIe siècle[15].

    Albert Dauzat a vu dans Aix-en-Issart, un des nombreux Aix présents sur le territoire de l'ancienne Gaule et qui remontent à aquis, ablatif-locatif pluriel d’aqua « eau », d'où le sens global de « (lieu des) eaux (thermales) »[16]. Cette explication n'est pas assurée par les formes anciennes, c'est pourquoi Maurits Gysseling suggère d'expliquer Aix-Noulette par le celtique *Askjo- ou proto-germanique *Askja-, qui serait un dérivé locatif à partir de l'hydronyme Askā (germanique Askō)[14].

    Le déterminant complémentaire Noulette, attesté sous les formes Noellet en 1159 ; Noilete en 1164 ; Novelete en 1268, Nouelete, Nowelete en 1334 ; Noelettes en 1344 ; Noulette-en-Gohelle en 1636 ; Noielette-en-Gohelle en 1739 ; Noullette en 1768[17], serait un dérivé du mot noué (noë cf. Delanoë) qui signifie « terrain humide »[18].

    La commune est née de la fusion, entre 1790 et 1794, de la commune d'Aix-en-Gohelle[19] et de celle voisine de Noulette[20].

    Histoire

    La commune était située sur la ligne de front pendant la Première Guerre mondiale. Ainsi le la 11e brigade d'infanterie (24e et 28e régiments d'infanterie) rejoigne les tranchées situées au sud-est d'Aix-Noulette[21]. En mai 1915, ce secteur fait l'objet de plusieurs attaques par les Français et par les Allemands, les pertes, tués et blessés, sont quotidiennes[22]. La situation est fort difficile pour les Français : les tranchées sont incomplètes, une partie d'entre elles a été fort abîmée au cours des combats. Les abris dans les tranchées n'existent quasiment pas. Les boyaux sont très peu nombreux et souvent impraticables, bouleversés par les bombardements et insuffisamment profonds, surtout à proximité de la première ligne. De plus, en ce mois de mai, les pluies détrempent complètement le terrain. Finalement, les troupes sont très exposées et le feu de l'ennemi ou les bombardements provoquent chaque jour des pertes sensibles[23]. Le Journal de Marche et des Opérations (J. M. O.) des troupes concernées rend compte pour la journée du d'une offensive française qui s'avère meurtrière, suivie d'un nouvel ordre d'attaque pour le lendemain avec des troupes déjà décimées. Cette double opération illustre la violence de cette guerre avec des officiers paraissant parfois peu préoccupés par les pertes humaines : pertes pour la journée du 25 mai pour les deux régiments : 7 officiers tués, 8 blessés, 6 disparus, 118 hommes tués, 389 blessés, 286 disparus[24].

    La commune est aussi historiquement productrice de rhododendrons.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune d'Aix-Noulette se situe dans le département du Pas-de-Calais et fait partie de la région Hauts-de-France. Elle appartient à l'arrondissement de Lens11 km) et au canton de Bully-les-Mineskm).

    La commune est membre de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin, qui rassemble 36 communes (Ablain-Saint-Nazaire, Acheville, Aix-Noulette, Angres, Annay, Avion, Bénifontaine, Billy-Montigny, Bouvigny-Boyeffles, Bully-les-Mines, Carency, Éleu-dit-Leauwette, Estevelles, Fouquières-lès-Lens, Givenchy-en-Gohelle, Gouy-Servins, Grenay, Harnes, Hulluch, Lens, Liévin, Loison-sous-Lens, Loos-en-Gohelle, Mazingarbe, Méricourt, Meurchin, Noyelles-sous-Lens, Pont-à-Vendin, Sains-en-Gohelle, Sallaumines, Servins, Souchez, Vendin-le-Vieil, Villers-au-Bois, Vimy et Wingles) pour une population totale d'un peu moins de 250 000 habitants.

    Élections municipales et communautaires

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Aimé François Ouvrier mineur
    1968 Henri Delattre SFIO Agent des Ponts et Chaussées
    Maire en 1971 Bernard Lefebvre Menuisier
    mars 1977 En cours
    (au [25])
    Alain Lefebvre PS Professeur de l'enseignement technique
    Conseiller général du Canton de Bully-les-Mines (1982-1992) puis du Canton de Sains-en-Gohelle (1992-2015)
    Conseiller départemental du Canton de Bully-les-Mines (2015-2021)
    11e vice-président du conseil général (? → 2015)

    Jumelages

    La commune est jumelée avec :

    Jumelages et partenariats d’Aix-Noulette.
    VillePaysPériode
    Elsdorf[26]Allemagnedepuis

    Équipements et services publics

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dépend du tribunal de proximité de Lens, du conseil de prud'hommes de Lens, du tribunal judiciaire de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Béthune[27].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Aixois[28].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

    En 2020, la commune comptait 3 917 habitants[Note 6], en diminution de 0,63 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    788619807889888918917927885
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9079581 0031 0371 0861 1001 1581 2961 328
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3711 6721 9081 2771 5171 6641 6681 8382 195
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    2 6702 6473 3613 0963 6643 8363 7313 7363 798
    2014 2019 2020 - - - - - -
    3 9423 9233 917------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,9 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 857 hommes pour 2 058 femmes, soit un taux de 52,57 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,8
    6,2
    75-89 ans
    8,5
    16,8
    60-74 ans
    17,8
    20,9
    45-59 ans
    20,3
    18,1
    30-44 ans
    18,4
    17,6
    15-29 ans
    16,1
    19,8
    0-14 ans
    17,2
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,6
    5,5
    75-89 ans
    8,9
    16,4
    60-74 ans
    17,8
    20,3
    45-59 ans
    19,3
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,1
    15-29 ans
    16,2
    20,2
    0-14 ans
    18,1

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2019, dans la commune, il y a 1626 ménages fiscaux qui comprennent 3816 personnes pour un revenu médian disponible par unité de consommation[Note 7] de 21 680 euros, soit supérieur au revenu de la France métropolitaine qui est de 21 930 euros[34],[35].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Germain, de type hallekerque, datant de 1531, a été classée monument historique le [36]. Elle possède une tour du XIIe siècle, un clocher et un chœur daté de 1552 et également des vitraux Art déco exceptionnels.
    • La motte féodale a été inscrite monument historique par arrêté du [37].
    • L'ancienne malterie des Brasseries du Nord-Pas-de-Calais, restée en service jusqu'en 1936.
    • La ferme dite des Houillères qui atteste d'un passé industriel lié au charbon.
    • Le monument aux morts[38].
    • Le cimetière britannique de Bois-de-Noulette.
    • Le cimetière Tranchée de Mecknes.
    • Le cimetière communal d'Aix-Noulette, extension.
    • Le cimetière britannique de Bois-de-Noulette.
      Le cimetière britannique de Bois-de-Noulette.
    • Le cimetière Tranchée de Mecknes.
      Le cimetière Tranchée de Mecknes.
    • Le cimetière communal d'Aix-Noulette, extension.
      Le cimetière communal d'Aix-Noulette, extension.

    Personnalités liées à la commune

    • Florent Joseph Duquesnoy (1761-1801), général des armées de la République.
    • Albert Thierry (1881-1915), instituteur, écrivain et syndicaliste, y est mort au champ d'honneur le .
    • Paul Drouot (1886-1915), écrivain et poète français mort pour la France dans la commune.
    • Richard Krawczyk (1947-), international de football français est né dans la commune.
    • D'anciens joueurs et entraîneurs du RC Lens y ont habité : Pierre Laigle, Alou Diarra, Marco Ramos, Nadir Belhadj, Jonathan Lacourt, Jean-Pierre Papin et Eduardo Ribeiro.

    Héraldique

    Armes d'Aix-Noulette

    Les armes d'Aix-Noulette se blasonnent ainsi :

    Écartelé de sable et d'or à la grenade enflammée de gueules brochant sur le tout.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le climat océanique altéré de type 4 apparaît comme une transition entre l’océanique franc (type 5) et l’océanique dégradé (type 3). Entre le Nord-Pas-de-Calais et la Normandie il s’agit d’une fine bande tandis qu’à l’Ouest, cette transition s’élargit jusqu’à atteindre plus de 150 km. Elle affecte également le sud-ouest du Massif central, de la Dordogne à l’Aveyron et le nord des Pyrénées. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5°C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8/an) et chauds soutenu (entre 15 et 23/an). L’amplitude thermique annuelle (juillet-janvier) est proche du minimum et la variabilité interannuelle moyenne. Les précipitations, moyennes en cumul annuel (800-900 mm) tombent surtout l’hiver, l’été étant assez sec. (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    7. Définition de l'unité de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d’unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus, 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Cette échelle d’équivalence (dite de l’OCE) tient compte des économies d’échelle au sein du ménage. En effet, les besoins d'un ménage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nécessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le même niveau de vie.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Surgeon (E3510600) » (consulté le )
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - fossé des quatre Hallots (E3510622) » (consulté le )
    3. 1 2 Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « ZNIEFF 310013735 - Coteau d'Ablain-St-Nazaire à Bouvigny-Boyeffles et bois de la Haie », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur insee.fr (consulté le ).
    9. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Lens - Liévin », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    14. 1 2 3 Maurits Gysseling, Toponymisch Woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Noord-Frankrijk en West-Duitsland (vóór 1226), 1960, p. 42
    15. 1 2 Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. nationale, (lire en ligne), p. 7.
    16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 7b.
    17. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. nationale, (lire en ligne), p. 280.
    18. Présentation de la commune sur le site de la mairie.
    19. Noms révolutionnaires des communes de France, p. 49
    20. 1 2 Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Inventaire des journaux des marches et opérations des grandes unités, Brigades et groupes de bataillons, Brigades et groupes de bataillons d'infanterie, Brigades d'infanterie, 11ebrigade, : J.M.O. 26 septembre 1914-26 mai 1915, p. 84, lire en ligne.
    22. Inventaire des journaux des marches et opérations des grandes unités, Brigades et groupes de bataillons, Brigades et groupes de bataillons d'infanterie, Brigades d'infanterie, 11ebrigade, : J.M.O. 26 septembre 1914-26 mai 1915, p. 87 et suivantes, lire en ligne.
    23. Inventaire des journaux des marches et opérations des grandes unités, Brigades et groupes de bataillons, Brigades et groupes de bataillons d'infanterie, Brigades d'infanterie, 11ebrigade, : J.M.O. 26 septembre 1914-26 mai 1915, p. 89, lire en ligne.
    24. Inventaire des journaux des marches et opérations des grandes unités, Brigades et groupes de bataillons, Brigades et groupes de bataillons d'infanterie, Brigades d'infanterie, 11ebrigade, : J.M.O. 26 septembre 1914-26 mai 1915, p. 92-97, lire en ligne.
    25. Reno Vatain, « Aix-Noulette : Alain Lefebvre réélu maire pour un huitième et « dernier » mandat », (réservé aux abonnés), sur lavoixdunord.fr, (consulté le ).
    26. « https://pastel.diplomatie.gouv.fr/cncdext/dyn/public/atlas/rechercheAtlasFrance.html?criteres.collectiviteId=26375 »
    27. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
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