Naissance | Park Slope |
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Décès |
(à 27 ans) New York |
Sépulture |
Cimetière de Green-Wood |
Pseudonymes |
Basquiat, Jean-Michel, Samo |
Nationalité | |
Formation | |
Activités | |
Période d'activité |
- |
Mouvements |
Néo-expressionnisme, primitivisme |
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Mécène | |
Représenté par |
Artists Rights Society |
Genres artistiques | |
Site web |
(en) basquiat.com |
Jean-Michel Basquiat [ ʒɑ̃ miʃɛl baskija][1], né le à Brooklyn et mort le à NoHo (Manhattan), est un artiste peintre américain.
Il devient très tôt un peintre d'avant-garde populaire et pionnier de la mouvance underground.
Biographie
Enfance
Jean-Michel Basquiat[2],[3] naît à New York, à Brooklyn, dans le quartier de Park Slope le . Sa mère Matilde est new-yorkaise d'origine portoricaine[4], et son père Gérard, issu d'une éminente famille haïtienne qui a fui la dictature du régime Duvalier, est expert-comptable à New York[5],[6]. Jean-Michel a deux jeunes sœurs : Lisane, née en 1964, et Jeanine, née en 1967[7]. Enfant précoce, il apprend à lire et à écrire à quatre ans et parle couramment trois langues à l'âge de huit ans : anglais, français et espagnol. Sa mère, qui est sensible à l'art, emmène régulièrement le jeune Jean-Michel au MoMA et l'encourage à développer ses talents de dessinateur[8].
En — il a sept ans —, Jean-Michel est percuté par une voiture alors qu'il joue dans la rue avec ses amis. Blessé au bras, il souffre aussi de lésions internes qui nécessitent l'ablation de la rate. Pendant sa convalescence à l'hôpital, sa mère lui fait cadeau d'un traité d'anatomie médicale intitulé Henry Gray's Anatomy of the Human Body (ou plus communément Gray's Anatomy). De même que les planches anatomiques de Léonard de Vinci[9], cet ouvrage influencera fortement l'artiste dans la première partie de son œuvre ; il s'en inspirera aussi plus tard pour nommer son groupe de musique Gray[7].
Souffrant de troubles psychiques, sa mère fait régulièrement des séjours en institutions spécialisées[7]. La santé de celle-ci se dégrade et la vie de famille devient difficile. Ses parents se séparent en 1968 et la garde des enfants est confiée au père[5]. Ainsi, ses deux jeunes sœurs et lui partent vivre chez leur père pendant 5 ans, puis la famille déménage en 1974 à Porto Rico. Après deux ans à San Juan, ils regagnent New York. Basquiat a alors 15 ans. Par la suite, il est envoyé dans l'école privée Saint Ann, établissement huppé de Brooklyn dont l'enseignement tourné vers les arts privilégie l'apprentissage pratique. Il y rencontre Al Diaz, un graffeur avec qui il se liera d'une profonde amitié. En décembre 1976, il fugue dans Greenwich Village, errant une semaine autour du Washington Square Park, dormant et mangeant là où il peut[10], avant d'être arrêté et ramené à son père.
Il abandonne l'école secondaire avant la fin de ses études, quitte la maison paternelle d'où il est banni définitivement et part s'installer avec des amis. Il subvient à ses besoins en vendant des T-shirts et des cartes postales de sa fabrication dans la rue, et en travaillant dans une boutique de vêtements.
Carrière artistique
En 1976, Jean-Michel Basquiat et ses amis Al Diaz[11] et Shannon Dawson commencent à graffer à proximité des galeries de Manhattan des messages qu'ils signent sous le pseudonyme de SAMO[12], pour « Same Old shit »[13]. À la même époque Keith Haring recouvre les murs de Radiant Babies. SAMO intrigue et finit par se faire une réputation dans le milieu artistique de l'East Village. Basquiat est invité à une émission de télévision de Glenn O'Brien, et un article lui est consacré en 1978 dans The Village Voice. Il se lie avec Haring, le rappeur Fab Five Freddy et Kenny Scharf. Il continuera à graffer en solo jusqu'en 1979, signant la fin du projet par l'inscription SAMO IS DEAD[14] (SAMO est mort) sur les murs de SoHo. La même année, il fonde le groupe de noise rock Channel 9 puis rebaptisé Gray avec Shannon Dawson, Michael Holman, Nick Taylor, Wayne Clifford et Vincent Gallo. Il y joue de la clarinette et du synthétiseur[15]. Leurs concerts se situent dans la veine du no wave où la dissonance, le bruit et le cri se déploient de manière brute, avec notamment le saxophoniste John Lurie et le guitariste Arto Lindsay[16].
En 1980, il joue son propre rôle dans le film indépendant Downtown 81 d'Edo Bertoglio, écrit et produit par Glenn O'Brien. O'Brien présente Basquiat à Andy Warhol, avec qui il collaborera plus tard. En juin, Basquiat gagne en notoriété grâce à sa participation au Times Square Show[17], une exposition collective d'artistes commanditée par Colab and Fashion Moda. La même année, la manifestation New York / New Wave le conduit à exposer auprès de Keith Haring, Andy Warhol et Robert Mapplethorpe. Encouragé par ce succès, au cours duquel il est remarqué par les galeristes Annina Nosei et Bruno Bischofberger qui deviennent ses marchands, il quitte le groupe Gray.
La même année, Diego Cortez le présente à Henry Geldzahler, historien de l'art et conservateur au Metropolitan Museum of Art qui devient son ami et l'un de ses premiers collectionneurs[15].
En 1981, René Ricard publie un article élogieux intitulé The Radiant Child (l'enfant radieux) dans le magazine Artforum, propulsant la carrière de Basquiat. Annina Nosei organise la première exposition personnelle de Jean-Michel Basquiat à New York.
La galeriste Annina Nosei[18] lui propose de s'installer dans le sous-sol de la galerie, le finance pour qu'il achète des toiles grand format, et organise sa première exposition personnelle. Il collabore à l'exposition du groupe Transavanguardia Italia / America organisée par Achille Bonito Oliva, qui expose ses travaux aux côtés d'artistes néo-expressionnistes tels que Keith Haring et Barbara Kruger, Julian Schnabel, David Salle, Francesco Clemente et Enzo Cucchi.
Basquiat quitte la Galerie Annina Nosei en , après avoir passé un mois d'avril mouvementé à Los Angeles où il fait l'objet d'une exposition personnelle à la galerie Larry Gagosian. Bruno Bischofberger devient son marchand exclusif. Basquiat le charge de lui trouver une nouvelle galerie à New York.
Cette même année, il entame une idylle passionnée[19], immortalisée en photos[20], avec la chanteuse américaine Madonna, à qui il offre nombre de ses toiles. Après leur séparation, Basquiat prend les tableaux et les recouvre de peinture noire[21].
En 1982, il est le plus jeune artiste (21 ans) à exposer à la documenta de Cassel. Il participe en à la Biennale du Whitney Museum of American Art, devenant à 23 ans le plus jeune artiste, là aussi, jamais exposé dans cette exposition. Au mois d'août, il loue un atelier appartenant à Andy Warhol. Ce dernier lui suggère de suivre des cours de dessin anatomique à la New York Academy of Art, et lui recommande de placer son argent. En novembre, sous la direction de Bruno Bischofberger, débutent « les collaborations » qui réunissent Jean-Michel Basquiat, Andy Warhol et Francesco Clemente.
Début 1984 Basquiat part passer trois mois à Maui, à Hawaï où il lit et peint. Il expose à la Mary Boone Gallery à son retour, qui le présente au MoMA en mai, avec la collaboration de Bruno Bischofberger.
En 1985, Basquiat fait la couverture du New York Times Magazine[22] pour le numéro intitulé New Art, New Money: The Marketing of an American Artist (« Art nouveau, argent nouveau, le marketing d'un artiste américain »).
En , il se rend avec son amie Jennifer Goode pour la première fois en Afrique, à l'occasion de son exposition au Centre culturel français (10 au ) à Abidjan, en Côte d'Ivoire. Le projet a été initié par Bruno Bischofberger qui a fait intervenir Claudio Caratsch, son ami ambassadeur de Suisse en Côte d’Ivoire, afin qu'il trouve un lieu adéquat. À l'invitation de Georges Courrèges, directeur du CCF, Philippe Briet a assuré l'installation de l'exposition consistant en 23 œuvres provenant de la collection personnelle de l'artiste, dont les maintenant célèbres tableaux Stardust (1983) et Sugar Ray Robinson (1982).
Après un passage à vide à la suite de la mort d'Andy Warhol qui l'affecte grandement, il se remet à travailler et expose à Paris à la galerie Templon en 1987. Il expose également à New York, de nouveau à Paris, puis à Düsseldorf, avant sa mort en 1988[15].
Collaboration avec Andy Warhol
Au début des années 1980, Basquiat commence à exposer ses toiles à New York principalement, grâce à plusieurs galeristes. En 1982, il rencontre Andy Warhol[23]. Basquiat voulait devenir célèbre et a tout fait pour réussir. Warhol était la clé de la stratégie de Basquiat. Il cherche à le rencontrer et « possède même une photo de lui au-dessus de son lit ». Il l'aborde tout d'abord dans un restaurant pour lui proposer ses cartes postales puis se rend dans l'atelier de l'artiste. Petit à petit, ils s'attachent très fortement et deviennent bons amis. Ils commencent à s'afficher dans des lieux publics à la mode. Ils finissent par créer plus d'une centaine de toiles ensemble. Basquiat représente d'ailleurs son ami sous la forme d'une banane, Brown Spots (Portraits of Andy Warhol as a Banana).
Les deux artistes possèdent un style qui leur est propre et sont deux légendes de l'art contemporain. À deux, ils donnent le résultat d'une collaboration pleine de succès et d'originalité. Pour Warhol, Basquiat était « un miroir reflétant ce qu'il a été, ce qu'il est et aurait rêvé d'être ». Leur rencontre fut donc marquante sur le plan artistique mais également personnel.
En 1985, ils réalisent ensemble des toiles qu'ils exposent à Zurich, mais qui sont très critiquées. Warhol est accusé d'exploiter et de « manipuler » son ami. Cela est censé marquer la fin de leur amitié sincère tant les critiques sont mauvaises.
L'argent et la drogue
La très importante, et surtout très rapide commercialisation des œuvres de Jean-Michel Basquiat, qui devient un artiste très prisé du marché de l’art, lui rapporte très vite des sommes considérables, dont lui-même a du mal à prendre conscience. Issu d’un milieu modeste, Jean-Michel Basquiat accède soudain à des moyens qu’il peine à gérer. Sans compte en banque, il empile les liasses de billets dans son appartement, et l’abondance d’argent dans laquelle il est soudain plongé a un fort impact sur son rapport au monde. Basquiat a du mal à trouver sa place dans un milieu où le luxe est commun, et s’adapte difficilement aux codes sociaux des sphères élitistes de l’art contemporain qu’il commence à fréquenter.
Les moyens très importants auxquels il a soudain accès facilitent l’accès de Basquiat aux drogues, auxquelles il était déjà accoutumé dès ses débuts en tant que graffeur. Les drogues jouent un rôle important dans la carrière de Jean-Michel Basquiat, aiguillonnant sa créativité et sa vitesse de production, lui permettant de travailler plus longtemps, selon les dires de ses proches. Cependant, sa consommation régulière affecte fortement sa santé physique et morale, et Basquiat traverse des périodes très sombres, pendant lesquelles ses œuvres revêtent des esthétiques macabres, exprimant le profond mal-être de l’artiste. Andy Warhol, pendant leur collaboration, a beaucoup œuvré pour tenter d’éloigner son partenaire des produits les plus nocifs, mais à la suite de leur discorde, Jean-Michel Basquiat reprend une consommation très intense, particulièrement après la mort de Warhol, qui le plonge dans une grande détresse. La drogue, réalité très ancrée dans le monde artistique new-yorkais des années 1970-80, constitue une source de productivité importante pour Basquiat, mais, empirant les angoisses et le mal-être de l’artiste, le conduit à la mort le 12 août 1988.
Musique
Basquiat était un grand amateur de musique très éclectique. Il écoutait de la musique en peignant. À sa mort, on a retrouvé dans son appartement plus de 3 000 albums. C'est d'ailleurs une musicienne, Debbie Harry du groupe Blondie, qui fut la première à acheter une de ses toiles, Cadillac Moon. Il a également une liaison avec la chanteuse Madonna et se produit avec le groupe Gray. Il affectionne particulièrement le jazz, en particulier le bebop, dont il apprécie la liberté créative. Il produira même un disque, Beat Bop, du duo rap Rammellzee et K-Rob[24].
Avant tout, la musique est importante pour sa production picturale. Il intègre régulièrement des portraits de musiciens dans ses œuvres. Avec Now's The Time, il reproduit un disque vinyle de Charlie Parker de 1945. Il peint également plusieurs allusions musicales dans ses œuvres.
La thématique de la musique dans l'œuvre de Basquiat fait l'objet d'une exposition du Musée des beaux-arts de Montréal, À plein volume : Basquiat et la musique du 15 octobre 2022 au 19 février 2023[25] et une à la Philarmonie de Paris, Basquiat Soundtracks du 6 avril au 30 juillet 2023[26].
Mort et héritage
Profondément affecté par la disparition d'Andy Warhol le , Basquiat commence à mener une existence recluse et produit peu. En 1988, après une année et demie d'absence, il expose à nouveau. Malgré le succès de son exposition, il se rend à nouveau à Hawaï au mois de juillet, afin de se défaire de sa toxicomanie. Il rentre à New York le et déclare être guéri de son addiction.
Dix jours plus tard, Jean-Michel Basquiat est retrouvé mort dans son studio de Great Jones Street qu'Andy Warhol lui louait[27], d'une surdose d'héroïne et de cocaïne.
À 27 ans, il laisse derrière lui une œuvre de plus de huit cents tableaux et mille cinq cents dessins. Il est quelquefois associé au Club des 27[28], en compagnie d'autres artistes de la contre-culture décédés au même âge. Il repose au cimetière de Green-Wood à Brooklyn[29].
Jean-Michel Basquiat n'ayant pas rédigé de testament, ses œuvres sont léguées à ses parents, Gérard et Matilde. Son père devient son exécuteur testamentaire. À sa mort le , il laisse une succession estimée à 45 millions de dollars. Sa mère Matilde, décédée en 2009, laisse une succession estimée par Sotheby’s à 37 millions de dollars[30].
SAMO
SAMO est la signature utilisée par Jean-Michel Basquiat et Al Diaz pour leurs graffitis sur les murs de la ville de New York entre 1977 et 1980.
Sa signature, signifiant « Same Old Shit » (toujours la même merde) accompagnait de courtes phrases, tantôt provocatrices, tantôt poétiques, sarcastiques ou ironiques, écrites en lettres majuscules, généralement taguées dans les rues du Sud de Manhattan.
Le film Downtown 81 réalisé par Edo Bertoglio en 1981 offre des images de Basquiat taguant les murs de New York , nous plongeant ainsi dans l'univers de l'artiste[31].
Œuvres plastiques
L'œuvre de Basquiat se divise en trois grandes périodes :
- de 1980 à fin 1982, il fait de la peinture sur toile, représentant le plus souvent des personnages squelettiques et des visages ressemblant à des masques. Ces œuvres traduisent son obsession de la mortalité de l'Homme. Il peint aussi des éléments tirés de sa vie dans la rue : voitures, bâtiments, policiers, jeux d'enfants, graffitis ;
- une période intermédiaire, de fin 1982 à 1985, présente des peintures sur panneaux de toutes matières et de toutes formes, et des tableaux individuels avec traverses intermédiaires visibles, une surface dense avec des écritures, des collages, et des représentations sans relation apparente les unes avec les autres. Ces travaux révèlent un fort intérêt pour l'identité noire et hispanique de Basquiat, son identification avec les personnages noirs historiques ou contemporains, et les événements qui leur sont liés ;
- la dernière période, débute vers 1986 et dure jusqu'à sa mort en 1988. Elle montre un nouveau genre de peinture figurative, dans un style différent avec des sources, des symboles et un contenu contrastant avec ses autres peintures.
Œuvres de Basquiat
Année | Titres |
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1977 |
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1978 |
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1979 |
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1980 |
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1981 |
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1982 |
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1983 |
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1984 |
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1985 |
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1986 |
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1987 |
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1988 |
|
Collaboration Basquiat-Warhol
- 6.99 (1985)
- Ailing Ali in Fight for Life (1984-1985)
- Amoco (1984)
- Apples and Lemons (1985)
- Bananas (1985)
- Cops (1984)
- Crab (1984-1985)
- Crocodile (1984)
- Del Monte (1984-1985)
- Dog (1984)
- Easter Eggs (1986)
- Eggs (1984-1985)
- Eiffel Tower (1985)
- FBI - Plate 14 (1984-1985)
- Felix the cat (1984-1985)
- Fuck you, dentures (1984-1985)
- General Electric (1985)
- General Electric with Waiter (1984)
- GE Short Line & Reading (1984-1985)
- Heart attack (1984-1985)
- Heart attack (in 2 parts), (1984)
- Hot Water (1985)
- House Eye (1984-1985)
- King of the Zulus (1984-1985)
- Monster Meat, Arm and Hammer, General Electric, Zenith, Eggs, Sweet Pungent, China (1984-1985)
- Olympic rings (1985)
- Olympics (1984)
- Outlays hisssssssss (1984-1985)
- PE D G, Two Heads (1984-1985)
- Please Take Care (1985)
- Poison (1984)
- Poison/Eel (1984-1985)
- Sharp Teeth (1985)
- Size nine (1984-1985)
- Stoves (1985)
- Taxi, 45th/Broadway (1984-1985)
- Ten Punching Bags (Last Supper), (1986-1987)
- Thin Lips (1984-1985)
- Third Eye (1985)
- Tricycle (1985)
- Untitled (50 - Dentures), (1985)
- Untitled (Arm and Hammer II), (1985)
- Untitled (General Electric II), (1984-1985)
- Untitled (Two dogs), (1984)
- Victor 25448 (1987)
- Win $ 1’000’000 (1984)
- Zenith (1985)
Collaboration Basquiat-Clemente-Warhol
- Amorosi (1984)
- Casa del Popolo (1984)
- Cilindrone (1984)
- Ex-Ringye (1984)
- Origin of Cotton (1984)
- Pure (1984)
- Tre Amici (1984)
- "Alba's breakfast" (1984)
- "Pole Star" (1984)
- "Water" (1984)
- "Premonition" (1984)
Liste des expositions
Rétrospectives
- Jean-Michel Basquiat : Paintings 1981-1984 - The Fruitmarket Gallery, Édimbourg, Royaume-Uni, août-. Exposition itinérante. Institute of Contemporary Arts, Londres, - / Musée Boijmans Van Beuningen, Rotterdam, Pays-Bas, février-.
- Jean-Michel Basquiat : To Repel Ghosts - Kestnergesellschaft, Hanovre, Allemagne, - .
- Jean-Michel Basquiat : Une rétrospective - Musée Cantini, Marseille, France, - .
- Jean-Michel Basquiat - Whitney Museum of American Art, New York, - . Exposition itinérante. The Menil Collection, Houston, mars- / Des Moines Art Center, Iowa, mai- / Montgomery Museum of Fine Art, Alabama, - .
- Jean-Michel Basquiat - Kaohsiung Museum of Fine Arts, Taiwan, – . Exposition itinérante. Taichung Museum, Taiwan, - .
- Jean-Michel Basquiat : Gemälde und Arbeiten auf Papier (Paintings and Works on Paper) : The Mugrabi Collection - Museum Würth, Künzelsau, Allemagne, - .
- Basquiat - Brooklyn Museum, New York, - [33]. Exposition itinérante. Museum of Contemporary Art, Los Angeles, - / The Museum of Fine Arts, Houston, - .
- Jean-Michel Basquiat - Museo d'Arte Moderna, Lugano, Suisse, - .
- Basquiat 1960-1988 - Basquiat Retrospective - Shanghai Duolun Museum of Modern Art, Shanghai, - .
- The Jean-Michel Basquiat Show - Triennale de Milan, Italie, - [34].
- Basquiat, una antología para Puerto Rico - Museo de Arte de Puerto Rico, production ArtPremium, Santurce, San Juan, Porto Rico, - [35].
- Jean-Michel Basquiat : Ahuyentando fantasmas (To Repel Ghosts) - Fundación Botin, Santander, Espagne, - [36]. Exposition itinérante. Jean-Michel Basquiat : Fantasmi da scacciare - Palazzo Ruspoli, Fondazione Memmo, Rome, - .
- Basquiat - Fondation Beyeler, Bâle, Suisse, - . Exposition itinérante. Musée d'art moderne de la ville de Paris, - [37]. Cette rétrospective a reçu le Globe de cristal 2011 de la meilleure exposition[38].
- Jean-Michel Basquiat : Now's the Time - Musée des beaux-arts de l'Ontario, Toronto, Canada, - [39]. Exposition itinérante. Jean-Michel Basquiat : Ahora es el momento - Musée Guggenheim, Bilbao, Espagne, - [40].
- Jean-Michel Basquiat - Mudec, Milan, Italie, - .
- Basquiat: Boom for Real - Barbican Art Gallery, Londres, Royaume-Uni, - . Exposition itinérante. Schirn Kunsthalle Frankfurt, Allemagne, - .
- Jean-Michel Basquiat - Fondation d'entreprise Louis Vuitton, Paris, - .
Expositions personnelles
Année | Expositions personnelles |
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1980 |
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1981 |
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1982 |
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1983 |
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1984 |
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1985 |
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1986 |
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1987 |
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1988 |
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1989 |
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1990 |
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1991 |
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1992 |
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1993 |
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1994 |
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1996 |
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1997 |
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1998 |
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1999 |
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2000 |
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2001 |
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2002 |
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Expositions en duo et collaborations
Année | Expositions en duo et collaborations |
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1984 |
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1985 |
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1986 |
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1988 |
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1989 |
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1990 |
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1991 |
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1994 |
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1995 |
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1996 |
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2004 | |
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2010 | |
2012 | |
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Expositions collectives
Année | Expositions collectives |
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1980 |
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1981 |
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1982 |
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1983 |
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1984 |
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1985 |
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1986 |
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1987 |
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1988 |
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1989 |
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1990 |
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1991 |
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1992 |
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1993 |
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1994 |
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1995 |
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1996 |
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1997 |
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1998 |
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1999 |
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2016 |
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2017 |
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2018 |
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Musique
Discographie
2011 : Gray - Shades of... (Label: Plush Safe Records)[62].
N° | Titre | Interprète(s) | Auteur(s) | Producteur(s) | Durée |
---|---|---|---|---|---|
1 | Suicide Hotline | Jean-Michel Basquiat | Jean-Michel Basquiat | Justin Thyme | 3:26 |
2 | Wig | Jean-Michel Basquiat / Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | 2:50 |
3 | Cut It Up High Priest | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | 4:20 |
4 | Pillar of Salt | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | 1:07 |
5 | The Mysterious Ashley Bickerton | Ashley Bickerton / Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | 5:04 |
6 | The Man Who | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | 2:54 |
7 | Drum Mode | Jean-Michel Basquiat / Michael Holman / Nicholas Taylor / Justin Thyme | Jean-Michel Basquiat / Michael Holman / Nicholas Taylor / Justin Thyme | Jean-Michel Basquiat / Michael Holman / Nicholas Taylor / Justin Thyme | 7:22 |
8 | Dan Asher (I Saw You Liking Everything?) | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | 2:09 |
9 | I Know | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | 3:05 |
10 | Guantlet of Wriggleys | Michael Holman | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | 2:02 |
11 | Eight Hour Religion | Jean-Michel Basquiat / Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | 2:23 |
12 | Mockingbird | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | 2:15 |
13 | Doktor Dhoom | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | 1:34 |
14 | Figure It Out For Yourself | Jean-Michel Basquiat / Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | 1:23 |
15 | Washington, Dc 20013 | Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | 2:08 |
16 | Bad Fool (Red Skelton) | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | 3:23 |
17 | Life On The Streets | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | 2:44 |
18 | Ba Da Da | Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | Michael Holman / Nicholas Taylor | 0:55 |
Producteur
Créations graphiques
Postérité
Marché de l'art
La cote de l'artiste a crû de manière régulière. En , une de ses toiles, intitulée Untitled, décroche un nouveau record en étant adjugée 57,2 millions de dollars (50,2 millions d’euros) lors d’enchères organisées par Christie’s à New York[65]. En 2017, le record est encore battu avec un tableau sans titre datant de 1982, acheté 110,5 millions de dollars par un homme d'affaires japonais[66].
Expositions
- 2004 : Jean-Michel Basquiat : An Intimate Portrait - Photographies de Nicholas Taylor - Castellani Art Museum, Niagara Falls, États-Unis.
- 2014 : Reclining Nude : Jean-Michel Basquiat - Photographies de Paige Powell - The Suzanne Geiss Company, New York.
- 2015 : Paige Powell : The Ride - Portland Art Museum, Oregon, États-Unis[67].
Musique
- La couverture de la mixtape Ignorant Art (2011) d'Iggy Azalea est un hommage au célèbre portrait de Basquiat et Warhol en boxeurs, photographiés par l'américain Michael Halsband.
- Pour la promotion de l'album Rebel Heart (2015) de Madonna, Jean-Michel Basquiat apparaît le visage ficelé avec une corde noire[68]. D'autres figures historiques ont subi ce même détournement ; nous pouvons citer Martin Luther King, Gandhi, Nelson Mandela, Bob Marley. Ces images ont fait polémique.
- Nous trouvons de multiples références à Basquiat dans le domaine musical ; de nombreux rappeurs le mentionnent dans leurs textes[69] :
- Les Strokes ont choisi une œuvre de Basquiat pour illustrer la pochette de leur album The New Abnormal (2020).
Année | Titres |
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1999 |
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2001 |
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2005 |
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2006 |
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2010 |
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2011 |
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Photographie
- Gilles Bensimon, « Jean-Michel Basquiat and the high funk of hip-hop », Elle, novembre 1995
- Barron Claiborne, No Mundane Options, Code Magazine, mars 2001
- Cedric Buchet, « Basquiat », Vogue Hommes International, printemps 2010
- Olga Laris, « The Iconics », bbmundo, février 2012[70]
- Juco, A$AP Rocky & Jeremy Scott : Knock 'Em Out The Box, Complex, Mars 2012
- Mark Segal, « Portrait of an Artist », Vogue Japan, janvier 2014
- Erwin Olaf, « Les Beaux Arts », Vogue Nederland, mars 2014
- Matthew Kristall, « Gotta Move », The New York Times Style Magazine, mars 2015
Illustration
- Dans le livre pour enfants Life Doesn't Frighten Me (1993), les peintures de Basquiat illustrent le poème de Maya Angelou[71].
- Le créateur de mode Jean-Charles de Castelbajac signe la couverture de la revue littéraire Bordel consacrée à Jean-Michel Basquiat (2008)[72] ; le dessin est un portrait de Basquiat ; quatre crânes humains ornent sa chevelure. L'ouvrage est disponible en quatre couleurs : rose, jaune, vert et violet. En 2010, il illustre la couverture du roman d'Anaïd Demir, Le Dernier Jour de Jean-Michel Basquiat[73] : un portrait du peintre à l'acrylique, des monstres surgissent de ses dreadlocks noires.
- A Pile of Crowns, for Jean-Michel Basquiat
Théâtre
- Enzo Cormann (dramaturge), La Révolte des Anges, France, Éditions de Minuit, , 71 p. (ISBN 2-7073-1613-X)[74]
- Mustafa Stitou (dramaturge), Basquiat & Warhol, De Nieuw Amsterdam, Pays-Bas, 2010[75]
- Harold Finley (dramaturge/metteur en scène), A Thousand Miles of History, The Bussey Building, Royaume-Uni, 2013[76]
- Koffi Kwahulé (dramaturge) Laëtitia Guédon (metteur en scène), SAMO, A tribute to Basquiat[77], co-production La Comédie de Caen – Centre dramatique national de Normandie, Théâtre des Quartiers d'Ivry – Centre dramatique national du Val-de-Marne, La Loge (Paris), Tropiques Atrium – Scène nationale de la Martinique, Théâtre Victor-Hugo, Bagneux / Vallée Sud Grand Paris, 2017
Filmographie
- Blondie, Rapture. 4:54 min. Clip vidéo. Basquiat tient le rôle d'un disc jockey dans une boîte de nuit, 1981.
- Edo Bertoglio (réalisateur), Downtown 81. 73 min. Écrit par Glenn O'Brien, produit par Maripol, 1981[31].
- Stephen Torton (réalisateur), One Day on Crosby Street. 22 min. Non commercialisé, 1982.
- Geoff Dunlop (réalisateur), Jean-Michel Basquiat and Andy Warhol. Extrait de State of the art: ideas and images in the 1980s. 328 min. Channel 4 / Arts Council of Great Britain, 1987.
- Paul Tschinkel (réalisateur), Jean-Michel Basquiat: an Interview. 34 min, 1981. Extrait de Young Expressionists Art/new york No. 19., 1983. Texte et interview par Marc H. Miller. InnerTube Video, NY, 1989[78].
- Geoff Dunlop (réalisateur), Shooting Star, 52 min. Channel 4 / Illuminations, 1990.
- John Tiffin (réalisateur/producteur), Morley Safer (présentateur), Yes...But Is It Art ? 12 min. Extrait de 60 Minutes. CBS News, 1993.
- Philippe Lallemant et Michel Quinejure (réalisateurs), Guillaume Durand (auteur/présentateur), L'Art contemporain est-il bidon ? 110 min. Canal+ / Ellipse Programme, 1994.
- Julian Schnabel (réalisateur), Basquiat. 106 min. Miramax Films, 1996[79].
- Christopher Rodley (réalisateur), Matthew Collings (auteur/présentateur), This is Modern Art. 149 min. Programme Three : Lovely, Lovely. 51 min. Oxford Television Company Production, Channel 4 Television Corporation, 1998[80].
- Dominique Mougenot (auteur/réalisateur), Portrait d'artiste : Jean-Michel Basquiat. 50 min. Écrit avec Joy Tlou. Coll. « Chroniques du XXe siècle », International Distribution Electronic [éd.] , France, 2003.
- Bethany Ward-Lawe (réalisatrice), Samo : The Art and Influence of Jean-Michel Basquiat. 52 min. Git Yourz Productions, 2008.
- Dominique Cabrera (réalisatrice), Quand la ville mord, collection Suite noire. 60 min. Agora Films, 2009.
- Fabrice Hourlier (réalisateur), Frédéric Taddeï (présentateur). D'art d'art : Slave Auction de Jean-Michel Basquiat. 2 min. Froggies Media, France, 2010.
- Jean-Michel Vecchiet (auteur/réalisateur), Basquiat, une vie. 52 min. Arte France, 2010[81].
- Tamra Davis (réalisatrice), Jean-Michel Basquiat: The Radiant Child. 88 min. M6 Vidéo [éd.], France, 2010[82].
- Serge Elissalde et Franck Guillou (réalisateurs), 1 minute au musée : l'Art moderne et contemporain. 40 min. Marché aux esclaves de Jean-Michel Basquiat. 1:26 min. Doriane Films, 2011[83].
- Jacques Goldstein (auteur/réalisateur) et Daniel Soutif (auteur), Noire est la couleur. 52 min. Arte France, 2016.
- Le tableau "Red Kings" de Basquiat apparaît et est mentionné plusieurs fois dans la deuxième saison de la série Netflix Marvel's Luke Cage (2018)[84].
- David Shulman (réalisateur), Basquiat: Rage To Riches. 90 min. BBC Studios / PBS Distribution, 2018.
- Sara Driver (réalisatrice), Basquiat, un adolescent à New York (Boom for Real: The Late Teenage Years of Jean-Michel Basquiat). Magnolia Pictures, 2018.
Bibliographie
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- Marie-Claire Adès, Dominique Le Guen, Jean-Michel Basquiat : peinture, dessin, écriture, France, Musée-Galerie de la Seita, , 104 p. (ISBN 978-2-906524-55-2)
- Coll. Annie Wong, Richard D. Marshall, Enrico Navarra, Jean-Michel Basquiat : Vancouver, France, Édition Galerie Enrico Navarra, Art Beatus Gallery Ltd, , 79 p.
- Démosthènes Davvetas (trad. Ingrid Filot), Dialogues, Paris, France, Au Même Titre Éditions, , 304 p. (ISBN 978-2-912315-05-2)
- Dina Vierny, Enrico Navarra et Bertrand Blistène, Jean-Michel Basquiat : œuvres sur papier, France, Fondation Dina Vierny-Musée Maillol, Réunion des Musées Nationaux, , 188 p. (ISBN 978-2-7118-3589-8)
- Coll., Jean-Michel Basquiat : Témoignage 1977-1988, France, Édition Galerie Jérôme de Noirmont, , 112 p. (ISBN 978-2-912303-03-5)
- Jonas Storsve, Guy Tosatto, Au fil du trait : de Matisse à Basquiat, France, Éditions du Centre Pompidou, , 160 p. (ISBN 978-2-85850-960-7)
- (en) Coll. Bernard Blistène, Elena Ochoa, Richard D. Marshall, Robert Farris Thompson, Jean-Michel Basquiat : œuvres sur papier, France, Édition Galerie Enrico Navarra, , 378 p. (ISBN 2-911596-12-9)
- Coll. Noël Adrian, Roberto Fernàndez Retamar, Nelson Herrera Ysla, Yolanda Wood, Elena Ochoa, Johnny Depp, Richard D. Marshall, Basquiat En La Habana : [exposición, La Habana, Museo del Ron (Fundación Havana Club) y Galería Haydeé Santamaría de la Casa de las Américas, noviembre 2000-enero 2001], France, Édition Galerie Enrico Navarra, , 216 p. (ISBN 2-911596-21-8)
- Jean-Louis Prat, Richard D. Marshall, Jean-Michel Basquiat : Monographie des Peintures, France, Édition Galerie Enrico Navarra, , 688 p. (ISBN 2-911596-16-1)
- Bernard Millet, Basquiat, une rétrospective, France, Réunion des Musées Nationaux, , 191 p. (ISBN 978-2-7118-2671-1)
- Alain Jouffroy et Johnny Depp, Jean-Michel Basquiat : histoire d'une œuvre, France, Fondation Dina Vierny-Musée Maillol, , 171 p. (ISBN 978-2-910826-36-9)
- Jennifer Clement, En compagnie de Basquiat, Paris, Éditions Denoël, coll. « Denoël & d'ailleurs », , 219 p. (ISBN 978-2-207-25248-2)[85]
- Dina Vierny, Bertrand Lorquin et Jan Krugier, Le Feu sous les cendres : de Picasso à Basquiat, France, Éditions Gallimard, coll.« Livre d'Art », , 161 p. (ISBN 978-2-07-011836-6)
- Jean-Luc Chalumeau, Jean-Michel Basquiat, Paris, Éditions Cercle d'art, , 64 p. (ISBN 978-2-7022-0553-2)
- Marc Mayer, Fred Hoffman, Kellie Jones et Franklin Sirmans, Basquiat, Paris, Éditions Flammarion, coll. « Monographies », , 224 p. (ISBN 978-2-08-011468-6)
- Rudy Chiappini, Jean-Michel Basquiat, France, Skira, coll.« Art Moderne », , 196 p. (ISBN 978-88-7624-443-8)
- Michel Nuridsany, 100 chefs-d'œuvre de la peinture : De Lascaux à Basquiat, de Florence à Shanghai, France, Flammarion, coll. « Histoire de l'Art », , 205 p. (ISBN 978-2-08-011494-5)
- Eric Bonici et Corinne Timsit, Edition Spéciale Jean-Michel Basquiat, Puerto Rico, ArtPremium, , 100 p. (ISSN 1548-1468)
- Jean-Jacques Salgon, Le Roi des Zoulous, Paris, France, Verdier, , 118 p. (ISBN 978-2-86432-527-7)[86]
- Jérôme Attal, Denis Parent, Roxane Duru, Johnny Depp, Jean-Michel Basquiat, Paris, Stéphane Million Éditeur, coll. « Bordel » (no 9), , 187 p. (ISBN 978-2-917702-04-8)
- Anaïd Demir, Le Dernier Jour de Jean-Michel Basquiat, Paris, Éditions Anabet, , 193 p. (ISBN 978-2-35266-078-1)
- Coll. Dieter Buchhart, Marie-Sophie Carron de la Carrière, Jean-Louis Prat, Jean-Jacques Schuhl, Glenn O’Brien, Robert Storr (trad. de l'anglais par Christian Martin Diebold, Leïla Pellisier), Basquiat (catalogue de l'exposition du Musée d'Art moderne de Paris), France, Paris Musées, , 195 p. (ISBN 978-2-7596-0124-0)
- Coll. Marc Mayer (dir.) (trad. de l'anglais), Basquiat, Paris, Éditions Flammarion, coll. « Peinture & Sculpture », , 224 p. (ISBN 978-2-08-123725-4)
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- Ernest Pépin, Le Griot de la peinture, Lamentin, Caraïbéditions, , 164 p. (ISBN 978-2-917623-85-5)[88]
- Matthieu Garrigou-Lagrange, Destins inoubliables, France, Albin Michel, coll. « Beaux Livres », , 400 p. (ISBN 978-2-226-25909-7)
- Michel Nuridsany, Jean-Michel Basquiat, Paris, France, Flammarion, coll. « Grandes Biographies », , 464 p. (ISBN 978-2-08-127764-9)[89]
- Pierre Ducrozet, Eroica : roman, Paris, France, Éditions Grasset & Fasquelle, coll. « Le Courage », , 272 p. (ISBN 978-2-246-85747-1)[90]
- Alain-Dominique Gallizia, Marc Restellini, Le pressionnisme 1970-1990 : Les chefs-d'oeuvre du graffiti sur toile de Basquiat à Bando, France, Pinacothèque de Paris, , 200 p. (ISBN 978-1-78525-032-3)
- Phoebe Hoban, Basquiat : A Quick Killing in Art, Quartet Books, , 416 p. (ISBN 978-0-7043-7404-1)
- Jennifer Clement (trad. de l'anglais), La Veuve Basquiat : une histoire d'amour, France, Christian Bourgois Éditeur, , 201 p. (ISBN 978-2-267-02942-0)
- Coll. Didier Semin, Sylvie Wuhrmann, Basquiat, Dubuffet, Soulages... : Une collection privée, France, Skira, , 198 p. (ISBN 978-88-572-3232-4)
- Maya Angelou, Life doesn't frighten me, Abrams Books for Young Readers, coll. « Anniversary », , 40 p. (ISBN 978-1-4197-2748-1)
- Javaka Steptoe (trad. de l'anglais par Gael Renan), Jean-Michel Basquiat, France, Le Genévrier, coll. « Caldecott », , 42 p. (ISBN 978-2-36290-040-2)
- Yves Budin, Visions of Basquiat, France, Éditions Les Carnets du dessert de lune, coll. « Pièces montées », , 64 p. (ISBN 978-2-930607-74-0)
- Basquiat, roman graphique de Julian Voloj (scénario) et Soren Mosdal (dessin et couleurs), 138 pages, Éditions Soleil, 2020
- Manuel Esposito, Basquiat, mai 1968, Paris, La Variation, 2023.
Notes et références
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- ↑ Sophie Joubert, « La légende de Jay, un feu follet new-yorkais », sur www.humanite.fr, (consulté le )
Annexes
Articles connexes
- Place Jean-Michel-Basquiat
- Andy Warhol
- Bad Painting
- Cy Twombly
- Figuration libre
- Keith Haring
- Néo-expressionnisme
- Peinture américaine
- Robert Rauschenberg
- Arts visuels punk
- Black anarchism
Liens externes
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Bridgeman Art Library
- Delarge
- Musée national centre d'art Reina Sofía
- (de + en) Artists of the World Online
- (en) Bénézit
- (de + en) Collection de peintures de l'État de Bavière
- (en) Grove Art Online
- (en) Museum of Modern Art
- (en) MutualArt
- (nl + en) RKDartists
- (en) Smithsonian American Art Museum
- (en) Te Papa Tongarewa
- (en) Union List of Artist Names
- Ressources relatives à la musique :
- Discogs
- (en) AllMusic
- (en) MusicBrainz
- (en) Rate Your Music
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Africultures
- Allociné
- (en) IMDb
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Jean-Michel Basquiat sur ina.fr
- (en) Site de Jean-Michel Basquiat
- « Sur quel(s) rythme(s) Basquiat vivait-il ? », Sans Oser le demander, France Culture, 10 février 2022.